La Fille De Mes Amis - Suite

Marion est allongée, offerte aux caresses de mes grandes paluches et de ma bouche. Elle ne fait rien pour cacher ses deux superbes globes, mais pose pudiquement ses mains sur sa jeune chatte. Je saisis ses seins à pleines mains, et les pelote comme si j'en voyais pour la première fois:
- Ces obus que tu as! Je te jure, je n'ai jamais rien vu d'aussi beau, d'aussi bandant, d'aussi alléchant.
Et pour valider mes derniers mots, mes lèvres se posent sur sa poitrine. J'embrasse ses boites à lolo démesurées, et ma main glisse sur son ventre jusqu'à son intimité. Elle retire ses mains et me laisse ouvrir ses cuisses pour la fouiller. Je retire mes doigts et les essuie sur ses nichons pour les napper de sa crème:
- Salope! Tu m'as dis que tu dégoulinais, mais je ne croyais que c'était à ce point. Elle sent bon ta mouille, j'espère qu'elle aussi bonne à bouffer qu'à renifler.
Sur ce je lèche ses gros nibars, les suce, les gobe, et la refouille pour la recouvrir à nouveau:
- Tu m'as dis que j'étais une salope qui aimais le sperme, mais toi tu es un porc qui aime le
jus de choune. Elle te plait ma mouille , salaud, lèche moi, bouffe ma chatte de jeune pute. Je vais être ta fontaine, et crois moi qu'elle n'est jamais tarie.
- Tu as raison salope, écarte bien les jambes que je me vautre la gueule dans ta putain d'huître.
Je m'agenouille au bout du canapé, et je plonge entre ses grosses cuisses qu'elle referme sur moi pour m'enserrer dans son étau de chair:
- Ca t'as plu de me faire avaler ton sperme, mais maintenant c'est moi qui vais te faire boire ma cyprine délicieuse. Et tu vas voir que je suis bien plus généreuse que toi. J'espère que tu as soif, gros porc vicieux.
Slup, slluppp, ssluuup, je me désaltère à sa source avec des bruits dignes d'un porno, pour qu'elle soit sûre de mon plaisir, et l'inviter à couler encore. Elle jouis comme une folle, d'autant qu'elle s'astique le clitoris, tandis que je suce ses lèvres et lèche son vagin.

Elle est épuisée et ses cuisses s'ouvrent pour me libérer. Je me relève et je trique comme un âne.
- Lève toi ma chérie, j'ai envie de baiser.
- Attends deux minutes, que je récupère.
- Non, j'ai trop envie de toi. Regarde dans quel état tu me mets la queue. Lève toi, on va faire un petit câlin avant de passer aux choses sérieuses.
On est debout, derrière le canapé, On est face à face, je la prends par les hanches et lui fais faire un quart de tour. Je plaque une main sur sa vulve, une sur ses fesses, et lui demande de se saisir de ma queue. Je doigte sa chatte, excite son bouton, caresse ses miches, tandis qu'elle me branle le manche:
- Hummm, c'est bon de se caresser salope. Tu as un corps de rêve.
- Et toi tu as une grosse queue bien chaude. Je la veux entre les cuisses.
- Mais avec plaisir. Tu la veux dans la chatte ou dans le cul?
- Dans le cul? Mais ça ne va pas non, même pas en rêve.
- Tu n'aimes pas ça? Tu ne t'es jamais faite enculer?
- Non, c'est un truc pour les homos.
Je n'insiste pas et lui demande de se mettre en place pour pénétrer sa chatte, après l'avoir assurer de ne pas jouir dans son ventre pour ne pas la foutre en cloque. Elle pose un pied sur le dessus du canapé, se penche légèrement en avant, et s'offre à moi pour une bonne levrette.
Je la pénètre avec délice, elle est chaude et huilée à souhait. Je sais que je vais la tringler un bon moment avant de rejouir, je sais à l'entendre gémir, jouir, m'encourager, qu'elle apprécie:
- Oh, Marion, tu es trop bonne! Tu as raison, je suis un vieux porc qui baise la fille de ses amis, et je n'ai aucun scrupule à le faire. Je tringle leur putain de fille et j'aime ça; et à voir combien tu mouilles je sais que tu aimes ça toi aussi. Ose dire le contraire, petite catin.
-Tu es un salaud, mais tu as raison. Elle me rend folle ta bite, j'ai ma minette qui bave comme jamais elle ne l'a fait. Oh putain que c'est bon, tu me baises trop bien.

