Le Nain

Le Vieux Moulin. Prochaine route à droite, à gauche au calvaire et c’est la dernière maison sur la droite. Voilà, j’y suis. Je coupe le contact. Je chausse mon masque, mesures barrières liées à l’épidémie obligent. J’att mon sac et je me dirige vers la maison. Je sonne, et sans attendre la réponse, je rentre dans la maison. Josette Lepré m’accueille. La cinquantaine, fille de la campagne, elle reste coquette malgré quelques kilos en trop. « Bonjour Mathilde, je vous ai fait venir pour mon cousin Claude. Il habite en région parisienne, mais avec le confinement, il a préféré venir chez nous. Il y est mieux que dans son petit appartement. Il a des soins à faire. Il est dans le salon, il vous attend. »
« Bonjour Mathilde. C’est toi l’infirmière ? Moi, c’est Claude. » Je me retourne prête à remettre à sa place celui qui me tutoie. Mon regard doit descendre pour découvrir un…nain. Je suis surprise, c’est la première fois que j’en vois un en vrai. Son visage n’est pas trop marqué. Le sommet de son crâne arrive à peu près au niveau de ma poitrine. Il parait bien charpenté. Bizarre comme sensation. Une sorte d’adulte en miniature. « Bon, je vais sur le canapé ». En marchant vers le fond du salon, il enlève son pull. Avant de s’assoir, il fait glisser son pantalon de survêtement. Il n’a pas de slip. Son sexe, libéré, se redresse à l’horizontal. Combien mesure-t-il ce petit sexe ? Huit ? peut-être neuf centimètres ? Pourtant, son diamètre est semblable à celui d’un adulte. Bizarre. Et troublant. Il étale une serviette et s’allonge. Il a été opéré d’une hernie inguinale. Sa cicatrice est près de l’aine. J’ai donc sa verge sous les yeux. Pendant que je défais le pansement, je vois le sexe se redresser tout seul. Il semble s’être allongé. Douze centimètres ? Non, sans doute un peu moins. A peine dix. Curieusement, je me sens troublée. Je me concentre sur mon soin. La verge reste bandée. « Bon, voilà c’est terminé. Je reviens demain. Au revoir Claude.

» Il me répond « Salut Mathilde. A demain ! Merci !» Je termine ma tournée. Je suis troublée par cette situation. Ce nain, sans pudeur, et sa verge miniature à demi bandée qu’il exhibe presque naturellement et qui semble avoir une vie propre. Troublant.
Le lendemain, ma tournée étant la même, c’est vers dix-sept heures que je sonne chez les Lepré. Même rituel, Claude m’accueille avec le sourire. Je le regarde se déshabiller. Sa verge est comme hier, à l’horizontale. Elle parait semi-rigide. Je suis de nouveau troublée. Il faut que je me concentre. Néanmoins, mon regard glisse régulièrement vers le sexe. Je le vois se redresser. D’un geste négligent, Claude tire dessus et dégage le gland. « Alors Mathilde, tu te rinces l’œil ? Elle te plait ma petite queue ? Tu peux la toucher tu sais. Elle est petite mais chaude et redoutable. » Ses paroles m’électrisent. Je sens que je mouille. « Même pas en rêve ! Claude, même pas en rêve ». Je n’ai trouvé que ça à répondre. Je finis le pansement, je me lève et quitte la pièce sans un regard pour lui. Je m’en veux de me laisser attirer. C’est absurde. Je dois me ressaisir.
Josette m’attend dehors. Son mari arrache des mauvaises herbes juste à côté. « Alors, comment tu le trouves mon cousin ? Il est marrant, hein ? Et puis tu as vu sa petite queue, elle est droite tout le temps, même quand il ne bande pas. C’est comme ça depuis qu’il est petit. Enfin, si on peut dire, hein ! Et bien avec, il peut te pénétrer n’importe quand. Et il peut durer longtemps. Très longtemps. Il éjacule rapidement mais l’avantage, c’est qu’après il reste droit et il peut continuer à limer juste pour ton plaisir. Et recommencer encore. Pendant des heures si tu aimes. Tu verras quand tu y passeras. Tu vas adorer » Je la regarde. A-t-elle perçu mon trouble ? « Ecoutez Josette. Je n’ai aucune envie de tester quoi que ce soit avec votre cousin. Je vous rappelle que nous sommes en période d’épidémie et de confinement et que les...rapprochements sont mal venus.
