Le Chemin

La musique est si forte que je peux à peine m'entendre penser. Les vibrations des basses pulsent dans ma poitrine.
L’immense salle de ce club est sombre, la luminosité est assurée par des spots tournants et des flashes de lumière vive.
Je m'assois au bout du bar, dans un recoin le long du mur, pour siroter ma bière. 
Je regarde la piste de danse avec tous ces corps féminins qui se trémoussent au rythme de la musique. 
C’est ce que je préfère. C’est mon kif. Mon activité favorite.
M’asseoir dans un coin, siroter une bonne bière en regardant les filles tortiller leur cul et balancer leurs seins.
Certaines sont vraiment bandantes à regarder. Sapées comme des salopes, maquillées comme des voitures volées.
Je goûte une autre gorgée de ma bière, délicieuse, et mon regard fait le tour de la pièce, comme une sorte d’inventaire panoramique, pour voir si quelque chose de bien m’aurait échappé ...

Elle est assise à une tablée de plusieurs filles. Elle regarde dans ma direction … Non, elle me regarde !
Elle me fixe, les yeux dans les yeux. Nous sommes à plus de dix mètres l'un de l'autre mais je distingue parfaitement son regard. Ses yeux sombres me scrutent, m’évaluent. Elle me regarde comme un mec regarde une fille.
Cherchant à évaluer mon potentiel. Savoir si ce qu’elle a sous les yeux vaut le coup … ou pas ?
Quand elle s’aperçoit qu’elle a attiré mon attention, elle sourit. Un sourire narquois, espiègle et in à la fois.
Elle pose son verre, glisse un mot à l’attention de ses copines, se lève, et vient droit sur moi !
Je suis perdu. Tétanisé. Je n’ai jamais subi l’attaque directe d’une fille. Pire que le pire des machos !

Le temps qu’elle franchisse l’espace qui nous sépare, je contemple sa silhouette.
Elle est splendide. Sa peau mate, ses longs cheveux noirs, sa taille élancée, ses courbes parfaites.
Ses proportions sont idéales, la poitrine saillante haut perchée, les hanches évasées.

Il n’y a rien à jeter !
Le plus incroyable, c’est son regard, magnétique, envoûtant, ensorcelant.

Je n’arrive pas à croire qu’une telle déesse puisse s’intéresser à moi, misérable vermisseau.
Elle se plante devant moi et me dit : "si vous êtes libre ce soir, j’ai envie de danser ...".
Je la regarde, faisant de mon mieux pour avoir l’air d’un séducteur, et je lui dis : "Heu … Blé-heu ..."
Son sourire s’agrandit et, malgré mon air idiot, elle me fait signe de vider ma bière.
Je descend mon verre d’un trait et, toujours souriante, elle att ma main, m’aide à descendre du tabouret et m’entraîne derrière elle en direction de la piste de danse. On dirait une infirmière s’occupant d’un handicapé.

Je ne peux m'empêcher de m’interroger sur ma chance qu'une telle beauté s'intéresse à moi.
Et sur son approche d’une telle intensité. Un abordage à la hussarde, aussi subtile qu’un coup de massue !

Elle me tourne le dos et se colle contre moi, ondulant de la croupe sur la musique, son cul frôlant doucement mon ventre. Le rythme de la musique change et elle tend les mains derrière elle, m’att les poignets et les tire pour poser mes mains sur son ventre. Elle écrase et fusionne son cul dans mon entrejambe. Le rythme s’emballe. 
Je passe mes mains le long de son corps, découvrant ses courbes, ma bite devient douloureusement raide, il n'y a aucun moyen qu'elle ne puisse pas se rendre compte de mon état. Je bande comme un cerf et mon érection se presse entre ses fesses. Je suis en sueur, je n’ai qu’une idée en tête : faut que je la nique !

Nous dansons ensemble pendant une éternité, sans changer de position, juste de tempo.
Ses fesses sont à la fois toniques et moelleuses ; c’est la première fois que je tombe amoureux d’un cul !
Alors que j’envisage sérieusement de la violer au milieu de la piste de danse, elle décide qu’il est temps de partir. 

