Élise Libertine 27 Élise Revient Voir Henri

Je conseille au lecteur pour une meilleure compréhension de lire les récits 22 et surtout 23.
Fin sept 2002 Élise ma charmante épouse à 48 ans toujours 1m55 désormais une poitrine de 90C en effet elle ses 46kg ont prospérés pour presqu’atteindre les 49kg. Ces quelques kilos répartis sur le corps sa silhouette reste très agréables et la rondeur de sa poitrine rend la rend encore plus appétissante surtout qu’elle sait renouveler sa garde-robe de façon à toujours rester sexy. Nombre de ses admirateurs lui donnent 10 ans de moins. Elle est toujours hypersexuelle et aventureuse. Moi Alan son époux depuis 29 ans toujours 1m76 mais en surpoids 82kg (20 de plus en trente ans) toujours candauliste et bi passif.
Cela fait dix jours que les travaux de notre nouvelle maison sont achevés (voir récit précédent). Notre installation est terminée nous avons beaucoup travaillé pour que chaque chose trouve sa place et nous nos marques. Pour souffler ce samedi nous avons réservé dans un bon restaurant pour 20h30.
Après avoir travaillé de 13 heures à 15 heures je rentre à la maison. Je suis fatigué par de longues journées depuis dix jours aussi je décide de faire une petite sieste. Élise compréhensive me laisse me reposer. Elle me réveille en revenant ce chez l’esthéticienne trois heures plus tard. Je me sens en pleine forme je la taquine un brin et nous discutons un peu de nos finances qui bien que supérieures à la moyenne ont pris un coup avec les travaux.
Élise « chéri si je trouvais un petit job cela nous ferait du bien »
« Mon amour nous n’en sommes pas encore là, ce sont nos économies qui ont servi, mon salaire suffit largement pour vivre il nous faut seulement reconsti nos réserves si nous ne voulons pas piocher dans nos placements en action en cas de problème»
« Oui mais si je bosse à temps partiel ce sera plus rapide, de toute façon maintenant que j’ai du temps libre j’ai envie de travailler un peu»
« Je comprends ! Nous en reparlerons plus tard, ce soir nous sortons il va falloir se préparer »
« Je passe à la douche la première il faut que je me lave les cheveux et fasse mon brushing »
« D’accord, ne met pas deux heures »
Pour patienter je m’installe dans un fauteuil et prend un livre (Jeannot : mémoires d'un de Jean Dutourd) que j’ai commencé avant notre déménagement.


Vers dix-neuf heures trente j’entends Élise « Alan la salle d’eau est libre »
Je me dirige vers la salle d’eau je la vois dans le couloir nue cheveux coiffés le visage subtilement maquillée la petite chatte toilettée par l’esthéticienne. Je la trouve toujours aussi belle. Je file prendre ma douche à mon tour, en moins d’une demie heure je brille comme un sou neuf. Je rejoins la chambre pour m’habiller je choisi une tenue décontractée : un jean Levis bleu foncé une chemise parme et une veste noire.
Je rejoins mon épouse dans le salon. Je la découvre avec une robe portefeuille bleu électrique que je n’ai jamais vue.
« Comment trouve tu ma robe je l’ai faite cette semaine et tu vas aimer » Elle tire sur le pan et la robe s’ouvre largement laissant apparaitre une petite culotte fendue bleu elle défait le ceinture pour me montrer le soutien-gorge assorti qui s’ouvre sur les seins et laissant apercevoir ses jolis tétons saillant.
« Effectivement, je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir de te caresser sachant ce que tu caches sous ta robe ».
Elle referme sa robe pose un châle de laine noire sur ses épaules et nous voilà partis au restaurant. Accueillis par le maitre d’hôtel qui nous conduit à notre table en faisant signe à une serveuse qui s’empresse de venir débarrasser Élise et nous apporter le menu.
Nous commandons l’apéritif avant de faire notre choix sur la carte : Cèpes à la bordelaise en entrée suivi d’une entrecôte de bœuf de Bazas à la bordelaise et comme dessert poires épicées au vin rouge, le tout accompagné d’une bouteille de Pessac Léognan. Pour terminer ce repas nous prenons un café cognac.
