Les Fantasmes De Sandrine 06

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

06 - LE RETOUR

C'est beaucoup plus tard que j'ouvre un œil. J'ai la langue pâteuse. J'ai l'impression d'être dans du coton. Je suis toujours allongée sur les sièges arrière, couverte d'un plaid. Il fait presque nuit. Je suis seule. Sur le tableau de bord, une enveloppe est bien en vue. Je sors. L'air frais me ramène un peu à la réalité. Le soleil se couche entre les montagnes. Je m'installe à la place du conducteur et ouvre l'enveloppe. Une écriture très serrée couvre un papier simple. C'est le Chef qui a écrit :

Chez petite bourge,
Merci de nous avoir accompagnés, jusqu'ici. Excuse-moi de t'avoir un peu e pour nous laisser le temps de filer en Espagne. Normalement tu as du dormir 24 heures d'affilée. Bon retour chez ton homme ! Excuse-nous d'avoir profité de toi ! C'était très bon et tu resteras dans nos mémoires pour tes performances ! Peut-être qu'un jour nous te remercierons encore mieux ! Bises !

Je suis KO debout ! Ils ont profité de moi et de mon corps pour se sauver. Mon téléphone portable est là, juste à côté. J'appelle mon mari, Alexandre. Une sonnerie et il répond :
• Où es-tu? Tu es seule ? Tu n'as pas de mal ?
Je lui demande de me laisser parler :
• Je suis saine et sauve. Ils ne m'ont fait aucun mal. Je suis sur un parking d'altitude dans les Pyrénées. Je vais descendre dans la vallée pour trouver un hôtel et je vais dormir.
Alexandre me demande :
• Veux-tu que je vienne te chercher ?
• Non, merci ! Je vais rentrer demain matin ! Bonne nuit !
Je reprends la route en sens inverse. Je traverse une première bourgade sans accueil. Ensuite une petite ville m'accueille. Je trouve un petit hôtel. Je m'installe et ne souhaite pas dîner. Je me suis donc dévêtue totalement et glissée nue sous la couette. A peine suis-je couchée, qu'une envie folle me prend. J'ai envie de faire l'amour ! Enfin pas tout à fait ! Faire l'amour, c'est avoir des câlins, des préliminaires, des caresses et sentir monter ses envies de l'autre… Là non, ce n'est pas mon cas ! J'ai envie de sexe ! J'ai envie d'être baisée, prise, offerte, donnée… L'expérience avec les trois bandits m'ont sérieusement mise sur les rails de la perversité.

Je veux apaiser mes sens. Dans le noir, mes mains explorent mon corps. Depuis le début de cette aventure, je le découvre, assoiffé, quémandeur de caresses, de sexe et, honte à moi, de violence… J'ai envie d'être e, obligée, humiliée ! Je commence par ma poitrine, quelques effleurements, puis je cueille les pointes de mes seins et les maltraite, les tords. La douleur première annonce presque instantanément une bouffée de plaisir. Je descends plus bas, effleurant mon ventre générant de doux frissons. Mes tétons, délaissés se dressent. J’écarte largement mes cuisses sans me toucher encore. La chaleur qui émane de mon corps, ne refroidit pas les premières envies attisées par mes caresses et mes idées lubriques. L'envie de me caresser me bouscule. Je me positionne à genoux, ma poitrine contre le matelas, mes genoux vers mon ventre. Mon bassin se tend alors en arrière, offrant mes fesses au plafond ! Mes mains glissent sous mon corps. Mes lèvres s’ouvrent. Je suis en attente, en demande, pleine d’envies, de passion… Je ferme mes yeux, fantasmant sur mes trois tortionnaires. Je suis en plein rêve érotique et même pornographique. Mes doigts rencontrent mon intimité. Déjà, je coule sur le haut de mes cuisses et mon périnée. Je suis humide et accueillante. Je sens en moi la place faite au désir par le besoin d’un sexe… Ma main gauche fait ressortir mon clitoris et de trois doigts de ma main droite, je flatte mon sexe. Je sais que mes doigts ne me combleront pas mon vagin. Je sens quelques secousses au creux de mon ventre. Mon clitoris est dur. Il bande. Les quatre doigts de ma main gauche ont investi mon sexe. Je ressens les spasmes annonciateurs de l'orgasme. Mais il me manque quelque chose. Ma main droite passe entre mes jambes, remonte vers mon anus. Je me cambre encore plus. Mes doigts effleurent ma petite rondelle fripée. Mon anus se contracte. C'est une première ! Seule, je ne me suis jamais aventurée dans cette voie. Si on me découvrait ainsi, je n'offrirais aucune résistance et me laisserais prendre.
