Mes Vacances Avec Charlotte: Première Partie

Après un délai de quinze jours, la dernière semaine du mois d’août arrive et Charlotte et moi pouvons finalement partir en vacances en bord de mer. Le premier jour quand nous arrivons à la plage, il est évident que si les seins nus ne sont pas universels, le bronzage en topless a quand même ses adeptes. Charlotte ne sera pas donc pas seule si elle se dévoile, possibilité dont on a discuté auparavant. Son nouveau maillot deux-pièces est en tissu rouge fin et très élastique. Le haut est style bandeau, le bas est échancrée et moule bien ses fesses. Elle l’a acheté sur un coup de tête, sans l’essayer. Même dans un supermarché une femme peut avoir un coup de foudre, paraît-il. Il n’a pas coûté cher et quand elle le met pour la première fois chez nous, il est évident que la doublure du bas est mal faite. On voit du tissu blanc qui dépasse entre ses cuisses. On dirait qu’elle a un Kleenex dans son slip. Ça fait disgracieux, il faut dire. Elle refuse pourtant de renoncer à ce bikini qu’elle aime. Elle prend ses ciseaux et excise carrément cette doublure qui l’offense. Le résultat est adorable. Si la fente du sexe de ma femme n’est pas franchement visible, un œil futé verrait au moins une allusion à ses contours.

Pendant trois jours, dès notre arrivée à la plage, elle range tranquillement ses affaires dans son sac de plage, étale sa serviette, s’assoit dessus, enlève sa robe de plage et se couche à plat ventre, avant de défaire le haut de son bikini. Cela se fait très discrètement . La séance de dorage du dos terminée, elle se retourne, mais pas très longtemps. Elle veut bien avoir les seins un peu bronzés mais pas brûlés, dit-elle. Ma femme est plutôt plate, et seul un voyeur très flagrant verrait qu’elle a les seins nus. Il lui arrive de se mettre assise, mais rarement.

Le quatrième jour, il y a du nouveau. Jusque-là, elle a choisi un emplacement un peu à l’écart des autres estivants, qui d’ailleurs se font moins nombreux avec la rentrée qui approche.

Ce matin-là, elle s’arrête à quelques mètres de là où deux jeunes filles sont assises à papoter. Ce sont obligatoirement des jumelles, tellement elles se ressemblent. Mêmes cheveux très noirs, mêmes yeux très bleus, même silhouette fine. Elles sont très mignonnes et montrent de jolies poitrines nues. Elles sont à ce moment de l’adolescence où la peau semble avoir du mal à contenir les seins qui se développent, ce qui les rend super-fermes. Je remarque cela au passage, mais Charlotte les regarde avec plus d’intensité. Depuis qu’elle a changé de sujet quand j’ai commencé à parler des charmes de son amie Laure, il me semble avoir aperçu un intérêt caché pour les jolies filles, chez mon épouse.

Je suis agréablement surpris quand Charlotte n’attend pas de s’asseoir avant de se défaire de sa robe. La robe pliée et posée sur la serviette en guise d’oreiller, elle marque une pause. Elle s’étire. Elle est très belle comme ça, le corps bien tendu. Elle semble indécise, mais à quel sujet ? J’ai des soupçons, des espoirs même, mais il est fort possible que je me trompe. Je fais bien attention de ne pas trop la regarder…mais de ne pas trop tourner les yeux vers les deux filles non plus. Du coin de l’œil j’espionne mon épouse , qui a l’air de tourner un peu en rond.