Dans la foulée nous allons au cinéma à la bastide voir ‘’Le pianiste’’ dernier film de Polanski qui vient de sortir. Dans l’obscurité j’en profite un peu pour caresse ma belle qui a bien du mal à se concentrer sur l’écran finalement je la laisse profiter du film. Quand nous sortons il est autour de minuit.
Élise me propose de passer revoir Henri au cinéma sexshop près de la gare cela faisait un moment qu’elle avait envie de renouveler cette expérience.

Je suis enthousiaste à la pensée qu’elle va encore se faire baiser pour son plaisir mais surtout le mien.
Lorsque nous arrivons Henri se précipite sur Elise l’embrasse «je désespérais depuis notre rencontre il y a bientôt deux ans, j’ai craint de t’avoir déçue qu’a 60 ans tu me trouves trop vieux. »
Elle « non rien de tout cela bien au contraire mais nous n’avons pas eu l’occasion de passer nous avons eu du boulot»
Il se tourne vers moi me tend la main «un nouveau copain » interroge-t-il en regardant Élise
« Henri je te présente Alan mon mari et complice depuis trente ans je lui ai tout raconté»
« Alan enchanté de vous connaitre, vous avez une femme remarquable »
« Merci j’en suis tout à fait conscient »
« Entrez dans la salle j’appelle un collègue qu’il me remplace dès qu’il est là nous passons dans la pièce privée. »
Nous entrons dans la salle sur l’écran deux jeunes femmes se gougnottent pendant qu’un homme baise celle qui est au-dessus. Nous nous asseyons à la dernière rangée près de la porte. Sur la droite plusieurs hommes se branlent ostensiblement en exhibant des sexes bandés de différentes tailles. Élise ne cesse de les regarder je lui glisse à l’oreille « chérie calme toi tu es venu pour Henri »
« Tu as raison mais toutes ces bites ça m’excite »
Heureusement Henri nous appelle nous le rejoignons à la porte. Il est avec deux jeunes beurs entre 25 et 30 ans. Il fait les présentations « Elise une amie et son mari Alan, Slimane mon joker d’origine marocaine avec son frère Bilal.»
Nous laissons les deux jeunes et passons dans la pièce privée. De suite arrivée dans la pièce Élise retire sa robe et la pose avec son châle sur le perroquet. Petit sifflement d’Henri en découvrant ma belle avec ses sous-vêtements ouverts « waouh ! Mazette c’est mignon tout çà »
Il s’approche prend Élise dans ses bras ses mains ne savent plus où se poser sur les seins le cul la chatte, finalement la bouche prend les seins, les mains se posent sur les fesses et la chatte.
Il fait glisser la culotte fendue qui est déjà trempée. Elle retire d’elle-même son soutien-gorge et me le tend.
Je glisse les deux pièces de lingerie dans la poche de ma veste et prend une chaise pour assister aux ébats de ma femme avec ce fameux Henri dont Élise m’a parlé plusieurs fois avec l’envie de le revoir.
Les bouches d’Henri et Élise se joignent leurs langues se caressent. Henri entraine doucement la belle vers la banquette. Il la positionne à genoux, se place derrière elle, et commence par lui lécher l’anus sa langue se montre fureteuse elle force le passage ridé. Ses doigts branlent le clito
Élise tend son cul à la caresse « oui ta langue est chaude bouffe moi bien le cul, branle moi bien le bouton tu me fais du bien ! »
Henri se redresse, après avoir posé un peu de gel sur la rondelle, enfile un préservatif sorti de sa poche et poignarde le cul de mon épouse avec son braquemard de longueur moyenne mais vraiment épais. Elle ne peut retenir un cri de douleur car son anus bien que lubrifié n’était pas très préparé à recevoir un tel morceau.
Le sexe de l’homme mûr entièrement introduit son pubis est au contact des fesses perforées. Il la saisit par les hanches et commence son mouvement de va et vient. Élise demandeuse va à la rencontre du vit qui la besogne.
« Encule moi bien fort bien à fond je suis là pour me faire enculer par ta grosse bite ! Oui ! Plus fort ! Plus vite ! »
Henri très excité accélère, il la baise encore plus fort son ventre claque contre les fesses il est déjà en sueur.
Élise annonce son plaisir « oui Henri c’est bon je joui du cul encore ouiiii c’est bonnn»
« Ma petite chérie ton cul est un délice je vais ouvrir les vannes oh! Le pied de jouir avec toi !»
