Collection Agent Secret. Madame Marion, Commandant Marion. Mission En France. Saison Iii (9/11)

Je suis de retour dans mon château pour quelques heures ayant rangé mon grand couteau dans sa cache après l’avoir désinfecté.
Couper la gorge à des fumiers ou les planter dans leur ventre comme à Calais, il peut être infecté par leur idéologie.

C’est dans notre salon que Gontran m’enlève mes vêtements.
C’est sa bouche qui vient tendrement sucer et mordiller les fraises de mes seins.
Elles sont exacerbées à retrouver la façon si douce de les titiller.
Mon mari a dû être femme dans un autre temps, car on sait que j’ai eu beaucoup d’amants mâles et femelles, mais avec plusieurs longueurs d'avance c’est lui qui me les suce le mieux.
J’ai souvent dit que j’aime la douceur dans mon couple, mais le risque du retour de mes s m’oblige à interrompre ces préliminaires qui avec lui peuvent durer un temps infini.
Je sors, sa verge j’écarte mes cuisses, il bande magnifiquement.
C’est moi qui arrache mon string et divinement il me plante.
Avec de vigoureux coups de bite, je pars rapidement vers le sommet de mon plaisir.
De notre plaisir, car ce qui est rare dans un couple, un orgasme me submerge en même temps qu’il éjacule de longs traits de spermes me prouvant par leur quantité qu’il m’a été fidèle.

- Merci mon amour.
J’entends les s rentrer, tu vas comprendre le calvaire que tu m’as fait vivre avec tes bananes.

Je me rajuste ma chatte dégoulinant de sperme.
Je ramasse ma petite culotte, je m’essuie.
Je l’ai en main, j’entends des cris, ils arrivent.
Je la balance sous le canapé, c’est le seul endroit que je trouve.

- Maman, tu es rentrée, merci pour les bananes.
Papa, j’en veux une pour mon quatre-heures.
Papa, je vais en chercher pour tout le monde.

Ma fille vient dans mes bras, je l’embrasse avec amour.
Jules revient avec des bananes dans ses mains.

- Marion, tu vois ce que je subis avec tes bananes, j’ai envie de l’.


- Tiens, maman mange, mais tu devais en manger de nombreuses là-bas.
Dis-moi, pourquoi celles que tu nous as envoyées étaient toutes noires l’extérieure et marron à l'intérieur, alors qu’ici elles sont jaune dehors et blanche comme tu le vois.

J’ignore quel métier fera mon fils dans le futur, mais c’est déjà un grand observateur.
Je regarde Gontran qui mange sa banane.
Je rigole en ingurgitant la mienne.
Vicieux vous pensez que je pense que je suce une queue.
Erreur, je sais que mon mari a horreur de ces fruits exotiques.
En bon fils, il récupère les peaux et retourne à la cuisine où notre bonne prépare notre repas du soir.
Gontran prend son journal regardant les cours de la bourse.
Je joue avec Lise et son nouveau doudou.
Jules revient avec son camion de pompiers à nos pieds.
Il est couché sur le parquet en chêne et le fait tourner autour de lui.
Je le vois s’approcher du canapé avancer sa main et en sortir…
Ma petite culotte.

- Maman, Lise a fait pipi dans sa culotte et l’a caché sous le canapé.
- Maman, je fais pipi dans mon pot.

Plus rapide que moi, Gontran la récupère et la met dans sa poche.

- Non, Jules, c’est la femme de ménage qui a oublié son torchon pour la poussière.

Une nouvelle fois je manque de pouffer, je vois bien mon mari demain au bureau sortir mon string qu’il a mis dans sa poche.
Alicia, notre nurse vient récupérer les s pour les doucher et les faire manger avant de les coucher.
Je me demande quand Gontran va me parler du réveillon.
Au dessert toujours rien.
Le connaissant je trouve un subterfuge pour en parler.

- Chéri, que prévoit-on pour le réveillon de la Saint Sylvestre.
Ma mission en Martinique nous a empêchés d’en parler.
Dois-je demander à Alicia de garder les s ou veux-tu que l’on sorte.
- J’ai eu une invitation de représenter notre service au réveillon du sénateur X.