Je suis surprise de me soumettre à mes vices, seule. J'ai un manque et une attente. Malheureusement, ce soir, je n'ai que mes doigts pour satisfaire mes envies de sexe. Mes doigts s'agitent très vite ses lèvres et branlent mon clitoris, trempé de mouille. En peu de temps, malgré l’absence d'hommes, un grand frisson me parcoure. Un orgasme me saisit, doucement annonciateur d'une jouissance violente, brutale. Il est là : je jouis ! Ma main gauche enfoncée au plus profond de mon sexe ne remplace pas une bonne bite. J'appuie ma main droite sur la gauche comme si j'allais de perdre ce moment de plaisir et de bonheur.
Honteuse, mais repue, je m'endors très vite. Je dors comme une souche. Le lendemain, je reprends la route vers la maison. Bien qu’éreintée par ma nuit de jouissance, je roule vite sur la petite route qui conduit à notre maison. Je me gare dans la cour. Alexandre n'est pas là. Mes chaussures claquent sur les pavés devant l'entrée. Je suis inquiète et impatiente. Comment va m'accueillir mon mari ? Des perles de sueur humidifient mon front. Depuis mon réveil jusqu’à cet instant, mon cerveau imagine cette soirée. L'attention indispensable de la conduite a freiné certaines escapades érotiques de mon esprit. Pourtant, pendant les arrêts aux péages, pour ravitailler ou pour me reposer, je me suis laissé entraîner par mon imagination. Encore, des images pornographies ont hanté ces instants. Je suis aux mains de plusieurs hommes qui profitent de moi. Une autre fois, je suis vendue à un dominateur qui me corrige sévèrement. La fébrilité me tenaille depuis la veille. Essoufflée, je m'arrête sur le pas de la porte. Je remets un peu d’ordre dans mes cheveux et ajuste ma tenue vestimentaire. Je pousse la porte d'entrée de la maison. Les souvenirs affluent en mêlée et mes joues rosissent d’émotion. Soudain un bruit retentit dans le salon. Des pas rapides chantent sur le carrelage ancien. Alexandre est là, devant moi. Il est vêtu d'un jean délavé et une chemise blanche.
C’est simple mais classe et sexy ! J’esquisse un sourire. Il s'approche et me sert dans ses bras. Il dépose un délicat baiser sur mon front. Je l'embrasse fougueusement sur la bouche. Nous restons enlacés pendant de longues minutes. Aucune conversation ne vient troubler cet instant. Ses mains dans mon dos, me caressent. Une envie brutale naît en moi et Alexandre est lui aussi très excité. Je sens sa main remonter lentement sous ma jupe, en haut de ma cuisse. Il constate que je suis cul nu. J'attends qu'il agisse. Sa main se pose sur mon sexe. Sa paume me caresse. Le désir s’empare de moi. Il sait que j’ai envie. Un doigt se faufile et frôle mes lèvres. Le mirage renaît. Ses attouchements m'ont toujours procuré autant de plaisir. J'essaie de contrôler mes accès de plaisir. Une autre envie s’éveille en moi. Un deuxième doigt rejoint le premier. Ils investissent le trésor tant convoité. J'ai un sursaut de plaisir. Ils ont débusqué mon petit bouton rose. Alexandre le caresse de ses deux doigts, le roule, le titille. Il me connaît bien et sait faire grandir l'envie en moi. Mon sexe est trempé. Alexandre sait que mon orgasme est proche. Des frissons me parcourent. Je ne contrôle rien. Je jouis. J’aime quand il me masturbe et me fait atteindre le 7ème ciel, rien qu’avec ses doigts ! Je reprends mon souffle et mes esprits. Je le regarde et une nouvelle envie me prend. J’ai envie de lui, qu’il me fasse l’amour maintenant, tout de suite. Je pose ma main sur son entrejambe. Je le touche à travers le jean. Son membre déjà gonflé, réagit sous mes caresses. Je défais sa braguette et libère son sexe. Je le branle doucement. Sa queue grandit sous mes doigts. Je le masturbe de plus en plus vite. Nous ne pouvons attendre d’être dans la chambre. Nous nous jetons l’un sur l’autre, nous embrassons, nous touchons, nous caressons dans le salon. Plus rien ne nous retient et nos désirs réciproques mutent en une envie sauvage, quasi animale. J’ai une envie bestiale, violente de faire l’amour.