» Je n’ai trouvé que ça à répondre. Josette me répond « Ah oui. C’est à cause de l’épidémie ! Sinon tu irais hein ? De toute façon tu vas y passer. Je suis certaine qu’au fond de toi tu as envie de goûter à sa petite queue magique. Tiens, ta collègue Véronique. Et bien l’an dernier, en août, elle est venue le soigner après sa brûlure. Et bien elle y est passée. « Je la regarde, interloquée. Je suis sûre qu’elle bluffe. « Véro ? Non. Impossible. Pas elle. « « Impossible ? Je te rappelle qu’elle est divorcée. Donc en manque d’homme. Moi non plus je n’y croyais pas avec son côté in peu catho coincée. Et puis pourtant, je la revois allongée sur le canapé, son pantalon et sa petite culotte en vrac sur le tapis et mon Claude qui la besognait dur. Je le sais, je les ai vus. Et entendus. Et elle chantait bien ! Tu n’auras qu’à lui demander à ta collègue. Bon, je ne te retarde pas. Mais pense à ce que je t’ai dit : tu vas y passer ma chérie. Il te veut, il t’aura. Il les a toutes. ». Visiblement Josette sait de quoi elle parle. Elle doit y passer aussi. Et elle en parle librement devant son mari.
Je termine la tournée. Je suis furieuse de m’être laissée embobiner. Josette fabule, elle se fiche de moi. Je passe chez Véronique pour lui faire les transmissions. C’est elle qui fait le weekend. Quand je lui cite le nom de Claude et le soin à faire, je la vois piquer un fard. Elle ne fait aucun commentaire et change rapidement de sujet. Josette dirait-elle vrai ?
Je passe mon weekend à désherber. Au moins le jardin profite du confinement. Dimanche soir, Véronique me fait les transmissions. J’attends qu’elle parle du nain, mais c’est à peine si elle l’évoque rapidement. Comme si gênée elle voulait éluder le sujet.
Lundi. Je me surprends à attendre l’après-midi. La tournée est plus légère, deux patients en moins. Ils ont terminé leurs soins. J’arrive au Vieux Moulin. Je sonne et rentre. Claude m’attend. Il me délivre un grand sourire. « Alors Mathilde.
Quand est-ce que tu goûtes ma queue ? J’aurais bien régalé Véronique ce weekend mais elle a fait sa mijaurée. Et pourtant elle avait bien aimé l’année dernière. « Je le regarde avec un même grand sourire et m’abstiens de lui répondre. Il se déshabille. Il bande déjà. Le gland est décalotté, violacé. Son sexe est agité de petites secousses. « Tu vois Mathilde, tu me fais de l’effet. Suce-moi. » Cette fois, il va trop loin. « Monsieur Claude, je suis ici pour vous faire vos soins. Pas pour autre chose. Est-ce clair ? » Toujours son sourire. « C’est clair Madame Mathilde. Parfaitement clair. Allez-y. Faites votre travail. » Je me concentre sur le soin. Mais je ne peux m’empêcher de regarder son sexe. Un sexe d’ mais en plus large. Avec un gland d’adulte. Un gland au bout duquel perle une goutte. Je me demande quel goût il a. A ma grande honte, je sens que les pointes de mes seins se dressent et que mon sexe s’humidifie. Je termine le soin. Je me relève. « Six fois » me dit-il. « Six fois quoi ? » « Six fois que tu as regardé ma bite. Tu avais le regard brillant. Ça ne trompe pas. Ne dis pas le contraire. A chaque fois que tu viens, tu regardes mon sexe. Et moi je n’ai pas vu le tien. Je voudrais le voir. Je suis sûr qu’il est tout lisse, tout doux et tout trempé. Demain, viens en jupe. » Je le foudroie du regard. « Je te l’ai déjà dit : même pas en rêve. » Et je tourne les talons.
