Florence Découvre Le Libertinage 1/9

La découverte de Florence.1/9
En quelques chapitres, la découverte d’une femme, notre amie, pour le libertinage.
Nous profitons de la douce après-midi, alors que Nicole est de repos ; le jacuzzi nous a
accueilli et pour une fois nous sommes sages, discutant de la future arrivée de notre
petit bichon : c’est alors que la sonnerie du portail retentit. Vite un peignoir pour
Nicole, car c’est notre amie Florence ; à notre grande surprise, son visage est défait et
des larmes coulent sur ses joues.
Elle vient de découvrir, alors qu’elle était de retour, récupérant des heures sans avoir
averti Jacques, qu’il était avec une femme, une ancienne maitresse. Elle était au courant
du passé tumultueux de son mari, mais à priori selon lui, il était maintenant fidèle, ce
qui manifestement n’était pas le cas.
Je suis resté dans le jacuzzi, alors que Nicole et Florence se sont installées sur le
canapé du salon de jardin. Difficile de la consoler, surtout pour moi, car j’étais au
courant de ses envies et je pensais sincèrement qu’il resterait sage ; mais je me suis
trompé. Pendant ce temps, Nicole a accueilli Florence dans ses bras, la tête sur sa
poitrine, essayant de la calmer, lui caressant doucement la nuque pour la détendre ; dans
ses mouvements, son peignoir s’est ouvert, libérant sa poitrine, car nous nous baignons
nus ; je n’entends plus leurs conversations, mais à priori, Nicole a réussi à la
détendre.
Pour moi, la bouche de Florence à quelques centimètres du téton dévoilé me donne la
trique ; heureusement il y a suffisamment de distance pour cacher mon érection et ma main
qui la caresse.
La situation semble évoluer car Nicole maintenant caresse doucement le dos de florence,
tout en continuant à lui parler, puis doucement elle la redresse et sa bouche se pose sur
celle de florence qui ne réagit pas, mais ne refuse pas le baiser.

A mon grand
étonnement, elle se laisse déshabiller, je dirais même effeuiller par les douces mains de
Nicole qui en profite pour la caresser ; elle est finalement nue et je redécouvre son
corps, dévoilé lors d’une baignade ; c’est une grande femme, un peu maigre, les hanches
bien marquées et des petits seins dont maintenant le téton pointe au milieu d’une belle
auréole brunâtre.
Pour l’instant , je suis totalement ignoré par les deux femmes ; les mains de nini
jouent sur le corps de Florence, sans que celle-ci réagisse ; c’est finalement nini qui
prenant la main de flo, la déposant sur son sein dévoilé, qui débloque la situation ;
enfin elle réagit et à son tour caresses Nini, alors que celle-ci a déjà deux doigts dans
la grotte offerte
Puis la prenant par la main, Nini l’approche du jacuzzi et l’aide à monter dans le bain,
ce qui fait que quand elle l’enjambe, je peux apercevoir son abricot, rose, de grandes
lèvres libres de tout poil, qui s’écarte dans le mouvement. Les deux femmes s’assoient
face à moi ; elles peuvent sans problème découvrir mon sexe bandé, mais cela ne semble
pas les intéresser. Ce sont beaucoup plus les caresses de Nicole qui occupent l’esprit de
Florence. Ses seins sont tétés, alors qu’une main aventureuse, s’infiltre au contact de
son mont de vénus et que deux doigts pénètrent entre les petites lèvres manifestement
offertes, car le doigté s’accompagne d’un ‘’oh oui continue’’. Je ne compte pas pour
elles, mais c’est Nini qui mène les ébats et Florence ne tarde pas jouir bruyamment,
embrassant fougueusement son amie. Alors qu’elle récupère, elle me pose la question qui
je redoutais :
« Toi qui es très copain avec Jacques, tu savais qu’il me trompait ? » Je décide de
jouer la prudence :
« Honnêtement non, même si je connaissais ses envies ; je sais qu’il était envieux de
notre relation, assez libre de Nicole et moi ; qu’il avait envie de vivre la même chose,
mais qu’il savait que cela te choquerais »
« Si je comprends bien, c’est parce que je suis trop sage qu’il me trompe. Quand tu dis
votre relation libre, cela veut dire que vous avez des relations avec d’autres personnes
»
« Cela veut dire que nous jouons librement, sans jalousie, mais avec honnêteté vis-à-vis
de l’autre » elle me regarde et s’adressant à Nicole : « tu acceptes qu’il couche avec
une autre femme, »
« Oui s’il en a envie, mais avec une règle essentielle, je suis toujours au courant,
avant ou après s’il a eu une occasion imprévue ; ensuite il me raconte »
« Et toi jean, tu n’es pas jaloux quand tu vois Nicole jouir avec un autre homme ou si tu
la sais avec un homme sans toi ? »
« Oui et inversement ; souvent nous avons ces relations à trois, cela va sans doute te
choquer, mais j’aime voir jean avec une femme et surtout jean aime me voir en train de
faire l’amour avec un homme devant lui » elle nous dévisage, un peu interloquée de cet
aveu.
