Marlène, Rencontre Avec Un Travesti 2 Suite Et Fin

Au travail ou parmi mes connaissances, on a trouvé que j’avais changé. « Sûrement l’absence de barbe et de moustache ! Ça te rajeuni ! » Avec Marlène, nous menons notre double vie avec bonheur. J’envisage même de venir habiter chez elle. Là, bien à l’abri des regards, nous sommes en permanence habillés – ou déshabillés – en femme. Je suis moi aussi devenu un travesti. Ces créatures qu’autrefois je regardais avec un mélange de gêne et de dégoût.
Depuis, il m’arrive de faire des rencontres avec d’autres travestis ou des hommes. J’ai même eu une expérience avec une femme. Avec Marlène, nous nous exhibons sur internet sur un célèbre site de vidéos. Nous gagnons même de l’argent quand les mateurs envoient des « clics ». Il faut dire que nous faisons le « show » et nos « clients » ne sont jamais déçus. Nous donnons des rendez-vous afin que les habitués soient le plus nombreux possible. Notre record : 460 connectés simultanés ! Les « tokens » reçus ce jour là ont atteint des sommets.
Nous avons beaucoup de succès et des habitués. Cet argent, nous le consacrons à acheter des sex-toys, des tenues déshabillées, mais comme cela suffit largement, nous nous payons des soirées en club libertin et quelques repas. Nous appelons ça, nos « dîners de putes » Marlène a subit un traitement pour faire grossir ses seins, ce qui lui a valu d’élargir ses hanches. Elle a dû adapter ses vêtements civils pour que cela ne se voit pas trop.
Moi le macho, fier de ma virilité et de mes aventures avec les femmes, je me sens femme quand je me travesti, ce qui est le cas chaque fois que je suis chez Marlène où que nous sortons « en couple ». Paradoxalement, ma sexualité hétérosexuelle s’est épanouie. Je bande plus, plus fort et plus longtemps qu’avant lors de mes rencontres avec des femmes.
Pour nos sorties publiques, il a fallut que j’apprenne à marcher avec des talons. L’entraînement a été laborieux chez Marlène pendant de longues semaines. Maintenant je marche « comme une pute » dit Marlène.

« Tu tortilles du cul ! »
Le dernier fantasme de Marlène est de tourner un film porno ensemble. Un gang bang où des hommes raient de nous devant des caméras.
Le gang bang, nous l’avons eu dans un club privé de la région toulousaine. Une quinzaine d’hommes et quelques femmes ont « abusé » de nous jusqu’au bout de la nuit.
Lors d’une de nos exhibitions en vidéo, un homme nous avait contactés en privé. C’était un de nos fidèles habitués. Il nous a proposé de participer à une soirée privée qu’il organise tous les mois dans sa propriété de la banlieue toulousaine. Nous étions invités dans ce groupe privé. Il avait montré nos exhibitions à quelques uns de ses amis qui s’étaient déclarés enchantés de l’idée.
Nous avons réfléchi avec Marlène. Ce n’était pas sans risques. Où allions nous nous retrouver? Ne serait-ce pas un piège ? Finalement, nous avons mis au point un « pare feu » avec le propriétaire du sauna, devenu un ami. Nous l’appellerions dès notre arrivée sur place et une autre fois dans la soirée. En cas de problème, il signalerait un souci à l’adresse qui nous avait été donnée. De ce côté là, tout s’est bien passé et la soirée a été au-delà de nos espérances. Nous avons été les vedettes de ce groupe de gens de la bonne société toulousaine.
Nous sommes arrivés en fin d’après-midi habillés en hommes et avons été reçus par la gouvernante qui nous a conduits dans la chambre d’amis qui nous était réservée. Une magnifique chambre avec salle de bain attenante. Nous avons passé deux heures pour nous préparer. Toilette intime, épilation soignée pour moi, maquillage et habillement. Une fois prêts, nous étions tendus… enfin… Pas au niveau de nos sexes, mais plutôt dans notre tête. N’était-ce pas une folie ? Qu’allaient-ils penser de nous ? Comment serions nous accueillis ?
Trois coups frappés à la porte et la gouvernante nous prévient qu’on nous attend. Le sort en est jeté. Un dernier baiser et guidés par la femme, nous retrouvons les invités, dont une bonne partie était arrivée, sur la terrasse à l’arrière de la maison.
