Collection Folle Du Cul. La Femme Du Consul. Saison I (2/3)

• Victoria prépare, nos valises nous partons pour Paris.

Ce sont les mots que j’espérais entendre alors que nous étions rentrés de Tunisie une semaine plus tôt.
J’avais laissé notre femme de ménage espagnole sans aucun remords.
Que représente pour moi une bonne, fût-elle espagnole au gros cul contre la vie trépidante dont on parle à longueur de journée à la télé ?
Qui peut refuser de vivre à l’ambassade de Tanzanie dans le quartier de nombreuses ambassades à deux pas de l’avenue Foch et de la place Charles-de-Gaulle.
Vite installée je veux dévorer la ville à pleine dent au prix de taxis pour retrouver mon chemin.

Moi, belle femme noire, les regards de mâles parisiens me faisant mouiller bien que Saïd régulièrement me fasse l’amour.
Pour ça j’avais hérité d’un chaud lapin.
Aujourd’hui, je fais une folie, je me perds une nouvelle fois après avoir traversé le jardin du Luxembourg.
Je regarde le plan du métropolitain pour savoir par quelle rue rentrer quand une idée folle me vient.
« Et si tu essayais le métro. »
Je descends dans ce trou noir et je monte dans le premier wagon qui passe.
Je vois défiler les stations, j’ignorais qu’ils y en avaient autant.
Je suis restée debout, quelquefois qu’un nom me rappelle l’une de mes ballades.
Je sens un corps s’appuyer au mien, c’est impossible.
Je lance ma main, c’est bien une verge qui se frotte contre mes fesses.
Je voudrais tourner ma tête pour enguirlander le propriétaire de ce sexe bien plus petit que celui que j’ai connu à ce jour.
Le métro s’arrête, les portes s’ouvrent et le sexe quitte ma main au moment où je commençais à m’amuser.

« Porte de la Chapelle. »

Il doit y avoir une église près d'ici, je suis dans un quartier select et le curé doit pouvoir me renseigner.
Lorsque j’étais petite près du Kilimandjaro, le prête c’était notre idole.
C’était l’homme qui savait nous dire notre avenir si nous devions de notre route et nous l’écoutions religieusement.



• Vous semblez perdu mademoiselle, pardon madame je vois que vous avez une alliance.
• Nous sommes loin de l’avenue Foch monsieur.
• Vous vous êtes étrangère, vous parlez parfaitement le français, mais avec un accent qui est loin d’être celui des titis parisiens.
• Je suis la femme du Consul de Tanzanie.
• Vous avez fait du chemin pour venir jusqu’ici.
Un conseil, sortez du métro et prenez un taxi, je pense que vous avez les moyens d’en prendre un !
• C’est ce que je faisais d’habitude, mais là j’ai voulu essayer autre chose.
• Tenez, regardez un plan, de Paris et du métro.
Cherchons.
Jardin du Luxembourg, vous avez pris la ligne B ici.
Vous vous êtes retrouvée Porte de la Chapelle au nord de Paris.
Vous voyez pour aller vers l’avenue Foch, il aurait fallu faire un changement à Châtelet et prendre le métro, ligne 1 ou RER ligne A.
• Bigre, votre métro, c’est un vrai labyrinthe.
• Vous avez raison, venez, le secteur est mal fréquenté, je vais vous mettre dans l’un d’eux avant d’aller voir mon client.
• Avez-vous des clients dans le coin ?
• Je suis avocat et je dois rencontrer un homme poursuivi pour attaque de banque, mais il est innocent et je vais le démontrer au juge.

Nous sortons du métro et nous sommes dans un quartier où je vois de nombreux hommes certainement venus de nos pays.
J’ai envie de les apostropher pour leur dire que j’étais là.

• Taxi.
Conduisez madame à l’ambassade de Tanzanie.
• C’est bien près de l’avenue Foch !
• Oui monsieur.
• Vous me donnez votre nom, j’aimerais avoir de vos nouvelles !
• Victoria.
• Voici ma carte, si vous avez le moindre problème, appelez-moi !

Le taxi démarre « Jacques Durant. Avocat. 22 faubourg Saint-Honoré. »

C’est vrai, la rencontre a été si rapide que j’ai regardé rapidement cet homme la quarantaine.
Je peux dire qu’avec son attaché-case en cuir marron et son costume trois-pièces, il faisait propre et si je me trouvais en manque, il pourrait faire un amant plus que potable.

Heureusement, depuis que je suis à Paris, Saïd semblant impressionné par le cadre de notre logement dans l’ambassade, me fais l’amour toutes les soirées.
Comme sa belle et bonne bite est loin de me déplaire, je dors du sommeil du juste chaque soir.

• Pardon.
• Oui, madame !
• Je suis nouvelle à Paris, pourriez-vous me dire où nous sommes à mesure du parcours.
Merci, ça serait gentil.
• Ici, nous venons de récupérer le boulevard de la Chapelle, c’est un quartier où l’on trouve de nombreux hommes venus de vos pays.
• Je viens de Tanzanie.
• C’est bien, regardez sur votre droite entre deux maisons, vous verrez en haut le sacré cœur.
• C’est !
• Une église.

Il y a des bouchons, dire que je suis venue jusqu’ici en quelques minutes par le métro avec une verge dans ma main.
Je parle plusieurs langues, je dois pouvoir étudier et m’en sortir dans le sous-sol parisien.
Il faudra que je voie Janette, la secrétaire de Saïd, qu'il m’a présenté, elle pourra me procurer un plan.