Nous sortons du club bras dessus bras dessous et elle me guide dans les rues jusqu'à son immeuble.
 
Digicode. Nous entrons dans un hall cossu. Ascenseur privé. Nouveau digicode.
Un court trajet, nous accédons directement dans un vaste et luxueux appartement.
Dire que je suis étonné est un mot faible. Je suis abasourdi, émerveillé, ébahi, ...

Elle att ma main pour me guider vers un grand canapé en cuir noir et me pousse doucement sur les coussins profonds et doux. Elle me chevauche et commence alors à chanter une douce mélopée, ses paupières clignotent lentement en établissant un contact visuel pénétrant avec mes yeux.
Puis ses yeux se révulsent tandis que son chant devient juste un chuchotement. 
Soudain, ses yeux s'ouvrent et elle claque des doigts. Je ne peux plus bouger. 
Je suis parfaitement détendu mais tétanisé. Malgré tous mes efforts, je ne peux plus esquisser le moindre geste.
Mon cerveau ne commande plus mes muscles, ni mes bras ni mes jambes. Plus rien ne fonctionne.

Elle sourit de ce même curieux sourire narquois qu'elle m'adressa au bar, dangereusement charmante.
Elle se penche sur moi, ses seins effleurent ma poitrine, ses lèvres frôlent ma bouche, elle me chuchote :
"Maintenant, tu es en mon pouvoir … !"
Elle se lève lentement en me caressant la joue comme on flatte un animal de compagnie, et j'entends sa voix douce et sensuelle m’expliquer :
"Puisque tu as accepté de me suivre jusque chez moi, tu es devenu ma propriété en entrant ici. Je descend d’une longue lignée de fées. J’ai beaucoup de pouvoir sur les hommes et j’aime m’en servir. Désormais, tu m’appartiens.
Tu seras mon jouet, mon animal de compagnie. Tant que je le désirerai, tu seras à moi et tu feras tout ce que je veux."

Elle se dirige vers un bar, verse le contenu d’une petite carafe dans un verre.
"Bois ! Cela te donnera des forces pour me servir toute la nuit !"
Elle verse le liquide sombre dans ma bouche. J'avale. C’est amer, visqueux, dégueulasse !

"Voilà ! Maintenant, toutes tes pensées et à tous tes désirs, c’est moi, et moi seule qui décide.
Quelque part, dans le fond de ton esprit, il te restera quelques petites envies. Mais tu apprendras vite à les ignorer. Tu es à moi, entièrement, totalement, pour ton bien-être. Tu vas vivre de nouvelles expériences dont tu ignores tout, mon chéri !"

Je ne suis pas du tout gêné par cette affirmation. Mes pensées, je m’en fiche. Je sais exactement ce que je veux.
Je la veux, elle, je veux la baiser et la faire crier de plaisir. Le contrôle, je m’en fiche.
Si elle veut avoir le contrôle, pour une raison quelconque, je me sens très détendu et flexible avec ça.

Elle range la carafe et le verre dans le bar et revient vers moi.

"Tu te demandes probablement quel contrôle tu as sur tes pensées, en ce moment. Est-ce toi qui as envie ? Est-ce moi qui te transmets ces envies ? Cela fait partie de mon charme. Toutes les possibilités sont envisageables. Je veux savoir jusqu’à quel point tu es prêt à me servir. Je vais libérer ton corps maintenant et nous allons reprendre là où nous nous étions arrêtés."

Elle a cligné des yeux et j'ai pu détendre mes membres, bouger à nouveau. 
Elle a enjambé mes jambes et s’est installée à califourchon sur mes cuisses.
Elle a saisi mon visage entre ses mains et m'a embrassé profondément, pressant son corps contre le mien. 
Ses lèvres si douces, ses caresses si sensuelles. Passif, je me suis contenté de caresser ses courbes.
Elle a dégrafé ma chemise et l’a ôtée avec facilité, mordillé mes tétons, griffé, léché et sucé mes pectoraux.
Elle s’est reculée pour déboutonner mon pantalon et je me suis soulevé un peu pour qu’elle le retire facilement.

