Expérience De Rencontre Avec Un Inconnu (Suite)

Comme il venait de me l’annoncer, le grand moment était venu. Après ces courts préliminaires, Hervé était enfin décidé à me prendre par derrière. Je me relevai et me plaçai à genoux sur le matelas de cette chambre d’hôtel louée pour la soirée, et je le scrutai. Il était allongé nu devant moi, et son sexe était toujours en demi-érection, même après qu’il l’ait senti s‘enfoncer à l’intérieur de ma chatte étroite. Je demeurai immobile jusqu’à ce qu’il redresse de lui-même.
-Tu es d’accord pour que je te sodomise, Claire ? Comme on l’avait prévu ?
Je hochai la tête timidement. Il me sourit, l’air enchanté.
-Tu es sur le point de me permettre d’accomplir l’un de mes fantasmes les plus profond, tu le sais ?
-Ben… je crois ! me contentai-je de répondre.
J’avais toujours mon chemisier ouvert et les bonnets bleus de mon soutien-gorge se laissaient entrcevoir. Il me détailla un long moment avant de reprendre.
-Tu voudrais bien remettre ta culotte ?
J’écarquillai les yeux, complétement abasourdie. Je ne comprenais pas pourquoi il me demandait ça alors qu’il tenait absolument à me sodomiser.
-Quoi… Pourquoi ? demandai-je alors.
-C’est que… tu vas trouver ça bizarre ! Mais je voudrais baisser ta culotte moi-même, comme si… comme si je pouvais me servir de tes fesses autant que je le voudrais.
-Je comprends pas, insistai-je.
-Remets juste ta culotte alors…s’il te plait !
Je me relevai, glissai au pied du lit et récupérai mon sous-vêtement bleu ciel qui trainait sur le drap blanc du lit. Puis précautionneusement, je soulevai chacun de mes pieds, puis réajustai ma culotte sous ma jupe comme il venait de me le demander.
-Merci ! déclara-t-il avant de pivoter sur lui-même pour descendre du lit à son tour, mais il se retrouva de l’autre côté par rapport à moi. Il se redressa sans aucune honte devant moi, son ventre enveloppé retombant sur son pénis épais qui se recroquevillait déjà entre ses jambes à force d’attendre de se faire stimuler.


-Alors, comment veux-tu te placer ?
-Je ne sais pas…
-Tu veux t’appuyer sur des coussins ? Ou sur le bord du lit…
-Oui sur des coussins, c’est bien !
-D’accord !
Il se pencha finalement en avant et découvrit tous les oreillers qui se trouvaient sous les draps, il les empila au centre du lit, puis il se retourna, se dirigea vers l’armoire et après avoir ouvert, fut enjoué de découvrir de nouveaux oreillers qu’il se chargea de placer sur les autres.
-Voilà, me dit-il en souriant.
Un peu intimidée et la boule au ventre de savoir ce qui m’attendait, je montai alors à genoux sur le lit. Hervé ne décrochait pas son regard de moi. Au contraire, il attrapa son sexe presque mou et se mit à la malaxer en m’observant avec une certaine envie.
J’étais sur le point de me positionner pour me faire volontairement enculer par un homme qui n’avait encore jamais fait ça de sa propre vie. Et pour cela, je devais m’installer sur la pile d’oreillers, les fesses tendues en arrière pour lui faciliter l’accès à mon cul tout serré. J’avais presque l’impression de me trouver devant un peloton d’exécution d’autant plus qu’Hervé ne masquait aucunement son excitation devant moi. Il se secouait toujours plus le pénis alors que j’avançais à quatre pattes sur le matelas vers le centre du lit.
Je vins enfin poser ma poitrine sur l’oreiller supérieur et les cuisses à la verticale, je tendais mon postérieur pour l’inviter à venir se placer derrière moi afin de me pénétrer.
Je le vis se mordre un instant les lèvres avant de se décider. Il me rejoignit sur le lit. Il se glissa rapidement à genoux derrière moi. Je sentis enfin sa grosse main se poser sur ma jupe. Il malaxa longuement ma fesse droite bien rebondie. Il semblait toutefois hésiter.
-Claire, c’est aussi ta première fois ?
-Non !
-On te l’a déjà fait alors ? Plusieurs fois ?
-Deux fois…
-Ah… Il se tût un moment tout en me maintenant la jupe. Je crois que j’ai un peur, finalement ! poursuivit-il.

Je tournai la tête et l’observai. Il était assis sur ses mollets et avait le visage rouge d’une honte qu’il avait mal à dissimuler. Je l’aidai alors un peu en glissant mes mains derrière moi afin de remonter ma jupe jusqu’à ma taille, découvrant ainsi ma culotte bleue ciel et les formes rondes de mes fesses. Il baissa aussitôt les yeux et ouvrit la bouche de surprise.