« Non, même réaction que Nicole, nous sommes libertins tu dois l’avoir compris et c’est
sans doute la raison de ta désillusion, car avant de te connaitre, il en a bien profité
et tu le savais »
« Oui je le savais, mais maintenant nous sommes mariés. « Et s’adressant à Nicole
« Si j’ai bien compris, si maintenant, je voulais faire l’amour avec Jean, tu ne dirais
rien ? »
« Non seulement je ne dirais rien, mais au contraire j’aimerai bien et ensuite, je te
ferais l’amour, car j’aime aussi les femmes, toi aussi je pense car quand je t’ai
caressée et branlée tout à l’heure, tu n’as pas bronché »
elle reste silencieuse un moment, puis embrassant nini elle avoue
« oui, j’ai déjà eu une aventure avec une femme, avant de rencontrer jacques et j’ai
beaucoup aimé »
« tu as eu beaucoup d’aventure ? » « j’ai connu deux hommes avant jacques »
Puis Florence reste muette, mais fait positif, elle reste avec nous, même quand Nicole
lui prend la main et passant au-dessus d’elle, elle la dépose sur ma cuisse ; Flo a un
mouvement de recul, mais Nini l’encourage, lui dépose un baiser et se place en face,
laissant la place libre.
« Si tu as envie de Jean, profites de lui, il saura j’en suis sûr te faire jouir ; par
contre tu n’es pas obligée ; c’est notre principe : la liberté de chacun ; même si c’est
assez rare qu’il ai envie d’une autre femme ,je sais que lui est d’accord, si j’en juge
la taille de son sexe, mais c’est à toi de décider, personne n’en saura rien si tu le
désires, même si je t’encourage ensuite d’en parler à jacques »
Manifestement elle reste sur la réserve et Nicole enfonce le clou
« Tu n’as jamais fait l’amour devant une autre personne ? Hésitation , puis :
« Si une fois, avant de connaitre Jacques ; j’étais divorcée et lors d’une soirée assez
arrosée, je me suis fait draguer par deux frères et ils m’ont possédée tous les deux ;
certes j’avais un peu bu, mais j’étais très lucide »
« et cela t’avais plu » ……… »
« oui je le reconnais, mais je n’étais pas mariée »
La main de jean s’est posée sur sa cuisse et elle ne dit rien, pas plus quand, se
rapprochant d’elle, il lui caresse les seins d’une main alors que l’autre s’aventure sur
sa fente ; elle garde les yeux fermés, mais quand les doigts de jean s’infiltrent entre
ses petites lèvres elle ne peut retenir un long gémissement et ses cuisses s’écartent,
alors que sa tête s’appuie sur l’épaule offerte.
Profitant de son relâchement, il la prend dans ses bras et l’assoie face à lui à cheval
sur ses genoux ; ainsi assise, elle doit sentir le mandrin le long de son ventre,
d’autant plus qu’il se glisse un peu en dessous, ce qui j’en suis sûr doit positionner sa
trique à l’entrée de la grotte. Le gland doit se frotter sur la fente, écarter sans aucun
doute les petites lèvres et buter contre son petit bouton, mais il ne tente pas de la
posseder. Finalement s’est-elle qui prend sa tige et d’un coup de rein s’empale, sa
bouche s’ouvrant comme si elle manquait d’air, puis alors qu’elle doit avoir la tige tout
au fond de son vagin, elle me regarde, et me dit
« j’en avais envie « se penchant vers le visage de jean, elle lui dépose un doux baiser
sur les lèvres avant de commencer une chevauchée qui l’amène rapidement vers une
jouissance, certes encore maintenue mais réelle. Par contre lui m’a pas jouit, et la
plaçant à genoux, appuyée sur le rebord du jacuzzi, il s’enfourne dans la chatte offerte
et furieusement, il prend possession d’elle, l’amenant une nouvelle fois à la jouissance,
cette fois complète et bien sonore. Alors qu’il se vide en elle, elle perçoit les jets
puissants et chauds qui la remplissent et elle recule son bassin pour mieux le recevoir.