Mardi. Les soins finissent demain. Ouf, car je me sens déstabilisée. Heureusement qu’il y a cette épidémie. Dieu seul sait ce que j’aurais été capable de faire. « Salut Mathilde. Ce n’est pas bien, tu n’as pas mis de jupe. Moi qui voulais voir ta chatte. Mais tant pis, fais tes soins et mate autant que tu veux. Regarde je bande pour toi. Profite ! »
Mercredi. C’est la dernière fois que je vois Claude. Le pauvre. Finalement je le plains. Quelle vie peut-il avoir dans ce monde d’adultes fait pour les grands ? N’a-t-il pas que des fantasmes ou des chimères pour vivre ? Je vais lui faire plaisir.
Exceptionnellement, je vais faire ma tournée en jupe. Je choisis une jupe qui s’arrête en dessous des genoux. Des collants gris foncé. Je décide par jeu de ne pas mettre de culotte. Je me regarde dans la glace. Mon sexe épilé se voit nettement sous le nylon. Je m’accroupis et écarte les jambes. Mon sexe est bien visible, la fente plaquée contre le nylon. J’ai téléphoné pour dire que je passerai à dix-huit heures trente. En fait, je termine par lui. Toute l’après-midi, le frottement du nylon contre mon sexe nu m’électrise. J’arrive chez les Lepré. Josette me voit et me fait un clin d’œil. « Coquine, tu as mis une jupe. Tu vois, tu lui obéis. Tu vas l’exciter avec tes jolies jambes. » Claude me jauge à mon arrivée, un grand sourire désarmant aux lèvres. Me fixant du regard, il se déshabille lentement. Son sexe bande et se tient droit contre son ventre. Claude me fixe des yeux pendant que sa main droite empoigne sa verge et entreprend de se caresser doucement. « Viens Mathilde, viens me faire mon dernier pansement. Viens maintenant. » Je m’approche de lui et m’accroupis au pied du divan. Dans le mouvement, ma jupe est remontée au-dessus des genoux. Je regarde son sexe qui pulse à quelques centimètres de moi. Lui, fixe mes jambes gainées de nylon. Je prends mon temps. « Mathilde, je suis certain que tu n’as pas mis de culotte. Tu as mis des bas ? Tu me montres ? « A la fin du soin, avant de me relever, j’écarte largement les cuisses. Je reste ainsi une dizaine de secondes. Les yeux braqués sur mon entre-jambe, il doit apercevoir mon sexe au travers du nylon. « Il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte. J’ai été ravie de te connaitre Claude. Bonne continuation. » Il me fixe des yeux « Moi aussi Mathilde, j’ai été ravi de faire ta connaissance. Je reviens cet été pour les vacances. On jouera l’acte deux. Merci pour ta gentillesse. » Je pars à regret. Josette m’attend dehors. « Tu envoies ta facture. Je te paierai et Claude me remboursera. Fichu virus, hein ? Sans lui à mon avis tu te faisais sauter. D’ailleurs tu en crèves d’envie ça se voit. Je suis prête à parier que tu n’as pas mis de culotte et que tu es trempée. Dans ton état tu vas te donner du plaisir dans ta voiture, c’est sûr. Bon, dès qu’il vient cet été je t’envoie un texto. Bye Mathilde ». Au moment où je monte en voiture, Josette saisit l’arrière de ma jupe et la retrousse. « Gagné ! Tu n’as pas de culotte. Tu as de belles jambes et un beau cul. Tu vois ça Jean ? Tu aimerais en profiter hein ? Un beau cul comme ça !» Je tourne la tête. Son mari fixe mes fesses un sourire aux lèvres. Josette laisse retomber ma jupe.
Le travail continue. Parfois, je me donne du plaisir en pensant à Claude. Le confinement prend fin, la liberté de bouger est de nouveau là. Je pense souvent à Claude. Josette a raison : je vais y passer. J’en ai envie. Je veux goûter à cette petite queue incongrue. Je n’oublie pas le regard prometteur de Jean sur mes fesses. Je suis certaine qu’il essaiera lui aussi de profiter de la situation.