En quelques secondes nous sommes nus et nous basculons sur le canapé. Alexandre m’embrasse dans le cou. Il baise chaque centimètre de mon corps. Il s’occupe de mes seins, les masse. Ses doigts titillent mes tétons qui durcissent instantanément. Sa bouche s'empare d'eux et l'effet est immédiat. Je gémis de plaisir. J’aime qu'il s’occupe de mes seins, qu'il me les dévore. Doucement, une de ses mains descend le long de mon ventre. Il découvre mon sexe dégoulinant. Bien mouillée, deux, trois doigts entrent facilement. C’est l’extase. D’un coup, il se relève, m’allonge sur le canapé et vient se caler entre mes jambes. La bestialité vient de le rejoindre. Il me prend les deux mains, les remonte au-dessus de ma tête, colle son torse à ma poitrine. Je sens son souffle au creux de mon oreille. Du genou, il écarte mes jambes et me plante son dard, sans aucune précaution. Il me pistonne de plus en plus vite. Il veut aller au plus profond de moi. Je l’enlace de mes jambes. Je me cambre encore plus. Je veux qu'il entre au fond, qu'il bute au plus profond de mon ventre. Peu m'importe les douleurs de ses coups de butoir, je veux le sentir ! Il repose de tout son poids sur moi. Il me compresse la poitrine Je peine à respirer. Il me bloque les bras et je suis épinglée sur cette couche improvisée. Ses mouvements se font de plus en plus rapides et secs. Il alterne des mouvements de bassin plus lents avec d’autres plus saccadés. Puis il me donne de grands coups imprévus. Ils me surprennent, mais la douleur qu'ils provoquent apporte une jouissance exacerbée. Il accélère de plus en plus. J'essaie d'être la plus offerte possible. Il pousse un grognement que je ne connaissais pas jusqu'alors. Il jouit comme une bête. Mais, si mon plaisir est là, ma jouissance n'est pas au rendez-vous ! Il reste en moi le temps de reprendre son souffle. Il se dégage et sans une parcelle de tendresse s'en va dans la salle d'eau. Des larmes me montent aux yeux. Péniblement, je me lève et monte dans notre chambre. Je reste un grand moment sous la douche, puis je me couche.
Je m’éveille. Je suis seule dans mon lit. Alexandre n'a pas dormi avec moi. Je descends. La chambre d'amis est ouverte. Il est là. Il dort paisiblement. Je le regarde amoureusement. Comment notre couple va-t-il supporter cette triste aventure ? Je remonte dans la douche. J'ai la furieuse impression d'être sale. Soudain, deux mains se posent sur mes hanches. Il est là, derrière moi. Il me plaque contre la paroi glacée des carreaux. Une main dure cherche mon sexe. Elle écarte mes lèvres pour venir trouver mon petit bouton. J’écarte les cuisses en pour faciliter l'accès. Il me fouille sans rechercher mon plaisir. Le traitement qu'il m’inflige le fait bander. Il plie ses genoux et me pénètre. Il me saisit les mains, et les ramène dans mon dos. Je plonge vers l'avant. La position est inconfortable. Il commence par de longs va-et-vient. Je me cambre pour ne pas trop souffrir des pénétrations brutales. Mais contrairement à l'habitude, je commence à prendre du plaisir à cette manière peu cavalière de me faire l'amour. J'ondule du bassin. Pour qu’il me prenne plus profond, je me penche en avant. Dans cette position, je suis à lui toute entière. Il peut faire de moi ce qu’il veut. Les longs mouvements de va-et-vient ont laissé place à des coups plus courts, plus rapides. Je sens qu'il aime que je sois à sa merci. Sa queue durcit et gonfle de plus en plus en moi. Il ne va pas tarder à jouir… Pourtant curieusement, il sort de moi. Je pousse un gémissement de dépit. Mais il est vite avalé par la surprise qui m'attend. Son sexe est remonté dans ma raie des fesses et s'arrête sur mon anus. Jamais Alexandre n'a tenté de me sodomiser. L’effet de surprise m’excite d’autant plus. Sans attendre, il pousse me défonçant le cul. Il me le dit de manière ordurière :
• Là, maintenant tu es contente ! Tu es une belle enculée !
Il pousse son avantage dans mes entrailles. J'ai mal. Mais il s'en moque et me pilonne comme un malade. Je crie ma douleur. Rien n'y fait. Il n'arrête pas. Une bouffée de plaisir arrive. Puis deux poussées violentes et il se vide dans mon cul. Toujours sans précaution, il se retire. Une douleur nouvelle irradie ma rondelle. Son sperme coule entre mes cuisses… Je me retourne mais il est déjà parti.

