Une Rencontre

On ne se connaissait pas. L’heure du rendez-vous était fixée à 15 heures, un lieu
facile d’accès autant pour toi que pour moi, proche de la cathédrale, un parc à
proximité, et café où on savait que l’on pourrait prendre le temps de discuter, et
dont on pourrait s’enfuir facilement l’un comme l’autre si cette rencontre s’avérait
décevante.
Le temps était magnifique, c’était une belle journée de printemps. Après avoir pris le
temps de m’occuper de moi, d’huiler chaque partie de mon corps, un parfum enivrant et
léger au creux du coup, je passais cette robe légère grâce à laquelle je sentais tout
mon potentiel féminin. D’humeur printannière et joueuse, dans l’attente de tout le
potentiel de cette rencontre, je décidais que non, je ne m’engoncerais dans aucun
sous-vêtements. Je savais qu’ainsi, en me sentant nue sous ton regard, ma robe
flottant au gré de la brise, chaque parcelle de ma sensibilité t’enverrait un signal
de désir.
J’avais littéralement flashé sur ta photo, et au gré de nos discussions sur ce site de
rencontres, j’avais compris que ton attente et la mienne étaient purement charnelles.
Tu dégageais tant de virilité, d’humeur purement mâle, que mon instinct primaire s’est
réveillé à la simple vue de ton visage. C’était comme si toutes mes hormones entraient
en ébullition… Et je me suis mise à fantasmer sans aucun tabou sur cette énergie
sexuelle qu’une simple photo de toi dégageait et créait en moi… Je me suis mise à
imaginer des ébats passionnés, fougueux… Puis l’heure du rendez-vous a rattrapé mon
rêve…
En entrant dans le tram, je ne pouvais lutter contre cette boule au ventre qui
commençait à m’assaillir… Et si je ne parvenais pas à provoquer son désir ? Et si,
finalement, il n’était pas à la hauteur de mes fantasmes ? Et si, tout simplement, on
se rendait compte qu’il n’y avait aucune alchimie ? Comment pourrai-je alors gérer
toute cette tension sexuelle voire bestiale que tu as fait naître en moi ?
Je suis descendue à l’arrêt du rendez-vous, à mi-chemin entre mes pensées et l’attente
de ta venue.

Je me suis attablée à la table du café, et j’ai fais mine de me plonger
dans un magazine, dans le but puéril de cacher mon impatience…
Puis tu es arrivé, ta voix grave me saluant, ta main sur mon épaule… Et mon bas-ventre
tressaillit déjà… Un sourire charmeur, une virilité indéniable, et mon intimité
commençait déjà à s’humidifier… Je te voulais déjà, je voulais déjà goûter à ta peau,
à ton intimité, sentir ton odeur… Il fallait que tu m’apaises, que tu apaises cette
demande brulante émanant de mon ventre… Je te voulais…
Tu l’as compris très vite, tu as su voir et ressentir mon désir… Ton regard a montré
une étincelle, j’ai senti l’extrémité de mes seins tendre impunément vers toi sous ma
robe et mon intimité continuer à s’humidifier, comme pour répondre à ton regard… Les
mots étaient presque superficiels, nos corps , nos attitudes et nos regards
communiquaient presque d’eux-mêmes…