Douze août. Il est dix heures. C’est un mercredi et je ne travaille pas. Mon téléphone vibre. Je regarde. C’est un texto. Le numéro qui s’affiche ne me dit rien. J’ouvre. « Claude arrivé. C’est le moment de passer à l’action, tu n’as plus d’excuses ma belle. Tu ne le regretteras pas. Josette ».
Elle a raison. C’est le moment de passer à l’action. Quatre mois que j’attends ce moment. J’ai un peu peur quand même. Je déjeune rapidement. Douche, léger maquillage. Je me plante devant la penderie. Je choisis un string noir et une courte robe légère de la même couleur qui m’arrive à mi-cuisses, tenue par deux fines bretelles. Mes seins nus se devinent aisément sous le fin tissu. Des ballerines aux pieds. Je voulais attendre dix-sept heures mais je n’ai pas la patience d’attendre. Je parcours les quinze kilomètres sans réfléchir. Je m’arrête devant la maison. Je sonne et je rentre. Je sens que mon sexe ruisselle déjà. Claude est assis dans le canapé. Son visage s’éclaire. Il saute à terre. Il est torse nu, vêtu d’un short dont le devant est déformé par une bosse prometteuse. Il vient et se colle contre moi. Sa tête repose contre le haut de mon ventre, juste sous mes seins. « Tu es venue. Je le savais. Tu vas jouir. Beaucoup. » Il passe ses mains autour de mes reins. Je sens ses mains glisser sur mes fesses et les caresser. Ses mains glissent sous ma courte robe, caressant les globes dénudés. Ses mains attnt mon string et le font glisser vers le bas. Il joue déjà de ses doigts agiles sur mon sexe trempé. Il s’écarte légèrement de moi. Se hissant sur la pointe des pieds, il att les bretelles de ma robe et les fait glisser. Il tire vers le bas. La robe tombe en corolle à mes pieds. Rapidement, il se débarrasse de son short. Sa verge pulse, luisante. Il me fait tourner sur moi-même. Au passage, il lèche mon sexe et mes fesses. Je sens sa langue qui s’attarde et mouille ma vulve et mon anus. Je comprends qu’il me prépare. Mon sexe dégouline. Je le guide vers le canapé et lui demande de se mettre debout dessus. Je me mets sur les genoux et j’approche mes lèvres de sa queue. Cette queue qui me fait fantasmer depuis des mois. Curieuse impression de l’engloutir entièrement et de ne pas la sentir cogner contre le fond de la bouche. Je le suce d’abord lentement, tournant autour du gland puis de plus en plus rapidement. Il grossit encore un peu et devient raide et dur. Il halète doucement. Il me bascule sur le canapé. Il plonge sa langue dans mon sexe détrempé, l’enfonçant le plus loin qu’il peut. Il me lèche longtemps, préparant le terrain. Ma respiration s’accélère, je gémis. Excitée, je caresse fébrilement mes seins, étirant les pointes durcies. Il tire mes jambes. Il est debout et son sexe, drapé d’un préservatif se présente à l’entrée de mon vagin ruisselant. Il a relevé une de mes jambes. Il est à bonne hauteur. Il me pénètre d’un coup. Etrange sensation. Celui d’un sexe très court mais de bon calibre. Il donne des coups de reins. Je le sens se crisper brusquement. Je comprends qu’il vient d’éjaculer. Mais il reprend son rythme. C’est à peine s’il a débandé. Un mouvement sur ma droite me fait tourner la tête. Dans l’embrasure de la porte de cuisine, Josette et Jean, ne perdent pas une miette de la scène. Ils sont entièrement nus, Jean derrière Josette, leurs mouvements ne laissent pas de mystère quant à leur occupation. Ils baisent en nous regardant. Depuis combien de temps sont-ils là ? Je reporte mon attention sur Claude. Il continue à me limer. Je lance mon bassin à la rencontre du sien, allant à la rencontre du plaisir. Claude se retire, il me fait m’allonger sur le ventre et place un coussin sous mon bassin. Il