Les deux amants s’écroulent sur la banquette. Il retire le préservatif rempli, le jette dans une petite corbeille. Il entoure Elise de son bras l’embrasse tendrement la serre contre lui il caresse doucement son flan son autre main englobe le sein au téton dressé le pince doucement.

Élise pose sa tête au creux de l’épaule d’Henri elle l’embrasse dans le cou sa bouche descend sur la poitrine de son amant sa langue coure sur l’aréole le téton pointe. Satisfaite elle embrassa son amant.
Henri me demande de sortir la boisson pétillante (un mousseux) du petit frigo pour une pause il est déjà une heure du matin. L’heure de fermeture de l’établissement. Nous finissons à peine nos boissons qu’Henri s’introduit cette fois dans la chatte de ma douce qui a retrouvé sa position sur la banquette. La voici cette fois totalement partie rien ne peut plus empêcher sa recherche de plaisir.
Slimane et Bilal ayant effectués la fermeture de l’établissement entrent dans la pièce. Slimane s’approche d’Élise lui caresse les seins «nous pouvons nous joindre à vous ».
Avant de répondre Élise me regarde s’assure de mon accord « Volontiers si vous êtes montés comme un marocain que j’ai connu je suis partante »
Henri prend ma femme par les seins pour la redresser et la faire descendre de la banquette, il demande aux jeunes de déplier la banquette. En un tour de main le deux gaillard transforme le meuble en un lit confortable la housse matelassée retirée laisse apparaitre un matelas de qualité recouvert d’une housse blanche immaculée. Comme le reste de la pièce tout est d’une propreté remarquable pour ce lieu de débauche.
Les nouveaux venus adoptent la tenue d’Élise et Henri en un mot ils se mettent nus. Ils viennent se positionner de chaque côté d’Élise qui est dans les bras d’Henri. Ce dernier derrière elle lui caresse les seins tout en la baisant. Son sexe continue d’aller et venir dans le berlingot de la coquine.
Elle lance un regard d’invite avec un sourire provocateur aux deux garçons qui exhibent deux belles bites bandées: Slimane une queue un peu plus fine et de la même longueur que celle d’Henri par contre Bilal possède un morceau imposant légèrement plus gros mais surtout plus long que le membre d’Henri.
Henri «les frangins contrairement à votre habitude ne soyez pas brutaux avec mon amie » Effectivement jusqu’à présent cet homme s’est montré doux et attentionné envers ma femme.
Élise «tu sais Henri je ne suis pas contre des rapports virils certaines douleurs sont très stimulantes sexuellement, ce que je refuse c’est la violence excessive ou qui laisse des traces.» en disant cela elle entraine les trois hommes sur la couche.
Je décale un peu ma chaise pour mieux profiter du spectacle de mon épouse s’offrant aux trois mâles. Ma queue est déjà dure dans mon pantalon j’ouvre ma braguette pour la libérer de cette contrainte.
Slimane est occupé à dévorer les seins de ma femme il se redresse pose sa queue dans la main de ma salope qui suce la bite de Bilal pendant qu’Henri continue son ouvrage. Ce dernier caresse la poitrine aux tétons dressés qu’il roule entre son pouce et son index. Et Slimane branle le petit bouton de ma compagne.
Elle ne peut qu’apprécier ces multiples caressent qui la conduisent au plaisir L’audacieuse mouille de plus en plus cela s’entend quand les doigts de Slimane remplacent un instant la bite d’Henri et s’agitent dans son trou d’amour. Le membre d’Henri retrouve sa place dans la chaude caverne et reprend son action pendant cinq bonnes minutes. Elle libère la trique de Bilal pour crier en témoignage de son plaisir plusieurs « oui ouiii encore ohh ouiiiii je viens » Ces cris déclenchent la jouissance d’Henri qui libère dans la protection au fond de la grotte de la jouisseuse suivi par Slimane ,qui s’approche de la tête de ma belle, excrète un premier jet de sperme sur son visage elle tourne la tête vers Slimane ouvre la bouche pour recevoir la queue qui expulse deux autres jets de sa semence au fond de la gorge de la gourmande qui avale cette offrande puis nettoie la bite qui ne perd rien de sa vigueur. Bilal se retrouve avec son braquemard à la main.