Sandrine est revenue hier soir. Quand je l'ai vue, je n'ai pas pu me retenir. Je l'ai violé sur le canapé. Honteux, je l'ai laissé et j'ai dormi dans la chambre d'amis. J'ai bien réfléchi à ce début de semaine et à ses conséquences. J'adore quand ma femme est habillée sexy. J'adore que les hommes la regardent, la désirent. Mais depuis ce samedi, tout a changé en moi. Je vais choquer certaines personnes. J'ai aimé quand mon épouse a été prise par ces trois malfrats. Je suis bien incapable de dire pourquoi j'aime ça. Ce n'est peut-être pas normal, mais c'est ainsi ! Mais la plus grande surprise a été quand Sandrine s'est offerte, quand elle s'est donnée. Il m'est arrivé une chose incroyable : j'ai éjaculé dans mon slip quand elle s'est fait prendre, attachée. Autrement dit, je suis un cocu heureux. ! Mais comment Sandrine va-t-elle prendre ma situation ? Je n'ai qu'une solution : lui en parler. Après l'avoir violée et enculée dans la douche, je l'attends dans la cuisine. Elle se douche. J'entends ses talons claquer dans l'escalier. Elle arrive. Elle a pleuré. Je la prends dans mes bras et lui annonce :
• Nous devons discuter ensemble !
• Oui, je le pense…
• Veux-tu porter plainte contre ces trois hommes ?
• Ça ne va pas ! Alors comme cela, tout le monde sera au courant que je me suis faite violée, sodomisée, mettre plus bas que terre ! Il n'en est pas question ! Et toi, tous les hommes de la commune te traiteront de "cocu" ! C'est cela que tu veux ?
• Non bien sûr, mais…
• Pas de plainte !
• Ok ! Mais je dois te dire aussi une chose !
• Laquelle ?
• Je ne comprends pas pourquoi, mais je suis heureux ! J'ai pris du plaisir à te voir soumise à d'autres hommes… J'étais heureux de te voir prendre du plaisir, de jouir sous les queues de ces trois hommes qui te forçaient, qui t'obligeaient à subir leurs assauts !
Les yeux de Sandrine s'écarquillent et sa mâchoire inférieure en tombe d'étonnement :
• Quoi ? Tu as aimé me voir baiser, sodomiser, sucer ces trois hommes ?!
• Oui, je le reconnais !
Sandrine recule et s'assoit sur la première chaise à sa portée. Elle porte une nouvelle mini-jupe. Elle ouvre ses cuisses presque indécemment.
• Je n'en crois pas mes oreilles !
• Je dois te dire aussi que j'ai jouis quand ils t'ont prise dans la grange attachée ! J'en avais rêvé, mais je ne pensais pas un jour assister à ça…
Je nous sers un verre d'eau chacun pour avaler la chose. Sandrine me regarde. Il y a comme une minute de silence…
Sandrine se rapproche de moi et me chuchote à l'oreille :
• Moi aussi, j'ai aimé. Je n'ai jamais autant pris de plaisir que pendant ces quatre jours !
• Qu'allons-nous faire ?
• Je ne sais pas encore… Nous allons y réfléchir chacun de son côté et nous en discutons en début d'après-midi ?
Bien voilà ! C'est décidé. Sandrine allait-elle trouver une solution à nos problèmes ? Pour moi, je ne voyais pas de solutions dans l'immédiat. Je me dirige dans mon bureau et, la tête entre les mains, j'imagine des solutions plausibles, réalistes ! Attendre de longues minutes et penser à ce que nous pouvions faire ! Je reste presque une heure à attendre. L'ordinateur est là, à mes côtés. Le net, bien sûr ! Mais que chercher ? Où chercher ? Sandrine prépare le déjeuner. Je la vois vaquer à ses occupations ménagères à travers les balustres de l'escalier. Mais elle aussi tapote sur son PC. Il est presque midi lorsque ses pas résonnent sur l'escalier. Je la regarde arriver. Elle est toujours aussi belle, séduisante. Quand elle me regarde à son tour, j'ai l'impression de la redécouvrir. Il se dégage d'elle un je-ne-sais-quoi. Elle rayonne de plaisir, de bonheur. Elle a brisé toutes les chaînes, tous les tabous qui l'habitent. Soudainement, elle m’apparaît libre. Un large sourire anime son charmant visage. Elle s'assoit en face de moi, et d'une petite voix coquine, elle me dit :
• Je crois avoir trouvé une solution… Et toi ?
• Moi ..?
• Oui, toi ?
• Non ! Mais tu me dis que tu as trouvé une solution ?
• Oui, j'ai pensé que nous pourrions allez dans des clubs libertins…
• Des clubs échangistes ?
• … Oui !
• Euh... Ça va ?
Sandrine est assise sur mon bureau. Entre ses cuisses entrouvertes, je constate que ma femme n'a pas de culotte. Sa fente bien lisse est luisante d'humidité me laisse deviner son excitation. J'interroge Sandrine :
• Et tu es envie de le faire ?
• Ça dépend de toi ! Si tu es toujours d'accord, bien sûr !