-Allez-y, l’encourageai-je.
Je tenais absolument à recevoir son sexe épais dans mon cul. J’étais venue pour ça et je désirais sincèrement qu’il prenne enfin les devants. Il scruta sans bouger mon fessier mais ne réagit pas à ma sollicitation. Je me retournai alors et patientai dans l’idée que l’image de ma jolie culotte lui donne enfin l’ardeur que j’attendais.
Soudain, je sentis quatre doigts se saisir de l’élastique de mon sous-vêtement afin de le glisser jusqu’au milieu de mes cuisses. Je rougis lorsque je devinai qu’il était en train de détailler mon petit anus serré ainsi que ma chatte refermée et toujours humide de cyprine. Il se pencha en avant et au bruit qu’il fit alors, je sentis qu’il reniflait mon odeur tout en se masturbant. Je me retournai alors vivement et grondai à son intention.
-S’il vous plait, ne faites pas ça !
Il se redressa, interdit, et me demanda aussitôt ce qui provoquait ma gêne.
-Ne sentez pas mon odeur ! Je ne suis pas là pour ça !
-Claire, mais pourquoi ??
-C’est mon odeur intime ! Je ne veux pas que tout le monde en profite…
-Euh d’accord ! Je… Je peux au moins te toucher…
-Oui !
Cela me gênait profondément d’exposer mes odeurs de cette façon-là. Je n’étais pas juste une petite chienne de passage qui venait se faire renifler le cul par des molosses excités. Je voulais aussi vivre l’expérience de plaisir.
Il posa finalement sa paume sur mes fesses et se permit de glisser deux doigts entre elles pour venir palper mon petit cul. Je frémis de bonheur à me sentir me faire peloter en cet endroit.
Je me tendis sur les oreillers et le laissai faire, ressentant déjà un nouveau plaisir naissant dans mon ventre.
-Tu es vraiment très belle, Claire ! Je n’ai vraiment pas envie de te faire mal en t’ouvrant pour te pénétrer.
Je ne réagis pas à son inquiétude.
-Tu m’autorises à prendre du gel pour te détendre ? Tu as le cul tout serré !
Je hochai la tête puis je lui demandai alors :
-En sachant que vous m’avez dit que c’était votre fantasme, je ne comprends pas trop votre réserve pour rentrer en moi.
-C’est que tu es jeune… ça me fait un peu peur… je te l’ai dit !
Il se releva alors, abandonnant ses caresses sur moi, et descendit du lit pour ouvrir à nouveau sa valise à la recherche du gel qu’il avait apporté. Puis il revint vers moi et me le présenta.
-Ca va nous aider je pense…
Je regardai rapidement le flacon qu’il tenait en main puis descendit rapidement les yeux sur son sexe d’homme attirant. Il suivit mon regard, avec l’expression curieuse.Quand il se rendit compte de ce que j’étais en train de fixer, il glissa ses fesses sur le matelas pour se rapprocher de mon visage. Je me penchai rapidement en avant et attrapai son gland en bouche pour me remettre à le sucer. Je le voulais tendu pour moi, c’est pourquoi je m’appliquai à le redresser avec ma bouche. J’étais affalée sur l’empilement d’oreiller et j’avais toujours la culotte baissée sur mes jambes.
Il me laissa faire, surpris, et contempla ma chevelure blonde qui gigotait entre ses cuisses.
-T’as vraiment envie de me manger petite puce ! Fais-toi plaisir, suce !
Et je m’exécutai sans un mot. Le bout de son pénis avait pris le gout de ma cyprine après s’être venu fourrer à l’intérieur de ma petite chatte. Je le nettoyai longuement de mes saveurs en faisant jouer ma langue tout autour de l’extrémité de son sexe. Je bavai même dessus jusqu’à ce que ma salive s’échappe de mes lèvres pour venir couler le long de sa tige jusqu’à ses poils pubiens.

-Tu m’excites, bon sang…
C’est alors que je m’arrêtai et que je me relevai pour le fixer, le visage marqué par mes lèvres luisantes d’humidité. Il ne dit mot puis ouvrit le flacon qu’il pressa aussitôt en plaçant le bouchon de sortie directement sur son gland. Du gel transparent s’en extirpa et forma une goutte énorme sur son pénis épais.
Devant mes yeux, il se prit en main et étala la substance visqueuse le long de son dard à demi-tendu. Il semblait en même temps prendre un certain plaisir en se masturbant directement devant moi. Son gland brilla rapidement à cause de la lotion.