Il y a une grande piscine et un jacuzzi au dessus duquel une tente le protége du soleil. Une autre tente avec un buffet de victuailles et un chapiteau pour les boissons.
C’est là que se trouvent les invités qui parlent entre-eux et qui se tournent vers nous à notre arrivée. L’accueil est chaleureux.
- « Bonjour mesdames ! Enchantés de vous recevoir parmi nous. Nous espérons que tout se passera bien et que chacun profitera agréablement de la soirée et… de votre venue ! »
L’homme qui s’adresse à nous doit être le propriétaire des lieux. Nous nous étions malgré tout renseignés et il s’agissait d’un chirurgien réputé de l’hôpital de Rangueuil. Nous apprendrons plus tard que parmi ses invités, se trouvaient des avocats, des médecins, bref, de la « haute futée » provinciale.
En attendant les derniers invités, on nous sert une flûte de champagne et des petits fours. La discussion se passe autour de banalités, même si certains parlent de leurs activités. Rien ne laisse supposer jusque là que nous sommes réunis pour une soirée « libertine ».
Petit à petit, l’alcool aidant, quelques gestes frivoles, quelques caresses et baisers discrets, prouvent que l’ambiance monte. De la musique douce sort d’une chaîne stéréo. C’est alors qu’une femme s’approche de moi. « Vous m’invitez à danser ?  - Avec plaisir ! »
La femme est assez grande, longiligne. Des cheveux bruns courts. Une silhouette un peu androgyne, malgré une poitrine qui apparaît libre de soutien sous sa robe noire, sorte de salopette composée d’un bustier qui dégage ses épaules et d’un pantalon ouvert sur les côtés, qui fait apparaître ses longues jambes quand elle se déplace. Nous nous enlaçons pour une danse plus lascive qu’autre chose. Prétexte à nous frotter et nous caresser.
- « Je m’appelle Betty et toi ?
- Jessica.
- C’est joli, mais dis-moi, je sens quelque chose contre mon ventre, serait-tu coquine… ou coquin ?
- Soit l’une, soit l’autre au gré de tes envies.

- J’adore ! Je voudrais goûter à ton clito, il m’a l’air très… sympathique.
- Je suis sûre que le tien doit être délicieux ! Tu ne voudrais pas que je m’en occupe un peu ? Ton corps aussi doit être superbe.
- Je n’en cache pas grand-chose.
- C’est vrai que je ne sens rien sous ta robe pantalon.
- Ça te plaît ?
- Beaucoup !
- J’ai très envie que tu me prennes comme un chienne ! Défait le nœud derrière mon cou et celui dans mes reins. »
Il suffit que je tire un peu et les deux attaches tombent. Toute la robe glisse et je découvre le corps de Betty. Magnifique ! De longues jambes fuselées, mises en valeur par des talons. Elle me fait penser à cette actrice Claire Nebout. Une poitrine pas très grosse mais bien proportionnée. Une petite touffe au dessus du pubis. Elle est entièrement bronzée. Elle s’accroupit, jambes écartées, non s’en s’être laissée admirer. Elle soulève ma jupe, découvrant le haut des bas, caresse mes cuisses en remontant. Elle baisse le devant du string en dessous de mes couilles et plonge sur ma bite pas encore complètement raidie. Elle l’avale en gloussant et me pompe ainsi. Totalement impudique et indifférente aux regards qui se sont concentrés sur nous.
Je vois à mes côtés que Marlène est entreprise par deux hommes qui s’occupent de la déshabiller tout en la pelotant. Elle se retrouve très vite nue, ne gardant que ses bas accrochés aux jarretelles. Sa poitrine, bien développée maintenant, la sublime et que dire de sa verge qui se dresse à l’horizontale. Elle est superbe. Les deux hommes la couchent. Une femme plonge sur sa bite alors que les deux hommes ont sorti la leur et qu’elle doit s’en occuper alternativement.
La soirée est lancée. Les couples et les trios se forment. Je n’ai pas le temps de m’occuper de Betty, qu’un homme la couche et à genoux, lui lèche la vulve. Elle me dit alors :
- « Prends-le Jessica! Encule-le ! Encule mon mari pendant qu’il me lèche ! Et vous messieurs, donnez-moi vos bites à sucer ! »
Betty est déchaînée.