Notre comportement est-il normal ? Il ne colle pas avec les principes d'un couple normal ni avec l'éducation que j'ai reçue. Mais je ne vois pas d'autre solution pour sauver notre couple. Je ne pensais pas que Sandrine serait prête à se rendre dans des clubs libertins. Avant toute cette histoire, j'avais envisagé cette idée pour que notre couple ne tombe pas dans la routine sexuelle. Mais la routine ne nous a jamais atteints ! Je comprends vraiment à quel point cette aventure a changé Sandrine. Quand nous nous sommes connus, elle était timide sur les choses du sexe. Après notre mariage, elle se libérait entre nous. Maintenant, elle se met à en parler comme si elle ne pense qu'à ça. Elle me questionne avec un ton un peu moqueur :
• Mais tu acceptes qu'un autre homme me saute sans que tu sautes une autre femme ??? Tu vas être "mon petit mari cocu"…
• Tu es bête… mais je t'aime…
• Quand commençons-nous ?
• Alors là tu me scotches, Sandrine ? Tu es tellement en manque ?
• Je ne sais pas ! Je veux essayer, mais je ne sais pas si le libertinage me satisfera…
• Que te manquera-t-il ?
• Je ne sais pas …
Ses yeux dans le vague, me disent qu'elle sait et qu'elle n'ose pas m'en parler… Nous verrons bien !
Aussitôt décidé, aussitôt fait ! Nous surfons sur le net. Les annonces de clubs libertins pullulent. Nous choisissons un club éloigné de notre région. Nous n'avons pas envie de rencontrer nos collègues de travail en petite tenue ou en position scabreuse ! Un club à plus de 200 km, nous attire. Sa présentation, sa discrétion, sa sophistication nous plaisent.

Le samedi suivant, nous nous rendons dans ce club. Avant de partir, Alexandre me conseille pour ma tenue :
• Une tenue sexy s'impose, non ? Mais je te laisse choisir ta tenue la plus adéquate ! Je suis sûr que tu feras le bon choix !
• Et si tu trouves que c'est trop provoque ?
• Tu assumeras !!
Je porte des talons hauts noirs, une mini-jupe en cuir noir, un string ficelle et un chemisier blanc transparent.
Je ne porte pas de soutien-gorge pour que mes seins puissent bouger librement et attirer les mains baladeuses…
Lorsque je sors de la chambre, les yeux d'Alexandre lui sortent de la tête. Il me met en garde :
• Tu vas te faire violer dès ton entrée !
• C'est bien pour cela que nous nous rendons là-bas !
La route est longue mais notre excitation nous aide à avaler les kilomètres. Nous arrivons enfin à destination. L'endroit est très classe. A l'entrée, un gardien nous accueille. Les entrées sont filtrées. Passée la haute et lourde grille de fer forgé du mur d'enceinte, nous avançons sur une allée bordée de platanes centenaires. Au bout de cette allée, une cour donne sur une grande demeure bourgeoise. Un parking est balisé. Le crissement feutré des cailloux blancs sous les roues de notre véhicule, donne une impression de luxe à l'endroit. Alexandre coupe le contact. Il se tourne vers moi :
• Prête ?
Après une légère inspiration discrète, je lui réponds :
• …Oui !
Je n'en mène pas large et je lis une petite angoisse dans ses yeux. Nos lèvres se rencontrent en un baiser passionné.
Nous nous séparons et partons vers la bâtisse. Le club est signalé dans une aile par un panneau lumineux. Une grande porte de bois sombre barre l'entrée. Alexandre sonne. Le battant pivote. Un colosse noir nous gratifie d’un sourire et nous demande nos coordonnées.
• Bonsoir Messieurs Dames ! Soyez les bienvenus ! Entrez ! Le club est sur la gauche !
Nous entrons dans le club. Une table nous est réservée. L'ambiance est soft, une musique très jazzy, un éclairage doux… La table à coté est occupée par un couple de notre âge. Il nous observe. Alexandre la détaille. Elle est brune, cheveux courts avec un très léger maquillage. Elle porte une robe noire très près du corps et des sandales hautes. Elle est dorée comme un petit pain. Un gentil sourire et mutin la rend attirante. Lui est châtain, cheveux courts. Un sourire charmeur éclaire son visage. Il porte une chemise beige et un pantalon ton sur ton. Nous lions connaissance. Sonia et Laurent sont de notre région. Ils habitent à 30 km de chez nous. Nous rions de ne pas nous connaître et faire une telle distance pour se rencontrer. Laurent ne se gêne pas et me détaille. Je prends un certain plaisir à être ainsi offerte à son regard. Sonia nous explique sa sexualité très libertine et que Laurent aime ça. Cela l'excite. A notre tour, nous leur expliquons pourquoi nous nous trouvions ici. Nous omettons volontairement l'épisode des trois malfrats. Sonia, pour mieux entendre notre conversation, s'assoit sur les genoux de Laurent. Elle l’embrassa goulûment. Notre discussion porte sur nos envies, nos souhaits. Laurent nous demande si nous voulons aller dans la salle du sous-sol. Ni Alexandre ni moi, ne savons ce qu'est cette salle ! Des couples empruntent l’escalier au bout de la piste, suivis par d’autres couples ou des hommes. Je suis bien auprès de toi. Tu atts ma main et tu m’entraînes vers les escaliers. Je suis inquiète mais pas incrédule. Je sais que nous allons dans un antre de débauche. Désir, curiosité, voyeurisme, sexualité débridée vont être au rendez-vous ! L'escalier baigne dans une pénombre feutrée.
