Maman A Toujours Raison - Seconde Partie (Et Fin)

MAMAN A TOUJOURS RAISON – PARTIE 2
« Elles n’ont certainement pas dit leur dernier mot », dit Eva
« Elles vont se sauter dessus à nouveau », dit Hélène, « Ça va chauffer ».
Eva toucha la bouche d’Hélène et l’essuya avec ses doigts.
“Tu avais du liquide sur tes lèvres”, dit Eva
“Ah bon…?”, répondit Hélène qui avait l’air surprise
“Salope”, dit Eva, prenant un air menaçant, mais en même temps mettant la main aux fesses d’Hélène.
Eva portait seulement son soutien-gorge et son string. En voyant cela, Hélène enleva rapidement sa jupe et son chemisier and les deux femmes étaient sur le point de se prendre aux fesses, lorsqu’Hélène regarda du côté des filles et s’arrêta. Sandrine avait rampé jusque sur Lison et frottait sa chatte sur sa cuisse. Lison tentait d’ouvrir ses cuisses le plus possible pour accommoder les hanches de Sandrine. Elles se frappèrent la tête en tentant de s’embrasser. Leurs lèvres finirent par se fusionner au second essai.
“Je pense qu’elles veulent se baiser”, suggéra Eva
“Ça c’est ma fille, la petite garçonne”, ajouta Hélène, qui courut vers les deux filles qui tentaient de se monter.
Eva la rejoignit et les deux mères retirèrent rapidement leur soutien-gorge et leur string. Elles étaient debout tout près des filles --- nues comme elles --- qui s’embrassaient et se frottaient les deux corps l’un sur l’autre. Hélène s’agenouilla près de Lison et ouvrit ses cuisses avec ses mains tout en guidant les hanches de sa fille dans l’ouverture qu’elle venait de créer. Eva qui était à quatre pattes derrière Sandrine, avait mis ses deux mains sur les fesses de la jeune fille et la poussait vers la chatte poilue de sa fille. Lorsque Sandrine et Lison terminèrent leur baiser, la chatte d’Hélène survolait le visage de Lison pendant que ses petits nichons n’étaient qu’à quelques centimètres de la bouche de sa fille. Eva avait glissé sa main entre les cuisses de Sandrine et mesurait la distance entre la chatte de sa fille et celle de Sandrine.

Pendant un court moment, Eva et Hélène se regardèrent avec une telle excitation que leurs mains en tremblaient. Les corps de femelles nues, l’odeur de chattes mouillées, la sueur, la table était mise pour une baise entre lesbiennes. Les deux mères, leurs mains frôlant le corps de leur fille et de l’autre jeune fille, étaient comme dans une transe. Hélène plaça ses genoux de chaque côté de la tête de Lison et abaissa sa chatte sur le visage de Lison. Eva avait réussi à placer la chatte de Sandrine sur celle de Lison. Sa tête était appuyée sur l’intérieur de la cuisse de Sandrine et elle s’étira le cou jusqu’à ce que sa langue atteigne les lèvres enflées de la motte de Sandrine. À l’autre extrémité, Hélène ferma les yeux quand elle sentit la langue de Lison s’introduire entre les lèvres de son vagin. Faisant face à sa fille, Hélène lui prit le visage dans ses mains et lui donna des instructions.
“ Est-ce que tu sens son clito ?”, Hélène demanda à Sandrine
“Non…seulement sa fente.” répondit sa fille
Elle ramena Sandrine vers elle par les épaules.
“Maintenant pousse fort…le sens-tu maintenant ?…”, lui demanda sa mère, tentant de garder ses nichons le plus loin possible du visage de Sandrine.
“Oui.. je pense que je le sens…ah ! je l’ai perdu…non je l’ai retrouvé.. », balbutia Sandrine.
Son évaluation de la situation fut confirmée par Lison qui émit un gémissement sourd, son visage complètement aplati contre la chatte d’Hélène.
