Florence Se Découvre 7/9

Florence se découvre 7/9
Lorsqu’ils sont redescendus, Béa était quasiment nue, simplement une serviette autour de ventre, mais à chaque pas, il était possible de découvrir l’intérieur de ses cuisses ; s’approchant de moi, elle m’a embrassé puis « merci, c’est grâce à toi que j’ai osé m’offrir à jacques et je voudrais te remercier. J’ai envie de toi, jacques m’a dit que tu étais un bon baiseur et si j’en crois ce que dit florence, tu la fais bien jouir. Je sais qu’elle est ta maitresse et j’aimerais bien qu’il en soit de même. Je viens d’appeler Bruno pour le lui dire et lui demander de nous rejoindre ce soir, peut être aura-t-il la chance de réaliser son fantasme, mais de toute les façons, il pourra me voir m’offrir à vous »
difficile de résister à une si belle invite, d’autant plus que sa serviette est tombée à ses pied, geste volontaire d’ailleurs ; c’est une belle femme, belle poitrine que j’avais déjà apprécié et une belle chatte, bien lubrifiée ; alors que je lui prends la main, pour monter dans la chambre, elle s’allonge sur l’accoudoir, me présentant son fessier « je veux que jacques me voit m’offrir à toi ; je veux qu’il me vois jouir avec toi, qu’il comprenne que si j’ai envie de lui, qu’il me féconde, j’ai aussi envie d’appartenir à d’autres hommes, ce que souhaite voir mon mari ; donc baise moi, prends moi comme une petite coquine que je suis ; je pense d’ailleurs que cela va leur donner des idées » ; puis se replaçant la tête sur les coussins, le postérieur bien visible, elle écarte ses deux lobes, dévoilant ainsi toute la profondeur de sa chatte ; pas de préliminaire, ; ma queue a bien réagi et elle est bien tendue, à l’entrée de son minou. C’est elle qui reculant son bassin s’empale et je n’ai aucun mal à m’enfoncer totalement tellement sa chatte est pleine de semence ; mon gland vient percuter le fond de sa matrice, et les gémissements prouvent le plaisir qui arrive.
A côté de nous, jacques, qui s’est fait repousser par les deux femmes qui se gouinent, nous regarde avidement, la queue à la main, se branlant énergiquement ; parfois Bea le regarde et de sa bouche s’échappent des cris traduisant son plaisir ; manifestement elle apprécie sa posture, indécente devant son beau-père, aguichant pour moi et mes pénétrations s’en ressentent, puissantes, profondes.