Seuls quelques éclairages rouges nous permettent d'avancer. En bas de l'escalier, un couloir et plusieurs pièces sont ouvertes. Dans la première pièce, un couple se caresse mutuellement. Ils sont entièrement nus. A nos côtés, une femme suce son compagnon. Nous assistons à cette démonstration. C'est la première fois que nous sommes voyeurs ! Soudain je te sens respirer de plus en plus fort. Je constate que Sonia a dégagé ton sexe de ton pantalon et te suces à pleine bouche. Mais à cet instant, une main se glisse sous ma jupette. Elle remonte et découvre mes fesses. Le tissu est relevé sur mes hanches. Ma main s'accroche à la tienne. Lentement, la main inconnue se faufile entre mes cuisses. J'écarte mes pieds pour faciliter l'accès à mon ventre. Je regarde par-dessus mon épaule. C'est Laurent qui cherche mon sexe. Il le trouve, écarte mon string et découvre mon sexe bavant. Sonia n'a pas cessé son manège. Ton corps se tend brusquement. Tu gémis, ton souffle s’accélère. Sonia doit en avoir plein la bouche ! Je t’embrasse dans le cou, mon excitation est à son comble. Laurent continue. Ses doigts titillent mon clito et sa paume masse mon sexe. Le désir m’a envahi. Le plaisir arrive, tendre et agréable. Je suis heureuse. Nous revenons sur terre lentement. Nous nous enlaçons dans les bras d'un de l'autre. Notre plaisir a été décuplé par le franchissement des barrières de la bienséance. Mais il se fait tard. Nous échangeons nos coordonnées et nous repartons, tout excité.
Dans la voiture, Alexandre me demande :
• Alors que penses-tu de cette première soirée ?
• Apparemment, ils y trouvent leurs comptes. Certes, c'est un peu "hors normes", mais c'est leur vie et elle ressemble furieusement à la nôtre, non ?
• Oui, mais nous n'avons fait le saut ! Nous n'avons eu droit qu'à des caresses…
• Et toi tu accepterais que je couche avec un autre homme ?
Alexandre me répond avec un certain retard :
• Je ne veux pas que cela se passe dans un club avec des inconnus. Mais je ne serai pas contre pour un trio avec un homme que nous choisirons ensemble. Et toi tu as envie de coucher avec un autre homme ? ?
Je m'accorde un temps de réponse.
• Avant les trois bandits, je n'ai jamais connu un autre homme que toi. Mais l'idée m'a déjà traversé l'esprit. J'aimerais savoir comment font d'autres hommes… Mais je ne te tromperais qu'en ta présence et qu'avec ton accord !
Arrivés en fin de nuit à la maison, nous nous couchons avec un petit câlin. Le lendemain, Alexandre me réveille en me couvrant de baisers dans le cou.
• Tu es réveillé depuis longtemps ?
• Je te regarde dormir…
• Voyeur !
• Je pensais…
• Et à quoi pensais-tu ?
• Je voulais te demander de chercher un homme sur le net pour organiser une partie à trois…
• Je te l'ai déjà dit cette nuit ! Je suis d'accord !
Alexandre est instantanément en forme. Son sexe est au garde à vous ! J'aime bien quand il est ainsi ! Il repousse la couette. Je viens sur lui. Je sais qu'il aime cette position, celle dite d'Andromaque. J'aime moi aussi. Mes seins sont disponibles, mes fesses aussi. Je m’assois doucement sur lui. Son chibre me pénètre. Un gémissement franchit mes lèvres. Le plaisir de le sentir en moi me transporte. Ses mains flattent mes fesses. Mes seins s’agitent devant sa bouche. Il me tète un téton, puis l'autre. Alexandre grogne de plaisir. Je m’agite sur lui et lui m'empale de plus en plus vite. Sa queue me laboure comme une brute. Je jouis une première fois. Je me penche vers lui et l’embrasse fougueusement. Je suffoque tant le plaisir m’étreint. Alexandre me renverse, me retourne. Je me retrouve à quatre pattes. Il est derrière moi. Sa respiration rauque réchauffe mon cou. Son sexe est toujours planté en moi. Il me prend avec force. Je crie de nouveau. Ses mains empaument mes seins. Il pince mes tétons entre ses doigts. Je pars dans un délire de plaisir. Il s’arrête de me pilonner, me laissant dans une soudaine déconvenue. Je sais comment l'inciter à continuer. Je pose mes épaules sur le matelas et écarte mes fesses des deux mains. Je m'offre à lui. Ses mains s’accrochent à mes fesses. Ma position, les fesses en l'air, est une invite. Il me fait patienter. Je le supplie d'un gémissement. Il recommence. Ses mouvements sont lents, me faisant sentir chaque avancée dans mon ventre. Le bonheur et le plaisir se mêlent. Je l'implore :
• Continue ! Ne t'arrête surtout pas !