On me passe une capote et j’enfile le cul qui m’est offert. L’homme grogne, mais ne se défile pas. Il reçoit ma bite sans problème. La bacchanale se poursuit avec quelques interruptions. Avec Marlène nous sommes les reines de la soirée. Les hommes et quelques femmes veulent profiter de nous et ils ne sont pas déçus. Une quinzaine d’hommes vont se succéder entre mes fesses et celles de Marlène, sans oublier nos bouches et nos mains. Les femmes aussi vont vouloir profiter de nous.
C’est Betty qui sera la première à me sodomiser. Harnachée d’un gode ceinture, elle me demande. « Comment veux-tu que je te prennes ?
- Sur le dos ! Je veux te voir pendant que tu m’encules ! »
Betty vas longuement me sodomiser. Mes jambes en l’air soutenues dans ses bras, Betty me branle de temps en temps avant qu’un homme ne vienne me pomper. Betty ne le laisse pas me vider car elle veux monter sur moi et s’empaler sur ma queue qu’elle guide en elle de sa main. Après quelques instants, elle se penche sur moi et m’embrasse. Un homme derrière elle profite de la position pour venir l’enculer à son tour. Je sens à travers la mince paroi, la bite de l’homme remplir son cul. Je ne peux plus bouger. Un homme parvient à glisser sa bite entre nos lèvres et nous nous partageons la friandise avec Betty.
Après minuit, la troupe se réduit peu à peu. Marlène en profite pour envoyer un message à notre ami, lui signalant que tout va bien. Il reste trois ou quatre hommes et une femme en plus de Betty. Celle dernière est insatiable. Elle veut que Marlène et moi la prenions ensemble. Elle s’assoit de dos sur la queue de Marlène, qu’elle s’enfile dans le cul. Magnifique, elle rythme elle-même sa sodomie devant tous. Je viens ensuite entre ses jambes quand elle se couche sur Marlène et je parviens non sans mal à m’introduire dans sa chatte. La position et la réalisation sont un peu ardues, mais nous parvenons à nous ajuster. Une main s’est glissée entre mes fesses et deux ou trois doigts – je ne parviens plus à savoir, tant mon anus a été sollicité – me ramonent les entrailles.
- « C’est ça ! Baisez bien ma pute de femme ! Et toi, la salope, prend bien ça dans ton cul ! »
Trop sollicité, je jouis d’un coup, me répandant dans la capote. Je laisse ma place et toujours empalée sur Marlène, c’est son mari qui prend ma place. L’autre femme se précipite, retire le préservatif et avale ma bite gluante. La cochonne a bien l’intention de « profiter de cette pute !» Une fois ma bite à nouveau en état -la pastille de Cialis prise en début de soirée fait heureusement son effet – Elle me demande de la sodomiser et commande à son mari de se mettre devant elle pour qu’elle le suce. » Tu verras comme ça cette pute te faire cocu !
- Je sais bien bien que c’est toi la pute ! Tu te fais monter par tout le monde ! En attendant suce-moi bien, je vais profiter du cul de cette belle salope. Ce n’est pas elle la plus pute des deux ! »
La femme jouit rapidement. Je la retourne et à genoux entre ses jambes, je lui bouffe la chatte. Je demande alors à son mari de venir me mettre sa queue dans le cul. « Ce sera la dernière de la soirée ! Mon anus n’en peut plus ! »
L’homme est bien monté et j’ai mal à mon cul qui est bien irrité. Je demande à plusieurs reprises à l’homme de remettre bien du gel et je supporte stoïquement mon supplice jusqu’au bout. Jusqu’à que lui aussi jouisse entre mes fesses.
Le lendemain, il est plus de treize heures lorsque nous nous réveillons. Avec Marlène, nos mines sont défaites. Nous passons un long moment dans la salle de bain. Grâce à une pommade, nous soignons nos anus endoloris. Un peu requinqués, la gouvernante vient frapper à la porte pour nous inviter à prendre le petit déjeuner avec ses patrons.
Revêtus de grands peignoirs blancs, bien moelleux et chaussés de sandales confortables, nous descendons au salon. Là, nous retrouvons Betty et son mari, qui s’avèrent être nos hôtes.
