La Vie Sexuelle De Fabienne

Le jour n’est pas levé et Fabienne se réveille. Couchée à côté de son mari, elle se dit qu’elle a réussi sa vie. Un mari qu’elle aime toujours, deux beaux s et depuis 3 ans deux petits s. Elle va avoir 60 ans cette année et la retraite va lui permettre de s’occupait d’eux. Mais c’est autre chose qui l’a réveillé si tôt. Son rêve lui revient peu à peu. Elle décide de se lever. Elle se fait un café et se met devant son ordi pour écrire son rêve qui lui revient peu à peu. C’est sa vie amoureuse qui se dévoile petit à petit.
En 1976, j’ai seize ans et un petit ami depuis quelques mois. Je parlais ouvertement avec ma mère des relations avec Pierre, mon copain de l’époque et de mes envies sexuelles. Il faut dire que nos rapports étaient basés sur des attouchements, des caresses à même la peau. Pierre aimait me caresser les seins, me les embrasser mais aussi titiller mon clitoris et caresser men sexe sans y pénétrer. Moi, j’adorais m’occuper de son sexe, le sentir grossir dans ma main et souvent, ça finissait en fellation. Nos besoins se sont intensifiés et Pierre a commencé à insérer un doigt dans mon sexe en mordillant mon clitoris. De mon côté, je n’avais pas beaucoup de solution si ce n’est de lui faire des fellations de plus en plus longues. Je n’ai jamais réussi à le prendre entièrement en bouche. Puis un jour, pendant la fellation, il m’a tenu la tête et au moment d’éjaculer, il m’a empêché de me retirer et j’ai senti des giclés chaudes dan ma bouche. La première fois, je me suis dégagé et j’ai craché. La deuxième fois, je lui retirer les mains sur ma tête et me suis appliqué à l’emmener à l’orgasme. Lorsque j’ai senti son sperme se déverser dans ma bouche, je l’ai pris plus profondément et le liquide s’est répandu au fond de ma gorge et j’ai tous avalé.
La libération sexuelle étant encore dans toutes les têtes, ma mère me fit prendre la pilule. J’ai attendu un cycle complet avant de lui offrir ma virginité. Il a été très doux et je n’ai pas senti de douleur lors de la déchirure de l’hymen.

Par la suite, il était plus sauvage et ses pénétrations étaient plus longue et plus profonde. Ce que j’aimais le plus c’est la sensation lorsqu’il se vider en moi. Puis, il s’est libéré sexuellement et aimait me prendre en levrette, moi aussi d’ailleurs. Mais il avait une idée derrière la tête. Il n’était pas rare qu’il s’occupe de mon anus. J’ai accepté un doigt car ensuite ça me faisait mal. Mais il a insisté et, ce jour-là, il m’a fait mal en y introduisant un deuxième doigt. Mais il ne s’est pas arrêté et m’a sodomisé. J’ai hurlé et me suis échappé. C’est ce jour l’a que je l’ai quitté.
Il a fallu beaucoup de patience, de persévérance et plusieurs moi à mon mari pour me faire accepter et apprécier la sodomie.
C’était l’époque des boums et c’est là que j’ai eu quelques petits copains. Il ne fallait pas plus d’une semaine pour que je leur fasse une fellation, souvent complète et que je les laisse me pénétrer. Puis j’ai grandi et des boums, nous sommes passés aux discothèques.
En 1981, Nous étions un groupe de 3 copines et j’étais la seule à avoir un petit ami. C’était le seul à avoir une voiture et il était fier d’entrer en discothèque accompagné de trois filles sexy. Un soir, nous avions mis toutes 3 des robes courtes sexy. C’était les mêmes mais de couleurs différentes.