Après une bise sur les lèvres de la cochonne Henri prend une chaise, et s’installe à côté de moi avec un grand sourire. Je viens également de jouir dans la culotte de ma femme.
« Et de deux ! Alan si je compte bien c’est la deuxième fois qu’elle jouit et je pense que ce n’est pas fini avec les deux lascars elle va prendre cher car ils ont l’habitude de baiser des filles à plusieurs»
« C’est sûr ! Elle venait pour ta grosse queue mais en voyant comment les frangins sont montés je me dis elle va en profiter s’ils savent s’en servir »
Les deux frères repassent à l’action Élise est à quatre pattes Bilal lui baise la bouche et Slimane lui tamponne la chatte ils sont silencieux nous n’entendons que les bruits de succion et le claquement du bassin de Slimane sur les fesses d’Élise.
« Les gars vous êtes muets ? Parlez ! Excitez-moi ! Insultez moi !traitez moi virilement comme un arabe sait le faire »
Les queutards libérés par cette demande se lâchent doucement
Bilal prend la tête de l’amatrice pousse son membre au fond de la gorge « cochonne t’aime la bite ! Prend les 22cm de Bilal petit salope ».
Élise, pourtant habituée aux gorges profonde par certain de ses amants, a les larmes aux yeux, elle devient rouge, elle a du mal à respirer. La bite est passée au-delà de la glotte. Il se retire, elle respire, il attire à nouveau la tête vers son ventre reste un peu au fond de la gorge il renouvelle cette opération plusieurs fois entrecoupées de petites gifles avant de se vider au fond de cette gorge accueillante.
« Pour une gorge profonde c’est une gorge profonde tu es une sacrée suceuse »
Elle « merci pour ce compliment et pour ton jus. Une queue comme la tienne est un régal même si c’est dur à avaler, mais tu es trop rapide pour moi je compte sur ton frère pour faire mieux »
« T’inquiète salope ce n’est que le premier coup maintenant cela va être plus long. »
Derrière elle Slimane, qui a déjà joui une fois, lui percute toujours la matrice. Il donne des tapes sur les fesses qui rougissent. Il la traite de salope de garce. Ma moitié aime se faire baiser durement ces mots et ces claques sont des stimuli supplémentaires. Le magrébin accélère la cadence Élise est emportée par un nouvel orgasme et Slimane dans un cri joui et éjacule dans le préservatif qu’il retire aussitôt
Élise est lancée elle prend en bouche le vit ramolli bien décidé à lui redonner vigueur. En même temps elle agite son petit cul rougi pour attirer l’attention d’Henri ou de Bilal qui ont tous deux le sexe à nouveau tendu.
Bilal est le plus prompt à réagir il passe derrière ma femme. D’une seule poussée il introduit son braquemard dans la moule toute baveuse de ma libertine qui surprise d’une pénétration aussi brutale abandonne la queue qu’elle a dans la bouche. Lui me regarde « elle aime être traitée comme une chienne ta gonzesse ? »
Je vais pour répondre mais elle est plus rapide que moi « bien sûr traite moi comme tu veux avec une bite comme la tienne j’accepte que tu me traites comme tu l’entends »
Les deux hommes d’un commun accord retirent leurs verges de la bouche et de la chatte
«Bien espèce de salope si tu veux de la bite tu dois le demander. Je te promets avec le frangin et Henri s’il le veut, on va te défoncer par tous les trous tu demanderas pitié car maintenant nous sommes chauds et prêts à durer.»
Elise « baisez moi je suis une salope qui veut se faire troncher par deux beurs à grosse bite traitez moi comme votre chienne faites-moi jouir, servez-vous de mon corps cette nuit je suis à vous. Je vous en prie baisez-moi ! Je suis votre chienne, Je ! Veux ! Vos ! Bites !»
De connivence les deux replacent leur chienne à quatre pattes Bilal lui claque les fesses Slimane lui gifle les seins. L’aventureuse gémit mais serre les dents pour ne pas se plaindre mieux elle en redemande « oui ! plus fort ! je le mérite »
Bilal donne une grande claque sur les fesses et plante son gourdin dans une chatte qui coule de plus en plus, l’excitation de ma chérie est maximale. D’autant que Slimane a retrouvé de la vigueur dans la bouche de cette salope. Les deux marocains s’agitent leur gestes sont coordonnés leur complicité est totale. Elise est la proie consentante de ces fornicateurs.
