Le Coiffeur De Ces Dames. 2
Le coiffeur de ces dames. 2
Une cliente, Solange :
Aïe ! Dominique vient de me taillader ! Je hurle et me redresse sur mes coudes et là, je nen reviens pas de ce que je voie. Mes yeux s'agrandissent comme des soucoupes en voyant Dominique, que je prenais pour une jeune fille, avec la bite à lair, très impressionnante et dure comme une barre d'acier.
Suite :
Non seulement elle est dune bonne longueur, sûrement dans les vingt centimètres, mais avec une forme atypique, grosse au gland énorme au bout dune hampe si courbe quil touche son ventre.
Je remarque soudain la main dAnnie qui essaie de lui faire baisser la tête pour la dissimuler sous la table.
Je ne suis pas très prude et je dois dire quune fois la surprise passée, je ne serais pas contre de caresser un tel pal pour en prendre la mesure. Vu la situation, ils ne peuvent rien me refuser.
- Je peux participer, les tourtereaux ?
Qui ne dit rien, consent. Je ne vais pas m'arrêter en si bon chemin et compte bien profiter de ce fruit succulent qui mest offert. Le sexe érigé de Dominique est beau, que dire de cette tige tendue, de ce bâton turgescent gonflé de vie ? Il a des dimensions idéales que doit avoir un "braquemart de baiseur" et il me convient tout à fait.
Je le prends en main, mes doigts en font le tour à la base mais plus je monte le long de la hampe, plus ils doivent céder devant le diamètre en expansion continue. Dominique, après un moment dappréhension, ne cesse de me complimenter sur la finesse et la douceur de mes mains. Et malgré mes deux mains posées sur son pal, la partie qui dépasse encore me laisse entrevoir que ma luette aurait de la compagnie.
Je me mets donc en devoir de relayer Annie qui garde le silence, soulevant les bourses pleines.
-Ca te plaît Dominique? Depuis quand joues-tu ce jeu avec Annie sans le dire à tes clientes ? Es-tu vraiment si vicieux de contempler de si près tant de chattes et pour vouloir te laisser masturber ainsi ? Tu aimerais sûrement que je te suce aussi ? Que je mette ta queue dans ma bouche et avale ton sperme tout chaud !
Dominique ne répond pas, il pivote pour poser le bout de ses fesses sur la table de travail, faisant encore plus remonter sa verge qui sécrase sur son ventre plat.
Je ne sais plus si je suis dans le monde réel ou dans un rêve. Je fais baisser cette orgueilleuse teub et pousse la grosse banane vers le fond de ma gorge, lastique à peine une trentaine de secondes et reçois déjà ses giclées de foutre chaud.
-Ouuuiii, je jute, putain que cest booonnn ! Sexclame-t-il.
Je suis déçue et réalise quil vient seulement de dire ses premières paroles. Je veux retirer ma bouche de sa lance mais il saisit ma nuque et pousse son bassin, enfonçant sa tige de quelques centimètres supplémentaires entre mes lèvres. Je commence à m mais il retire son chibre et baise ma bouche comme si cétait ma chatte. En quelques instants, jobtiens de nouveau ma récompense.
Un jet énorme de sperme jaillit du gland gonflé, se répandant au fond de ma gorge de dépravée avide de sexe.
- Ummmllppp! Putain ! Tu es un rapide, toi.
Je libère la bête mais à ma grande surprise, Annie se jette sur la teub toujours érigée et en à peine une minute, en obtient un troisième tribut.
-Mais, tu es pire quun lapin, toi ! Un lapin aux couilles bien pleines cependant !
Dommage, la séance est finie, un peu plus longue que dhabitude, sûrement. Je vais recommander cet établissement à toutes mes copines, enfin
celles qui aiment les gros sucres dorge.
Dominique :
Et cest ainsi que les femmes se sont succédées jusquau départ dAnnie. Puis un jour elles sont venues à deux, même parfois à trois. Je me suis fait traire comme un troupeau de vache.
Trois copines, Barbara, Odette, Diane.
Diane :
Nous sommes trois copines inséparables et avons pris rendez-vous pour connaître le « phénomène ».
Un fois dans la salle, Barbara se dévoue pour passer sur la table, retirant son pantalon et son string pour laisser uvrer Dominique.