Notre joute ne dure pas très longtemps, car lorsqu’elle jouit sous moi, je l’accompagne, jutant dans son ventre, alors que jacques lui a déjà répandu ses jets sur la moquette. Quand je me retire, elle se place face à lui et lui prenant la main, elle la place dans sa chatte et lui disant :
« regardes, il m’a fécondé comme toi tout à l’heure. À partir de maintenant, j’ai décidé de m’offrir quand un homme me plaira, mais pour vous exciter, je vous raconterais mes excès ; il ne reste que plus Bruno pour me voir avec un homme pour la première fois » tout le monde est un peu surpris et nous réalisons que dorénavant Béa sera une belle petite salope et que nous en profiterons aussi.
Le reste de la journée s’est passé très calmement, récupérant des fatigues de la journée et même celle de la nuit pour d’autres. Mais tous avaient en tête le moment où Bruno pourrez constater l’évolution surprenant de sa femme. Pendant un long moment, nos femmes ont sans aucune gêne évoqué les moments de leurs exploits ; mais florence est revenu sur le fait que nous avions des relations avec son Florian et sa belle-fille ; après avoir mis Béa au courant, nini a avoué prendre beaucoup de plaisir à l’avoir comme amant ; jouissance très différente , elle le reconnait sans doute motivée par le fait de cette relation, à la fois particulière, mais aussi par le fait qu’il déclenchait en elle de formidables jouissances. Florence était rêveuse, très certainement tentée par cela, mais n’arrivait pas à le réaliser, par peur sans doute des réactions de Jacques. Nini, tentée sans aucun doute par la possibilité de se faire un petit jeune, lui a alors proposé de le provoquer, en sa présence et selon sa réaction, alors peut être pourra-t-elle en profiter ; après un temps de réflexion, florence, les yeux brillants d’excitation à accepter la proposition.
Vers 18h, Bruno est arrivé et après les présentations, il s’est assis auprès de sa femme, alors que nous prenions l’apéritif ; nini et florence faisant le nécessaire pour que tout le monde soit à son aise ; si les tenues étaient assez sages, Bruno pouvait facilement deviner les formes et parfois même les avantages de sa belle-mère et de ma femme ; il faut reconnaitre qu’elles semblaient prendre un malin plaisir à dévoiler soit leur poitrine , soit leurs cuisses , écartant parfois exagérément leurs jambes ; Bruno commençait à s’exciter, dévoilant une bosse devant son pantalon.
C’est le moment qu’à choisi Béa pour se rapprocher de Jacques, dont le sexe était bien visible sous le vêtement. Sans aucune gêne, elle a posé la main sur la bosse, sous le regard très attentif de toute l’assemblée, mais surtout fixant son mari, avant d’ouvrir la braguette et de faire jaillir le sexe bandé ; sans hésitation, elle a déposé ses lèvres sur le gland, puis se redressant et fixant son mari :
« tu m’as dit que tu aimerais me voir avec un autre homme ; ce soir je vais m’offrir à Jacques puis à Jean, comme je l’ai déjà fait aujourd’hui, mais en aucun cas , tu ne devras intervenir, ni participer avec nini et florence ; tu devras simplement me voir devenir leur maitresse et tous les deux me faire jouir et me féconder »
Laissant tomber sa robe à ses pieds, découvrant un corps sans sous vêtement, elle s’est assise sur ses cuisses , s’enfonçant profondément sur le sexe bandé de son beau-père ; à nouveau nous assistions à son offrande , à son envie de jouir sous les assauts de jacques ; ils furent nombreux et puissants , les deux amants, tout à leurs étreintes s’embrassaient , sans tenir compte de notre présence ; voulant respecter l’envie de Béa, les deux femmes s ‘étaient écartées de Bruno, tout en étant enlacées, avec cependant très souvent un regard de florence vers lui, manifestement ayant toujours envie de lui appartenir. L’étreinte amoureuse devant nous ne tarda pas à produire ses effets et quand jacques s’est tendu, déversant sa semence en elle, un long cri s’est échappé de la gorge de Bea, avant qu’elle s’écrie :
« oh oui, il me remplit, je suis à lui, il est mon homme ce soir tu es cocu mon Bruno, je jouis oh oui encore…… »
Tout comme Bruno, je suis fasciné par cette possession ; elle est aussi le signe de cet amour entre un homme et sa belle fille ; sensation que nous éprouvons quand Florian est avec nous. les deux amants restent enlacés, alors que florence , encouragée par nini se rapproche de Bruno, et lui donnant la main, elle l’attire à lui, malgré les injonctions de Béa au début de son arrivée ; surpris celui-ci reste inerte, mais quand elle l’enlace et l’embrasse fougueusement, il l’entoure de ses bras et lui rend son baiser, mais sans aller plus loin ; c’est finalement nini, qui doucement déshabille sa maitresse, offrant à son futur amant, la vue sur sa totale nudité ; il faut croire qu’elle avait auparavant, sans doute ,avec l’aide de nini, quitté ses sous-vêtements ;
Devant le corps nu de sa belle-mère, il reste un peu perdu, mais quand elle se met à genoux, dégrafant le pantalon, découvrant un beau vit bien bandé, et que la bouche le gobe, il lui agrippe la tête et s’enfonce profondément dans la gorge offerte ; il se branle littéralement dans cette gorge , avide de sexe ; sans aucun doute très excité par la séance vue et cette femme qui s’offre à lui, il ne tarde pas à lui remplir la bouche de sa semence ; surprise elle essaie d’avaler mais la jute est trop abondante et elle s’écoule des lèvres alors qu’elle déglutie la plus grande partie de l‘éjaculation.

Avant qu’il ne débande, il l’allonge sur la moquette et les deux corps s’enchevêtrent pour une possession tant désirée par florence ; le vit la pourfend, lui écartèle les parois pour son plus grand plaisir ; elle geint, crie,le mordille, ses ongles s’enfonçant dans la peau de son dos ; plus rien ne compte pour eux, tout à cette union. Jacques, découvrant pour la énième fois sa femme possédée par un autre homme a repris vigueur et Béa est à nouveau plantée sur son sexe, les divers époux voyant leur conjoint se faire posséder par leur moitié, et jouir sans retenue devant eux ;
Nous aussi nous en profitons, mais beaucoup plus sagement, enlacés, ma tige enfouie dans le fondement de nini, baisant tout en matant la scène devant nous ; le plaisir, pour nous, vient aussi, mais bien après que les deux chattes soient remplies de sperme par leurs amants respectifs. ; pour la nuit, les couples se sont reconstitués, avec malgré tout un échange sur le matin, nini se rendant dans la chambre de jacques , désertée par florence dans les bras de Bruno, alors que Béa me prouvait ses talents, m’offrant tous ses orifices , se faisant jouir plusieurs fois jouir, avant que je la féconde, comme les autres couples d’ailleurs.
Finalement, le reste du Week end, les corps se sont offerts sans aucune hésitation, se mélangeant, jouissant avec chacun et c’est repu que chaqu’un est reparti chez lui, avec de merveilleux souvenirs et très certainement l’envie de recommencer.

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