Maman A Toujours Raison - Première Partie

MAMAN A TOUJOURS RAISON- Première partie

Au moins il ne pleuvait pas beaucoup. La petite pluie fine ne ferait pas rétrécir la jupe serrée de Lison quand elle sècherait. Eva regarda sa fille qui était assise sur le siège avant. Si on pouvait mesurer la pression d’un vêtement sur la chair comme on le fait pour les tremblements de terre, celle-ci serait un 9. Lison se tortillait sur son siège alors que la voiture quittait les rues de la ville pour s’engager sur l’autoroute.
“Ma jupe est tellement serrée que mes jambes sont tombées endormies.”, protesta Lison.
“Souffre encore quelques minutes et tu pourras enlever ta jupe je te promets », rassura Eva.
“Qu’est-ce qu’on fait si elle ne m’aime pas ? », demanda Lison.
“Ah tu es sotte…bien sûr qu’elle va t’aimer”, répondit Eva regardant sa fille avec amour.

En vérité, Eva n’était pas certaine que Sandrine allait aimer sa fille. La pauvre Lison était loin d’être une beauté. Ce n’était pas qu’elle était laide ou grosse ou déformée mais elle était si ordinaire qu’on en pleurerait. Ses lunettes épaisses lui couvraient presque tout le visage et ses cheveux étaient courts et frisés, sans vie aucune. Elle avait de gros nichons mais ils commençaient déjà à s’affaisser et à 18 ans ça ne regardait pas bien pour l’avenir. Ses fesses étaient normales mais encore rien de palpitant. Les garçons avaient toujours évité Lison qui, heureusement ou non, avait très tôt dans sa vie, exprimé plus d’attirance pour les filles. Sa sortie du placard n’avait pas du tout attristé Eva puisqu’elle-même s’était tournée vers les femmes après son divorce. Les filles avaient également évité Lison sauf pour Sandrine, la fille d’Hélène, qui était nouvelle en ville et étudiait à la même école. En vérité, Sandrine n’avait qu’aperçu Lison à l’école et sa mère ne lui avait montré qu’une vieille photo. Elle avait quand même exprimé un certain intérêt pour une rencontre.
De son côté, Hélène faisait aussi un gros effort parce que sa Sandrine n’était pas non plus Miss Monde.

Elle était plus jolie que Lison, ce qui n’était pas difficile, avec des pommettes saillantes mais son nez était trop long et ses longs cheveux noirs étaient souvent sans vie ou en bataille. Elle avait de petits seins qui devenaient invisibles quand elle enfilait sa chemise à carreaux préférée. Son cul était petit et étroit, comme celui d’un homme. Elle aimait les sports et était plutôt un garçon manqué. Hélène l’avait surprise à regarder une revue de filles nues et ça l’avait convaincue que sa petite Sandrine était lesbienne. Comme Eva, Hélène était en territoire connu, ayant décidé même durant son court mariage, qu’elle préférait sucer un clito qu’une queue.
Eva avait rencontré Hélène durant une fête pour mères célibataires et elles avaient sympathisé (si on peut appeler ça comme ça). Les deux mères étaient beaucoup plus belles que leur fille. Eva était brune, courte et un peu ronde, avec de beaux nichons et un cul à faire saliver n’importe qui. Hélène était tout à fait l’inverse : une grande blonde avec de petits seins comme sa fille et un cul petit mais ferme et rond. Comme sa fille, Hélène était plutôt portée à être dominante. Eva avait été surprise de constater que plusieurs mères célibataires étaient en fait des lesbiennes. Ces réunions de femmes étaient tout simplement des occasions de faire des rencontres pour la baise. Après la fête, Hélène et Eva, chacune avec leur voiture, s’étaient rendues dans un quartier d’entrepôts, s’étaient stationnées côte à côte et baisées dans la voiture d’Eva. Pendant qu’elles se rhabillaient, les deux femmes parlèrent de leur fille et de la difficulté qu’elles avaient à leur trouver une petite amie. C’est Hélène qui pensa à les rassembler.
“On verra ce que ça donnera”, avait dit Hélène.
“Et s’il y a une étincelle ?”, demanda Eva.
“On laissera le feu bruler”, répondit Hélène, tâtant le beau cul d’Eva, à travers sa jupe.
“Et on se fera plaisir en regardant le spectacle”, ajouta Eva, pressant la main d’Hélène sur sa jupe.

