Une Épouse Exemplaire 6

Résumé : très tôt, mon mari m'avait proposé d’être libre sexuellement, au début, j'ai
hésité, ensuite non. Nous sortions d'une relation fusionnelle avec un couple ami-amant
qui s'est terminée tragiquement. Depuis, je cherchais mes marques.
Il n'était pas question de retourner en vacances au même endroit que l'été précédent.
Les trois s de nos amis étaient maintenant chez une sœur de Daniel mais nous avions
proposé de les emmener en vacances avec les deux nôtres. Lors d’une réunion avec les cinq
s, ils ont opté pour une colonie d'adolescents à condition d'être tous ensemble.
Jean-François me proposa de partir tous les deux pendant ces deux semaines dans un club
à l'autre bout du monde
Nous étions dans des cases face une plage de sable fin et une mer bleue turquoise à 28
°. Le premier soir, après Le repas on est parti boire un cocktail dans la boîte du club.
J'étais sans arrêt sur la piste, un prof de danse tahitienne m'a entraînée dans des
rythmes endiablés, Jean-François n'a laissé faire, j'ai fini la nuit avec lui, il
fallait que j'efface Daniel de ma tête et de mon corps, je pensais que cet athlète
tahitien serait un bon moyen. Je me suis lâchée complètement, aussitôt arrivée dans sa
chambre, je me suis agenouillée devant lui pour le sucer , il était bien doté par la
nature, peu après, je l'ai attrapé pour l’attirer en moi. Il m'a baisée jusqu'au petit
matin, je suis rentrée dans notre case pour me doucher et partir avec Jean-François
prendre notre petit-déjeuner. Pendant ces deux semaines, j'ai été prise d'une frénésie
sexuelle, j'ai retrouvé mon premier amant les deux soirs suivants, ensuite, chaque nuit
j'en ai pris un nouveau soit parmi le personnel, soit parmi les vacanciers, j'ai connu
un nombre important de nationalités différentes, qu’ils soient mariés ou pas m’importait
peu, c'était ma thérapie pour effacer Daniel et Caroline de ma mémoire.