“Là tu te frottes contre elle lentement….BAISE-LA”, cria Hélène
Eva avait le meilleur point de vue et zieutait les deux jeunes chattes l’une sur l’autre.
“Baise-la….BAISE-LA”, cria également Eva qui continuait à lécher les lèvres roses de Sandrine.
Sandrine gémit bruyamment lorsque la langue d’Eva puis toucha la rondelle.
Eva releva la tête pendant qu’elle léchait le cul de Sandrine et son regard rencontra celui d’Hélène. Les deux mères avaient parti le bal en se tournant autour mais tout ça avait évolué et elles étaient impliquées dans une baise à quatre pour le moins compliquée.
Elles s’amusaient ferme. Hélène commençait à sentir son orgasme qui bourgeonnait mais elle était aussi certaine que Sandrine était près d’exploser. Les yeux de sa fille étaient très grand ouverts et ses petits nichons étaient pointus et en érection. Soudain les évènements se succédèrent: Sandrine gicla dans la chatte ouverte de Lison et Lison lui rendit la pareille, tout en ouvrant la bouche qui couvrit entièrement la chatte d’Hélène.
La rondelle de Sandrine se referma sur la langue d’Eva quand elle gicla. Eva se masturbait mais n’était pas encore près de l’orgasme. Hélène était presque là mais Lison ne la suçait plus depuis son orgasme. Toutes les femmes respiraient à pleins poumons and étaient couvertes de sueur et de cyprine. Les deux mères s’éloignèrent du jeune couple. Sandrine et Lison s’embrassaient et se faisaient des câlins après leur gros orgasme. Elle se murmuraient des choses à l’oreille que les femmes ne pouvaient entendre mais c’était possiblement au sujet de la giclée de Sandrine. Les deux mères regardèrent leur fille puis se regardèrent l’une l’autre. Elles s’étaient concentrées sur le plaisir des filles. Le résultat était que ni l’une ni l’autre n’avait réussi à jouir et ça les rendait particulièrement surexcitées.
“Tu t’es fait sucer la moule par ma fille, espère de salope”, cria Eva
“Je parie que tu aurais bien aimé être à ma place, n’est-ce pas ? “, répondit Hélène
“Toi même tu suçais à ton gout à l’autre bout…quelle moule as-tu sucée ou est-ce que tu les as sucés toutes les deux ?”, ajouta Hélène, qui avait l’avantage.
“J’ai sucé Sandrine…voilà…et je lui ai bouffe le cul”, répondit Eva en faisant un “O” avec ses doigts et imitant l’action qu’on devine.
Hélène regardait Eva et faisait des mouvements avec ses hanches. Eva ouvrit ses lèvres et lui montra son clito en érection.
“Je te pénètre avec mon clito”, ronronna Eva.
“Mon clito va faire plier le tien . Meowwww”, répondit Hélène, ouvrant ses lèvres à son tour.

“Tu veux baiser, sale gouine ?”, cria Eva
“Allons-y suceuse de cul “, cria Hélène, en frottant rapidement sa chatte poilue.
Sandrine et Lison avaient les yeux fixé sur le couple qui se comportait comme de vulgaires trainées et s’invitait à une ronde de sexe lesbien.
“Allez maman, baise-la”, cria Sandrine, applaudissant à tout rompre
“Mange-lui le cul maman…”, s’écria Lison, jetant ses bras autour du cou de son amoureuse et l’embrassant.
“Bon Dieu…je ne pensais jamais voir ça”, chuchota Sandrine dans l’oreille de Lison.
“Moi non plus..ça va être toute une baise !”, répondit Lison
Les deux filles ne furent pas déçues. Les lesbiennes mûres se prirent à bras le corps au milieu de la pièce, les bouches barbouillant les visages de rouge à lèvres, les nichons aplatis les uns contre les autres, les ventres se frottant et les mains remplies des fesses molles.