Les deux amants sont repus et après une petite période calme, chacun appréciant ce qu’il
venait de se passait, Flo nous a embrassé tous les deux puis s’est livrée :
« Je viens de prendre beaucoup de plaisir ; j’ai envie de jouer avec vous, j’aimerais que
vous m’acceptiez dans vos jeux libertins et aussi que vous m’aidiez à faire comprendre à
Jacques, mes envies, sans qu’il se sente jaloux »
Après nous avoir remercier de ce moment très important pour elle et très agréable, elle
nous a de nouveau embrassé, puis est partie chez elle, pour un nouveau destin, plein
d’imprévu……peut être !
…
Quelques temps plus tard, eux, lors d’une soirée bien arrosée, nous prenons un bain, et
très naturellement, Nicole et moi quittons nos affaires et plongeons nus ; sur le rebord,
Florence hésite puis avec un regard assez provocateur vers Jacques, sa robe tombe à ses
pieds bientôt suivie de ses sous-vêtements . Rapidement elle nous rejoint et quand Nicole
se frotte sur elle, elle lui retourne son baiser, alors que ses seins sont palpés par des
mains avides, les miennes ; Puis s’adressant à jacques :
« Je sais que tu as une maitresse, je l’ai vu en arrivant à l’improviste l’autre jour ;
pour toi, je suis une femme coincée, ce qui pour toi justifie tes écarts. Ce soir tu vas
comprendre que tu avais tort, et je t’interdis de me rejoindre dans l’eau ; je me suis
offerte à Nicole et à Jean, tous deux m’ont fait jouir, et tu vas pouvoir le constater »
nous sommes sidérés par son assurance et sa détermination ; sous l’eau ma tige est bien
ferme, car nicole n’a pas arrété de me branler et quand florence se colle contre moi,
elle peut sentir ma tige contre son ventre ; je ne me bouge pas la laissant maitre du
jeu. Détermination qu’elle concrétise en m’embrassant fougueusement alors qu’elle
s’empare de ma queue, la branlant doucement sous l’eau.
D’où nous sommes, Jacques doit tout voir car il y a peu de profondeur, à peine 1 m, mais
il ne bouge pas, sans aucun doute stupéfié de la détermination de sa femme ; et ce n’est
pas la suite qui va le rassurer. En effet, plaquant sa poitrine contre le rebord, le
regard tourné vers son homme, elle me dit à voix haute :
« Vas-y baises moi, je veux te sentir en moi, prends-moi devant lui et fais-moi jouir »
J’avoue que malgré la situation un peu irréelle, je ne résiste pas et mon gland se pose
entre ses petites lèvres et d’une poussée, s’enfonce dans le conduit accueillant ; un «
oh oui, il est en moi » retentit et alors que je la possède puissament, ses gémissements
résonnent. Nicole s’est rapprochée de nous et tout en l’embrassant tendrement, elle lui
triture les pointes, ce qui amplifie son plaisir, plaisir qui brutalement éclate, alors
que ne pouvant me retenir plus longtemps, je me vide en elle, la fécondant de puissants
jets de sperme ; lorsque les jets frappent sa matrice, elle explose :
« Putain il me remplit le ventre, c’est chaud, encore, baise moi encore, je veux ta queue
«
Alors que nous reprenons nos esprits, Jacques s’approche d’elle ; sa queue traduit son
excitation, mais quand il veut la posseder, elle le refuse :
« Quand tu vas baiser tes maitresses, je n’en profite pas, alors ce soir, tu n’en
profiteras pas plus. J’ai pris beaucoup de plaisir, comme tu as pu le voir et tu dois
comprendre que je ne suis pas aussi coincée que tu veux bien le faire croire »
Sans doute vexé de ce refus, Jacques nous quitte ; assez anxieux des moments à venir,
avec l’accord de florence, malgré tout assez détendue, nous la quittons, après l’avoir
tous les deux amoureusement embrassées.
A suivre