Mes Vacances Avec Charlotte: Deuxième Partie

Je me réveille tôt le lendemain et je laisse Charlotte continuer à dormir. Devant mon café matinal, j’ai le temps de réfléchir sur les événements de la veille. J’en conclus que, si ma femme est d’humeur à tenter de nouvelles expériences sexy, et en public qui plus est, il ya dans son sac de voyage quelque chose qui s’y prête à merveille. Un peu d’arrière-plan…
Cela remonte à la saison des braderies de l’année dernière. Charlotte y fait un tour, histoire de soulager un mécontentement passager et alléger notre portif. Elle en revient avec une robe. Ça me surprend. D’abord parce qu’elle n’est pas amatrice des fringues soldées, ensuite parce que la robe est plus féminine que la majeur partie de sa garde-robe, qui penche vers les jeans, les pulls et ses tenues de gymnase ou jogging, plus quelques jupes très correctes pour le boulot. Quand je rentre le soir, je la decouvre qui vient de mettre cet achat pour me la montrer. La robe est rouge vif, écarlate même, avec une doublure mauve. Mi-mollet en longueur, et le coton crocheté qui la compose est suffisamment lourd pour que la robe ondule très agréablement, en harmonie avec la démarche de ma femme. Le haut de la robe fait un peu gitan genre Carmen. Il y un élastique autour du col bateau, ce qui lui permet de porter la robe avec ses épaules exposées. L’effet lui va bien. Avec ses cheveux bouclés blonds qui tombent sur lesdites épaules nus, moi j’aime. Elle est en train de regarder la robe de plus près quand elle s’arrête net. Elle remarque que la doublure est fanée d’un côté, peut- être le soleil, car la robe était en vitrine quand elle l’a vue, me dit-elle. Ça la dérange outre mesure, et elle part chercher sa boîte à couture. Je la laisse en paix. Une heure plus tard, quand elle m’appelle pour voir, la robe n’a plus de doublure. Son armoire ne contient pas de fond de robe et faute de mieux, elle est en train d’essayer la robe avec un jupon. Elle n’en a que deux, tous les deux clairs.

A travers les mailles larges de la robe ça se voit beaucoup trop, à mon avis, au sien aussi. De là où je suis assis, ma chérie est entre la fenêtre et mon fauteuil. Quand elle enlève le jupon, du coup, le soleil brille à travers la robe. Ma femme pourrait être nue, son corps encadré par un simple nuage écarlate. Je regarde sa silhouette avec un grand plaisir. Je ne dis rien, en espérant qu’elle n’aura pas remarqué, du moins pas trop.
Une idée me vient en tête. Pour étrenner la robe, pourquoi n’irions-nous pas essayer ce restaurant à la campagne à une trentaine de kilomètres de chez nous ? On en parle depuis un moment, c’est un vendredi soir, et ça fait un moment qu’on n’a pas fait de sortie. Je ne lui dis pas qu’à cette distance, on risque bien moins de rencontrer des connaissances. Je ne lui laisse pas le temps d’obtempérer et je fais la réservation. Elle me demande si je suis sûr que la robe ne la révèle pas trop. Comme à mon goût il serait impossible que les charmes de ma femme soit trop exposés, je peux en toute honnêteté dire oui.
Elle enlève la robe et va se doucher. Depuis quelques temps, je soupçonne, et j’espère, que sous la douche elle aura l’inspiration de se raser le sexe. Déjà avec la robe et un slip comme seuls vêtements, elle frôlera la nudité publique, savoir qu’elle est sans poils ajoutera à mon plaisir et mon excitation, aux siens, aussi, peut-être. Elle ressort de la salle de bain nue…et fraîchement rasée…et va fouiller dans son tiroir à dessous. Le mini slip en dentelle écarlate qu’elle enfile sous la robe est plus ou moins invisible.
Deux heures plus tard, on arrive au restaurant. Le soleil s’est couché et il commence à faire nuit. Les emplacements du parking sont plutôt étroits et elle sort de la voiture avant que je ne me gare. Elle m’attend pendant que je fais ma marche arrière, ce qui me permet d’apprécier la vue de toute à l’heure, avec mes phares qui l’éclairent comme des feux de scène..
On rentre dans le restaurant, une longue salle relativement basse aux poutres apparentes.