Elle prend son sac de plage, cherche quelque chose dedans et le pose à nouveau sur le sable. Elle replie sa robe et la met dans le sac. Puis, hop ! Charlotte, toujours debout, dégrafe le haut de son bikini, l’enlève sans la moindre discrétion et le laisse tomber dans son sac. Ses jolis petits seins sont plus blancs que le reste de son torse. Si ses tétons sont en érection, c’est sans doute l’effet de la petite brise marine…n’est-ce pas ? Je ne fais évidemment pas de commentaire. Elle se met à genoux, avant de se coucher sur le ventre et de me demander que je lui mette de la crème solaire. Je ne me fais pas prier et j’en profite pour lui caresser les épaules et le dos avant d’arriver à la limite supérieur de son slip.
Je survole la zone sans y toucher et je recommence avec la crème sur ses mollets, pour remonter lentement et enduire au delà des genoux. Nouvelle petite surprise : elle écarte un peu ses cuisses, ce qui m’encourage à passer la crème entre elles. Je m’approche de nouveau de la zone rouge (dans tous les sens…) et je continue, en suivant la ligne de l’échancrure sur ses fesses. Elle ne réagit pas. J’expose un peu plus ses fesses et je mets de la crème sur la peau pâle ainsi révélée. Toujours pas de réaction. Je remonte les deux côtés du slip. Maintenant il est accroché aux os de ses hanches, et le tissu élastique montre une tendance à glisser dans le fossé. En étalant la crème solaire sur les deux fesses en même temps, mes paumes les écartent suffisamment pour qu’elle se retrouve avec son popotin tout mignon et tout blanc exposé au soleil, et à moi, bien sûr. Je fais une petite pause pour admirer. Jusqu’où dois-je de tenter ma chance ? Il faut que je sache, alors je me remets à passer la crème sur les fesses, avant de revenir sur ses cuisses. Elle ne rouspète pas quand je les écarte un peu plus, et mes doigts suivent le bord du slip là où il passe entre ses jambes. Pour qu’elle n’ait pas de doute qu’elle frôle la nudité, je trace tout le périmètre de ce string improvisé avec un doigt, en remontant encore plus les côtés sur ses hanches, ce qui doit avoir comme effet de le serrer encore plus contre son sexe. J’écarte encore ses cuisses, et elle a maintenant les jambes à un angle qui expose son entrejambe à n’importe quel passant. J’insinue ma main sous son ventre. Elle ne résiste pas. Je pince le devant du slip pour en faire une bande aussi étroite que celle qui sépare ses fesses. Elle me laisse faire. Je tire un peu vers le haut, et le tissu fin glisse tout naturellement dans la fente de son sexe. Le résultat est superbe. Quelle surprise, alors, et quelle délice, quand je vois sa main s’insérer sous son ventre et ses doigts apparaître entre ses cuisses. Du bout des doigts, elle vérifie à quelle point elle est exhibée.
La bande rouge doit maintenant être en contact direct avec ses lèvres intérieures et, bien sûr, avec son clitoris. Sa main disparaît sous son ventre et j’ai une forte impression qu’elle tire sur le tissu pour augmenter la pression sur son sexe. Elle commence à serrer et relâcher ses fesses de façon rhythmique. La fente du sexe de Charlotte est toujours bien visible de devant, et son clitoris fait coucou quand elle est très excitée. Autant dire, alors, que ce mouvement des fesses doit faire frotter son clitoris, déjà comprimé par le maillot, contre la serviette un peu rugueuse. Son orgasme ne se fait pas attendre. Tout son corps tressaillit et elle se fige, avant qu’elle ne s’écroule avec un grognement.

Elle ne bouge pas pendant une minute. Puis, elle se reprend. Elle souffle, remet son slip en place, se retourne, se lève et pour la première fois, je la vois descendre, les seins nus, jusqu’à la mer. Elle fait quelques brasses, puis elle ressort et revient vers moi, en passant de très près devant les deux qui, je pense, ont provoqué ce scénario. Cette nuit-là, j’en ai la preuve. Elle me demande de lui raconter un fantasme dans lequel les deux filles, qui, j’en suis presque certain, ne se sont aperçues de rien, s’approchent d’elle pour la regarder jouir avant de se caresser elles-mêmes.

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