• Nous arrivons à Pigalle, célèbre quartier parisien.
• J’ai entendu parler, c’est là que l’on trouve les petites femmes !

Je vois le métro Pigalle sur la bouche qui avale les Parisiens, il y a un 2.
Un trottoir central et de chaque côté, les plus nombreuses à droite, ce que j’appellerais des boutiques, non, des salles de spectacle montrant des filles plus que dénudées.
Des sexes shop, des boutiques avec de la lingerie plus que provocante.
Je compare avec Dodoma, quand de telles salles ou boutiques se retrouveront dans une des grandes rues de ma ville, des cheveux blancs auront envahi mon crâne et encore.
Comment des filles peuvent-elles se montrer nues devant des hommes, car 80 % des personnes qui déambulent ce sont des hommes ?

Place Clichy métro toujours 2 et 13.
Une bouche et deux numéros, le plan que Jacques m’a montré me revient à la mémoire quand j’aurais un plan, je pense comprendre rapidement et me déplacer plus vite, même si après cette place nous roulons plus rapidement.


• Nous arrivons place Charles de Gaulle.
• Là je connais, j’en ai fait le tour il y a deux jours, je voulais monter au sommet pour découvrir Paris, mais il y avait une queue impossible.
• C’est pareil dans bien des édifices parisiens à visiter.
Voilà vous êtes à l’ambassade.

Quand nous sommes arrivées, Jeanette nous a remis nos papiers officiels ainsi que du liquide en euros et une carte de crédit dont j’ai appris le code par cœur.
Pour la première fois, je m’en sers avec ce chauffeur de taxi.
J’ai l’impression de devenir une grande fille.
Le soir après le repas Saïd fatigué de sa journée aspire à se reposer.
J’ai pris une douche avant manger et l’on nous sert un repas que je déguste, car les émotions de la journée m’ont ouvert l’appétit.
J’ai l’impression d’avoir joué ma vie.
Comme je l’ai dit, Saïd et moi sommes catholiques et il boit de l’alcool.
Il se met dans son fauteuil où on nous sert un cognac français.
Je le déguste.
Je me place à ses pieds et posant ma tête sur ses genoux, je rêve de la bite que j’ai eue en main, même si c’était complètement incongru.
Je rêve aux filles plus que nues s’affichant dans les devantures des clubs de strip-tease.
Saïd me caresse la tête, je suis bien à ses pieds, même si j’ai des pensées et des pratiques que la morale de ma religion réprouve.
J’arrive même à repenser aux prêtes et aux enfers promis.
Il me met sa main sur mon crâne et me le caresse.
Je sans ma chatte mouillée.
Je passe ma main sur son pantalon, je sens que je lui fais de l’effet.
De toute façon, dès que je lui touche la verge nue ou recouverte, il bande.
Comme on dit, c’est un bon coup.
Même à Tunis avec la grosse bonne, je l’ai vu la baiser dans la journée et me sauter le soir.
C’est une bête de sexe et comme je suis chaude du cul, on est fait pour s’entendre.

Je sais ce qu’il souhaite, lui aussi aime se détendre après une journée de labeur.

J’ouvre sa braguette et je sors sa belle bite que je mets dans ma bouche.
Nous sommes un jeune couple, mais un peu un vieux couple sexuellement.
Quand il se laisse aller comme il le fait présentement, il faut que je le finisse.
Inutile d’essayer de me faire baiser, je sais que je risque de le contrarier.
J’ai la chance que mon homme en ait une belle, je la prends dans ma bouche la faisant entrer jusqu’aux couilles.
Ses couilles, quel paquet, j’ai du mal à les avaler.
Saïd a dû être sage aujourd’hui, car rapidement manquant de m’, il se vide au fond de ma gorge.
J’avale, je me redresse, je l’embrasse à pleine bouche en me lovant dans son bras.
Ça fait plusieurs fois que je lui vide les couilles comme je viens de le faire.
Chaque fois quand nos bouches se dévorent, le sperme qui la tapisse, il l’avale avec ma salive sans aucun geste de dégout.
Il est vrai que lorsque je suis seule, il m’arrive de me mettre des doigts dans ma chatte et d’apprécier ma cyprine mieux que celle de Joanna l’Espagnole.

Je me cale bien quand Saïd monte son verre à ses lèvres surement pour se nettoyer la gorge.

• Victoria, la sécurité m’a dit que tu sortais tous les après-midi depuis que nous sommes à Paris.
Loin de moi l’idée de te le reprocher, tu peux profiter de cette ville pendant que je travaille.
En ce moment, dans cette ville, il y a des attentats.
Sur le buffet de la salle, il y a une portable, tu seras susceptible d’être appelé afin que tu rentres immédiatement en cas de problème.
Nous avons placé une clef donnant sur la rue derrière l’ambassade où tu pourras entrer et sortir sans que des ennemis puissent s’en prendre à toi.
Une dernière chose, tu es susceptible de rencontrer des gens.
Cache que tu es la femme du consul de Tanzanie, on pourrait te prendre en otage.

Quand nous rejoignons ma chambre, je vois les deux objets.
Saïd désirerait que je vive ma vie à Paris en toute liberté, me donner la clef du paradis, même avec un fil à la patte avec le portable serait identique …

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