Transformation Heureuse

Je suis Marc, né en 1995, donc 24 ans depuis peu de temps et j’ai envie de vous raconter mon histoire, peu banale.

Très jeune, je me savais attiré par les garçons, tout en voulant rester garçon moi-même. J’ai donc continué dans ce sens, avec une pratique intense du sport et laissant mes poils pousser partout sur mon corps, (pas issu d’une famille méridionale pour rien.), mais cette ambivalence s’installait et s’ancrait peu à peu en moi. Maintien de mon corps masculin dont j’étais très fier, mais désirs sexuels féminins d’hommes…. De vrais mâles qui voulaient posséder une vraie femelle, que je n’étais pas, mais que j’avais envie d’être.

L’hérédité m’avait doté aussi d’un très gros sexe, mais qui ne bandait que très rarement, comme s’il ne servait qu’à sa fonction initiale, celle de pisser, et pas au reste, mes masturbations se résumaient à caresser frénétiquement l’entre peau de mes couilles, comme une fille caresse ses lèvres vaginales, cherchant un orifice qui n’existait pas en moi à l’époque.

Sage jusqu’à mes 19 ans, à part quelques branlettes ou pipes, ce qui ne m’empêchait de surfer sur Internet, à la recherche de sites de « Gays » de « Trans » et autres, où j’ai pu rencontrer mon premier homme et avoir enfin ma première relation sexuelle.

La seule expérience que j’avais eue avec une fille m’avait plutôt déstabilisé. Je n’aimais pas son corps féminin, et si sa chatte m’avait attiré, ce n’est pas parce que j’avais envie de la pénétrer, mais parce ce que j’étais fasciné par cet organe, capable d’accueillir un sexe d’homme et de constater le plaisir intense qu’elle en retirait.

Pour revenir à mon premier partenaire, il était hyper viril, hétéro avec une tendance bi quand même, dominant doté d’un sexe de taille plus que conséquente. Après avoir défloré tous mes orifices, et que son désir soit enfin assouvi à plusieurs reprises, nous avons longuement dialogué. Il aimait le corps masculin, mais ne se sentait pas « gay » pour autant.

Pas question pour lui de s’occuper d’une bite de mec, seuls ses orifices l’intéressaient, et qu’il aurait trop envie de baiser un mec avec une vraie chatte entre les cuisses…

J’ai continué ainsi ma vie de jeune gay, très masculin dans ma vie, aussi bien physiquement qu’au quotidien, ne me transformant en vraie femelle que lorsque je « couchais » avec un vrai mec. Au fur et à mesure de mes expériences, mes goûts se sont orientés vers les hétéros, hyper virils, plus âgés que moi, qui me traitaient comme une femme. Les vrais homos passifs ont souvent été considérés comme ayant une sexualité beaucoup plus débridée que les épouses … souvent trop coincées pour leurs besoins.

J’ai conservé, sans doute caché au fond de mon esprit, cette réflexion de mon premier partenaire et peu a peu, j’ai effectué un maximum de recherche sur la transsexualité. C’était pas facile, parce quasiment à chaque recherche, je retrouvais la vaginoplastie dans toutes ses formes, mais accompagnée de traitement hormonaux pour qu’un homme puisse devenir totalement femme, ce qui n’était absolument pas mon souhait. Je voulais rester MEC mais avoir une vraie chatte… !!!

Garder mon corps masculin et viril dans lequel je me sentais très bien, mais me débarrasser de ma bite qui m’encombrait, pour la transformer en véritable vagin, deuxième orifice pour me permettre d’accueillir en moi ce membre puissant que je vénérais tant. Pas facile à admettre pour le corps médical, psy, endocrino ou autres, pour lequel, même si la transsexualité devenait courante, l’éventualité d’un homme, avec un corps d’homme et désirant le conserver, était incompatible avec ce besoin. Toujours ce concept millénaire de l’Homme ou de la femme et rien entre les deux. Ça ne pouvait être que l’un OU l’autre… !!!

C’était soit un homme avec des poils et une bite, et s’il voulait devenir femme, ce n’était que sans poils, avec des seins et des formes féminines. Pourtant, je savais que ça existait, j’avais vu des films réels, des reportages discrets et dialogué suffisamment sur quelques forums à ce sujet.


