Le Lendemain

Salut c’est de nouveau Bob. Je ne résiste pas à vous faire partager la suite de notre trio avec Olivier. Je vous laisse lire et savourer. J’espère que cela vous plaira. A bientôt.
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Lorsqu’au petit matin nous nous réveillons, il faisait déjà jour. Il devait être dans les 9 heures à l’horloge de la ville. Nous allumâmes la télévision pour voir les actualités du matin sur une chaine d’information en continue que nous regardâmes régulièrement, et nous prîmes notre petit-déjeuner tous les trois devant la télévision. Ma chérie était la dernière à se lever. J’étais le premier. Olivier me suivait de peu :
- Bien dormi, lui demandai-je ?
- Oui bien dormi, me répondit-il, la tête dans le coaltar. J’ai un mal de crâne.
- Tu veux un aspirine ?
- Non, ça ira. Un bon bol de céréales, et ça ira mieux, ajouta-t-il.
Olivier fouilla dans les tiroirs et les placards de la cuisine, comme s’il était chez lui.
- Les petites cuillères sont dans le tiroir du bas, précisai-je.
Olivier sortit un bol, des céréales et une cuillère. Je le regardai en buvant mon café.
- Ça va, pas trop dure ? me dit-il.
- De quoi du parles ? lui répondis-je.
- D’hier. On a baisé ta femme tous les deux en même temps. Tu t’en souviens plus ? ajouta-t-il sur le ton de la plaisanterie.
- Ah ! non ! m’exclamai-je, rassuré. « Non, t’inquiètes pas pour ça. C’est à elle qui faudra demander ça ».
Virginie se leva à cet instant, les cheveux ébouriffés, revêtue d’une simple nuisette. Elle était belle le matin même, à peine réveillée, abasourdie. Elle nous salua en nous embrassant l’un et l’autre :
- Bien dormis, les garçons ? fit-elle.
« Oui, Oui » répondit-on en chœur, Olivier et moi-même.
Nous prîmes ensuite le déjeuner dans le silence, à regarder la télévision. Nous étions tous un peu dans le coaltar et avions du mal à émerger. J’observais toutefois qu’Olivier et ma chérie avaient plus de mal que moi à se réveiller complétement.

La suite de la matinée me fit comprendre pourquoi.

Sans dire un mot de plus, ma chérie, exténuée, vannée, alla se doucher. Elle en revint plus en forme, comme revivifiée. Olivier pendant ce temps avait rassemblé ses affaires et préféra prendre une douche chez lui. Il nous quitta vers les dix heures du matin et ma chérie et moi restions ensemble à flâner dans l’appartement.
C’est là, à ce moment-là, peu après, que je lui demandai comment s’est passé sa nuit :
« Je t’ai entendu refaire l’amour avec Olivier cette nuit ? » précisai-je.
Virginie n’était pas étonnée : nous étions tous les trois à dormir dans le même lit ; ment si l’un fit du bruit, l’autre l’entendit. Elle n’était donc pas totalement endormie cette nuit-là à cet instant et avait pleinement conscience qu’Olivier la besognait dur jusqu’à jouir en elle.
« J’ai vu aussi que tu n’étais plus couchée vers les quatre du matin. Olivier non plus », ajoutai-je.
Virginie sentait que je devenais insistant ; mais elle ne voulait pas entrer dans ce jeu-là et moi non plus. D’emblée, elle me raconta tout, dans les moindres détails pour que je n’ai pas à la questionner davantage. Son récit porta ses fruits : sitôt qu’elle eut terminé, je ne lui posai plus de questions. J’étais satisfait.
« Ça ta plu ? » ajoutai-je quand même.
« Énormément », me dit-elle.
« Ok », fis-je. « Va chercher tes bas et tes escarpins ».
Virginie me regarda interloquée.
« Va chercher tes bas et tes escarpins », lui répétai-je pour qu’elle réagisse vite.

La belle s’en alla mettre ses bas et ses escarpins qu’elle avait rangés délicatement dans la chambre. Elle en revint dans la même tenue que la veille au soir, disons lorsqu’elle était seule en galante compagnie vers les quatre heures du matin.
« Viens par ici », lui dis-je.
J’attrapai ma belle par les hanches, comme le lui fit Olivier dans la description qu’elle me fit de son récit, et la poussa brusquement mais sans violence vers le canapé.

« Maintenant, tu vas te mettre à genou sur le canapé », lui dis-je.
La belle me regarda, sans broncher. Je ne sais pas si elle en avait envie vraiment, mais elle s’exécuta sans rechigner, se mit à genou sur le canapé, à quatre pattes, de profil vers moi et les bras appuyés sur l’accoudoir en tissu du canapé. Je la regardai : elle était belle avec ses escarpins et ses bas de couleur blanche. Curieusement, elle s’était saisie d’un porte-jarretelles, le seul dans sa garde-robe et se l’était enfilée avant de revenir de la chambre.

Inutile de vous dire la suite des événements. J’ai pris ma belle en levrette sur le canapé, non sans la ménager. Je m’agrippais, à ses hanches, au canapé, à son porte-jarretelles, tout ce que je pouvais trouver. La belle croisait les jambes, à genoux sur le canapé, en levrette ; Je m’activai comme un fou.
J’ai cru un moment qu’elle s’était endormie par ce que sa tête reposait sur l’accoudoir. Je la regardais mais continua de la prendre de plus belle jusqu’à jouir en elle. Je venais de réaliser seulement à cet instant-là que ma belle venait en l’espace de quelques heures, de se prendre une double dose de foutre chaud dans la chatte, celui d’Olivier et le mien.
La suite de la journée a été plus calme. Nous sommes sortis l’après-midi marcher dans les rues de la ville et près du château. Il faisait beau, un peu froid, mais beau tout de même. Nous marchions en amoureux. Nous étions heureux

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