Transformation 2

Trois semaines venaient de s'écouler depuis cette journée mémorable. Je bandais souvent en y repensant et il m'arrivait même de me branler tellement cela m'excitait de penser à ma femme jouant la salope.
Nous étions samedi et exceptionnellement j'étais au travail, lorsque je reçus un SMS de ma femme.
-Bonjour mon chéri, pas trop dur de travailler?
-Si, mais bon...
-Je me sens d'humeur aujourd'hui. J'ai enfilé mes boules de geishas et je compte bien aller faire un tour à Paris.
-OK mais sois discrète.
-Que veux-tu dire ?
-Habille-toi correctement, pas comme la dernière fois.
-Ne t’inquiète pas, cette fois je mettrai un chemisier, tu sais celui que tu aimes tant, le blanc.
-Mais il est transparent ?
-Un peu oui.
-Je te l’interdis.
-Que l’on soit bien d’accord mon amour, à ta femme Sophie tu peux interdire ce que tu veux mais la nouvelle Sophie, la salope qui s’est révélée l’autre week-end, tu ne peux rien lui interdire. Elle assouvit ses pulsions et ses fantasmes comme bon lui semble et tu n’es là que pour satisfaire ses envies et la faire jouir. Alors choisis bien qui tu veux comme compagne; Sophie ta femme, sage et prude pour toute ta vie ou bien parfois, vivre le temps d’un week-end, d’une semaine ou plus, avec Sophie la salope ?
Réfléchis bien, car une fois ton choix effectué tu ne pourras plus revenir en arrière.Il est vrai que ce que nous avion vécu il y a trois semaines m’avait entièrement satisfait et je n’avais qu’une envie, recommencer. Mais Sophie n’irait-elle pas trop loin ?
-Alors mon chérie, tu as réfléchi?
-Sophie la salope.
-Super, j’espérais cette réponse. J’ai trop besoin de sexe maintenant. Ces boules sont vraiment extraordinaires. C’est vrai que ce chemisier est transparent, on voit bien mes seins à travers, surtout que je n’ai pas mis de soutien-gorge. Bisous mon chéri, je vais faire les boutiques.
-Ah j’oubliais! J’ai aussi mis mon serre taille et je n’ai pas mis de veste sur mon chemisier.


