Le Coiffeur De Ces Dames. 1
Le coiffeur de ces dames. 1
Je mappelle Sonia et tiens un commerce de coiffure pour femmes qui marche plutôt bien. Je suis âgée dune quarantaine dannées, grande, bien conservée avec un corps sensuel, des seins et des fesses encore fermes et ma réputation de coiffeuse dépasse le cadre de notre petite ville.
Jai quatre employées et deux apprenties, Lune delles va bientôt me quitter et je cherche une remplaçante. Jen ai parlé autour de moi et une amie, Murielle, ma parlé de son fils Anaïs. (A lire : Suite des aventures sexuelles débridées de Patrick de 1 à 8, XAVIER ET MURIELLE/MURIELLE Y PASSE/MURIELLE SE LACHE/MURIELLE SA SUR ET SA MERE). Pourquoi-pas au fond ?
Murielle est venue me présenter son fils, un jeune de seize ans. Ses piètres résultats scolaires lont poussé vers lapprentissage. Il a choisi le métier de coiffeur pour dames. Jai été surprise par son physique assez androgyne. Avec ses longs cheveux jusquaux épaules, sa voix haut-perchée et un physique dasperge, il passerait facilement pour une fille. Jai envie de jouer la dessus pour ne pas dérouter ma clientèle et lui demande de porter ces pantalons informes comme les anciens zouaves et de prendre un prénom aussi bien masculin que féminin, Dominique, pour garder son intimité.
Comme apprenti coiffeur, sa tâche a consisté au début à faire des shampoings à longueur de journée, de balayer et faire toutes ces petites choses pas trop compliquées et il sest vite senti à laise.
Il est dune timidité maladive et les filles ont très vite sympathisées avec lui et le mènent par le bout du nez car il nose pas dire NON. Il ne parle guère.
Avec son corps menu, ses petites fesses rondes, je me demande même si elles se sont rendu compte que cétait un garçon. Ça va faire maintenant bientôt deux ans quil est ici et javoue quil a un talent fou, soccupant entre autre des permanentes et des couleurs.
Annie la pris sous son aile.
Depuis quelques temps, la mode chez les femmes, est de se faire rasez le pubis, vous savez-se faire le maillot. Annie est la seule qui a accepté cette tache trois jours par semaines, mardi, jeudi et samedi, dans une petite salle attenante mais jai un gros problème car elle va nous quitter dans quatre mois pour suivre son mari qui est muté à plus de 200 bornes.
Comme personne dautre ne veut prendre sa place, jai demandé à Dominique qui a fini par accepter.
Mais je ne sais pas, comme il ne refuse jamais rien, sil est vraiment daccord dans son for intérieur.
Pendant deux mois, il est en duo avec Annie et ma fois, je nai pas eu déchos négatifs.
Je remarque même depuis quelques temps que les pourboires qui sont mis dans un pot commun sont en forte hausse comme aussi les réservations. Cest bon pour les affaires et on dirait que le « bouche à oreilles » fonctionne bien.
Depuis maintenant deux mois, Dominique est seul pour faire « les maillots » et je dois jongler avec les clientes tellement il y a de la demande. Jai remarqué aussi que les pourboires sont de plus en plus généreux, aussi une légère augmentation du temps pour chaque rendez-vous et même une tendance de certaines clientes à venir accompagnées. Elles sont deux, voire même des fois trois dans la petite pièce réservée à cette effet. Je commence à trouver ça de plus en plus louche et la réflexion dune des clientes me laisse perplexe.
-Ma chère Sonia, vous avez là une perle, et la crème utilisée pour calmer le feu du rasoir est vraiment divine !
Que veut-elle dire par là ? Quelle crème ?
Je sais bien que cest interdit sans en prévenir la clientèle mais je fais poser une caméra discrète pour en avoir le cur net axée uniquement sur la table.
Pendant plusieurs jours, je visionne le soir les images et à part certains moments où Dominique, le visage crispé, interrompt soudainement le rasage sans raison apparente avant de reprendre quelques instants plus tard, je ne vois rien à redire.
Mais un soir, je nen crois pas mes yeux ! Dominique sétant un peu plus reculé de la table, de longs filaments blanchâtres fusent et retombent sur le pubis de la cliente qui sen badigeonne aussitôt.
Putain de merde ! Mais que se passe-t-il sous cette table ?
Le doute nest pas permis, Dominique vient déjaculer sur la cliente !!!
Je bouillonne intérieurement et dois attendre le lendemain pour convoquer Dominique dans mon bureau pour une explication.
Je le fais monter dans mon logement juste au dessus du salon et le fais rentrer dans mon bureau.
Je lui montre les vidéos, il ne peut nier et sécroule littéralement en pleurnichant. Une fois lémotion passée, il commence à me compter lhistoire depuis le début.