Il accélère lentement. Son ventre claque contre mes fesses. Je me cambre, m'offrant au maximum. Je jouis de nouveau. Je perds pied, conscience. Son corps se crispe et il se vide en moi. Nous nous affalons sur le lit, transpirants. Il me prend dans ses bras. Je suis bien. Mais pourtant, il me manque quelque chose. Je ne lui en ai pas encore parlé. Il me manque la soumission !
Après notre petit-déjeuner, nous surfons de nouveau. Une annonce nous accroche, l'un comme l'autre. Nous envoyons un mail. Quelques secondes plus tard, une réponse arrive. Xavier se présente. Il habite à une vingtaine de kilomètres. Nos papotons et expliquons nos envies respectives. C'est un libertin. Il aime rencontrer des couples et jouer le troisième larron. Pour plus de commodité, nous décidons de passer au téléphone. Xavier a une voix agréable. Pour faire plus ample connaissance, nous nous fixons un rendez-vous ce soir, dans un parc de notre petite ville. J'ai hâte d'être à ce soir.
19 heures, nous sommes au bord du lac. J'ai mis ma petite robe blanche. Elle est courte et me moule comme une seconde peau. Un string couleur chair et des sandales hautes complètent ma tenue. Alexandre est en jeans et tee-shirt noirs. Ces tenues sont nos signes de ralliement. Un homme arrive. C'est un très beau noir. Vêtu d'un pantalon blanc et d'un polo blanc, il est séduisant. La première surprise passée, notre conversation est simple, mais très concrète. Xavier me fait rire de ses aventures passées et de ses fiascos. Il se fait tard et il nous invite à dîner dans une auberge non loin de là. Alexandre propose plutôt de dîner chez nous. J'en suis baba !
Pour qu'il ne se perde pas, il me demande de monter avec lui. Il me stupéfait une nouvelle fois. Je pars avec Xavier. Un coupé de marque italienne nous emmène chez nous. Malgré ma robe courte qui remonte très haut sur mes cuisses, Xavier n'a aucun geste déplacé. Il me le fait savoir :
• Vous m'offrez un spectacle magnifique, Sandrine, mais je ne fais que regarder. J'en profiterais avec Alexandre seulement.
Alexandre a vite organisé le dîner. Des grillades, une bonne bouteille et des glaces. Xavier se révèle un très bon compagnon. La soirée est très agréable, mais rien ne se passe. Alexandre a-t-il peur que je change d'avis ? Xavier n'ose pas déclarer le début des "hostilités" ? Alexandre s'est levé pour offrir des alcools. J'ai eu droit à un petite dose de Génépi et eux à du Cognac Vieille Réserve. Il nous invite à prendre place au salon. En reposant les bouteilles, Alexandre a mis un CD de jazz en sourdine. Les hommes s'installent dans le canapé. Je m'assois dans le fauteuil qui leur fait face. Ma robe remonte haut. Ils me déshabillent du regard. Alexandre interroge Xavier :
• Comment trouves-tu Sandrine ?
• Elle est merveilleuse… Dans le trajet de retour, elle m'a fait admirer ses jolies jambes… mais j'espère la connaître beaucoup mieux d'ici quelques minutes…, si tu le veux bien, Alexandre ?
• Nous sommes là pour cela et Sandrine est tout à fait d'accord, n'est-ce-pas ma chérie ?
Je rosis et hoche la tête en signe d'acquiescement… Je me lève et me place sur le tapis devant la cheminée. Je me caresse les épaules. Mes mains courent sur mon corps. Aucun des deux hommes ne parle. Il ne fait pas froid, mais la température vient de monter dans les pantalons masculins. Je fais glisser les bretelles fines de ma robe. Mes épaules nues et dorées sont libres. Je bouge un peu pour que le tissu chute doucement. Mes seins volumineux bloquent la chute. Les regards masculins me transpercent. Je tire le tissu vers le bas. Mes seins apparaissent, ronds et dorés aussi. Je lâche ma robe qui choit à mes pieds. Je suis en string chair et en sandales hautes devant deux hommes ! Volontairement ! Être à la merci de ces deux hommes fait monter en moi le plaisir. C'est cette sensation d'être offerte, donnée jetée en pâture à des hommes en manque qui me plaît ! Je place mes bras dans mon dos, fait un tour sur mes pieds pour offrir mon corps aux regards salaces.