-Tu te laisses faire ?
Je hochai la tête. Il se redressa et passa encore une fois derrière moi. Du bout de l’index, il me caressa encore un moment l’entrée de mon cul puis je le sentis se redresser jusqu’à venir me dominer de sa stature. Son pénis vint en contact avec mes fesses, laissant du gel sur ma peau puis il se mit à fouiller, à l’aide de son pénis, entre mes fesses. Je me préparai en fermant les yeux à sentir mon anus s’ouvrir encore une fois à cause d’une énorme queue.
Il plaça son gland grossier sur moi et je le sentis enfin me presser pour rentrer. Il posa l’une de ses mains sur le creux de mes reins puis se mit à forcer. Il avait complétement oublié que je pouvais ressentir du mal à sa pénétration.
-Ouvre-toi Claire ! Ouvre ton cul que je rentre à l’intérieur…
Je serrai les dents sans un mot pouvant s’opposer à ses pressions perverses. Il grognait en me cherchant. Finalement, mon étroite corolle s’ouvrit légèrement. Je me détendis et attendis la pression caractéristique qui m’indiquait que j’accueillais enfin son sexe d’homme à l’intérieur de mon cul. Il tenta de progresser plus avant puis se relâcha, essayant de recouvrer sa vigueur.
-C’est dur d’entrer quand même ! Mais quel plaisir…
Il se reprit puis se replaça derrière moi avant de reprendre ses efforts. Il m’écartait les fesses de son pénis et je sentais que mon cul était sur le point de céder. Et trente secondes plus tard, il réussit à me pénétrer. J’expirai lorsque je devinai son gland chercher sa route dans mon anus. Ayant compris qu’il devait encore ouvrir le passage, il commença enfin à remuer son gros bassin pour me prendre. Sa main glissa sur moi et en s’aidant de l’autre, il attrapa ma taille et travailla longuement, en rapides va-et-vient, entre mes fesses.
Encore une fois, je me faisais sodomiser par un homme qui pensait plus à son propre bonheur qu’à moi-même. Mon cul et mes fesses étaient devenus siens et il désirait tout donner pour son seul plaisir personnel. Je me laissais remuer d’avant en arrière sur la pile d’oreiller et malgré moi, je me sentis profiter de cette intrusion perverse. J’étais venue dans cette chambre d’hôtel avec cet inconnu pour me faire enculer et c’est ce que j’étais en train de recevoir sans pouvoir me plaindre.
Tandis qu’il progressait toujours plus en moi, je m’aperçus qu’il arrivait au bout de sa longueur lorsque son ventre bedonnant vint taper sur mes fesses rondes. Je compris qu’il ne s’infiltrerait pas plus loin. C’est alors que tout en continuant à m’enculer, il monologua.
-Oh, le joli petit cul serré ! Tu aimes que je te fourre ! Tu aimes te sentir violer comme ça ! Oh oui, Claire ! Tends moi tes fesses que je te les ouvre en grand…
Il tambourinait de plus en plus fort derrière moi et la pile d’oreiller commençait à se déformer à cause des impulsions violentes qu’il me prodiguait. Il finit par se pencher sur moi et tapa d’un geste violent du poing dans les oreillers.
-Enlève ça, Claire ! Je veux te grimper dessus. Enlève ton chemisier aussi, mets-toi en soutien-gorge !
Je me redressai légèrement, sa queue toujours fourrée en moi. Il ne cessait pas ses va-et-vient et je me retrouvai à retirer tant bien que mal ma chemise blanche. Pendant ce temps-là, il s’attachait à retirer un à un les coussins qui retenait ma position, en les faisant voler sur le lit.
-Allonge-toi ! Je veux te prendre par derrière comme si tu n’avais pas le choix.
Je retombai alors sur le ventre, débarrassée de mon chemisier, et m’affalai sur le matelas à la merci de cet inconnu beaucoup plus âgé que moi. Il me suivit et s’appuya sur moi. Son ventre humide de sa sueur presque immonde s’essuya dans mon dos. Il m’écrasa de son propre poids puis me saisit par les épaules et il accéléra ses mouvements pour me prendre par le cul de plus en plus fort. Il fourra son visage dans mon cou et dans ma chevelure où il commença à lécher ma peau douce à tous les endroits où il le pouvait. Je ne pouvais plus bouger. Hervé me bourrait les fesses comme un forcené.
-Tu aimes que je te prenne le cul, hein Claire ? T’es venue pour ça petite cochonne ! Pour te faire enculer comme une petite chienne ! Tu aimes ce que je te donne ? T’adores ça ?