Avais-je fait le bon choix ? Voilà que ma femme sortait sans moi vêtue comme une salope. En même temps je dus avouer que cela me faisait bander.
Cela faisait plus de deux heures que je n’avais pas de nouvelle de ma femme, lorsque je reçus un MMS. C’était elle qui essayait des chaussures dans un magasin. Elle était assise, en train de les essayer et l’on voyait bien le haut de ses bas.
-C’est le vendeur qui a pris cette photo. Tu aimes? Je suis sure que tu bandes!
Effectivement je bandais fort. Une deuxième photo arriva. Un gros plan sur le chemisier de ma femme ou l’on voyait bien ses seins en transparence.
-Le vendeur n’a pas pu résister à les prendre en photos, il m’a dit qu’ils étaient mignons.
La salope, elle se faisait mater par des vendeurs maintenant. Ce ne fut que vers 17 heures que je reçus un appel de Sophie.
-Tu vas bien mon chéri?
-Oui et toi? Tu étais ou?
-Je suis retournée manger à la brasserie de la dernière fois, le jeune serveur était là et comme il ne travaillait pas entre 14 et 16 heures, je l’ai invité à boire un café avec moi. Il est très gentil tu sais, il m’a avoué qu’il s’est beaucoup masturbé en pensant à moi.
-Eh bé le cochon!
-Allons, tu en aurais fait autant à son âge. Après il m’a parlé de sa copine, me disant qu’il aimerait bien qu’elle soit comme moi. Je lui ai demandé de préciser et c’est en rougissant qu’il a lâché le mot de salope. Ça m’a excitée, tu ne peux pas savoir.
-Il t’a traitée de salope?
-Ben oui, c’est ce que je suis non?
-Oui mais quand même.
-Une belle salope à t’il ajouté. Pour finir, je lui ai permis de prendre des photos de moi pour ses prochaines branlettes. Je te les envois.
Je reçus une dizaine de photos de ma femme. A chaque photo un des boutons de son chemisier était défait et sur les dernières, elle était carrément seins nus.
-C’est lui qui a défait les boutons un par un. Tu aurais dû voir comme il tremblait le pauvre.
Je pense qu’avec ça il va bien se branler en pensant à moi. En parlant de branlette, tu devrais aller te soulager, j’ai besoin que tu sois endurant ce soir quand tu rentreras. A ce soir mon chéri, j’ai hâte que tu me baises.
Effectivement j’étais à point et je suivis le conseil de ma femme. J’allais aux toilettes me branler comme un collégien et je ne mis pas longtemps à éjaculer.
La journée de travail enfin finie, j’arrivais chez moi vers 19 heures. A peine avais-je franchis la porte que j’entendis Sophie me dire :
-Ah te voilà mon chéri, mets-toi à l’aise je t’ai servi un apéro au salon. J’arrive.
Je m’assis dans le canapé devant un bon whisky et je vis entrer Sophie dans le salon, vêtue en collégienne, mini jupe écossaise et un cœur croisé sur ses seins. Entièrement nue sous ses deux vêtements.
-Ça te plait ?
Sûr que cela me plaisait, elle était vraiment bandante. Pendant que nous prenions l’apéro, je n’arrêtais pas de la mater et de bander bien dur.
-Il va falloir que tu t’occupes bien de moi mon chéri, je mouille énormément. Mais d’abord nous allons manger, j’ai commandé des pizzas qui ne devraient pas tarder.
En effet la sonnerie de l’interphone retentit. Sophie alla décrocher.
-Oui c’est bien ici, troisième étage.
D’où j’étais, je pouvais voir, par un jeu de miroir, la porte d’entrée sans être vu.Sophie ouvrît la porte dans sa tenue hyper provocante, le livreur resta surpris mais ne se priva pas de mater ma femme, en plus celle-ci avait déposé son sac par terre, elle dût donc se pencher pour le prendre et offrir son cul à la vue du livreur.
-Mince je n’ai pas assez. Chéri as-tu de la monnaie ?
Et tout en disant cela elle revint au salon, se planta droite devant moi et me demanda de dégrafer son cœur croisé et de lui ôter. J’hésitais un moment.
-Dépêche-toi me dit-elle, sur un ton assez péremptoire.
J’obéis de suite et c’est ainsi que Sophie retourna payer le livreur seulement vêtue de sa jupette, les seins à l’air.

-Voici. Et pour votre pourboire il faut dégrafer ici et faire baisser la fermeture-éclair.
Le livreur ne se fît pas prier et la jupette de ma femme tomba à terre, la laissant entièrement nue face à lui.
-Merci et bonne soirée, lui dit-elle en refermant la porte.
Je n’en revenais pas, ma femme se comportait en véritable salope qui a le feu au cul et cela n’était pas pour me déplaire.
-Allez fini vite ta pizza, j’ai besoin de toi. J’ai fait quelques achats sur internet. Regarde, voici le premier.
Là elle me montra un flacon d’huile de massage.
-J’ai hâte de l’essayer, je t’attends sur le lit.
Délaissant la pizza je me rendis à la chambre ou Sophie m’attendait, allongée nue à plat ventre sur le lit. Je pris l’huile et commençais à lui en verser sur le dos. Elle frissonna. Je me mis à lui masser tendrement le dos. Au bout d’un moment elle me dit :
-Et mon cul il n’a pas droit ?
Je ne me fis pas prier et je versai de l’huile sur ses fesses. Je les caressai tendrement. Sophie avait l’air d’apprécier car elle remuait du cul. Je m’enhardis et passais mes doigts entre ses fesses pour aller caresser son anus.
-Cochon, tu en profites ?
C’est vrai que j’en profitais car Sophie n’était pas une adepte de la sodomie. Je fis même pénétrer un doigt dans son cul.
-Ohhhh mon salaud
-Ça te plait ?
-Oui c’est bon.
Je fis aller et venir le doigt puis en introduisis un deuxième. A ce moment-là Sophie ouvrit le tiroir de la table de nuit et me tendis un flacon.
-Tiens c’est le deuxième achat que j’ai fait sur internet.
C’était un lubrifiant anal.
-J’ai envie que tu m’encules mon chéri.
J’enduis mon sexe et l’anus de Sophie d’huile et posa mon gland sur son anus, celui-ci résista un peu, puis il s’ouvrit et absorba mon gland et toute ma bite. Enfin
j’enculais ma femme, je ne regrattais vraiment pas qu’elle soit devenue une salope. Je ne mis pas longtemps à éjaculer dans son cul et je m’écroulais sur le lit à ses côtés.

