Collection Folle Du Cul. La Baronne, Son Chauffeur Et Le Forestier (2/2)

Je m’appelle Firmin, pardon Jean-Michel.
Je viens d’être embauché au service du baron et la baronne Charles et Isabelle De Lamotte du Pin.
Ils roulent en Rolls.
Quel plaisir de conduire une telle voiture.
Depuis le début de mon service, c’est la première fois que je conduis madame la baronne chez Marie-Chantal à la ville non loin du château.
Dans la nuit au retour l’orage nous prend quand nous traversons la forêt longeant le château.
La foudre frappe et grille l’un des circuits électroniques de la voiture nous mettant en panne.
J’emmène la baronne chez Charles le garde forestier qui profite de la situation pour la baiser en deux coups de cuillère à pot.
Mieux il m’invite à venir me faire sucer par cette demi-pucelle, le baron l’ayant engrossé dès la première fois où il l’a prise.
Charles la fait reluire et je finis de décharger dans la bouche de ma patronne.
J’ai le temps de penser que cette Rolls, j’en aurais touché le volant peu de temps.
Repus, nous tombons dans les bras les uns les autres et dans le calme de la forêt nous dormons.

- Réveillez-vous, on frappe à la porte.
Restez là, je vais ouvrir.
- Bonjour monsieur, madame la baronne De Lamotte du Pin est-elle ici ?
- Oui, elle déjeune qui vous êtes ?
- Société Rolls Roye, la voiture de la baronne, nous est apparue en alarme sur notre réseau.
Nous venons voir ce qu’il en est.
Nous sommes en retard, des arbres coupaient la route.
- Je suis Firmin le chauffeur.
Nous traversions cette forêt quand un éclair à frapper la voiture.
- Monsieur Firmin, nous avons amené une voiture de remplacement que vous voyez sur cette dépanneuse.
La voiture de notre cliente va être emmenée dans nos ateliers pour réparation sans le moindre gène pour vous et vous direz à madame la baronne que tout ce dérangement est entièrement à notre charge.
Madame bonjour excusez notre société pour la nuit que nous vous avons fait passer.


- Un accident mécanique ça arrive, inutile de vous excuser, surtout qu’ici monsieur Charles m'a bien accueilli avec mon chauffeur.
- Je vois cela madame, mais notre société est là seule responsable madame.

Le « je vois ça » me semble suspect.
Isabelle s’est réajustée mais quand je regarde au coin de ses lèvres du sperme que j’ai déposé avec ma bite quand elle m’a sucé est là.
Je récupère une autre Rolls, ils font ça bien chez ce constructeur, la voiture qu’ils nous prêtent est plus luxueuse que l’autre et est entièrement neuve.
Cinq kilomètres au compteur.
Dire que de toute ma vie, il me sera impossible de me payer une telle voiture.
J’ouvre la portière à celle que je décide d’appeler Isabelle monte.
Nous reprenons la route.

- Firmin, puis-je compter sur votre entière discrétion ?

Les services sont au travail quelques arbres sont tombés.
J’arrête la voiture et je me retourne.

- Madame la baronne, permettez ?

J’aurais dû l’appeler Isabelle, on a baisé ensemble, mais je veux voir sa réaction quand nous serons de retour au château.

- Nous sommes de nouveau en panne Jean-Michel ?
- Firmin madame, Firmin respectez mon prénom.

Elle a un petit rire coquin bien différent de celui qu’elle avait avant la première panne.
J’ouvre la boîte à côté de moi, à l’intérieur un distributeur de mouchoir en papier.
J’en prends un.

- Madame, permettez, avancez votre visage, vous êtes trop loin.
Voyez, vous avez mon sperme au coin de votre bouche.
Inutile que le baron vous pose des questions sur votre nuit.
- Merci Jean-Michel, vous êtes un chauffeur très précieux.

Je reprends la route, le changement de ton et surtout parce que Firmin semble avoir disparu me plait.
Dans les jours prochains je vais pouvoir dormir dans ce luxe sur roulettes.
Quand nous arrivons au château le baron est sur le perron.


- Ma mie, qu’elle nuit vous avez dû passer !
Je vois que Rolls Roye est venue vous dépanner.
- Oui, vous savez, j’ai appris bien des choses cette nuit, rendez-vous compte.

Une fraction de seconde j’ai peur qu’elle n'avoue que nous l’avons sauté et qu’elle m’a sucé.