Ils sont surpris de nous voir « en civil » Si Marlène reste très féminine, il n’en est pas de même pour moi. Sans ma perruque, je suis chauve et ne m’étant pas rasé, je ne ressemble plus du tout au simulacre de femme que j’étais la veille. Nous leur expliquons, qu’il nous arrive de sortir alors que je suis « en homme » au bras de ma chérie. Que mon travestissement n’est que pour les vidéos et pour cette soirée qui était une première. Nous oublions de dire que nous allons aussi dans un sauna, travestis tous les deux.
- « J’ai pu juger que vous êtes un vrai homme, dit Betty, mais j’ai adoré vous voir comme hier soir.
- Merci ! J’espère que vous n’êtes pas déçus de nous voir comme cela.
- Pas du tout ! Nous en avons parlé avec mon mari et je voudrais vous proposer de revenir de temps en temps au cours de nos soirées. Nous pourrions même vous « rémunérer ».
- « Comme des putes ! Dit Marlène.
- Ne le prenez pas comme cela ! Nous ne le voyons pas comme cela. Pardon… pour nous..
- Ne vous excusez pas ! Oui. Nous avons envie d’être traitées comme des putes ! C’est notre fantasme.. enfin.. le mien.
- Moi aussi, je suis d’accord ! Dis-je
- J’en suis très heureuse, dit la femme. Même si nous ne vous voyons pas comme ça, mais si ça vous plaît !
- Il ne s’agit pas non plus de nous rémunérer, nous ne tenons pas à tomber sous le coup de la loi. Simplement que cela rembourse nos frais. En revanche, que nous passions pour des putes vis à vis des autres invités et qu’ils nous traitent comme telles, aucun problème.
- C’est un peu ce qu’il s’est passé hier soir non ? Vous avez été très sollicitées !
- Pour notre plus grand plaisir. Vous avez pu voir que nous jouissons vraiment.
- C’est pour cela que je vous ai proposé de revenir. Nous avons eu d’autres… personnes comme vous, mais vous dégagez quelque chose en plus.
- Merci.
- Je… voudrais vous demander quelque chose, intervient le mari.
- Oui ?
- Est-ce que vous… accepteriez de revenir samedi prochain ?
- Ce n’est pas trop ? Il faut garder le côté exceptionnel.
- Pas pour une soirée comme hier, non. Nous… enfin, je n’en ai pas parlé à ma femme, mais je suis sûr qu’elle sera d’accord avec moi… Nous aimerions vous recevoir… uniquement vous… et nous deux… « Avec Marlène, nous nous regardons, ne sachant quoi répondre.
- Oh oui, mon chéri ! Qu’elle bonne idée ! J’ai vu comment tu as aimé « jouer » avec ces dames !
- Toi aussi, me semble-t-il
- C’est vrai que ces dames ont des… arguments… virils qu’envieraient bien des hommes.
- Pour ma part, intervient Marlène. C’est depuis Jacques… enfin Jessica... que je me rapproche aussi des dames.
- Nous voudrions passer une soirée « travestie ». Vous trois, car mon mari en rêve secrètement depuis longtemps et moi, j’ai envie d’être un homme une fois. »
Nous acceptons et retournons chez eux le samedi suivant. Pendant plus d’une heure, Marlène s’occupe de féminiser Florian, notre hôte. Maquillage soigné après un rasage de près, pose de faux cils et perruque. Vient ensuite l’habillement. Nous avons choisi une guêpière qui permet à la fois de modifier un peu sa silhouette d’homme, d’intégrer un rembourrage pour les seins et d’avoir des jarretelles pour tenir les bas noirs à couture et comme Florian n’est pas habitué à marcher avec des talons hauts et fins, des escarpins à talon large. Dernier détail et pas des moindres, la robe. Assez courte pour dévoiler les jambes, mais suffisamment ample pour cacher la silhouette masculine.