écarte mes cuisses et retrouve son chemin dans mon sexe dilaté. Il semble infatigable. Il parait moins dur. Mais terriblement présent quand même. C’est sa façon de me prendre en levrette. Je sens son ventre claquer contre mes fesses. Il me retourne à nouveau. Josette et Jean se sont approchés. Jean bande. Son sexe est de belle taille, long et épais. Je comprends qu’il veut lui aussi se mêler à la fête et récolter sa part de gâteau. Claude s’allonge sur le canapé et me demande de m’allonger sur lui. Il a repris de la vigueur. Je m’empale sur sa queue. Je sens une main sur mes fesses. C’est Josette qui me caresse et écarte doucement mes globes fessiers. Un doigt sur ma rosette. Elle appuie doucement et la phalange ouvre mon anus. Son doigt s’enfonce, bientôt rejoint par un deuxième. Quelques mouvements de va et vient pour me dilater. Soudain, je sens le canapé bouger. Je tourne la tête. Jean se place derrière moi. Josette le guide. Son sexe appuie contre mon œillet. Il pousse et rentre doucement. Me voilà prise par devant et par derrière. Les deux sexes glissent en moi en cadence. Josette att mes seins et les caresse. Je sens le plaisir naitre au fond de mon ventre. J’halète doucement. Josette a délaissé mes seins. Sa main se faufile entre nos corps et déniche mon clitoris. Cette fois, le plaisir arrive, déferle en moi. Je me contorsionne dans tous les sens telle une possédée. Mon bassin se décolle du canapé. Je donne des coups de reins désordonnés. Je jouis dans un long cri rauque ininterrompu. Mes deux amants se sont dégagés. Jean enlève son préservatif et se branle au-dessus de ma poitrine. Il jouit à son tour m’aspergeant d’une quantité importante de sperme. Claude présente son sexe à mes lèvres. Il promène le gland sur ma bouche. Josette le tire vers elle. Elle s’allonge sur le tapis et ouvre largement le compas de ses cuisses, réclamant sa part. Il la pénètre à son tour. Etrange tableau d’une femme allongée, prise par un nain à genou. Ils prennent du plaisir. Claude est infatigable. Il jouit mais ne ralentit pas sa chevauchée pour autant. Jean a récupéré. Son glaive triomphant pointe dans ma direction. Il s’allonge sur le côté derrière moi. Je soulève une jambe et le guide en moi dans ma chatte. Il se met en mouvement. Ayant joui tout à l’heure, il sait qu’il a du temps devant lui. Il regarde sa femme se faire prendre par Claude et calque son rythme sur celui du nain. Nous revisitons le kamasutra. Il ne me ménage pas. Mes seins me font mal à force d’être triturés. Ses coups de rein me font sombrer. L’orgasme nous saisit tous ensemble dans un concert de râles et de cris.
J’ai à peine le temps de récupérer que Claude, le sexe toujours raide se place entre mes cuisses et me prend une nouvelle fois. La joute dure longtemps. Il me tient aux hanches et se propulse en moi. Je noue mes cuisses autour de ses reins. Il me baise vigoureusement. Je jouis et rejouis de ses coups de boutoir.
La fête est finie, mais quelle fête. Elle aura duré presque quatre heures. Epuisée, je me rhabille. Je ne retrouve pas mon string. Josette me raccompagne jusqu’à la voiture. « Je savais que tu viendrais. Tu vois, on ne résiste pas à Claude. Et tu as apprécié. Mais dis-donc, quelle salope tu es. On croirait pas à te voir. T’es chaude comme la braise. Mon Jean s’est régalé. Et c’est rare qu’il participe. Reviens quand tu veux. ».
Je suis revenue plusieurs fois. Quand Claude a regagné la région parisienne, j’ai continué à fréquenter épisodiquement le Vieux Moulin, jouissant sous les coups de boutoir de Jean ou la langue habile de Josette. En attendant le retour du nain….

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