Collection Belle-Mère. Elle, Elle Et Elles (1/1)

Elle, je dirais la première de ces trois elles.
Elle était la femme de mon entraineur de judo.
J’avais 14 ans quand je l’ai vue pour la première fois.
30 à 32 ans, une vraie poupée japonaise.
Je m’éveillais à la sexualité malgré mon jeune âge et je suis de suite tombé amoureux de ce petit bout de femme.
À 14 ans, je mesurais déjà 1 mètre 60 et elle 1 mètre 50.
Mais, c’était la femme de monsieur Wang mon professeur de judo.
Je pratiquais ce sport depuis l’âge de 5 ans et à cet âge,
je battais déjà des jeunes de 16 et avec le temps des jeunes de 18 à 20 ans.
Le temps passait et j’intégrais les équipes de France.
On me prédisait une carrière la même que le champion le plus connu au monde Teddy Riner.
Je devais le remplacer lorsqu’il aurait pris sa retraite.
Chou, c’était le nom de cette femme que j’aimais secrètement et que je cherchais dans les tribunes lors de compétitions sachant qu’elle accompagnait mon maître chaque fois qu’elle le pouvait.
Entre-temps, j’avais grandi et je mesurais 1 mètre 96 pour 80 kilos, elle toujours son mètre cinquante.
J’étais grand et fort, mais j’étais timide surtout envers les femmes.
C’est en Allemagne lors d’une compétition remportée haut la main que j’ai rencontré Mia, la sœur de mon adversaire battu en finale et venu du Japon.
Œil bridé comme ceux de Chou, mais les traits un peu disgracieux si je les compare à la ligne si pure de cette femme aimée en secret.
En plus, Mia concourait dans les plus de 70 kilos et avait donc une carrure bien différente.
Qu’importe, c’est dans la salle des repas qu’en anglais langue que j’apprenais intensément que je l’ai draguée.
Ce sont dans les toilettes du Palais des congrès où se tenait la compétition que j’ai perdue mon pucelage le soir ou j’ai infligé un ippon à son frère en moins de deux minutes.
Vu l’espace, il m’était impossible de la plaquer au sol, mais son kimono enlevé je me suis assis sur la cuvette et après qu’elle m’ait sucé, elle s’est empalée sur ma tige.


J’ai réussi à ce qu’elle jouisse avant de décharger au fond de sa grotte.
J’étais content, j’avais vaincu ma timidité et surtout j’en avais fini avec ce pucelage et les boutons qui tapissaient mon visage.
Le mois suivant, je partais avec maitre Wang pour un tournoi à Amsterdam dont je devais être la vedette.
Cette compétition, j’y venais tous les ans depuis l’âge de 15 ans et j’y étais invaincu.
J’aurais beau jeu de dire qu’à ce jour, j’étais invaincu, car l’année suivante, dans un tournoi en Espagne, j’ai dû déclarer forfait.
C’est un petit doigt de mon pied, doigt que je me suis pété à l’échauffement en préparant la finale contre le champion local.
La presse en a fait des gorges chaudes me faisant passer pour un trouillard ayant peur d’affronter leur champion.
Le trouillard, c’est en moins de 20 secondes qu’à la compétition suivante je l’ai immobilisé l’obligeant à abandonner.

Nous rentrions dans notre voiture que mon maître conduisait.
Nous étions sur l’autoroute, je m’étais endormi quand j’ai eu une fraction de seconde un choc suivi d’une grande douleur et le néant.
Ma carrière ainsi que mes espoirs pour les plus hautes compétition comme les jeux dans le futur se sont envolés quand j’ai repris connaissance à l’hôpital de Lille où l’on m’avait conduit.
Genou broyé, il fallait me mettre une prothèse.
Fini les tatamis pour moi.

La deuxième, « elle », la fille de monsieur Wang et de madame Chou.

● Maman va venir, je dois vous annoncer une mauvaise nouvelle, mon papa est mort dans l’accident que vous avez subi.
Un chauffeur poids lourd de nationalité allemande a traversé le terre-plein central avec son gros camion pour venir vous percuter.
Il conduisait ivre au volant.
Maman est en train de faire les papiers pour papa, nous allons aller l’enterrer.

Je connaissais Yumi la fille de Wang et Chou, mais en photo seulement.
Elle avait 16 ans et vivait au Japon chez sa grand-mère paternelle.

Ils allaient la voir là-bas et ainsi retrouver leurs parents, mais c’était la première fois qu’elle avait pris l’avion pour rejoindre sa mère dans le malheur qui les frappait.
À Tokyo, elle allait dans une école française et parlait parfaitement notre langue.
J’avais devant moi, l’exacte réplique de la femme que j’avais aimé à 14 ans, mais en plus jeune bien sûr.
Chou nous a rejoints et m’a proposé d’habiter chez elle dès que j’aurais été opéré et que je rentrerais en convalescence.
J’étais boursier par la fédé avec un logement dans un foyer à Paris que je devais quitter.

● J’accepte belle-maman.