Betty elle, a revêtu un costume d’homme et s’est même dessiné une moustache. Pas de maquillage et ses cheveux courts plaqués, renforcent son côté androgyne. Finalement, nous décidons que je vais rester en homme. Nous serons ainsi deux couples, à priori « normaux ». Le jeu commence. Bizarrement, alors que je suis le seul non travesti, j’ai l’impression de ne pas être à ma place. Betty qui sera Bertrand pour la soirée déclare en nous servant du champagne :
- « Ma femme Flore, est une pute. Ma chérie, tu devrais nous faire un strip-tease. Je suis sûr que nos invités seront ravis de te voir. Allez debout ! »
Flore est tout à coup moins à l’aise. Elle se lève et face à nous elle se dandine, tourne sur elle-même, défait son corsage, puis sa jupe. Sur ses talons, en guepière et bas noirs, elle est très « féminine ». Elle se pavane. En bougeant sur une musique douce. Elle avale d’un coup sa flûte de champagne comme pour se donner du courage.
- « Salope ! Vient sucer notre invité comme la pute que tu es ! »
Je me lève et Flore s’agenouille. Elle ouvre mon pantalon et att ma bite encore molle. Elle l’avale, la cajole, et roule mes boules d’une main. Marlène n’attend pas et se dirige vers Bertrand, assis dans un fauteuil, il regarde sa femme qui me pompe. Ma bite est bien raide après le traitement de sa bouche. « Baise-là cette salope ! »
Je demande à Flore de m’enfiler la capote et de me sucer. Je la fait pencher sur la table, face à l’autre couple. Son cul est bien mis en valeur dans cette position. Encadré par les jarretelles il ressort encore mieux. Je ne peux résister au plaisir de la fesser. Flore crie, couine, mais ne se dérobe pas.
«  Mais c’est que ça lui plaît ! » Jubile Bertrand Cette salope bande ! Allez ! Baise-là ! Défonce lui le cul ! Je me penche sur le cul offert et je plonge ma bouche entre les fesses. Longtemps je fourre ma langue dans le trou prêt à m’accueillir. En face de nous, l’autre couple ne s’occupe plus de nous. Marlène a déshabillé Bertrand et ils sont en soixante neuf. Marlène bouffe la chatte de Bertrand qui suce le clito turgescent de Marlène.
Je me relève. Je me branle pour bander à nouveau. J’écarte les fesses de la femelle offerte et je me guide de la main. Lentement, je perfore l’anus qui s’ouvre .Flore a été bien préparée et je n’ai aucune difficulté à l’investir. Je sodomise la pute qui gigote et grogne, toujours penchée sur la table.
- « Alors ma chérie ? Ça te plaît de te faire enculer !
Oh oui ! C’est bon !
Tu es vraiment une pute ! Regarde. Moi aussi je vais baiser cette femelle ! Tu vas être cocue ma salope ! »
Bertrand se harnache d’un gode ceinture qu’elle ne va plus quitter de la soirée. Après avoir pris Marlène, c’est Flore qui va « profiter » de ses ardeurs. J’aurais droit aussi à y goûter. Nous sommes alors deux hommes qui baisent à côté de deux femmes, car aussi bien Marlène que Flore, vont rester en dessous coquins toute la soirée.
Finalement, ce sont les deux couples reconstitués qui vont se retrouver. Marlène et moi d’un côté, Bertrand et Flore de l’autre.
Cette première partie de la soirée, nous allons la finir par un « petit train » Marlène devant, prise par Flore que je sodomise et Bertrand derrière moi qui ferme la marche en m’enmanchant de son gode.
Après ce dernier « round », nous sommes bien fatigués mais pour la nuit, Bertrand, redevenu Betty, décide :
- « Je vais aller dans notre chambre avec Jacques, comme cela tu seras cocu mon mari, tu n’auras qu’à aller dans la chambre d’amis avec Marlène ! »
Le lendemain, nous nous retrouvons tous, chacun ayant repris son identité véritable, mais avant de partir, Betty, décidément, maître de cérémonie, a voulu profiter de ces trois bites et nue à nos pieds, nous a sucés l’un après l’autre. Nous nous sommes retirés, enchantés de cet épisode.
- «  Je crois que mon mari se trouve très bien en travesti. Il retrouve ainsi une belle vigueur ! Dorénavant à la maison, les rôles vont être inversés dans l’intimité. J’espère que vous lui donnerez des conseils pour devenir aussi belle que vous. Je crois que pour nos prochaines soirée, nous aurons trois salopes à baiser ! Nos invités seront enchantés ! »

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!