J’étais entièrement nu, elle était restée entièrement vêtue.
Elle s’est penchée sur ma bite, elle a commencé à bécoter, à léchouiller le bout de mon gland. 
Sa langue caresse le gland, elle en fait le tour, fait la connaissance de mon urètre, aspire un peu le liquide qui suinte.
Elle grattouille doucement mes couilles avec ses ongles.
 Elle relève la tête brusquement.
Ma bite fait un ploc avec ses lèvres, puis elle suce le majeur de sa main qui chatouillait mes couilles.

Elle butine ma bite avec sa bouche, puis glisse lentement ses lèvres chaudes tout le long de mon arbre, jusqu’à ce que mon gland s’enfonce dans sa gorge profonde.
Simultanément, elle insère son doigt humide profondément dans mon trou du cul. 
Mes yeux s'écarquillent car je n'avais jamais rien connu d’aussi délicieux auparavant. 
Son doigt pénètre mon intérieur si facilement, je ressens un petit inconfort temporaire.
Sa bouche parcourt toute la longueur de ma bite qui vient pousser dans le fond de sa gorge.

Elle relève lentement la tête vers le bout de ma bite, sortant son doigt hors de mon cul en même temps.
Puis elle m'engloutit de nouveau profondément, fourrant son doigt à l'intérieur de mon cul. 
Je n'avais jamais rien ressenti de tel auparavant. 
Cela ne me semblait pas très confortable au début, mais lorsqu'elle synchronise et accélère ses mouvements, je peux sentir une douleur sourde mais agréable grandir en moi. 
Elle accélère progressivement en répétant les mêmes gestes synchrones jusqu'à ce que je sois sur le point d'exploser.
Soudain, elle retire son doigt et sa bouche juste avant que je jouisse.

Je suis impuissant. Je ne peux pas me branler, mes hanches continuent d’osciller doucement comme si elle suçait toujours ma bite. Elle me regarde, comme un entomologiste regarde un insecte se débattre. Je la désire tellement. 
J'ai envie d'elle. Elle se lève, me tourne le dos et dégrafe sa robe. 
J’admire ses courbes qui me rendent fou de désir. 
Elle tourne les épaules vers moi et je peux contempler ses seins volumineux. 
Elle laisse tomber sa robe sur le sol en souriant mystérieusement et se retourne lentement.

Ma mâchoire tombe, ma raison vacille.
Elle me présente la plus grosse bite que j'aie jamais vue. Elle pend, flasque, mais elle est déjà énorme.
Au repos, elle possède une bite beaucoup plus grosse et plus longue que la mienne en érection.
Le gland, décalotté, ressemble à une grosse prune violette. Ce qui m’interpelle, c’est que je la désire encore.
Je la veux, j’ai besoin d’elle, j’ai faim de ce corps si désirable, elle est si merveilleuse.
Tant pis, si je ne peux pas la prendre par devant, je passerai par derrière.
Suis-je confus? Est-ce que je veux vraiment cela? Tout ce que je sais, c'est que je dois l'avoir.

"J’aime ton regard, mon chéri ... mais tu ne m’as pas compris. Tu n'as jamais eu de bite dans le cul, donc nous allons réparer cela. Ce sera ta nouvelle expérience, mon chéri. Je vais te casser le cul avec ma grosse bite ! C’est le destin de mon clan. Nous sommes toutes équipées de cette façon. Mes ancêtres ont renoncé à leur féminité en échange de notre pouvoir. Beaucoup d'entre nous trouvent que c’est plus une bénédiction qu'une malédiction."

Inexplicablement, je n'ai pas peur. Je ne veux rien d'autre que son énorme bite en moi. 
Je ne savais pas que je pouvais avoir ce désir. Je veux lui faire plaisir et je veux vivre cette expérience.

"J’espère pour toi que cette expérience sera beaucoup plus agréable que celles que tu as infligées aux filles que tu as enculées."