La conversation dévia si facilement sur un plan intime… Quels sont tes goûts ? Puis tu
me faisais parler sur les miens… Et la tension continuait de monter… Je n’avais de
cesse de croiser et décroiser mes jambes, dans l’espoir que ce mouvement aléatoire
parviendrait à me détendre…
Au fil de la conversation, nous nous sommes aperçus que nos envies charnelles se
ressemblaient… Que nos envies et nos désirs se complétaient… J’étais une femme soumise
durant l’acte, mais il était inenvisageable de pratiquer une dégustation assidue de
ton intimité sans prendre le dessus… Tu avais besoin de maîtriser, voire de maintenir
la femme que tu honorais…
Un sourire complice, et une vague de chaleur qui m’envahit… Je t’en fais part… Tu
souris, et tu proposes que l’on aille ailleurs. Menée par mon désir, je décide de te
suivre, mon intimité continuant de fondre sous les sous-entendus de voix si grave… On
se retrouve dans l’ascenseur désert menant au parking souterrain… Je te glisse à
l’oreille que je ne porte aucun dessous.
Ton regard se fixe sur mon décolleté, et
d’une voix taquine tu me réponds : « Je ne te crois pas… Je dois toujours vérifier
quand je pense qu’on me raconte un mensonge ». Je sens alors ta main se glisser sur
mes fesses, et le tissu fin de ma robe se soulever alors que tu soupires à mon
oreille… Mon excitation est à son paroxysme, j’ai envie que tu me touches, que tu me
pénètres de tes doigts gourmands et curieux…
Je sens ta main soulever le tissu de ma robe, caresser avec insistance mes fesses,
puis glisser au cœur de mon humidité… Tu passes alors tes doigts sur mon clito prêt à
exploser de désir… Je lâche un profond râle d’extase, mais j’en veux plus. Tu le
comprends de suite, et cherche de tes doigts à pénétrer mon intimité… Mon sexe est
trempe, tu enfonces alors plusieurs doigts au plus profond de moi… Que c’est bon… Que
c’est bon de sentir ta main s’agiter au rythme de mes soupirs, et tes doigts toujours
plus curieux… Tu embrasses mon cou en même temps, tout en me demandant si ça me plaît…
J’ai envie de crier ma jouissance, j’ai envie de te hurler de ne pas t’arrêter… Tes
mouvements s’intensifient au cœur de ma chatte… Je suis plus que trempée, des spasmes
parcourent la totalité de mon corps. C’est si bon.
Puis l’ascenseur s’arrête. Quelqu’un entre… En toute discrétion, tu retires si vite ta
main… Je n’en peux plus… Seule la rougeur de mon visage peut trahir quoi que ce soit…
Tu me jettes un regard complice en portant tes doigts à ta bouche… Je ne peux
m’empêcher de porter mon regard sur ton pantalon, ta braguette est enflée, comme si
elle était prête à exploser… Et ma langue vient inconsciemment caresser mes lèvres. Je
finis par reprendre mes esprits, et te demande où tu m’emmènes… Le sourire au coin des
lèvres, tu me réponds simplement : « je pense que l’on a besoin d’intimité »
Il fallait que tu me prennes, que je te goûte, c’était comme si tu avais fait naître
en moi une autre femme, une femelle pure et dure répondant simplement à ses désirs…
Nous sommes arrivés dans le hall de l’hôtel, l’arrivée jusqu’à la chambre fut un des
trajets les plus longs de ma vie.

A peine la porte de la chambre fermée, c’était plus fort que moi, il a fallu que je me
jette sur ton pantalon… Plus précisément sur ta braguette… « J’ai tellement envie de
te lécher, te sucer et te goûter, je te veux sur ma langue, au fond de ma bouche »
J’ai défais ta braguette, baissé ton pantalon et ton caleçon pour voir surgir une si
belle queue… Tu m’as rendue folle de désir et je veux te rendre la pareille. Ton sexe
est si appétissant, Mais je veux le déguster… Je te lèche innocemment, de long en
large… Mon regard ne te quitte pas, et tu me montres que tu aimes ça.
Mes lèvres recouvrent d’abord timidement ton gland, puis le suivent jusqu’à sa base…
ma bouche fait des va-et-vient tout le long de ton sexe, et ma langue joue avec chaque
parcelle de ta si belle queue… Tantôt je l’enrobe de ma langue, tantôt je la lèche
simplement en te regardant avec désir, tantôt je l’aspire, ou la suce… Je veux ta
queue, je la veux dans chacun de mes recoins… A quatre pattes devant toi, tu pose
enfin tes doigts entre mon entrée interdite et ma source de plaisir. Tu agites tes
doigts entre mon minou et mon clito, mettant parfois de petites tapes sur ce dernier,
enfonçant parfois plusieurs doigts au plus profond de moi… Je remue mon bassin au
rythme de ta main, afin de mieux ressentir les effets de ta curiosité charnelle… Comme
c’est bon de t’avoir en bouche en même temps… et comme si tu avais devancé mes désirs,
tu atts mes cheveux afin de me signifier la soumission qui m’excite tant… Je te
lampe, te lèche, te suce et t’aspire, tes doigts continuent d’aller et venir au fond
de moi… Mais je veux ta queue, je la veux au plus profond et de la manière la plus
sauvage qui soit… « Baise-moi » est tout ce que j’arrive à exprimer dans un râle de
plaisir…
Tu m’atts par le bassin, et me fait m’installer à quatre pattes, ma croupe et ma
chatte offertes à ton bon vouloir… De ta main libre, tu me saisis par les cheveux « Tu
la veux sauvage ? » « Oui », dans un soupir… Je sens ta queue s’enfoncer au plus
profond de moi, tes coups de reins si rudes font exploser mon plaisir… Je te crie que
j’aime ça, et ta queue et tes reins s’en montrent encore plus vigoureux… Que c’est
bon, quel bonheur… De ton autre main tu pétris mes seins, et je caresse mon clito au
rythme de tes coups… Tu me demandes si j’aime ça, je ne peux laisser échapper qu’un «
ouuuuuuuuiiiiiiiiiiii, encore » tandis que tu accélère encore le mouvement.
Je sens
ton plaisir monter au rythme du mien, et te demande de jouir sur mon cul tendu vers
toi… Tu t’exécutes en frottant ta queue sur mes fesses pendant que je continue à me
caresser… MMMhhhh Quelle rencontre !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!