-Il t’a plus mon cul ?
-Oui il est divin.
-Maintenant on va passer au troisième achat.
Et elle me montra un gode assez long mais fin.
-C’est pour ton cul mon chérie, pas juste qu’il n’y ait que le mien qui soit à la fête.
-Mais je ne suis pas homo.
-Qui te parle d’homosexualité, c’est moi qui vais t’enculer, pas un homme. Vas-y, on essaye juste pour me faire plaisir.
-D’accord mais juste un peu.
-Promis.
Elle mit de l’huile sur un doigt qu’elle posa sur mon anus et elle en mit aussi sur le gode. J’étais sur le ventre et je sentis le bout du gode sur mon anus.
-Détend toi mon chéri, il va rentrer tout seul.
Effectivement, à ma grande surprise le gode pénétra lentement dans mon cul. Je dus avouer que cela était assez agréable. Sophie le fît aller et venir un moment dans mon cul et tout à coup le retira.
-Que fais-tu ?
-Tu m’as dit juste un peu.
-C’est vrai, mais bon tu peux encore un peu si tu veux.
-On dirait que cela te plait mon salaud.
-Oui j’aime bien.
Sophie m’encula à nouveau et ce fût encore meilleur. En fait j’aimais être enculé.
Sophie pris ma main et la posa sur le gode.
-Amuse-toi avec ton jouet, je reviens.
Je me retrouvais seul à m’enculer avec un gode, me demandant ce que Sophie pouvait bien encore manigancer. Soudain je la vis revenir harnachée d’un gode ceinture de belle facture.
-C’est mon quatrième achat. Comme je vois que tu aimes être enculé, je l’ai pris à l’exacte dimension de ton sexe. Met toi en levrette, je vais te l’enfiler.
J’obéis et me retrouvais à quatre pattes sur le lit comme une chienne en chaleur attendant d’être enfilée. Sophie posa le gode sur mon anus, me pris par les hanches et m’encula.
-Tiens mon salaud, tu aimes te faire mettre?
-Oui.
-En fait t’es une salope aussi.
-C’est vrai je suis une salope.
-Branle-toi.
J’obéis et ne tardais pas à éjaculer bruyamment.
-Alors la sodomie ?
-Je dois avouer que c’est bon.
-J’ai un dernier achat à te montrer, j’aimerais que tu l’essaye.
-C’est quoi ?
Elle sortit de la table de nuit un énorme gode ventouse.
-Il est énorme.
-25cm de long pour 6cm de diamètre. J’aimerais tant te voir empalé dessus.
-Je veux bien essayer.
-Merci mon amour.
Nous retournâmes au salon et Sophie mis le gode sur un tabouret. Elle l’enduisit de lubrifiant. Il était vraiment énorme. J’écartais mes fesses et posai mon anus dessus.
Avec le lubrifiant je sentis mon anus s’ouvrir mais le gland avait quand même du mal à pénétrer. Sophie m’encourageait :
-Ouvre bien ton cul mon chéri, il va rentrer.
Au bout d’un moment je sentis le gland pénétrer mon anus et lentement je descendis le long du gode. Je ne pensais pas que cela fût possible mais enfin mes fesses touchèrent le tabouret. Je me retrouvais empalé sur un gode de 25cm quand il y a à peine deux heures j’étais encore vierge du cul.
-Alors ?
-C’est bizarre, mais très très bon, je sens mon cul bien rempli.
Sophie s’approcha, m’enfourcha et enfila ma bite dans son cul.
-On est un couple d’enculé et j’aime ça mon chéri. On va bien s’amuser maintenant avec nos petits culs.
Il est vrai que j’allais avoir du mal à me passer de la sodomie maintenant que ce soit en actif ou en passif.

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