Hélène fit trébucher Eva au plancher et les filles se levèrent pour voir leur mère dans un enchevêtrement de jambes, de bras, de nichons et de fesses. Les bouches suçaient tout ce qui sentait bon, les doigts entraient dans les orifices, la peau frottait contre la peau, la sueur et la cyprine se mêlaient. Hélène réussit à placer sa tête entre les fesses d’Eva pendant qu’Eva tentait de manger le triangle poilu de la blonde. Après quelques minutes, les deux femmes s’étaient placées dans un parfait 69 sur le côté, se suçant à pleine bouche.
Lison était à genoux à une extrémité regardant sa mère léchant la fente d’Hélène pendant que Sandrine était à l’autre bout, son visage à quelques centimètres de celui d’Hélène qui pistonnait le trou de chatte d’Eva avec sa langue. Lison ne put s’empêcher de caresser les fesses d’Hélène puis, excitée par le spectacle de sa mère suçant une autre femme, enfouit son visage dans la raie étroite des fesses d’Hélène. Ne voulant pas être exclue de l’action, Sandrine plongea son nez entre les grosses fesses d’Eva et le frotta contre sa rondelle.
Quand les deux mères commencèrent à frotter leurs hanches contre la bouche de leur amoureuse et à émettre des plaintes d’animal blessé, les filles les laissèrent terminer leur orgasme en tout tranquillité. Lison rejoignit Sandrine et elles attendirent patiemment sur le tapis que les deux lesbiennes matures terminent de se sucer à sec et qu’elles reviennent à une respiration régulière. Hélène se releva, puis ce fut au tour d’Eva. Les deux filles regardaient leurs mères super-excitées, couvertes de sueur et de cyprine, se tournaient autour, la salive tombant goutte à goutte de leur bouche.
“Elles vont se la frotter…quel spectacle !”, chuchota Sandrine qui glissa sa main entre les cuisses rondes de Lison.
“Ta mère va baiser ma mère”, répondit Lison, posait ses doigts sur la chatte mouillée de Sandrine.
Eva et Hélène s’enlacèrent comme au début, au milieu de la pièce, et s’embrassèrent mêlant leur salive et les reste de cyprine. Hélène prit Eva par les fesses et tenta de la soulever. Le couple perdit pied et Eva tomba au plancher avec un bruit sourd. Hélène sauta sur sa proie pendant qu’Eva ouvrait les cuisses le plus possible. Les deux lesbiennes expérimentées trouvèrent immédiatement la position parfaite qui leur permettait de se frotter leur motte poilue, clito contre clito. Les filles se masturbaient l’une l’autre avec entrain, ébahies de voir les mères commencer à se frotter l’une contre l’autre aussi rapidement (pendant qu’elles-mêmes avaient pris une éternité à trouver la bonne position). La raie des fesses d’Hélène s’ouvrait et se refermait, ses muscles en mouvement poussant sa motte contre celle d’Eva. Les filles ne pouvaient voir leur visage mais elles devaient s’embrasser.
“Ta mère est la dominante”, dit Lison, “tout comme toi”.
“Ta mère est sa soumise”, répondit Sandrine
Les deux mères continuèrent à se frotter pendant quelques minutes, modifiant leur position de temps en temps pour permettre aux clitos de bien se toucher, se disant des mots cochons, et jouissant à répétition. Les mères éventuellement s’immobilisèrent dans un amas de chair nue, les deux filles fermèrent les yeux quelques instants se délectant elles aussi de leur orgasme mutuel.
Il fallut quelques minutes aux deux filles pour séparer les deux corps qui semblaient sans vie. Lison se glissa sous le long corps nu de la grande blonde tandis que Sandrine monta le corps grassouillet de la brune couverte de cyprine.
En repensant au début de leur rencontre, les deux filles étaient certainement d’accord que « maman a toujours raison ».
FIN

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