- Et si tu la voulais dans le cul, tu verrais que c'est au moins aussi bon.
Elle ne répond pas, repart dans ses soupirs et gémissements, et j'enchaîne pour lui vanter les bienfaits de l'anal. Je lui explique que loin d'être un truc d'homos, il y a de plus en plus de femmes qui pratiquent la sodomie et qui ne jurent plus que par ça. Je lui explique aussi que pour de nombreuses d'entre elles c'est une voie de salut: je parle des salopes qui en ont tellement pris dans la chatte, qu'elle l'ont trop large, et ne ressentent plus grand chose. Il n'y a que grâce aux pénétrations anales qu'elles peuvent à nouveau jouir pleinement.
Je la lime toujours, bien profond, à grands coups de reins, et elle m'invite à lui en mettre, encore et encore. Je vais bientôt jouir et me retire tant qu'il est temps..
Je m'allonge par terre, sur le dos, et demande à Marion de venir sur moi en 69. Elle ne se le fait pas dire deux fois, et j'ai aussitôt sa chatte sur ma gueule, tandis que je sens ma queue disparaitre dans sa bouche. J'ai une vue imprenable sur sa vulve charnue, sa fente ouverte et luisante, et je sais qu'elle doit mater ma bite et mes couilles en salivant de désir. Elle me turlutte goulument, et je dévore sa moule avec le même appétit. Je tête son bouton, lèche sa fente, et ose quelques prolongations entre ses fesses sans qu'elle ne fasse rien pour m'en dissuader.
On se dévore l'un l'autre, puis voyant l'émission qu'on est sensé regarder arriver à la fin, on s'active, on se déchaine, pour se faire jouir l'un dans l'autre. Je jouis pour la deuxième fois, tandis qu'elle enchaine son Xième orgasme. On se boit, on s'avale, pour tout se donner et tout se prendre. Elle se relève et va à la salle de bain.
Elle s'est rhabillée, et on a encore quelques minutes pour discuter:
- Marion, ma chérie, tu es trop géniale. J'espère qu'on remettra ça, mais il ne faut rien dire à tes parents, même si tu es majeure.
- Merci, tu es super toi aussi. Et si tu veux que je ne dise rien à maman, et surtout à papa, il faudra que l'on remette ça, que tu me baises encore, que tu me donnes ta grosse queue, ton sperme.

- Petite salope, quand tu veux. Tu as une bouche et une chatte des plus accueillante, et j'ai idée que ton cul doit l'être autant.
- Quand tu as une idée, tu ne lâches pas!
- Non, surtout quand je sais qu'elle est bonne. Ca a eu l'air de te plaire ma langue qui explorait ta raie?
- Humm, c'était pas désagréable.
- Tu veux dire que tu as aimé ça, petite salope. Je suppose que tu te branles, comme moi; tu ne t'es jamais visité le fion?
- Salaud, oui je me branle comme toi, sous la douche et je me fais du bien avec la pomme, moins efficace que ta grosse queue de taureau. Mais le cul, non, je n'ai jamais essayé.
- Tu devrais, j'aimerais que tu en aies envie, j'aimerais t'enculer avant la fin de ces vacances. Penses-y, et si tu reviens, offre moi ton petit trou à dépuceler.
- Je reviens demain, pas de souci. Mais pour mon cul, ne rêve pas trop, je ne le sens pas.
Sur ce elle va repartir chez elle. On se félicite encore pour ce bon moment de plaisir, et on échange un petit baiser du bout des lèvres.
Je vais me coucher et ai du mal à m'endormir. J'ai trois choses qui hantent mon esprit: son cul, son cul, et encore son cul. J'espère qu'elle y songe elle aussi.
A suivre..............................

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