Quand ma femme passe devant le bar, qui est plus éclairé que le reste de la salle, d’après les regards que j’intercepte, la robe, et son corps à travers la robe, sont en train d’être appréciés.
Notre table est au fond de la salle. On s’installe et un serveur apparaît instantanément. Il fait de son mieux et ne bigle pas trop ouvertement, mais ce n’est que maintenant que je me rends compte que, distrait par le spectacle des belles jambes de mon épouse, je ne me suis pas aperçu qu’on n’a pas besoin de la regarder de trop près pour voir qu’elle est, comme d’habitude, sans soutien-gorge et que les tétons de ses jolis petits seins sont plutôt évidents. Elle me demande pourquoi je souris comme un idiot, mais ne me laisse pas le temps de répondre. Elle dit qu’elle suppose qu’elle doit être plus exposée qu’elle ne croyait. Je confirme. Elle rosit un peu, et je profite du moment pour enlever mon mocassin et lui caresser les mollets. Elle regarde ailleurs, mais rapproche sa chaise de la table, ce qui m’invite à poursuivre mes caresses un peu plus haut. Bientôt, mes orteils, aux ongles soigneusement taillées, je précise, sont enfouies entre ses cuisses, et je ressens que son sexe est moite.
Nos plats arrivent et j’arrête mon jeu. La réputation de ce restaurant n’a pas été volée. On y mange très bien et les vins, quoique chers, méritent leur prix. Madame m’annonce pipi-time. Elle se lève et je suis loin d’être le seul à avoir le grand plaisir de suivre son passage des yeux, car les toilettes sont derrière le bar. Il est difficile de distinguer son mini-slip et certains des autres clients doivent se demander si, en fait, elle en porte. Elle revient, et la vue est tout aussi excitante. On a du mal à voir le triangle de son slip et on voit ses seins encore mieux que je ne m’en étais rendu compte. La vue est rehaussée par ses tétons durs qui, on dirait, tentent de percer à travers les mailles.
Elle s’assoit de nouveau. Elle me souffle que je suis fou de l’avoir laissée sortir en public comme ça , et méchant de ne pas l’avoir prévenue de combien elle est exposée.
Une dame dans les toilettes lui a fait comprendre qu’elle est quasiment nue. Je fais celui qui est étonné, mais elle n’est pas dupe. Pas fâchée non plus, heureusement. Elle me dit que j’aurais sans doute voulu qu’elle ait, comme elle dit, tout le reste à l’air aussi. Je lui réponds que si elle a envie d’enlever son slip, je n’y vois pas d’inconvénient, et qu’elle ne doit pas se priver de cette sensation, si l’idée l’attire. Ça me vaut l’observation que je suis impossible et jamais satisfait. Difficile de la contredire, alors je souris et lui dis qu’elle est magnifiquement sexy ce soir et que je suis fier d’être avec elle, parce que tout le monde la regarde et m’envie ma femme. Ça lui fait plaisir, et quand on part, elle fait le long de la salle avec une démarche légèrement chaloupé, que j’observe de derrière. Il est vrai que la robe ne cache rien de ses formes.
Plusieurs fois dans notre vie ensemble j’ai vu ma femme seins nus dans des situations où, en principe, cela ne se fait pas. Ce soir-là, pourtant, est un des moments les plus érotiques. Elle est à la fois totalement habillée, mais aussi presque totalement nue. Illogique mais vrai.
De retour chez nous et au lit, elle prend un ton sérieux. Aurais-je vraiment accepté qu’elle enlève son slip au restaurant ? Je répète que cela aurait certainement créé un spectacle au delà des paroles pour moi, et sans doute pour d’autres, aussi. Donc accepté n’est pas le mot, j’aurais plutôt adoré ! Et pour elle? Pas de réponse. Je pousse. Y a-t-elle pensé ? C’est là où elle me dit que la femme qui avait signalé sa nudité dans les toilettes, lui avait dit, d’un ton blagueur, que les clients l’apprécieraient encore plus si elle se mettait complètement nue sous cette robe qui ne cachait déjà rien, son mari en premier.
Charlotte se couche sur le ventre. Elle dort nue la plupart du temps, et ce soir n’est pas une exception. Quand elle glisse la main sous son ventre, je comprends et je commence:
- Cette femme.