Avec Henri nous sommes témoins du plaisir avec lequel elle se donne à ces deux mâles nous voyons sa bouche déformée par le chibre de Slimane. Son visage tendu par la douleur et le plaisir conjugués ses yeux brillent de bonheur, son cul rougi par les fessées remue à chaque coup de boutoir.
Maintenant sa tête dodeline, ses muscles se tendent, elle est transportée par la jouissance sa bouche pourtant occupée elle trouve le moyen de crier libérant ainsi toute son énergie pour extérioriser son plaisir
Bilal retire son membre bandé du sexe de mon épouse d’où coule l’éjacula de la jouisseuse les couilles du queutard sont trempées par la liqueur amoureuse libérée lors de la jouissance intense de l’amatrice.
Bilal replonge son engin dans la chatte trempée afin de le lubrifier il en profite pour lubrifier l’anus qui le tente il y glisse un puis deux doigts Élise attend passive que son œillet s’assouplisse. Le curieux y introduit un troisième doigt son travail est efficace ma femme aime cette étape et n’attend plus qu’une chose que sa grosse matraque remplace les doigts. « Va y maintenant encule moi je suis prête » « patience ça va venir» dit-il.
Slimane se couche entre les bras de la dévergondée elle le suce mais il continu de descendre, ses jambes forcent le passage entre les genoux de ma moitié « écarte un peu que je vienne à hauteur de ta foune ». Quand il est à bonne hauteur « assied toi sur ma bite salope on va te prendre à deux chienne que tu es »
Élise s’empale et penche le buste sur son amant tout en ondulant du bassin « oui baisez moi tous les deux salops. Derrière elle l’autre marocain a compris l’appel de cette croupe. Il plante son zboub dans le charnu s’enfonce dans l’interdit. Le membre imposant de Bilal trouve toute sa place dans l’intestin accueillant. Il me lance un regard de défi.
Je bande à fond et me branle devant le spectacle
« Je vois que ça te plait que j’encule ta salope de bourgeoise en même temps que mon frère lui baise la chatte ? »
« Bien sûr je sais qu’elle aime se faire prendre ainsi comme une chienne et elle va en jouir pour mon plaisir aussi ! »
« Toi roulure ça te plait d’être baisée comme une pute ? Et de te faire défoncer la chatte et le cul ? »
« Oui j’aime! Je suis votre pute défoncez moi fort et longtemps jusqu’à ce que je n’en puisse plus de jouir »
Les deux beurs se mettent en action ils lui baisent les deux trous pendant un bon quart d’heure ils semblent infatigables ils l’insultent à profusion. Élise en est à son cinquième orgasme. Le spectacle de mon épouse ainsi traité m’excite au plus haut point et je ne suis pas le seul.
Henri s’est levé avec la bite tendue pris par l’ambiance il s’approche d’Élise « il te reste un trou suce moi trainée »
Avant de le sucer elle m’appelle « chéri vient près de moi » je me lève m’approche, elle me tend une main que je saisi et pose sur ma verge.
Je regarde mon épouse une queue dans la chatte une dans la bouche et un énorme pieu dans le cul elle est pilonnée par les trois complices qui usent et nt de son corps mais elle n’est qu’une poupée qui jouit elle ne peut coordonner ses mouvements et a du mal à me branler.
Je ne peux me retenir plus longtemps j’éjacule sur sa joue et dans son oreille immédiatement suivi par Henri qui lui arrose copieusement le visage.
De sa langue elle essuie le sperme sur ses lèvres pendant qu’Henri étale son foutre sur son visage.
Les deux Sarrazins continuent le combat au corps à corps avec l’aventureuse. Un lui défonce la matrice l’autre la rondelle et le rectum. Ma dulcinée n’est que cris que jouissance ses orgasmes s’enchainent il n’est plus possible de les compter tellement ils s’enchainent. Les guerriers donnent l’estocade et jouissent en cœur les contractions et secousses des bites, qui se vident en elles, lui déclenchent un dernier orgasme. Elle s’écroule sur le côté de Slimane.