- J’ai vu une bête horrible, un gros sanglier que Charles le garde forestier a tué hier.
Vous auriez vu ses défenses, j’en ai encore froid dans le dos.
- Il a eu le vieux mâle qu’il fallait abattre, vous me donner une très bonne nouvelle ma mie.
Je retourne dans mon bureau.
- Dite Charles-Édouard, j’aurais voulu vous prévenir mais il m’aurait fallu avoir un portable pour le faire.
Jean-Michel, à 14 heures vous préparerez la Rolls, j’irais en ville en acheter un.
En attendant, je vais me coucher, cette nuit m’a un peu fatigué.
- Bien madame la baronne, je serais devant le perron à l’heure.

Je remonte en voiture, j’entends la baronne dire à Charles-Édouard.

- Mon ami, ce jeune homme me semble très bien, je crois que nous avons trouvé un garçon très compétent.

Je range la voiture, j’ai un avantage, avec celle qui est tombée en panne, j’aurais dû la lustrer.
Celle-là elle est neuve, inutile de la nettoyer.
J’entre dans ma chambre, on tape à ma porte.

- Jean-Michel, tu es bien rentré, j’ai été inquiète.

J’ai parlé d’Alice la femme de chambre, c’est elle qui me rend visite.
Je pourrais la baiser, mais j’ai la flemme.
Une liaison sur mon lieu de travail ce sont les emmerdes assurées.
On va me dire la baronne qui m’a sucé cette nuit.
Elle pouvait me virer après mais elle m’a gardé, avec elle il y a peut-être un coup à jouer.

- Alice, excuse de te laisser à la porte, si tu savais la nuit que j’ai passée avec la panne de la Rolls Roye.
- J’ai vainement essayé de trouver le sommeil assis sur cette putain de chaise.
Madame la baronne a commandé la voiture pour 14 heures.

J’ai juste quelques heures pour récupérer et éviter les risques d’accidents.
Tu peux fermer la porte derrière toi ?

Ouf, Alice quitte ma chambre, je la baiserais bien, c’est une jolie fille qui semble être prête à tous pour se sortir de sa basse condition.
Sucer monsieur le Barron De Lamotte du Pin vieil homme d’un certain âge pour éviter de dire d’un âge certain il faut le faire.
Deux jours après mon arrivée dans cette chambre, j’ai entendu Alice se lever de bonne heure.
Monsieur le baron partait pour l’Allemagne pour une obscure affaire devant lui rapporter du fric.
Il m’avait commandé la voiture pour 7 heures prenant son train à 8 et je devais venir chercher son bagage.
Quand je suis monté à sa chambre, j’allais frapper quand j’ai compris rapidement ce que faisait Alice à son patron comme je l’ai fait dans l’autre sens avec la baronne.
Pas très discret le baron quand il éjacule.
J’ai entendu.

- Suce salope.

Langage châtié s’il en ait.
Revenu de la gare elle m’a avoué le sucer tous les matins depuis le lendemain de son embauche.
Elle m’a fait comprendre qu’elle avait besoin de ce travail et qu’il lui avait présenté la chose de façon brutale, sucé ou partir.
Logée, nourrie, payée, elle avait cédé.
Et ça chaque matin.

À 13 heures 55 pétantes, la Rolls est devant la porte et quand la baronne descend majestueuse dans sa tenue toujours tirée à quatre épingles.
Je lui ouvre la portière elle s’assied et je vais à mon volant.

- Jean-Michel ?
- Oui madame la baronne.
- Merci pour hier et surtout pour ce matin d’avoir tut notre nuit chez Charles.
Deux choses avant de démarrer.
Voici 500 €.
Quand je vous le dirais vous arrêter la voiture et je descendrais.
Vous descendrez en ville dans la première société de téléphonie mobile que vous trouverez, vous ouvrirez une ligne à mon nom avec un portable bien sûr.

S’il y a trop, vous garderez le reste.
- Merci madame la baronne.
- Une deuxième chose.
J’ai compris après ce qui s’est passé cette nuit, ce que le baron fait avec la bonne Alice tous les matins.
Ce soir, c’est vous qui m’apporterez ma camomille, je lui dirais quand nous rentrerons.
Vous savez ce que ça veut dire ?
- Oui madame la baronne.

Nous arrivons vers la maison du garde forestier.

- Arrêtez-moi ici, revenez dans deux heures pas moins.

J’ai bien fait de rembarrer Alice ce matin.
Charles le garde forestier va passer un bon après-midi avec la salope que nous avons révélée dans cette maison devant laquelle j’arrête la Rolls.
Cette après-midi avec Charles, pas Charles-Édouard et ce soir avec moi.
Nul doute que nous avons déclenché une folle du cul en lui faisant connaître le sexe.
Je redémarre voyant Isabelle entrer dans la maison après l’ouverture de la porte par mon copain.
Ce soir, je compte bien lui montrer qui est le meilleur entre lui et moi.
Pourvu qu’il y ait un orage qu’elle se blottisse dans mes bras.

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