Collection Agent Secret. Madame Marion, Commandant Marion. Mission En France. Saison Iii (10/11)

Je suis en position pour réussir ma mission, rayer d’un trait de plume ce fumier qui se sert de sa position sociale pour s’enrichir par la drogue contre la santé des gens.
Je réussis à l’attirer dans son bureau en le provoquant surtout grâce à ma robe longue bien choisie.
Alors j’étais avec Gontran, c’est lui qui a eu le dernier mot entre deux mais qui avait la particularité de mettre mes avantages en valeur.
Seins pour l’une, jambe pour l’autre.
La porte s’ouvre, le sénateur entre.
Je l’invite à me rejoindre.

- Inutiles qu’un de tes invités vienne nous déranger.
Viens, tu me fais mouiller.

Fort de sa séduction alors qu’il est bien dégarni, il s’avance me prend dans ses bras.
C’est à ce moment qu’une voix connue m’arrive aux oreilles.
Gontran est à quelques mètres sur le balcon parlant à quelqu’un en déambulant.
À Paris ces balcons passent devant plusieurs des fenêtres.
Je pense ma mission compromise quand ses paroles s’éloignent.
Il doit parler fortement par moments en faisant les cent pas.
Par chance, dans ce bureau éclairé, la fenêtre est en partie obstruée par des revus et des cartons empêchant Gontran de voir ce que je vais faire.

- Avance, viens me bouffer la chatte.

Il est là ayant tourné la clef comme un premier communiant ayant volé une part de gâteau.
Je suis la pâtisserie qu’il va déguster surtout quand je soulève ma robe montrant mon intimité libre de toute entrave.

- Salope, tu sors sans culotte.
- J’adore ce que l’on va faire.
Me faire baiser à quelques mètres de la pièce où se trouve mon mari, ça m’excite.
Je suis toujours prête et ces bouts de tissu ça fait perdre du temps.
À genoux, vient me bouffer.

Il s’exécute se met sur ses genoux et avance vers sa convoitise comme un pénitent du temps de l’inquisition rampant devant son bourreau.
Je suis son bourreau, mais il l’ignore encore.



- Allez suce, tu me fais dégouliner.

Sa langue sur mon clito me plait surtout que Gontran continue à parler à son interlocuteur.
Je prends la tête de ma cible et je l’oblige à me fouiller le plus profondément possible.
La situation et sa langue démarre ma jouissance et rapidement le commandant Marion a sa première jouissance de la soirée.

- C’est bien, tu suces divinement.
- Relève-toi et met toi dans ton fauteuil à mon tour de te sucer.

Et ça parle et ça part et ça revient.
Vu le froid, j’ai peur que mon mari n'att la mort alors que le sénateur c’est une tout autre mort qui va le rattr.
Il s’assoit, écartant ses jambes me permettant à mon tour de m’agenouiller et d’ouvrir son pantalon de smoking blanc et sa braguette qui par chance est à glissière me facilitant le travail.
Quand je le prends en bouche, je fais descendre son petit bout déjà bandé le plus profondément possible.
Il m’appuie sur la tête avec un grognement de plaisir.
Sur le balcon la voix est toujours là.
Pour la première fois, le commandant jouit de la situation et la femme du cocu extérieur à l’impression de le tromper.

- Tu es vraiment une salope, tu suces divinement.

Je le sors de ma bouche et lui faisant mes yeux de biche afin qu’il soit en parfaite confiance, je lui dis.

- Si tu jouis je te tue.
- Oh ! oui tus moi, mourir dans ta chatte ça doit être la mort, la plus belle.

Je me relève lui prend la verge, ressert légèrement ses jambes et je m’agenouille pour le mettre en moi.

- J’ai rarement senti une femme mouiller autant que toi, je pense que l’on va faire de grandes choses ensemble.

Je m’empale et dans le mouvement je le regarde dans les yeux.
La situation une nouvelle fois fait démarrer en moi un plaisir qui rapidement nous dévaste.

- Attends, je veux que l’on jouisse ensemble.

Il est mûr, il cherche de l’air.