Après un tour sur la piste de danse, nous nous sommes assises pour nous rafraichir. Mon copain ne dansait pas, il surveillait tous nos faits et gestes et déjà les premiers reproches à mon encontre. Il estimait que l’on devinait ma culotte sous les lumières noires. Nous avions juste envie de nous amuser. Mes copines, qui n’aimaient pas mon copain, m’entrainèrent de nouveau sur la piste. Des garçons qui nous avaient repéré, vinrent se coller à nous. Pour provoquer mon copain, j’ai cambré mes fesses pour se frotter contre la bosse du garçon derrière moi. Je l’ai laissé me prendre par la taille. Mon copain a surgi, m’attrapant par le bras pour me faire sortir de la piste. Par un geste brusque, je me suis dégagé et lui dit de me laisser m’amuser.
Il a pris sa veste et c’est dirigé vers la sortie. Lorsque j’ai voulu le rattr, le garçon m’a ressaisi par la taille et m’a serré davantage. Et puis tant pis pour lui et j’ai continué mon jeu de séduction. Comme j’étais resté, le garçon s’est enhardi. Il a fait glisser une main le long de ma cuisse pour la remonter sous ma jupe. Le disque changea et j’en profita pour me dégager et retourner m’assoir. Mes copines m’ont rejoint.
- Il est parti ce con ?
- Oui, il n’a pas compris que je ne faisais que l’allumer.
- Ben maintenant, on est dans la merde, c’est lui qui nous a emmené.
- On va bien trouver quelqu’un pour nous ramener.
- Cocotte, t’es naïve. Si un mec nous ramène ce ne sera pas pour rien, il faudra qu’on écarte les cuisses.
- Si vous n’êtes pas contre, on se trouve chacune un mec qui nous plaît. On n’est pas obligé de rentrer ensemble.
- Fabienne, tu as de l’avance sur nous, il est pas mal ton dragueur. Et puis oubli ton copain c’est un connard.
- Ok les filles. Moi j’en ai déjà repéré un qui me plait bien.
- Suffisamment ?
- Oui, pourquoi pas.
C’était l’époque où il y avait encore des slows en discothèque. Trois mecs nous ont invités à danser, dont mon dragueur.
J’ai posé mes mains sur ses épaules et lui autour ma taille. On dansait serrer l’un contre l’autre. Il me caressait le dos et je lassais faire. Son bisou dans le cou m’a fait frissonner et j’ai entourer mes mains autour de son cou. Mes seins collaient son torse. Une main est descendue juste au-dessus de mes fesses. L’autre s’est posé sur ma cuisse à travers la robe et se mit à me caresser. Lorsque j’ai tourné la tête, il m’a embrassé et j’ai ouvert la bouche pour que nos langues s’entremêlent. J’ai fait signe à mes copines que j’allait partir et elles me font signe quelles étaient ok. D’ailleurs elles étaient en charmante compagnie.
- T’as une voiture ?
- Oui
- On va chez moi ?
Arrivé à l’appartement, tout est allé vite.
Il a dégrafé ma robe tandis que je lui retirais son pantalon. Je me suis assise sur le lit et l’ai sucé. Je me suis allongé et j’ai retiré mon soutien-gorge et lui son pantalon et son caleçon. Je l’ai laissé me retirer ma culotte. Il s’est allongé sur moi et j’ai écarté les jambes. J’étais très excitée et je voulais qu’il me prenne. Je me suis faite littéralement baiser et j’ai adoré ça. J’ai eu un vrai orgasme lorsqu’il a joui en moi. Nous nous sommes allongés lover l’un contre l’autre. Il m’a prise une nouvelle fois dans la nuit. Je l’ai réveillé avec une fellation totale et je crois qu’il a apprécié. Il est parti au petit matin et je ne l’ai pas revu.
Puis j’ai rencontré mon mari. Je savais que c’était lui et je l’ai laissé faires sa coure avant de lui céder. Ça fait 36 ans que nous sommes mariés et je lui suis resté fidèle, enfin presque.