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La voiture d’Eva s’arrêta dans l’entrée de la petite maison. Lison réussit à sortir de la voiture sans déchirer sa jupe. Eva avait défait le premier bouton du chemisier de sa fille avant leur arrivée. Le dessus des gros nichons était assez visible. Eva vérifia le rouge à lèvres de Lison une dernière fois et retoucha son maquillage. Hélène les accueillit toutes les deux à la porte. Les deux mères se firent la bise pendant que Lison roulait des yeux. Espérant exciter sa fille, Eva avait mis Lison au courant de sa relation avec Hélène. Lison s’était masturbée et Eva l’avait laisser faire.
Sandrine était déjà installée sur le divan. Elle se leva comme un ressort quand les femmes entrèrent.
“Salut”, dit-elle en serrant la main de Lison.
“Salut”, répondit Lison.
“Bon…maintenant que la glace est rompue, on va laisser les filles faire plus ample connaissance.”, dit Hélène dont le cœur battait à tout rompre.
Hélène et Eva occupaient les extrémités du divan, laissant le milieu aux deux filles.
Hélène avait placé quelques revues porno de lesbiennes sur la table à café.
“Tu as de gros nichons”, dit soudainement Sandrine qui en avait plein les yeux.
“Sandrine !”, cria sa mère.
“Quoi ?…elle en a de gros, et puis quoi ? ”, répondit Sandrine sur le même ton en se tournant vers sa mère.
“Tu dois être plus …plus subtile. chérie”, expliqua Hélène.
“Merci”, répondit Lison avec un sourire.”Tu as de petits nichons mais je suis certaine qu’ils sont très beaux. »
“Tu veux les voir ?”, demanda Sandrine.
“Bien sûr ”, répondit Lison , le visage ébloui.
Hélène et Eva haussèrent les sourcils en se regardant. Ça promettait.
Sandrine enleva sa chemise à carreaux qu’elle avait insisté pour porter, et montra ses petits nichons pointus à Lison.
“Ouf ! très beaux”, dit Lison en regardant les tétines en érection, qui avaient probablement l’air plus grosses vues à travers des lunettes épaisses.
“Demande lui si tu peux les toucher”, Eva chuchota à l’oreille de sa fille.
“Est-ce que je peux les toucher ?”, répéta Lison.
“Bien sûr…si je peux toucher les tiens”, répondit Sandrine, au grand plaisir des deux mères.
Lison déboutonna son chemisier et ses gros nichons libres s’exposèrent sous le regard de Sandrine.
Hélène mit doucement sa main derrière la tête de sa fille et la poussa lentement vers les seins.
“Ne faut-il pas que je demande la permission avant ? », dit Sandrine regardant sa mère.
“Non…non…tu n’as pas besoin”, Eva et Hélène répondirent à l’unisson.
Lison ferma les yeux quand Sandrine embrassa ses tétines qui durcissaient à vue d’œil.
Ensuite Sandrine commença à les sucer puis s’arrêta. Elle regarda Lison qui venait d’ouvrir les yeux.
“Tu veux baiser ?”, demanda Sandrine brutalement.
“SANDRINE !!!!”, cria Hélène
“QUOI ?”, répondit Sandrine en criant elle aussi
“OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII”, cria Lison, à la surprise générale.
Les deux jeunes filles se heurtèrent avec une telle passion que le choc força les mères à quitter le divan et à se mettre à l’abri à quelques mètres de l’action.
Sandrine avait monté Lison et les deux filles s’embrassaient à pleine bouche. Le visage de Sandrine était déjà recouvert de rouge à lèvres. Les têtes se frappèrent quand elles voulurent se sucer les nichons. Lison enleva ses lunettes et se mit une tige dans l’œil. Sandrine se leva et lança ses sandales avec ses pieds dans un coin pendant que Lison laissait ses talons hauts sur le tapis. Sandrine avait enlevé ses jeans et se tenait déjà debout en string devant Lison. Lison avait baissé la fermeture éclair de sa jupe mais avait de la difficulté à en sortir. Eva lui porta secours et s’agenouilla derrière elle pour l’aider. Lison tenta de donner un coup de pied au vêtement qui était tombé autour de ses chevilles mais elle trébucha et tomba sur le divan. On se serait cru dans un mauvais vaudeville. Eva ramassa le vêtement et fit une boule qu’elle plaça en lieu sûr et rejoignit Hélène dans un coin du salon. Les deux mères avaient les yeux fixés sur leur fille. Les deux filles étaient debout à un mètre l’une de l’autre. Lison commença à jouer avec ses nichons et envisageait Sandrine. Sandrine baissa son string quelque peu et montra à Lison le dessus de son triangle poilu. Lison se lécha les babines puis se retourna, baissa son string complètement et se pencha pour montrer son cul à Sandrine. Les deux filles s’envoyaient des baisers.
“Elles sont adorables”, dit Eva
“Oui elles le sont…Lison a vraiment de belles fesses”, répondit Hélène avec un sourire cochon.
“Merci…et Sandrine a vraiment un triangle bien fourni…oh là là…oh là là », soupira Eva
“Hé ”, dit Hélène en fronçant les sourcils, “tu parles de ma fille”.
“Ok..ok…”, répondit Eva tout doucement, “Je disais ça comme ça”.
Les deux filles étaient nues maintenant et se tenaient debout face à face : Lison la grassouillette avec ses gros nichons et le beau cul et la grande mince Sandrine avec son cul étroit et sa toison noire bien fournie.
“Je dois aller pisser”, annonça Sandrine, se tournant vers sa mère.
“Mon Dieux Sandrine”, cria Hélène, “Je t’ai dit d’y aller avant l’arrivée de Lison »
“Je sais et je l’ai fait…mais j’ai encore envie”, répondit Sandrine presqu’en larmes.
“Pas de problème…”, rassura Eva qui donna un coup de coude à Hélène.
Soudain Hélène comprit ce qu’Eva avait derrière la tête quand elle escorta les deux filles aux toilettes.
Sandrine était prête à s’asseoir sur le siège de toilette mais sa mère la conduisit plutôt vers le bain où elle lui dit de se tenir debout. À son tour, Eva poussa délicatement Lison vers le bain.
“Elles vont savoir quoi faire”, dit Eva en fermant la porte de la salle de bain derrière elles.
“Tu ne m’as jamais dit que tu étais amateur de jeux d’eau”, dit Hélène souriante
“Eh bien..maintenant tu sais…tu ne l’avais jamais demandé”, répondit Eva en rougissant.
“Je suis contente de te l’avoir demandé”, dit Hélène posant sa main entre les jambes d’Eva à travers sa jupe.
“Shhhh…”, dit Eva, enlevant la main d’Hélène de sa jupe, “..pas maintenant”.
“D’accord…mais plus tard…peut-être…toi et moi dans le bain ?”, demanda Hélène .
Eva commençait à sentir sa chatte qui mouillait après cette conversation mais elle reprit ses esprits.
“Plus tard..peut-être…mais concentrons-nous sur les filles pour le moment”, dit Eva à son amoureuse.
“Les filles sont en train de se pisser dessus”, dit Hélène qui aimait parler cochon.
“Je suis certaine que c’est ça qu’elles font”, dit Eva qui devenait de plus en plus excitée.
Tout à coup, la porte s’ouvrit et Sandrine and Lison sortirent de la salle de toilette en se séchant avec une serviette.