Belle-maman, car mes sentiments pour sa fille se sont rapidement fait jour quand elle venait me voir.
J’avais un seul point qui me chagrinait, j’étais autant amoureux de la mère que de la fille, mais c’était à Yumi que j’ai déclaré ma flamme.
C’est Yumi qui s’est occupée des poursuites de notre avocat commun contre le transporteur allemand ou travaillait cet ivrogne.
Fort dans sa partie, l’assurance refusant de payer dans l’état où il était à plus de trois grammes, nous avons accepté les millions d’euros pour elle, et elle, et pour moi.
C’était pour éviter un procès qui aurait fait perdre son entreprise à cette société allemande.
J’étais riche et vite sur pied après avoir reçu un genou tout neuf en titane et polyéthylène matière plastique industriel.
Je commençais à me lever avec le kiné et Yumi m’aidant à marcher pour la première fois avec une seule béquille.
Elle était comme sa maman petite et fluette, 1 mètre 51 pour 45 kilos comparé à moi grand et costaud, mais je sentais les sentiments monter en moi.

● Quand repars-tu au Japon Yumi ?
● Jamais, du moins pour finir mes études, j’irais seulement de temps en temps avec maman voir la famille, c’est très important dans notre culture.
Je me suis inscrite en terminale, dès la rentrée.

Je veux devenir guide touristique, Paris est la plus belle ville du monde et je suis certaine de trouver du travail.

Nous nous étions arrêtés dans le couloir et nous nous regardions.
Elle a levé sa tête et j’ai baissé la mienne, nos bouches se sont embrassées pour la première fois.
Chou aurait pu prendre ombrage que sa fille encore si jeune embrasse ce grand échallia que je suis, mais elle semblait heureuse de ma bonne fortune.
Le fait que j’étais dans la voiture de son mari et qu’il soit mort à mon côté me conférait peut-être une place dans son cœur.

Elle et elle, elle la mère Chou et elle la fille Yumi.

Comme elle me l’avait proposé, mes affaires avaient quitté le foyer et c’était dans la chambre d’amis qu’elles les avaient installés.
Yumi devait coucher avec Chou.
Nous avons dîner et étant fatigué par le voyage même très court en ambulance, je me suis levé pour aller au lit.
Yumi m’a suivi et dès que j’ai été dans la chambre avant d’aller dans la salle de bain.
J’avais encore l’un de ces nouveaux pansements sur ma plaie de plus de trente centimètres me permettant de me doucher.
J’avais du savon sur la figure quand j’ai senti un corps se coller au mien.
Je me suis rincé la figure et je me suis retourné recevant les petits seins de Yumi un peu plus haut que mon nombril.
Petits mais bien formés.
J’ai rapidement bandé, alors sans nous sécher, je l’ai soulevé, elle s’est suspendue à mon cou et sa chatte a trouvé seule ma verge ou elle s’est empalée.
Elle a poussé un petit cri, mais nos bouches l’ont vite étouffé.
Je l’ai porté jusqu’au lit où toujours en la soulevant je me suis allongé à cause de mon genou.
Elle est restée sur moi et s’agenouillant, c’est elle qui a tout fait pour notre plus grand plaisir.
Dans la nuit, je l’ai prise deux fois.
Je dois plutôt dire, elle s’est empalée deux fois, car il m’était impossible avec ma cicatrice trop fraîche de la prendre dans une autre position.

J’ai trouvé la parade, sur le côté ou encore moi debout elle a quatre pattes sur notre lit.
Par chance leur maison était meublée à l’Européenne, je me serais mal vu si l’ameublement avait été à la Japonaise.
Je l’aurais bien prise sur la table de la salle ou de la cuisine, mais Chou aurait pu nous surprendre.
Ce que j’aime, c’est quand elle me suce, j’adore sa jolie bouche qui sait si bien rallumer ma flamme.
Chou, voyant sa fille heureuse et moi aussi semblait heureuse elle aussi.

Elle, elle et elles.
Elle, Yumi, elle, Chou et elles Yumi et Chou.

Ça fait plus d’un an que l’accident a eu lieu et que nous vivons ensemble dans une parfaite harmonie.
Yumi est rentrée du lycée et avec Chou, profitant du beau temps, nous nous sommes promenés dans les jardins du Palais du Luxembourg non loin de notre appartement.
Chou et moi avons de quoi vivre sans problème avec les indemnités que la compagnie allemande nous a versées.
Yumi a reçu une part moindre, car c’était son père, mais nous avons des moyens.
Je suis en pourparlers avec la fédé de judo pour un poste de recruteur de nouvelles pousses comme je l’ai moi-même été repéré à mes débuts vers le haut niveau.

Nous avons pris une douche, les uns et les autres et je suis assis sur le canapé avec Yumi dans mon bras.
Nous regardons un film d’horreur.
Yumi adore ça.
Chou est à mon côté et semble avoir peur, car elle vient se blottir contre moi.
Je la regarde, elle me regarde, je regarde Yumi, elle me regarde.
La main de Chou vient se poser sur mon pyjama et sors ma queue.

● Laisse toi faire, j’ai envie et je sais que tu es amoureuse de moi depuis la première fois où nous sommes rencontrés, tu étais bien jeune.

Je regarde de nouveau Yumi, elle avance sa main et me saisit là où il y a de la place.
Toutes les deux se placent les genoux sur le tapis et leurs bouches viennent de chaque côté de ma verge.
On pourrait croire, que cela est malsain, mère et fille sur une seule verge, mais à aucun moment leurs bouches se touchent.
Je comprends très vite que l’une et l’autre veulent que nos rapports deviennent, elle, et elle pour finir par elles.
Quand j’interroge mon cœur, il est assez grand pour les deux aussi quand elles se placent à quatre pattes sur le canapé s’étant mise nues, ma verge entre, dans la chatte de l’une pour sortant, rejoindre l’autre.
Dès ce premier soir, je fais jouir mes deux petites maîtresses.
Elles deviennent « Elles » avec un grand « L ».

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