Comme j’étais trilingue, anglais et italien, de part mon métier de secrétaire de direction, mon mari invita à diner un client. Nous devions avoir environ 35 ans et le client surement pas loin de la cinquantaine. Je mettais pomponnée pour l’occasion j’avais troqué mon tailleur pour une robe légère en ce soir d’été. Après le repas, nous avions décidé de prendre le café à l’intérieur dans le salon. Lorsque je revins dans le salon, mon mari m’avait laissé une place sur le canapé à coté du client et lui sur un fauteuil en face de nous. Nous discutions en anglais de tout sauf de boulot, à ma grande joie. Le client s’approchait de plus en plus de moi. Lorsque je regardais mon mari, il me souriait. Qu’avait-il derrière la tête ? Lors de débats sexuels endiablés, nous avions déjà évoqués un partenaire supplémentaire mais même si cela me provoquait un plaisir accru, ça ne restait qu’un fantasme. Si bien que je n’ai pas été surpris de sentir une main du client se poser sur ma cuisse. Mon mari me fit un clin d’œil et j’en déduis qu’il voulait mettre en pratique ce qui restait jusqu’à maintenant qu’un jeu. J’ai alors décroisé mes jambes.
Ce geste laissait entrevoir à son client, une issue agréable. Sa main passa à l’intérieure de ma cuisse et sa caresse remontait ma robe. Puisque mon mari ne réagissait pas, j’ai tourné la tête vers le client avec une sourire qui confirmait mon acceptation. C’est moi qui me suis penchée vers lui pour l’embrasser. Le baiser le força à changer de main mais son exploration sur ma cuisse continua de plus belle. Les jambes légèrement écartées, sa main s’était insinuée sous la robe près de ma culotte. Le baiser se poursuivait et j’entrepris de défaire sa ceinture et sa braguette. J’en sortis un sexe de belle taille, raide et dur au possible que je caressai. J’ai alors tourné la tête vers mon mari qui semblait apprécier le spectacle. Puisque c’est ce qu’il voulait, j’ai continué et je fis glisser les bretelles de ma robe pour offrir mes seins nus. Il s’empressa de me les caressait puis aspira mes tétons qui réagir instantanément. Je me suis dégagé pour retirer ma robe et le laissa m’admirer en culotte. Puis je me suis agenouillé devant lui pour le sucer. Ensuite, je l’ai défait de tous ses vêtements et j’ai aperçu que mon mari avait dégagé son sexe et se branlait. Je me suis couché sur le canapé en soulevant mes fesses pour qu’il se débarrasse de ma culotte. Avant de me pénétrer, il m’a fait un cunnilingus de qualité. Je commençais à gémir et le visage de mon mari changea. Il pensait, peut-être, que je ne pouvais prendre du plaisir que de lui. J’ai d’ailleurs accentué mon plaisir lorsqu’il me pénétra. J’ai simulé ma jouissance que peu de temps car maintenant c’était vraiment bien. Mon mari avait un visage fermé et avait même commençait à débander. De mon côté, j’avais encerclé mes jambes autour de mon amant pour qu’il s’enfonce plus profondément tout en l’embrassant. Comme je voulais le sentir entièrement en moi, il mer retourna pour me prendre en levrette. Il m’a fait jouir plusieurs fois de suite. J’ai alors voulu donner une vraie leçon à mon mari en enfonçant un doigt dans mon anus, moi qui laisse toujours mon mari prendre cette initiative. D’ailleurs mon mari n’accepta pas que je me donne ainsi et partit de la pièce. J’ai demandé à mon amant de me sodomisait. Il s’en ait réjoui et après m’avoir préparé, c’est enfoncé assez facilement dans mon p’tit cul. La situation et la sensation éprouvée me fit avoir un orgasme que j’étouffa dans le coussin du canapé. Pendant qu’il me sodomisait, il me caressait les seins ce qui décupla mes sensations. Il ne résista pas très longtemps et se vida dans mes entrailles. Une fois remis, il s’est rhabillait et avant qu’il ne parte, je lui ai dit que je gérais mon mari.
Il n’a pas osé me faire de reproche puisqu’il était à l’initiative même si au fond de lui, il condamnait mon abandon total.
Ce fut le seul écart de notre couple et nous nous aimons toujours autant.

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