Ma réputation de
salope m importait peu, nous étions aux antipodes de chez nous. À part avec mon premier
amant de trois nuits, avec les autres, je baisais puis regagnais notre case pour me
réfugier dans les bras de mon chéri, je pleurais, il me prenait tendrement dans ses
bras puis me faisait l'amour.
Nous avons retrouvé nos s avec grand plaisir, notre fille nous a avoué avoir fait
l'amour pour la première fois avec le fils aîné de Daniel et Caroline, la nouvelle
génération perpétue la précédente. Je l'ai accompagnée chez mon gynécologue pour qu'elle
se protège sérieusement, c'était leur première à tous les deux, ils n’avaient pas de
risque de mst.
J'ai pris beaucoup d'occupations pour occuper ma tête, je me suis mise sérieusement à
une passion que je faisais jusqu'à présent en dilettante, le théâtre. Rapidement,
j'intégrais une petite troupe d'amateurs qui grâce à sa prof, actrice professionnelle,
travaillait comme des vrais. Nous avons joué notre première pièce plus de 80 fois et la
suivante plus de cent. Sur scène, ce n'était plus moi, j’oubliais tout, j'étais le
personnage, mes peines, mes rhumes ou mes angines, tout restait dans la loge,
malheureusement, ils m'attendaient à mon retour. Une fois, j'ai été engagée seule au
statut d’amateur avec des intermittents du spectacle, je montais sur scène du mardi au
samedi soir et ce pendant trois mois.
Certains dans la troupe me battaient froid considérant que je prenais le travail d'une
vraie actrice, heureusement, Christian qui jouait mon mari sur scène m'a défendue.
Après quelques représentations, on est parti boire un verre à la fin du spectacle puis
on est parti chez lui et on a fait l'amour. Physiquement , ce n'était pas le plus beau
que j'ai connu mais il était très gentil, souriant et plaisantin en un mot, très
reposant, une fois au lit, j'ai découvert qu’il était très avantagé par la nature et
savait s'en servir, des le premier soir j'ai eu plusieurs orgasmes.
Pendant ces trois
mois, après chaque représentation, j’allais chez lui, on faisait l'amour, d'autres fois
on baisait puis je rentrais rejoindre Jean-François. Le dernier soir de représentation,
avec l'aval de Jean-François je suis restée avec Christianbjusqu'au lundi matin, on est
resté au lit tout le temps, même pour manger. Il faisait le cunnilingus merveilleusement
bien mais je préférais m’occuper de son sexe, ses dimensions avantageuses rendaient la
fellation intellectuellement érotique et la pénétration très jouissive. Il avait un gland
très gros, planté sur une longue tige, l'ensemble devait faire dans les vingt cm, la
largeur aussi était impressionnante, lorsque ce phallus écartait mes lèvres que ce soit
celles de la bouche ou du sexe me comblant. Le lundi matin, au moment de se quitter, il
m'a proposé de passer quand je voulais, il savait que ça ne serait pas le cas, c'était un
très bon copain, voire un ami mais à aucun moment il n'y a eu la petite étincelle qui
m'aurait permis de continuer une relation devenue plus compliquée.
Régulièrement, chaque fois qu'il est sur scène dans un nouveau rôle, il m'envoie une
invitation pour deux personnes, avec Jean-François, ils se sont liés d'amitié Jean-
François est au courant de notre ancienne liaison, Christian sait que Jean-François est
au courant. Souvent, lorsqu'il se penchait pour me dire au revoir, dans l'oreille, il me
disait qu'il espérait toujours une visite de ma part, visite qui n'a jamais eu lieue.
Avec les camarades de notre troupe d'amateurs, il n'y a jamais eu de coucheries, mon
partenaire principal aurait pourtant bien aimé, un autre après m'avoir avoué sa bi-
sexualité me proposa de nous retrouvé lui, Jean-François et moi dans un même lit, Jean-
François n'a jamais été intéressé, moi non plus.
j'ai décroché un tout petit rôle dans un téléfilm, le dernier jour du tournage il y
avait une fête entre tous les acteurs et techniciens où l'alcool était abondant.
Une des
vedettes me m'a pas quitté de la soirée et naturellement je suis partie avec lui dans sa
chambre, je me suis déshabillée , lui aussi et on s'est couché en l’embrassant, je n'en
revenais pas, j'étais au lit avec X. et j'allais faire l'amour avec lui. Il s'est occupe
un peu de mes seins et beaucoup de ma chatte, ses lèvres se sont posées dessus et sa
langue l’a léchée de partout, mon orgasme à été violent. Lorsque j'ai commencé à le
sucer, le monsieur n'avait pas une forme olympique, au bout d'un moment, voyant un début
d'érection je lui ai dit de venir sur moi rapidement. Tant bien que mal, il a réussi à
me pénétrer mais ce n'était pas encore ça. Je l'ai bloqué au fond de moi, les mains
appuyées sur ses fesses et tout en le regardant dans les yeux, je lui ai fait ma botte
secrète, la branlette avec mes muscles vaginaux, il a éjaculé dans les secondes qui ont
suivi. Il s'est pris sur le côté et endormi rapidement. J'ai regagné ma chambre, le
matin, j'ai pris mon petit-déjeuner puis je suis partie avant que mon amant ne sorte des
bras de Morphée.
Je l’ai revu à l'avant-première, il était au bras d’une actrice aussi connue que lui, il
nous a présentées, je lui ai présenté mon mari, aussi inconnu que moi ; en me faisant la
bise il m'a dit avoir été un vrai con ce soir-là. Les autres fois ou je l'ai vu, c'était
lui dans la télé et moi face à l'écran.
Daniel et Caroline me semblaient loin, seule la présence régulière de leurs s me
les rappelait, d'autant plus que leur fils aîné passait souvent la nuit chez nous dans le
lit de notre fille.
Pour notre fille amoureuse, j'étais toujours une épouse exemplaire.

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