Une Rencontre Tres Marquante

UNE RENCONTRE TRES MARQUANTE
Je suis maintenant un senior, j’ai eu dans ma vie des expériences plus ou moins réussies, mais celle qui m’est arrivé l’année de mes 20 ans, m’a fait découvrir une partie de moi-même que je n’osais pas m’avouer.
C’était en été fin juillet, déjà en vacances, j’attendais avec impatience la semaine suivante pour partir avec mes potes dans le sud, je décide d’aller à paris pour voir le film ‘’ il était une fois dans l’ouest’’ célèbre western, il était déjà sorti depuis longtemps et je n’avais pas eu l’occasion de le voir, il passait encore à l’affiche dans cette salle parisienne juste à côté du grand Rex boulevard bonne nouvelle.
Je suis arrivé pour la 1ere séance du début d’après-midi, un peu trop en avance le cinéma n’était pas encore ouvert, un homme était la qui patientait aussi, du coup nous avons engagé la conversation, plutôt sympathique, très joviale, la 40aine, à peine plus grand que moi, donc plus que 175 cm, cheveux brun mi long, yeux verts, j’ai pensé qu’il devait être un peu sportif, pas de rondeur, ventre plat. On a parlé un peu de tout, surtout de notre passion commune des westerns. Il m’a proposé de regarder le film ensemble, j’ai volontiers accepté.
A l’intérieur c’était une petite salle, pour éviter d’être trop prêt de l’écran nous nous sommes installés tout au fond au milieu de la dernière rangée, 10 personnes à peines dans la salle, un couple 3 rangs devant nous et le reste éparpillé.
Le film était commencé depuis une 15aine de minutes, j’ai senti le genou de mon voisin me toucher, j’ai cru naïvement que c’était un mouvement involontaire, je me suis écarté légèrement, après quelque secondes il est venu de nouveau se coller au mien, j’avoue qu’à ce moment-là, je me suis senti mal à l’aise, je n’osais pas le regarder, mais je sais pas pourquoi, j’ai pas bougé, je fixais l’écran, mais mes pensées étaient ailleurs, il a sans doute pris ça comme une acceptation sa main est venu se poser sur mon genou, j’étais comme tétanisé, incapable de réagir, est-ce que j’avais envi de réagir ? sa main est remontée sur ma cuisse, j’avais un pantalon d’été très léger, je sentais la pression de ses doigts, je vous cache pas que cette caresse me faisait de l’effet, c’était incontrôlable, l’érection a été instantané, alors quand il a touché mon entre jambe, je pouvais plus lui cacher mon émotion, je sentais son regard sur moi, moi les yeux fixés sur l’écran, d’ailleurs je voyais plus le film, trop perturbé parce qu’il était entrain de se passer, il devenait plus entreprenant , il a commencé à me déboutonner ma chemisette, bouton par bouton, très adroitement, je me laissais faire les mains sur les accoudoirs, ma chemisette était maintenant grande ouverte, il m’a caressé délicatement les pectoraux, le ventre, je savais plus ou j’étais, il m’a dégrafé le pantalon, descendu la fermeture éclair de ma braguette, j’avais une peur bleue que le couple devant nous se retourne, j’étais sans réaction, prêt à tout accepté, un mélange de honte et d’excitation, il m’a caressé par-dessus mon slip, il m’a chuchoté a l’oreille de me soulever, j’ai obéi, il a tout baissé pantalon et slip jusqu’aux chevilles, j’avais la verge tendu à l’extrême, complètement décalotté, il me masturbait, me massait les bourses, je fermais les yeux, par reflexe j’avais écarté les cuisses, j’étais offert, il a pris ma main, l’a posé sur son entrejambe, surprise il avait le sexe a l’air , j’avais même pas vu qu’il s’était déculotté, c’était la 1ere fois que je touchais une bite autre que la mienne, j’ai adoré cette sensation, il avait un sexe plutôt petit, mais très épais, doux et dur à la fois, et un pubis très fourni, je l’ai décalotté, masturbé, je l’ai imité en lui massant aussi ses bourses, on se branlait mutuellement, j’ai tourner la tête vers lui, il fermait les yeux comme pour apprécier le petit plaisir que je lui donnais, on était aux anges, je fis de même aussi pour être en osmose avec lui, j’ai senti qu’il se penchait vers moi, sa bouche est venu s’emparer de ma tige, là j’ai cru que j’allais défaillir, des copines m’avaient déjà sucer, mais la croyez moi c’était différent, il savait exactement ce qu’il fallait faire pour donner du plaisir, un virtuose, j’ai dû me mordre les lèvres pour pas gémir, s’en était trop, je pouvais pas résister plus longtemps, je lui ai fait comprendre que j’allais jouir en lui tapotant sur l’épaule, il s’est retiré mais a repris mon sexe en main pour continuer à me masturber avec vigueur, mon corps s’est tendu, j’ai giclé c’était intense, j’ai toujours été abondant, j’en avais sur le ventre, mon sexe, mes testicules, j’étais épuisé par la tension nerveuse et le plaisir que je venais de ressentir.

Il a senti un mouchoir et il m’a nettoyé lui-même.
J’ai bien sur voulu lui rendre l’appareil, il s’était légèrement déculotté, je lui ai tout descendu jusqu’aux chevilles, j’ai pas osé le sucer par contre je me suis appliqué a bien le masturbé, son visage en disait long sur le plaisir qu’il prenait, j’ai aimé le moment où j’ai senti les soubresauts de son corps, la crispation de son visage et la façon de se pincer les lèvres pour éviter de gémir comme je l’avais fait auparavant, sa giclée était moins abondante que la mienne, elle s’est écoulé doucement le long de sa verge, de ses bourses, il est resté les yeux fermés, inerte, sans bougé le sexe a l’air.
On est resté un moment sans se rhabillé, puis on a pris conscience qu’il était temps de reprendre ses esprits et se remettre dans une tenue correcte, c’était quand même un coup de folie prendre des risques comme ça en plein cinéma. A la sortie il m’a remercié pour le moment de plaisir qu’on venait de prendre et il est parti. De mon côté cette expérience éphémère m’a énormément marqué, j’ai eu honte, j’avais du mal a accepté mes attirances pour les garçons, j’avais mon petit succès auprès des filles, mes relations sexuelles hétéros étaient relativement épanouies, mais pendant mes plaisirs solitaires je fantasmais sur les hommes, c’était dérangeant, je matais en douce mes potes de foot sous la douche, j’ai mis longtemps avant d’osé passer le pas, c’est beaucoup plus tard j’avais 52 ans. Sourire que de temps perdu.




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