Florence Et Les Amis De Sa Fille

Florence a connu Jean à 18 ans. C’est son premier et seul amour de sa vie. A 45 ans, elle est toujours amoureuse et heureuse avec sa petite famille. Elle est tombée enceinte à 22 ans et est devenue maman d’un petit garçon qui a aujourd’hui 23 ans. Ils se sont mariés entre les 2 grossesses de Florence. A 25 ans elle accouche de Laure. Malgré ses 2 grossesses, florence a conservé un corps élancé et, au grand plaisir de son mari, elle a gardé une poitrine plus généreuse. Laure a 20 ans. Elle a le même corps que sa mère à l’exception de sa poitrine qui est plus menue.
Son mari et son fils sont partis pour le week-end a une course de formule 1. Laure a invité 3 couples d’amis pour une soirée à la maison. Les 2 filles des couples sont alitées à cause d’un virus qui les clous à la maison. Il n’y aura alors que le petit copain de Laure, ses 2 autres amis, Vincent et Julien, et sa mère. Sans le faire exprès, Laure et sa mère portent presque la même robe. Celle de Laure est bleue à fleurs blanches, celle de sa mère blanche à fleurs bleues.
Tous les cinq installés sur 2 canapés qui se font face, ils dégustent un apéro dinatoire avec champagne rosé pour les filles et whisky pour les hommes. L’apéro terminés, les amuse-gueules ont laissés places à un jeu de Monopoly mais les verres sont restés à table. Le jeu est animé et ils passent une bonne soirée.
Seb, le copain de Laure, profite de l’absence du père pour rouler un join qu’il fait tourner. Les jeunes insistent pour que la mère y goute. La première taffe fait tousser Florence mais elle en tire une autre et comme lui conseille Vincent, à sa droite, elle garde la fumée dans sa bouche avant de la recracher par le nez. Un deuxième join arrive à nouveau à Florence qui tire deux taffes sans réfléchir. Elle rit toute seule mais son rire est très communicatif et entraine les autres dans un fou rire. Les idées sont floues dans la tête de Florence.
Elle regarde sa fille sur le canapé d’en face qui flirte avec son petit copain.

Ils s’embrassent tandis que Seb caresse une cuisse de Laure. Florence à chaud et rit de nouveau lorsque la main de Julien se pose au-dessus de son genou. Elle est bien et laisse faire la main chaude sur sa peau. Seb a libéré les seins de Laure qu’il embrasse un après l’autre. Florence regarde la scène et sent la main de Vincent se poser sur un sein. Elle regarde sa fille qui a posé sa main sur le sexe de Seb par-dessus le jean. Laure regarde également sa mère et lui fait un clin d’œil complice. Florence s’avachit dans le canapé. Les deux jeunes hommes peuvent alors profiter du joli corps de la mère. Vincent tente un baiser que Florence accepte. Elle se laisse totalement aller. La main de Julien est remontée haut sous la robe de Florence tandis que pendant le baiser, Vincent a libéré ses seins. Il les caresse et pince puis mordille les tétons. Florence caresse sa tête d’une main. Elle a écarté ses jambes offrant ainsi l’accès à sa culotte et son sexe. Julien a poussé la table et s’est agenouillé entre les cuisses de Florence. Il att la culotte et la fait glisser le long des jambes de Florence. Il soulève la robe et s’enfouit la tête dessous pour lécher le sexe de Florence. Tantôt il mordille le clitoris, tantôt il pénètre sa langue comme un petit sexe. Florence commence à haleter mais veut voir. Elle se redresse légèrement pour voir simplement une tête sous sa robe qui lui fait tant de bien. Elle voit sa fille qui suce le sexe de Seb. Vincent lui att une main et la pose sur son sexe qu’il avait libéré. Tout en caressant le sexe, c’est elle qui vient au-devant de sa bouche pour l’embrasser. Vincent se décale au bout du canapé permettant ainsi à Florence de se pencher et de le prendre en bouche. Julien, pose les jambes de Florence sur le canapé et ayant relevé totalement la robe, recommence son cunni. En tournant légèrement la tête, elle découvre que Laure est nue, Seb entre ses jambes qui la pénètre. Elle en a aussi envie. Comme s’il avait lu dans ses pensées, Julien se déshabille.
Elle regarde Vincent.
- Déshabille-moi
Vincent la déshabille et la voilà nue. Elle écarte les jambes pour accueillir Julien. Il se couche sur elle et l’embrasse. Son sexe trouve facilement l’entrée et il s’y s’introduit sans difficulté tant elle est mouillée. Vincent étouffe les gémissements de Florence en se faisant sucer. Elle a entouré Julien de ses jambes pour qu’il la pénètre plus profondément. Julien accélère les mouvements faisant gémir Florence qui a lâché le sexe de Vincent. Il en profite pour prendre la place de son copain. Florence n’a jamais connu ça et jouit bruyamment. Elle est prête à subir leurs assauts tant qu’ils pourront la satisfaire. Vincent la retourne et à genou, elle se fait prendre en levrette. Elle est foudroyée par un orgasme lorsqu’elle voit Seb s’introduire délicatement entre les fesses de sa fille. Elle pousse un petit cri lorsqu’un doigt pénètre son p’tit trou. Elle est dans un tel état d’excitation et les idées embuées par l’effet du joint et de l’alcool qu’elle le laisse la dilater. Elle a offert sa virginité anale à son mari lors de sa nuit de noce et pratique très rarement cette pratique. La voyant bien disposé, Vincent se présente et s’enfonce lentement entre les fesses de Florence. Après l’avoir laisser s’habi à son sexe, il commence à bouger en accélérant ses va-et vient. Florence jouit de cette pénétration. Vincent la fit pivoter de telle sorte qu’elle soit assise sur lui, lui tournant le dos. Elle comprit la manœuvre lorsque Julien vint entre ses jambes. Il la regarda droit dans les yeux et les voyant remplis de désir s’introduit dans son sexe. Elle était prise des deux côtés et en jouit comme jamais elle avait joui. Elle eut un dernier orgasme lorsqu’ils éjaculèrent en elle.
Ils étaient à nouveau tous les cinq assis dans les canapés mais nus cette fois. Seb fit à nouveau tourner un join pour ne pas laisser échapper la magie de cette soirée.
- Bon Seb et moi allons-nous coucher. Les garçons vous dormez sur le canapé à moins que maman vous offre son lit.

- Ah non, pas dans le lit conjugal. Vous vous rendez compte, j’ai trompé mon mari.
- De toute façon, on va rentrer, nos nanas nous attendent.
La vie a repris son rythme habituel et ni Florence ni Laure n’ont jamais évoqué cette soirée.

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