Les deux frères se redressent, elle réclame leurs jus sur sa poitrine. Les garçons retirent les préservatifs et les vident sur chaque sein puis étalent copieusement le foute sur la peau déjà humide de transpiration. Je suis très excité de voir mon épouse ainsi souillée.
Tout le monde a bien besoin de boire un coup. Chacun se pose sur le bord du plumard autour d’Élise. Nous félicitons mon épouse pour cette performance. Peu à peu au cours de la discussion les mains se font plus caressantes sur la peau de la bandante femelle.
Bilal pose sa bouche sur la vulve ouverte de ma chérie qui écarte automatiquement les cuisses. « J’ai la chatte tellement chaude que ta bouche fraiche me fait du bien » le jeune marocain s’attaque au clito il le suce le lèche le mordille, ses doigts viennent en renfort
Slimane caresse son flanc et suce son sein gauche, Henri lui roule un patin et moi je m’occupe de du sein droit. L’addition de nos caresses réveille le corps endormi. Des gémissements sortent de sa bouche ses mains appuient sur la nuque du jeune Bilal son ventre se tend vers l’avant à la rencontre de cette bouche qui a su réveiller son désir. Elle n’est pas longue à être prise de spasmes de frisson de contraction de petits cris même quelques sanglots de joie.
Les garçons ont retrouvé leur bandaison sont étonnés de la voir encore prendre du plaisir.
Quand elle retrouve ses esprits elle se met à genou entre nous quatre. Sa bouche passe d’une bite à l’autre en nous regardant dans les yeux avec un regard coquin elle nous suce nous caresse les joyeuses les embrasse « grâce à vous j’ai vraiment beaucoup joui. Approchez-vous maintenant, donnez-moi une douche de foutre »
Le cercle autour d’elle se rétréci chacun se branle entre deux coups de langue. L’excitation est à son comble lorsque je suis le premier à jouir deux ou trois giclées de sperme s’écrasent sur son visage c’est tour de Slimane puis d’Henri et enfin Bilal d’éjecter leurs semences sur ma petite salope de femme.
Le foutre coule sur ses cheveux, sur son visage, sur son cou et sur ses seins. La gourmande ramasse d’un doigt un peu de sirop de corps d’homme, elle le porte à sa bouche pour déguster le précieux nectar. Elle se redresse pivote sur elle-même en nous souriant heureuse de cette expérience. Les deux marocain étalent notre jus sur son visage et sa poitrine.
Je regarde ma montre « Chérie il est déjà quatre heures il est temps de rentrer se coucher tu as besoin de repos »
« Je me nettoie un peu avant de partir »
Bilal « élise tu es terriblement salope pourquoi ne rentre tu pas comme tu es. C’est très excitant de plus je suis sûr qu’Alan aimera »
« Regarde j’en ai plein les cheveux et le visage »
Moi « ce n’est pas grave dis au revoir »
Bilal griffonne son téléphone sur un papier le tend à Élise « pouvons-nous espérer vous revoir voici mes coordonnée appelez-moi»
Elle regarde le papier le coupe en deux me demande mon stylo et note son numéro et le lui tend « comme cela tu peux aussi nous appeler »
Nous nous remercions réciproquement et nous partons.
Élise me dit ma robe me colle alors elle l’enlève avant de monter en voiture. Elle est nue dans la voiture la coquine allume le plafonnier. Lorsque passons devant la gare pour faire demi-tour un jeune couple sur le bord du trottoir ne peut que voir mon épouse nue il nous suit du regard.
Lorsqu’on passe le pont de pierre Élise me demande si elle a été à la hauteur et si j’ai aimé. Aux deux questions je réponds par l’affirmative. Arrivés à la maison elle descend de la voiture nue, heureusement la rue est déserte. La porte refermée derrière nous nous nous embrassons et passons sous la douche ce qui a pour effet de réveiller. Nous décidons de prendre une infusion de tilleul camomille. Nous bavardons Élise reparle de son envie de travailler elle m’en explique les raisons. Finalement je la comprends et l’encourage et lui dis que je suis prêt à l’aider. Elle m’embrasse heureuse que je ne m’oppose pas à son désir de reprendre une activité professionnelle. Sur cet accord nous allons nous jeter dans les bras de Morphée.

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