Odette et moi ne perdons pas plus de temps et retirons le pantalon de Dominique, les yeux fixés sur le caleçon qui laisse entrevoir une bosse déjà prometteuse.
Il a lair correctement monté, mais sans plus. Je suis quand même émoustillée et prends la verge dune main, la sentant presque immédiatement gonfler et se raidir entre mes doigts sous mes papouilles. La limace bien ordinaire croit à une vitesse exponentielle et devient un bâton, ou plutôt un arc vu sa forme. Comment une bite peut-t-elle sallonger autant ? Cest pas Dieu possible !!!
Dominique est souriant et sapplique à sa tâche, rasant consciencieusement les poils pubiens de Barbara, comme sil faisait une coloration dans le salon, ne prêtant aucune attention à ce qui se passe sous la table.
Je regarde maintenant lénorme bite que dévore Odette après lavoir longuement masturbée pendant que ma main droite va et vient sur le reste de la hampe courbe aussi rapidement que je peux.
Odette :
La queue tendue palpite devant mon visage. Des spasmes contractent ma chatte quand jimagine un tel mandrin pénétrant ma fente et sa tête mafflue labourant mes muqueuses, senfonçant profondément dans ma grotte, allant et venant dedans en butant à chaque fois le fond si sensible.
J'empoigne avec ivresse cette jeune verge extrêmement dure, je suis toute émoustillée de serrer la saillie de Dominique, de la sentir frémir au creux de ma main et entreprends de masser entre mes doigts la longue excroissance virile tendue à l'extrême. Le contact de ce sexe bandé contre ma paume mexcite follement, je lui murmure mon admiration :
Mon Dieu, quel beau morceau !
Aussi impatiente que Diane, jentreprends de branler le jeune membre viril, faisant coulisser le prépuce le long du gland dilaté avant de sentir ce bourgeon de chair explorer ma bouche, jaspire ce gros loukoum entre mes lèvres pour le pomper jusqu'à l'éjaculation libératoire.
Je sens mon corps frissonner de désir et ma vulve s'humidifier un peu plus à l'idée de retrouver le goût si particulier du sperme de lhomme.
Il est impossible à Dominique de se retenir et finalement, il se laisse aller dans ma bouche et se détend, tandis que les mains de Diane reprennent le contrôle de ce manche sublime quand je le retire de ma bouche rassasiée en souriant. Je relève la tête et regarde dans les yeux ce petit poney.
- Ҫa va, ça tas plu ?
Il reste comme indifférent, mais il me répond enfin :
- Oh, vous savez
Oui ! Mais jattends la suite, dites à votre copine de prendre la suite, quelle prenne ma bite et la suce !
Dominique est aux anges, il a un sourire ironique et pousse sa bite gonflée vers la bouche de Diane qui se referme autour du gland, puis reprend consciencieusement son travail de « coiffeur de ces dames », regardant de temps en temps son pénis entrer et sortir de la bouche de mon amie.
On dirait presque que ce petit con trouve tout naturel quune langue commence à parcourir sa colonne de chair, en appréciant les mouvements de la bouche experte.
Je voudrais bien savoir ce quil pense en ce moment. Diane sapplique pour stimuler le pénis, sans oublier les boules, avec grande habileté. Cest une vraie experte dans ce domaine et il commence à ressentir les premiers stimuli de lorgasme sous la pression de la bouche de Diane qui presse sa queue.
Lexcitation grandit dun cran et un malheureux mouvement de recul de sa part expulse sa lance de la bouche accueillante. Sa verge, comme douée dune vie propre, remonte à une vitesse folle, bute sur son ventre, lâchant un premier jet puis redescend et remonte encore et encore, continuant d'éjecter sa semence virile un peu partout.
-Eh les filles ! Jespère que vous navez pas assèche ses burnes !
Barbara :
Odette puis Diane passent chacune à leur tour au rasage. Javais peur darriver après la guerre mais je trouve le jeune homme toujours au « garde-à-vous ». Je pousse un « Oh » de surprise en voyant lengin. Un bon-point pour lui. A mon tour, je referme mes doigts autour de la longue tige de chair extraordinairement bandée de ce dernier.
Je naurais pas crû quil banderait encore comme un turc et la vue du gland rose et gonflé me décide à entreprendre une fellation en règle. Lavantage de passer en troisième, cest que ce « chaud lapin » est un peu moins speed. Jai vite la culotte trempée.
A suivre
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