Elle recommence sa lancinante mélopée, en plaçant deux de ses doigts sur mon périnée. 
De son autre main, elle caresse lentement ma bite et dès qu'elle cesse de chanter, elle glisse les deux doigts de mon périnée dans mon trou du cul. Il y a une légère douleur à cause de l'étirement de mon trou pour la première fois, mais ses doigts glissent sans effort à l'intérieur de mon anus. "C’est une petite magie qui lubrifie ton cul et te rend capable de prendre ma bite sans aucune blessure sérieuse. Tu vas en avoir besoin, mon chéri !"

Je remarque que ses deux doigts, tout en distendant mon anus, glissent très facilement dans mon sphincter.
Celui-ci se referme vigoureusement sur ses doigts lorsqu'elle les sort avant de fouiller à nouveau mon trou du cul.
Je suis étrangement humide, lubrifié. Quand elle me sent plus détendu, elle insère un troisième doigt, m'ouvrant davantage, m'étirant encore plus. Va et vient, entrer et sortir, élargissant lentement mon trou du cul. 
Je baisse les yeux pour voir qu'elle caresse son propre membre en pleine croissance contre le mien.

Je ne peux pas croire à quel point elle est grande. 
Elle est monstrueuse, presque aussi épaisse qu'une canette de soda avec un gland menaçant, d’un rouge colérique. 
Elle tord avec entrain ses doigts à l'intérieur de mon trou du cul en essayant de m’évaser plus large, me préparant pour son monstre. Sous sa bite, sa fente suinte maintenant. Elle l’utilise pour enduire sa bite complètement bandée.

Mon regard va de sa bite à ses yeux. Elle me sourit : "T’inquiète. Tu vas tout prendre dans ton cul, mon chéri !"

Je regarde son beau visage si féminin, sa bouche pulpeuse, ses seins magnifiques, ses courbes moelleuses, je me demande comment une si belle créature peut exister, et avec un sexe géant! 
L’inquiétude m’envahit lorsqu'elle retire ses doigts et positionne sa bite contre mon cul. 
Je la désire toujours, mais la différence de taille entre sa monstrueuse bite et ses doigts m’angoisse.

Elle place une main à plat sur mon bassin juste en dessous de mon ventre alors qu'elle utilise l'autre pour guider sa bite vers mon trou préparé. Je peux sentir son gland presser contre mon anus bien lubrifié, je fais de mon mieux pour me détendre mais même alors, mon sphincter doit s'étirer étroitement autour de sa pointe avant même que la première moitié du gland ne soit complètement à l'intérieur de moi.

"Détends-toi, fais-moi confiance, j’ai l’habitude, mon chéri !" roucoule-t-elle.
Elle continue d’appuyer et je sens enfin son gland passer dans mon sphincter. Elle s'arrête momentanément me regarde.
"Je suis en toi !"

Elle me sourit. Un sourire carnassier. Je suis sa proie. C’est l’hallali, je suis à sa merci !
Elle progresse lentement en avant. Je sens mon trou du cul s'élargir pour l’accueillir. 
Elle se retire un peu, me pénètre un peu plus profond, mon sphincter la saisit fermement. 
Je le sens s’accrocher autour d'elle. Mon cul est déjà si plein de son monstrueux engin. 

Même avec l’humidité grasse que je ressens en moi à cause de son sort, je ne crois pas que je pourrais accueillir toute sa longueur et sa circonférence.
Elle continue de pomper lentement en moi et hors de moi. Encore un peu plus loin. Mon cul continue de se distendre. 
Encore un peu plus loin. Je me sens tellement gavé, rempli, bourré. 

Elle est presque à mi-chemin lorsque sa bite frappe quelque chose en moi et mon monde est changé.
La douleur sourde que je ressentais auparavant dans mon cul est maintenant lancinante. 
Ma bite rigide suinte du liquide pré-éjaculatoire sur mon ventre alors qu'elle continue de me bourrer le cul. 
Je me sens vide quand elle se retire de moi, juste pour être farci et étiré de nouveau. 
Nous établissons un contact visuel juste au moment où mes yeux stigmatisent la nouvelle douleur, et je la vois sourire tandis qu'elle continue de forer son sexe plus durement en moi.