Je m’entendais mal avec mes parents, contacts très froids, mais j’adorais mon frère aîné. Nos grands-parents, hyper proches de nous deux, étaient décédés beaucoup trop tôt, dans un accident fatidique. Extrêmement fortunés, ils nous avaient mis, l’un et l’autre, à l’abri de toute dépendance financière à l’égard de notre mère, nous léguant, le maximum de la quotité réservataire possible, ce qui était déjà plus qu’important, ajoutant des clauses spécifiques qui la liaient, lui empêchant le moindre détournement de succession.

Tout cela pour vous dire que j’étais matériellement libre de mener ma vie à ma guise, disposant d’une fortune plus que considérable pour mon âge, mais qui ne me montait pas à la tête.

Je devenais de plus en plus déterminé dans mon idée de changement de sexe, mais pas d’identité, et le parcours proposé me semblait plus que contraignant, pour être pris en charge par notre Assurance Santé Nationale…. Sauf… Que je n’en avais pas besoin… !!!

Après quelques mois d’efforts et de recherches, je suis parvenu à trouver ce que je cherchais dans un pays européen qui n’imposait pas de contraintes aussi sévères. Du moins, pas de shoot aux hormones féminines et la pose de « nichons » au préalable, exigeant seulement un avis et un accord psychiatrique nécessaire avant toute intervention de cette importance, émasculation et vaginoplastie, que mon corps reste masculin ou devienne féminin… De plus, un paiement direct des frais de ma part, sans avoir besoin d’avoir recours à un organisme de santé étatique facilitait les choses, sous réserve toutefois d’accord médical plein et entier.

Mon raisonnement était simple… Je n’aimais pas le corps de la femme, donc, je ne voulais pas en avoir un, mais je vénérais le corps de l’homme, son membre puissant et possesseur et j’étais déterminé à connaître le vrai orgasme féminin, avec un vrai vagin.

Le parcours a été long et tumultueux, mais après plusieurs mois d’efforts et d’entêtement, je suis arrivé à obtenir ce que je souhaitais.
Rester un homme, mais avec une vraie chatte entre les cuisses. Heureusement, grâce à la longueur assez exceptionnelle de ma verge, la rétro plastie a permis de me doter d’un orifice profond, avec de jolies lèvres vaginales, un clito un peu plus gros que celui d’une « femme normale » et même pose d’un hymen artificiel.

Privé d’hormones naturelles, je devrais suivre à vie un traitement à la testostérone pour conserver mon aspect masculin.

Ravi du résultat, après avoir reçu l’aval du chirurgien pour les rapports sexuels à venir, j’ai retrouvé mon frère dans notre maison au bord de mer. S’il n’avait pas totalement approuvé ma démarche, il l’avait toutefois comprise et m’avait encouragé dans ce long parcours.

Après une journée à flâner sur la plage, à déjeuner ensemble au restaurant et à faire quelques courses, nous sommes rentrés à la maison. Je me suis mis à cuisiner notre repas, mais je sentais Matthieu hésitant, gauche, mal à l’aise, comme s’il voulait me demander quelque chose et qu’il n’osait pas. Un peu plus tard dans la soirée, savourant notre thé, j’avais compris ce que Matthieu attendait. Il voulait voir et savoir.

« Dis-moi mon grand frère chéri, tu veux savoir ce que ça a donné, non ? Avoue »
« Oui Marc, mais je suis tellement gêné… Je n’ose pas te le demander… »
« Nous sommes frères, je t’adore, alors… c’est normal »
« Tu me permets de voir ? De toucher aussi ? »

J’ai de suite baissé mon short et mon slip pour lui montrer ce qui était maintenant mon sexe, ce vagin que j’avais tant attendu, en le caressant, en écartant les lèvres, me masturbant comme une femme le ferait. J’avais fermé les yeux, et quand je les ai ouverts, j’ai vu une énorme bosse dans la pantacourt de mon frère. Il bandait comme un malade. Il a approché sa main de ma fente, pour la toucher, pour la caresser d’une manière beaucoup sexuelle que de la simple curiosité.

« Mais c’est superbe… Une vraie chatte… Ça me rend fou… »

Il s’est approché de moi, ses lèvres ont rejoint les miennes, tandis qu’il se débarrassait de ses vêtements pour exhiber son corps de mâle hyper viril, musculeux et poilu à souhait.
Son membre énorme a remplacé ses lèvres pour me l’enfourner dans ma bouche au plus loin qu’il pouvait tout en malaxant ma chatte…

J’ai réalisé enfin que ce désir était ancré au plus profond de moi sans que je l’aie vraiment réalisé… Avoir une chatte, un hymen, pour l’offrir à mon frère adoré, qu’il puisse le déflorer….



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