Il avait été plutôt gentil jusqu’à maintenant mais son excitation venait de prendre les devants. Immobile, la respiration haletante, je n’avais le choix que de me laisser faire. Etre sous son contrôle était ce qu’il attendait depuis le début. Je le devinais aimer me dominer et me bloquer afin de me bourrer son gros sexe dans le cul. C’était sa façon de se venger de toutes ces autres femmes qui lui avait refusé la sodomie.
Il soufflait comme un bœuf et à cause de son poids, je ne pouvais plus respirer. Il me cherchait de sa bouche tandis qu’il me défonçait toujours plus le derrière. J’étais son instrument, sa poupée et il comptait bien terminer en apothéose avec moi.
-Claire, j’en ai rien à faire de ton avis mais je te fais dans le cul !
Je tentai de bouger mais impossible. Il glissa alors ses deux mains entre son ventre et mes flancs puis attrapa mes fesses nues et y enfonça ses ongles avant de me les écarter. Il entra ensuite dans une extase étrange qui le fit frissonner. Puis quelque chose s’écoula au plus profond de mon anus. Il était en train d’éjaculer sans me le dire. Le liquide s’écoula en moi en me prodiguant une sensation bizarre. Quant à Hervé, il ne laissait rien au hasard et se vidait entièrement en moi. Il libéra une grande quantité de sperme gluant et brulant avec une profonde délectation. Il me marquait les fesses de ses ongles pour combler son plaisir qu’il n’exprimait aucunement par des râles ou des gémissements comme tout autre homme que lui, l’aurait fait.
Enfin, il se détendit, puis relâcha son étreinte sur moi. Trempé de sueur, il n’avait aucune honte à se poser sur moi pour me souiller de son odeur de mâle. Je sentais en tout cas qu’il venait de terminer entre mes fesses. Il prit encore un moment, soufflant comme un bœuf dans mon oreille, avant de se retirer. Il bascula sur le côté parmi les oreillers, complétement épuisé. Puis il tourna le regard sur mon visage à la chevelure décoiffée.
-C’était vraiment bon, Claire ! Merci de m’avoir prêté tes fesses pour mon fantasme. C’était super comme je l’avais imaginé.
Je me pinçai les lèvres puis hochai la tête. J’avais un peu honte de m’être faite humilier de la sorte par cet inconnu qui finalement était plutôt un gros pervers. Je ne dis mot et me redressai pour remonter rapidement ma culotte sous ma jupe. Je retrouvai mon chemisier et m’attachai à l’enfiler.
-Qu’est ce qui ne va pas, Claire ? me demanda-t-il alors.
-Rien, rien… Je dois m’en aller…
-Déjà ? Mais je voulais te proposer de passer la nuit avec moi ! Il est plus de minuit, tu ne vas quand même pas rentrer dans la nuit comme ça… toute seule…
-Ca ira, il faut que je m’en aille !
-Tu veux que je te raccompagne !
-Non, non pas du tout ! Je n’habite pas loin.
C’était un mensonge bien évidement.
-Tu n’as pas aimé, c’est ça ? Je t’ai fait mal ?
-Non, ça va, ne vous inquiétez pas ! C’est que demain je me lève tôt, alors…
-Bon !
Il me regarda me lever, un peu déçu. Il demeura néanmoins allongé, son sexe se recroquevillant petit à petit entre ses jambes. Je contournai le lit rapidement et attrapai mon manteau ainsi que mon sac que j’avais posés sur le bureau étroit de la chambre. Lorsqu’il me vit finalement me rapprocher de la porte, il se releva précipitamment et courut à ma suite pour m’attr. Il se colla à moi, plaquant son ventre et son sexe dans mon dos. J’avais la main sur la poignée et je venais tout juste d’entrouvrir la porte. Il pencha son visage sur mon épaule puis me souffla dans l’oreille.
-Attends, Claire ! Je voulais te dire que j’ai vraiment aimé ce qu’on a fait… Je voudrais te revoir… Je viendrai ici quand tu voudras … je paierai le train sans problème pour venir te retrouver. Je voudrais vraiment continuer à baiser avec toi.
Je ne dis mot et patientai qu’il termine.
-Je ne te la mettrai plus dans le cul si tu n’as pas aimé mais laisse-moi te revoir, s’il te plait !
Il m’attrapa le bras pour guider la main vers son pénis mou qu’il me fit toucher.
-Il est pour toi celui-là, Claire…
-On verra, lui répondis-je finalement.
J’arrachai alors ma main à son étreinte puis ouvrit la porte en grand avant de sortir de la chambre. Les fesses encore endolories de ce que je venais de subir, je le quittai.
(en désirez-vous encore la suite ?)

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