• Alors, messieurs, est-ce-que je vous plais ?
Apparemment, oui ! Vous vous levez et venez m'entourer. Vos mains me découvrent, me caressent. Je vous touche. D'une main, je détache les boutons de ta chemise et de l'autre, glisse sous le polo de Xavier.sa peau est incroyablement douce. Pour ne pas être en reste vous vous dépouillez de vos vêtements. Xavier est déjà en slip. Une bosse énorme et presque inquiétante déforme le tissu. Toi, tu te débarrasse d'un coup. Tu es nu. Je me penche vers ton sexe. Tu émets un long râle lorsque je te prends en bouche. Je te suce doucement, lentement. Penchée, j'offre une magnifique vue sur mon arrière train, mon cul rond, et ma chatte toute nue, épilée avec soins. Depuis que les trois malfrats me l'ont imposé, je le fais avec un plaisir non dissimulé. Ta main gauche descend le long de mon corps jusqu'à mes fesses. Elle remonte sur mon dos et cueille mon sein. Je gémis. Tu me caresse les seins. Xavier est dans mon dos. Ses mains se promène mon dos et découvre mes fesses. Elles sont très caressantes et chaudes. Je tortille un peu les fesses pour l'inciter à plus de choses. Le message est bien passé. Lentement, ses doigts se glissent dans ma raie des fesses. Ils descendent et trouvent mon sexe inondé. Ils mènent une sarabande effrénée. Je frémis sous toutes ces caresses. Je me cambre. Les doigts de Xavier font des miracles. Il se positionne et son gland vient taper contre mes fesses. Il va me pénétrer en levrette. Je le saisis de la main pour le guider. Son gland se pose sur mon sexe dégoulinant. Un gémissement étouffé par le sexe d'Alexandre marque l'intromission de Xavier. Ouah ! Il est bigrement bien monté. Il commence à aller et venir en moi. Je pousse de petits cris de plaisir. J’aimerai que cet échange ne cesse pas. Cette séance provoque une tempête dans tout mon corps. Je te regarde. Tu fixes Xavier avec une satisfaction dans les yeux. Vu sa possession puissante de mon sexe, il ne doit pas être indifférent à mon corps. Il me prend lentement. Pendant une seconde je suis interloquée. Je ne me reconnais pas. Je me fais baiser par un homme alors que je suce mon mari. Mais très rapidement, le plaisir chasse ce sentiment de honte. Je me lâche et vis intensément mon plaisir. Tous mes tabous et mes réticences s’effondrent. Pour l'instant, adieu à mon éducation judéo-chrétienne. Seul compte mon plaisir. Les mouvements de Xavier se font plus rapides et plus musclés. Je gémis de plaisir et parfois aussi un peu de douleur. Xavier est très long et bute contre le col de mon utérus. Ce plaisir fait que je m'applique encore plus à ma fellation. Le plaisir monte et la boule dans mon ventre se fait plus présente. Je suis prête à exploser. Mais c'est toi, mon mari qui explose en premier, inondant ma bouche de ta semence. Je peine à avaler tellement tu te vides. Il y a bien longtemps que tu ne t'es vidé ainsi. Xavier pousse une nouvelle fois bien à fond et me tapisse le ventre de son jus. C'est là que je perds pied. Je ne sais plus où j'en suis. Je crie et perds l'équilibre. Vos mains sur mes épaules et sur mes fesses me stabilisent. Nous restons dans cette position, le temps de reprendre conscience. Des papillons noirs brouillent ma vue. Affalés sur le tapis. Xavier est toujours dans ma chatte, sa queue noire ne perdant pas de sa rigidité. Je te reprends en bouche pour te nettoyer. Quelques minutes plus tard, tu es propre comme un sous neuf. Xavier se retire. Je l'appelle :
• Donne-moi la que je te nettoie toi aussi…
J'embouche cette merveilleuse chose brune au gland rouge grenat. Il y a bien longtemps que je n'ai eu un orgasme aussi puissant. Nous prenons une douche ensembles. Puis Xavier, très classe prend congé de nous. Bien entendu avec la promesse de recommencer dès que nous le souhaiterons. Nous nous couchons. Demain il faut aller au travail !
Je remercie Alexandre. Je l'aime plus que tout, Je suis heureuse avec mon mari, mais les intermèdes avec un autre homme me comblent. Mon mari est toujours mon mari pour l'amour bonheur et mes amants de passage sont pour le sexe pur !
Nous venons de basculer dans ce que certains couples, appellent l'immoralité, la perversité, la débauche ! Je m'en moque ! Nous y prenons beaucoup de plaisir l'un et l'autre !

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