Le Petit Chemin

La voiture a des hoquets depuis un moment. Henri trouve un petit chemin pour se garer : la route est trop étroite pour y rester. Lucette sort pour faire un petit pipi. Elle est suivie de près par Claudine et Martine pour les même raisons. Suit derrière le chauffeur Henri et son copain Pierre. Ce dernier va également pisser contre un arbre. Il passe un long moment avant de se retourner. C’est Lucette qui lui pose la question qui tue :
- Qu’est-ce que tu fais, tu te branles ?
Pierre se retourne : en effet il tient sa queue dans sa main : il se masturbe. Au point où il en est, il continue pour trouver son orgasme. Les trois filles sont intéressées et par la queue et par la masturbation. Pour ma part je suis scandalisé, qu’il se branle s’il en a envie, mais pas en se donnant en spectacle.
Pour faire durer son plaisir il ralentit ses mouvements de va-et-vient. Il ne se doute pas que les filles vont faire la suite du spectacle en venant vers lui. Elles forment cercle et commentent à voix haute :
- Il l’a bien grosse.
- Pas tellement, j’ai connu plus gros.
- Oui, moi aussi en plus elle était plus longue.
- Je la prendrais bien dans le cul.
- Et moi. Pourquoi pas dans le bouche.
- Moi aussi, et dans le con.
Ainsi ces demoiselles sont attirées par une simple bite banale. Henri à son tour regarde de près. En vérité il est attiré par les commentaires des filles :
- Vous savez, la mienne est aussi belle, vous voulez la voir ?
- Je la connais déjà, c’est vrai elle est belle en plus elle m’a fait jouir plusieurs fois, ajoute Martine. Sorts la pour la montrer aux autres.
Henri ne se fait pas répéter la demande, il va plus loin en se mettant nu. Aussitôt Martine vient vers lui pour l’embrasser. Elle ne veut pas partager la bite de son amant. Lui aimerai la mettre dans d’autres cons que le sien. Il fait signe à Claudine qui regarde sa bite avec intérêt. Il se retrouve avec deux filles contre lui.

Voyant la tournure, je me mets aussi tout nu dans ce sentier. Je vais me payer une des trois filles. Lucette ne me déplairait pas du tout, elle a un beau cul, une belle poitrine et des lèvres sensuelles que je verrais bien entourer ma queue. D’accord pour le moment elle est attirée par la pine de Pierre qui est je le reconnais volontiers bien plus épaisse que la mienne. Sauf que moi je peux enculer n’importe quelle fille sans problème.
Finalement Henri reste avec son amante. Il l’embrasse pendant qu’elle s’occupe de le faire bien bander en lui caressant la colonne. Lucette vient vers moi. Elle inspecte ma queue avec beaucoup d’attention. Elle doit lui plaire puisqu’elle me fait ce que je désirais : elle me prend dans la bouche. Je ne regrette pas sa bouche. Une bouche spéciale fellation. Entre sa langue et ses lèvres je suis aux anges.
Pratique elle m’oublie pour aller chercher des couvertures dans la malle. La vache son départ me faisait débander.
Nous nous couchons, moi le premier, qui la regarde se déshabiller. Elle me tourne le dos en se baissant : je vois son petit trou attirant. Je vais me le payer.
Je jette un coup d’œil : les couples sont déjà en avance sur moi, ils baisent déjà. Claudine est sur Henri, la bite dans le cul. Il semble que ce soit son entrée préférée. Elle caresse le clitoris pendant qu’elle se fait sodomiser.
Du couple Pierre/Claudine je ne vois qu’une partie : il doit la prendre en levrette, je ne sais dans quel trou. L’endroit où nous sommes ne doit pas être habitué à voir tant de baise. Pourtant cet arrêt nous plait bien.
C’est Henri qui a la bonne formule : si nous changions de partenaire. C’est un pourquoi pas général. Nous jouissons tous avant de faire l’échange. Je perds une bouche spéciale pompier pour hériter d’un cul magnifique, celui de Claudine qui venait de se faire baiser dans le con en levrette. Je la connais de réputation, elle n’aime pas tellement avaler le sperme, elle aime bien se faire mettre par le cul.
Pour moi, con ou cul c’est pareil avec une légère préférence pour le petit trou que certaine femmes refusent toujours pour je ne sais qu’elles raisons obscures. Je me lève pour l’accueillir par un long baiser sur la bouche et une masturbation sur son clitoris. Elle me rend ce que je fais avec intérêt.
Nous sommes à jouer à touche pipi pendant que les autres se livrent à des accouplements forts agréables à entendre les gémissements de ses demoiselles. Claudine se met à plat ventre, tend son cul :
- Encules moi, s’il te plait ;
- Mouille-toi la rondelle.
- C’est fait, entre c’est tout.
Je fais comme elle dit. C’est vrai j’entre sans problème. Qu’est qu’elle a du avaler par là comme queues. Elle commande elle même le mouvement. J’entre et sors facilement, bien que son orifice soit étroit. Elle commence une mélopée de plaisir.
- Continue, encules moi à fond, j’aime ce que tu fais. Je suis une vrai salope, je ne sais même pas combien de fois je me suis faites enculer. Je te sens bien dans le cul.
Petit à petit elle change de position. Nous sommes sur le coté. C’est bien une première pour moi, même si elle me semble habituée. Garder son dard dans son trou est difficile : elle se réjouit de la position de ma queue, c’est le principal. Je la lime avec joie : ses fesses sont douces autour de ma queue. Elle garde une jambes tendue et l’autre repliée.
Elle ne tient pas longtemps le coup, elle jouit très vite. Je continue mes va-et-vient, elle recommence encore à jouir à des intervalles allant en rétrécissant. Si elle me fait jouir, trop vite, c’est à cause de ses spasmes autour de ma bite. Je lui mets je ne sais qu’elle dose de sperme. Je reste quand même dans son anus jusqu’à débander complètement.
Et nous restons les derniers de la bande à jouir. Les autres ont fini depuis un moment.
Je ne sais qui sort son portable pour appeler au secours. Ils sont tous rhabillés, sauf nous avec Claudine. Elle subit les caresses des garçons et de Lucette qui la suce un instant au grand plaisir des deux filles.

Hélas, arrive la camionnette de dépannage. Rien de grave : nous pouvons partir. Pourtant Claudine et Lucette sont assises à coté, les mains sur la chatte. Elles arrivent à se masturber tout le long du chemin, en arrivant à nous donner encore envie de baiser. Nous verrons ça en arrivant en retard.

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