Dominique :
Tout a commencé un jour où je me suis renversé du produit capillaire sur mes habits, jai dû changer de pantalon, passant dun coup à quelque chose de beaucoup plus moulant que dhabitude avant daller dans le petit salon avec Annie et la cliente.
Je ne suis pas de bois et avec certaines clientes très bien foutues, je ne pouvais mempêcher de bander et Annie sen est vite aperçue.
(Je donne la parole aux tourmenteuses. Lauteur)
Sa collègue, Annie :
Dominique devient une vraie experte du rasoir et les clientes apprécient sa douceur dans ces endroits si délicats. Ses mains sont agiles, tendant les chairs pour raser les poils récalcitrants dans les plis les plus intimes. Cest la première fois quelle est en pantalon moulant et non dans son informe tenue de zouave. Jadmire ses petites fesses fermes mais quelle nest pas ma surprise quand je remarque à mesure que son travail avance une bosse qui déforme lavant de son pantalon.
Dominique, que je prenais pour une jeune femme, est en train de bander, est-ce une shemale ? Un jeune homme ? Je me sens toute chose et décide den avoir le cur net et de lexciter un peu plus pour connaître sa réaction.
Quelque chose d'épais gonfle son pantalon, je pose la main dessus et découvre une grosse barre bien dure et de plus en plus impressionnante.
La bosse qui déforme son pantalon parle d'elle-même et commence d'ailleurs à prendre des proportions inquiétantes. Heureusement que la cliente a les yeux fermés et un casque sur la tête pour écouter de la musique.
L'ambiance devient de plus en plus chaude. Dominique est comme statufié de ma hardiesse et ne me repousse pas.
Je défais sa ceinture, déboutonne son pantalon et commence à le baisser très lentement, faisant apparaître le sommet dun membre imposant qui sest échappé de son slip. Je me mets à penser que sa longueur est imposante mais sans plus, sans avoir vu le morceau en entier. Mais au fur et à mesure que je descends son pantalon, je découvre une teub à la forme dune banane très recourbée, d'une épaisseur incroyable à son extrémité et saffinant de plus en plus en sapprochant dune paire de couilles bien pendantes.
Je nai jamais vu un tel sexe, loin de la forme conventionnelle, bien droite comme celle de mon mari. Je réalise soudain ce que je fais mais ne peux mempêcher de continuer. Dominique bande si dur et si fort que le museau de sa queue touche son bas-ventre tellement elle se dresse au ciel.
Je la saisis et sens la résistance de ce jonc vigoureux que jamène à lhorizontale pour pouvoir la sucer comme je veux mais j'arrive difficilement à la mettre entièrement dans ma bouche tellement le gland est mafflu et me frotte le palais.
Jadore les longs membres et me surprends à caresser et gober ce gourdin à la forme si singulière de matraque, effilé à la base et si épais à son extrémité. Je n'ose imaginer les sensations dun tel soc labourant une moule trempée.
Je prends sa verge dans ma bouche, quel engin!!! J'ai un peu de mal à l'absorber, au maximum douverture de mes mâchoires, je lèche son gland, puis j'enfourne sa banane.
Je lui montre ce que je sais faire avec ma langue. J'arrive presque à l'avaler entièrement, sachant à quel point les mâles aiment sentir leur bite buter au fond d'une gorge accueillante.
Je retire un peu le morceau et le flatte avec la pointe de ma langue mais il méchappe et remonte claquer sur son bas ventre, comme monté sur ressort. La position n'est pas pratique et je me glisse sous la table, permettant à Dominique de continuer sa tache. Pourvu quil ait la main sûre avec son rasoir !
Je suis déçue car il jouit trop vite.
Je sens son sperme se répandre dans ma bouche, sur mes amygdales et glisser vers le fond de ma gorge. Je maccroche à lénorme bâton crémeux, en appréciant le goût du liquide de ce jeune homme, mais néanmoins, après avoir déglutie, je continue de sucer sa lance, ne voulant pas la libérer et pomper jusquà la dernière goutte cette crème salée. Mais, à ma grande surprise, il ne débande pas. Par trois fois, en un temps très court, je reçois son hommage.
Son dernier orgasme se termine, jai obtenu plus que je désirais. Je relève la tête, léchant mes lèvres encore pleines de son sperme, ma chatte est si humide que jai complètement trempé mon slip.
Jai plusieurs fois réitéré la chose jusquà ce quun jour, une cliente se rende compte de ce que je faisais, et là, tout cest emballé.
Une cliente, Solange :
Aïe ! Dominique vient de me taillader ! Je hurle et me redresse sur mes coudes et là, je nen reviens pas de ce que je voie. Mes yeux s'agrandissent comme des soucoupes en voyant Dominique, que je prenais pour une jeune fille, avec la bite à lair, très impressionnante et dure comme une barre d'acier.
A suivre
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