Les deux filles se dirigèrent vers le milieu du salon, la respiration déjà saccadée. On pouvait voir le niveau d’excitation dans leurs yeux et que la séance dans les toilettes avait été profitable. Lison ouvrit ses lèvres avec ses doigts et fit des signes à son amie avec sa bouche qui ne laissaient aucun doute sur sa demande. Sandrine ne pouvait résister à cette invitation et se mit à genoux devant Lison. Elle débuta par passer son long nez de haut en bas dans la fente de Lison qui ferma les yeux et apprécia particulièrement le contact avec son clito.
Sandrine sortit la langue mais eut de la difficulté à traverser la toison épaisse de Lison. Lison l’aida en ouvrant ses lèvres comme elle l’avait fait auparavant. Hélène et Eva pouvaient voir la peau rose du vagin de Lison.
“Suce-la ma chérie”, encouragea Hélène, “bravo ma fille”.
Sandrine apprenait rapidement et avait déjà trouvé le clito en érection de Lison. Hélène s’approcha des deux filles et s’agenouilla à côté de Sandrine pour lui donner des instructions.
“Prends son clito avec tes lèvres et suce-le ”, conseilla Hélène
Sandrine s’exécuta et Lison gémit bruyamment. Sandrine s’arrêta soudain.
“Ne t’arrête pas….continue à sucer”, pressa Hélène
“Mais elle a joui…non ?”, demanda Sandrine innocemment.
“Non ..elle n’a pas joui…elle aime ça c’est tout”, répondit Hélène qui perdait patience.
Sandrine souda sa bouche sur le clito de Lison de nouveau et continua à sucer en faisant du bruit.
Hélène regarda Eva, qui avait enlevé son chemisier et sa jupe, et roula des yeux.
Lison mit ses mains derrière la tête de Sandrine comme si elle avait fait ça des centaines de fois. Ses yeux devenaient vitreux et sa respiration s’accélérait.
“Continue à la sucer…”, encouragea Hélène.
Sandrine, qui commençait à avoir mal à la mâchoire, changea de stratégie et lécha la fente de Lison de bas en haut puis se concentra de nouveau sur le clito. Hélène reconnaissait chez Lison les signes d’une imminente jouissance.
“Continue encore un moment”, suggéra Hélène à sa fille.
Finalement Lison jeta un cri et frotta sa chatte contre le visage de Sandrine. Elle ne gicla pas vraiment mais le visage de Sandrine était quand même recouvert de cyprine. Les jambes de Lison lâchèrent et elle s’écrasa sur le tapis. Eva se précipita à ses côtés.
“Tu as joui …n’est-ce pas ? ….oh ma belle petite chérie”, s’exclama Eva embrassant sa fille qui avait encore l’air complètement sonnée par son expérience.
Hélène donna un bisou sur la joue de sa fille pour la féliciter mais Eva soupçonnait qu’Hélène le faisait pour goûter à la cyprine de Lison. Sandrine rampa vers Lison et les deux mères reculèrent pour laisser le champ libre aux filles.
« Elles n’ont certainement pas dit leur dernier mot », dit Eva
« Elles vont se sauter dessus à nouveau », dit Hélène, « Ça va chauffer ».

A SUIVRE