Je dois donner ma réponse demain matin, mais je vais privilégier notre famille et le fait que tu sois de retour.
- Tu es inconscient Gontran, refuser la soirée courue par tous les hauts fonctionnaires depuis des années.
Si tu refuses, tu peux faire une croix sur toute promotion.
Demain matin tu acceptes, tu sors après manger et nous irons m’acheter une nouvelle robe du soir et pour toi le smoking obligatoire.
- Je vois que tu veux que nous nous montrions dans le grand monde, c’est d’accord, on fera comme tu le désires.

J’avais raison de me méfier, mais bon il est 21 heures quand nous arrivons dans l’appartement du sénateur véreux dans le XVIIIe arrondissement près de la place Pereire.
Ce monsieur possède un hôtel particulier.
La salle à manger et les salons sont incroyablement vastes.
Nous sommes au moins une cinquantaine.
Je peux dire que je suis magnifique dans ma robe longue blanche.

Quand nous passons la porte où la fête va se tenir avec un buffet froid le commandant Marion entre en scène.

- Mon cher Gontran, je suis heureux que vous soyez là.
Quand j’ai arrêté la liste et que mon attaché m’a suggéré vos noms, j’aurais parié que vous auriez refusé mon invitation.
- Je l’aurais certainement fait, mais ma femme a voulu venir alors je lui ai fait plaisir.
- Il faut toujours faire plaisir à sa femme, surtout quand on en a une aussi belle que là vôtre.

Il me fait un baisemain.

- Je crois savoir qu’elle est militaire et même commandant !

Je suis sur la corde raide, le sénateur semble savoir beaucoup de choses sur nous et surtout sur moi.

- Je dois sentir la banane, car je rentre de la Martinique où je me suis occupée de problèmes d’approvisionnement pour nos armées.

En disant ces mots, j’avance négligemment ma jambe qui franchit la fente montrant à mon interlocuteur mon bas jusqu’à la dentelle qui le retient.

Je vois que le sénateur a le regard qui traîne.
La soirée se déroule, chaque fois que je le peux, je l’allume sentant qu’il bande d’envie dans son smoking blanc.
5, 4, 3, 2, 1, 0.
Bonne année, les coupes de champagne s’entrechoquent.
Les uns s’embrassent même sur la bouche pour des couples.
Moi avec le sénateur voyant la pendule s’approcher de l’heure fatidique je suis à côté de ma proie aux 12es coups.

- Je peux vous embrasser !
- On va s’en priver.

Par chance sa femme est à l’autre bout de la salle et s’embrasse avec des copines.
Parmi elles, j’en connais une, non deux, mais par chance pas trop proche pour que nous soyons intimes.
Il m’embrasse, j’en profite pour lui coller ma poitrine sur sa veste de smoking.
Une fraction de seconde je sens qu’il bande.
J’attends que Gontran réponde à son coup de téléphone quand l’improbable ce produit.

- Marion, tu t’appelles bien Marion !
- Oui.

Il me parle à l’oreille.

- Tu vois la porte à la droite de cette salle, tu traverses le salon, tu prends la porte à l’opposé tu seras dans un couloir, porte à droite les toilettes, en face mon bureau.
Tu y vas je te rejoins le plus vite possible.
- J’en mouille d’avance.

Et j’appuie mon pubis sur son sexe.
C’est certain, il bande.
Gontran est à trois mètres, j’ai presque honte pour lui de ce que je vais faire.
En mission normale il est loin, là il sera à quelques mètres quand je me ferais sauter.
Dans mon plan, si je veux que sa mort semble naturelle, il faudra qu’il baise.

- Chéri, je vais aux toilettes.
- Va mes bureaux m’appellent.

Je le vois ouvrir la porte-fenêtre donnant sur la rue de Wagram et sortir sur le balcon.
Je fends les invités ceux du salon et je me retrouve devant les toilettes.
Ce coin de la maison est calme.
J’entends que l’on tire la chasse d’eau.

J’entre rapidement dans le bureau repoussant la porte.
La personne s’éloignant devant être une femme, car j’entends les bruits de talons sur le parquet.
Je referme la porte.
Bureau, deux fauteuils devant, légèrement en biais.
Je m’appuie sur le bureau ma jambe sortant de nouveau de la fente de ma robe.
Je fais plus fort avant qu’il arrive, je montre le haut de mon bas résille à la limite de ma chatte rasée au laser.
La porte s’ouvre, le sénateur entre.

- Ferme la porte mon gros loup, j’adore me faire baiser à quelques mètres de mon mari sans qu’il s’en doute…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!