Entrer, sortir, entrer, sortir. Plus profond ... de plus en plus profond ... et encore plus profond. 
Je me sens étiré, dilaté, élargi. Elle soulève mes jambes, les met sur ses épaules puis se penche lentement sur moi et me remplit complètement le fion avec le reste de son énorme bite. 
Je sens ses couilles s’appuyer contre mon cul et je regarde le léger renflement de sa bite dans mon ventre.

La douleur dans mes entrailles est intense mais elle est un peu atténuée par les pulsations de ma prostate. 
Elle se fige un court moment, alors que je m'habitue à l'avoir en moi. 
Je peux sentir le sang battre à travers son membre géant. Je sens ses grosses boules reposer sur mes fesses, mes hanches ondulent légèrement, essayant de s'habi au gigantesque phallus qui me remplit.

"Maintenant, il est temps de faire de toi mon joujou pour toujours."

Elle sort lentement presque tout sauf le gland, me laissant une sensation désagréable de vide en moi avant de plonger brutalement toute sa longueur. Je n’ai pas pu retenir mon cri de douleur et de plaisir mêlé.
Mon souffle s’échappe lorsqu’elle me revient, son énorme bite glissant sur ma prostate dans un frisson vertigineux. 
Ma bouche grande ouverte, sensation d’exaltation, utilisé comme une salope par cette monstruosité glorieuse.
Aussitôt, elle se retire. Doucement jusqu'à la tête, puis plonge sauvagement dans mon cul. 
Elle accélère progressivement son rythme, mes entrailles s'adaptent à sa circonférence massive. 
Dans une brume remplie de lubricité et de perversion, je contemple ses seins généreux se balançant au gré de ses mouvements, tandis qu'elle me baise fougueusement avec de longs coups profonds. 
Ma bite coule lentement chaque fois que sa monstruosité se précipite en moi. 
Au passage, sa bite masse divinement ma prostate pendant qu'elle me baise.

Je suis totalement passif, utilisé, baisé par une maîtresse qui fait ce qu’elle veut de moi. Je suis son jouet.
Sa pleine longueur déchire mes entrailles. Je sens ses couilles gifler mon cul à chaque fois qu'elle tambourine en moi. Bien qu'elle ne soit pas utilisée, ma bite est plus raide qu'elle ne l'a jamais été.

Elle accélère encore son rythme et je peux sentir quelque chose s’ériger en moi. Quelque chose de profond. 
Son sexe est un piston, forant mes entrailles, explorant des endroits qui m’étaient inconnus. Alors je la sens. 
Me baisant avec des mouvements désordonnés, je sens son énorme bite pulser en moi sa semence chaude.
Elle crépite au plus profond de moi, me remplit, m’inonde, et m'envoie au firmament. 
Sans toucher ma bite, j’éjacule comme un puceau. Mon sperme coule sur mon ventre et je vois des étoiles.

Mais elle ne s'arrête pas. Elle continue au même rythme. Sa bite a cessé de cracher pour le moment, mais elle continue de me marteler. Je sens sa semence chaude lubrifier mon canal, augmenter sa fièvre. 
Je sens sa bite me défoncer, me briser, avant de pulser à nouveau.
Elle laisse échapper un gémissement rauque lorsqu'une décharge encore plus importante de sperme remplit mon cul.
Mon sphincter bien serré fuit comme un panier percé. Ma raie culière sert de gouttière.
Tout mon corps est électrique, chaque terminaison nerveuse est en feu. 
Ma bite continue d’éjaculer un liquide clair tandis qu'elle pompe toujours dans mon cul.

Mon corps vibre, s’arc-boute, résonne à chaque poussée que je reçois. 
Après une éternité d'orgasmes successifs, je commence enfin à reprendre partiellement mes esprits.
Le rythme furieux de ma maîtresse ralenti. Elle redevient tendre et lascive.

Je tressaille, des picotements assaillent mon système nerveux lorsqu'elle retire enfin son long phallus en détumescence hors de moi. Je peux sentir un courant d'air frais pénétrer mon trou du cul béant.
Son sperme blanc crémeux s’échappe de mon fondement à gros bouillons.
Je peux à peine rester conscient, je vidé, crevé, épuisé. 
Elle me dorlote, m’embrasse sensuellement sur les lèvres, et je tombe dans un profond sommeil.

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