Tu crois qu’elle a envie que tu lui montres ton slip?
Elle réfléchit pendant quelques secondes.
- Oui, je pense que je l’intrigue. Et tu sais que montrer ma culotte, me comporter en gamine mal-élevée plutôt qu’en épouse mariée depuis cinq ans, ça me fait toujours des choses. Ça me gêne, mais j’en ai envie et je soulève ma robe pour lui montrer.
- Comment elle fait pour regarder ton slip?
- Elle regarde, puis elle se penche et regarde de beaucoup plus près. Je crois qu’elle soupçonne que je suis rasée. Elle doit entrevoir la forme de ma vulve. Je sens son haleine sur mon bas-ventre. Je la sens très curieuse.
- Tu veux baisser ton slip?
Elle hésite.
- Ça me tente…mais je voudrais que ce soit elle qui me fait ça. Je lui pose la question. Elle est surprise, mais elle est d’accord pour le faire. Elle accroche ses pouces dans l’élastique de chaque côté.
- Tu réagis comment?
- Je n’ose pas bouger. Je ne respire plus. Elle sera la première personne après toi à me voir rasée.
- Tu te sens comment?
- Je suis troublée, mais en même temps j’ai hâte qu’elle me voie comme ça, qu’elle découvre que je ne suis pas comme les autres femmes mariées , avec des poils.
- Elle fait glisser le slip le long de tes cuisses. Il tombe par terre. Ton sexe imberbe est exposé à son regard. Tu te sens comment?
- Nue. Incroyablement nue! Ça me fait tout drôle, de savoir qu’une femme que je ne connais absolument pas est en train d’examiner les moindres détails de mon sexe, sans même la toute petite protection de la dentelle de mon slip.
- Et maintenant?
- Et maintenant quoi?
- Ne fais pas l’innocente. Raconte.
Encore une hésitation, puis:
- Elle me touche. Elle m’explore, elle écarte les lèvres de mon sexe avec ses doigts. Je suis très mouillée, je sais. Elle porte ses doigts au nez et les hume. Ça me fait tout drôle de voir ma mouille sur ses doigts.
- Mais c’est une sensation qui t’excite, n’est-ce pas?
- J’admets que c’est excitant, oui, surtout quand elle sort le bout de la langue et goûte à ma mouille. Elle a l’air d’apprécier.
- Et puis?
Elle fait non de la tête.
- Pas envie de le dire. Trop embarrassant.
- Tu n’as pas le choix. Tu sais que tu as envie de tout raconter.
Elle soupire.
- Elle embrasse mon sexe. Elle suce mon clito. Elle me fait….JOUIR!
Elle jouit, très fort, se retourne, me saisit et m’enfonce dans son vagin. Je ne tiens pas longtemps. Elle se lève, va à la salle de bains, revient, me fait un gentil bisou, me tourne le dos et s’endort.
Le ronflement doux de ma belle m’empêche de trouver le sommeil. S’il est vrai que j’adore raconter à Charlotte des scénarios où elle s’exhibe et où on la caresse, je ne suis pas du tout sûr de comment cela se passerait dans la vie réelle, ni pour elle, ni pour moi. Je finis par me faire jouir en me jurant que, si une occasion pareille se présente je m’engagerai à laisser le choses se dérouler comme elles peuvent.
Sachant qu’avec cette robe elle est presque nue, Charlotte ne la met pas à la légère. Plusieurs fois je la sens tentée, avant qu’elle ne change d’avis. Trop de monde, des personnes que nous connaissons, elle ne se sent pas belle, il fait trop froid. Je la comprends. Il va falloir attendre le moment où toutes les étoiles seront bien alignées pour qu’elle ose. Pourtant elle l’aime, cette robe, et elle la met à plusieurs reprises pour des soirées chez nous. Ces occasions-là mènent directement à des moments délicieux à deux et elle est très contente que ce ne soit pas une robe qui se froisse facilement. Un peu plus tard, elle trouve un fond de robe bleu-pétrole qu’elle peut mettre pour rendre la robe plus pratique. Pas d’épaules nues, mais un joli effet quand même. C’est ainsi qu’elle s’habille pour le Réveillon, et les commentaires positives lui plaisent. De retour chez nous, le fond de robe s’envole, à notre plaisir mutuel.

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