Au moment où il jouit entraînant un orgasme dévastateur pour moi, j’appuie là où j’ai appris.
Il cherche plus d’air la bouche grande ouverte que je lui ferme avec la mienne bouchant sa respiration.
Il gicle, gicle et gicle encore se vidant littéralement ses couilles en moi.
Je le regarde, ses yeux deviennent vitreux, certains disent la petite mort.
Quand je me redresse, c’est la mort tout court qui vient de le rattr.
J’ai failli perdre la tête quand il fallait que j’appuie là où il fallait mais le corps qui gît dans son fauteuil qu’une nouvelle fois j’ai été très professionnelle.
Il faut agir vite.
De mon baise-en-ville, je sors des Kleenex avec lesquels j’essuie le sexe du sénateur et que je passe sur ma chatte avant de les remettre là où je les ai pris.
Une fois nettoyé, je lui remets, son pantalon en place l’a encore aidé par la Fermeture Éclair.
Veste replacée, un dernier coup d’œil, je vois un homme sa main sur sa poitrine à hauteur de son cœur présentant tous les symptômes de celui venu s’isoler sentant son cœur flancher.
Depuis combien de temps suis-je dans ce bureau, je l’ignore.
Gontran à l’air d’en avoir fini avec sa conversation inutile de me faire prendre.
Je quitte le bureau en laissant la porte un peu ouverte avant de me glisser dans les toilettes.
Je reste le temps qu’il faut à toute femme pour se satisfaire.
Quand je ressors ayant tiré la chasse, quand j’arrive vers le salon Gontran est devant moi.

- Ou étais-tu, je te cherchais.
- Aux toilettes et toi ?
- Sur le balcon à répondre à mon téléphone, cette conne d’Arielle passe cette nuit du réveillon seule et a trouvé le moyen d’emporter son ordi et un dossier pour travailler.
Elle a découvert un dysfonctionnement dans notre service et tenait à avoir mon avis.
Elle vient de raccrocher et je te cherchais.
- Je voudrais rentrer, je suis un peu fatiguée.
- Il faut trouver notre hôte pour le saluer et le remercier de son invitation.

- C’est fait, je l’ai vu avant qu’il entre dans son bureau et moi dans les toilettes.
Je l’ai salué pour nous deux.

Nous récupérons nos manteaux et Gontran son feutre toujours vissé sur sa tête, nous sortons et nous retrouvons notre voiture.

- Donne-moi les clefs je vais conduire.

Nous montons et nous suivons la rue de Wagram.
Une rue à droite, un peu sombre et je gare la voiture devant une porte cochère.

- Que fais-tu Marion, pourquoi s’arrête-t-on ?
- J’ai envie mon chéri.
- Mais nous sommes dans cinq minutes à la maison.

J’appuie sur la poignée du siège l’allongeant.
J’ai un peu plus de mal avec son pantalon, ce sont des boutons, mais j’y arrive.

- Tu es folle Chérie, que fais-tu ?
- Il y a des mois que l’envie de te sucer me taraude, quel meilleur endroit que cette rue sombre.

Là encore est-ce Marion la femme aimant ou Marion commandant salope qui le suce jusqu’à la limite de le laisser exploser.
Je me glisse au-dessus de lui et je m’empale divinement sentant avec amour sa verge en moi.
Nul besoin d’appuyer là où ça fait un mal définitif.
De concert nous faisons démarrer notre feu d’artifice.
Au matin, il est midi quand Jules et Lise viennent sauter sur notre lit.

- Les s, dites à Alicia de vous préparer, on vous emmène au resto.
- Maman ou va au Mac Do.
- Tu connais Mac Do !
- Oui, à l’école les copains y vont, on mange avec nos doigts.
- Alors si on mange avec nos doigts, qu’en penses-tu chéri il faut éviter de mourir idiot, il faut essayer.

Les s repartent en courant vers la nurse pour se préparer.
Gontran soulève le drap, nous sommes nus.

- J’ai bien aimé ce que tu m’as fait cette nuit, on a bien cinq minutes.

Quand je commence sa fellation, il bande déjà…

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