Une Épouse Exemplaire 5

Résumé : mon mari m'avait incitée à avoir une liberté sexuelle, j'ai hésité puis j'ai
osé. Mes derniers exploits ? Une partouze avec des gens du monde politique et industriel
de la banlieue bordelaise. Les partouzes, ce n'est pas mon truc, çà m'a permis néanmoins
d'avoir de manière irrégulière un député charmant de 25 ans mon ainé comme amant.
Actuellement je suis a nouveau une épouse exemplaire …..

Je ne voyais presque plus mon amie qui m'avait entraînée dans cette débauche, je pense
que son but était d'alimenter en jeunes femmes belles et libérées son réseau de partouze,
lorsqu'elle a senti que je n'adhérais plus, nos liens se sont défaits. Mais j’étais
intégrée dans ma nouvelle région, on recevait souvent pour le travail de Jean-François et
des amis, on était aussi souvent de sortie, nos s pré-ados se gardaient tous seuls.
Lors d'une soirée dansante, un cavalier m'a fait remarquer que mon mari semblait très
intéressé par sa partenaire qui se trouvait être sa femme, dans le creux de l'oreille il
rajouta que cet intérêt était en dessous de celui qu'il portait pour moi. À la pause,
Jean-François m'a avoué avoir une attirance pour cette belle brune et qu'il lui semblait
que le mari de la dame en avait pour moi. Après avoir redit notre pacte, discrétion et
honnêteté, on est parti boire un cocktail. Le couple s'est approché et s'est présenté
puis chaque homme est parti danser avec l’épouse l'autre. Daniel s'est plaqué contre moi
tout en gardant une attitude digne de façade, je sentais son sexe contre mon ventre qui
avait pris du volume; à la fin de la danse, j'avais dans la main sa carte de visite avec
ses numéros privés.
Quelques jours après, j'ai informé Jean-François que j'allais le lendemain manger au
restaurant avec mon danseur, il me dit de bien en profiter. J'avais rendez-vous devant le
Grand Théâtre, depuis sa voiture, il m'a fait signe et une fois installée il m'a confié
avoir réservé dans une auberge en dehors de la ville.

Le cadre était charmant, j'ai
remarqué aussi que cette auberge faisait hôtel dans des petits bungalows répartis dans le
parc. Il avait déjà organisé le repas et choisi les boissons. Après Le café, il m'a
proposé de se promener dans le parc et devant un bungalow, il m'a prise par la main et
m’a embrassée, passant au tutoiement, il m'a proposé de rentrer après avoir sorti une
clé de sa poche. Je connaissais d'avance le scénario et j'avais accepté le rendez-vous en
connaissance de cause.
À l'intérieur, il me complimenta sur ma beauté, m'a dit que depuis la soirée il avait
envie de moi, j'ai passé mes bras autour de son cou et j'ai repris notre baiser, je lui
ai enlevé sa veste, défait sa cravate et fait sauter un par un les boutons de sa chemise.
Une fois torse nu, il entrepris mon déshabillage, ma veste à rejoint la sienne, mon
corsage sa chemise et pour enlever mon soutien-gorge, il me coucha sur le lit. De deux
doigts il défit l’attache puis poussa la dentelle pour mettre à nu mes deux seins. Ses
caresses étaient douces, ses lèvres alternaient avec ses mains, mes tétons très durs
accueillaient ses lèvres et je sentais ma culotte devenir humide. Lorsque sa main est
passée sous la ceinture de ma jupe, j'ai rentré mon ventre au maximum pour lui faciliter
l'intrusion, elle est passée directement sous ma petite culotte et arriva en contact avec
ma toison finement taillée, un doigt s'est incrusté entre mes lèvres intimes, ce premier
contact est toujours un moment sublime, tant qu'on en était aux embrassades ou aux
baisers sur les seins, nous n’étions pas encore dans une grande intimité, maintenant les
choses sérieuses commençaient.
Avec la même dextérité que pour le soutien-gorge, il défit le bouton de ma jupe, ouvrit
la fermeture éclair puis fit descendre la jupe le long de mes jambes, la culotte a suivi
le même chemin.
Il ne me restait que mes bas auto-fixant et mes chaussures, cette
parure lui a semblé à son goût car il a cessé son effeuillage pour revenir vers ma vulve.
Il n'arrêtait pas de me dire que j'étais encore plus belle que dans ses rêves, sa main
maintenant découvrait tout ce que les jambes fermées d'une honnête femme cachent en temps
normal. Je lui ai dit que j'aimerais bien voir et toucher ce que je devine à travers son
pantalon, il s'est mis de côté et m'a dit de le découvrir par moi-même.
Il était étendu sur le dos, j'ai commencé à lui agacer les tétons avec mes lèvres, une
main descendait sur son ventre plat d'homme qui s'entretient, arrivé au pantalon, j'ai
défait la ceinture puis les boutons avant d'ouvrir la fermeture éclair, j'ai caressé sa
belle bosse sur le caleçon puis je l'ai fait descendre entraînant le pantalon, d’un coup,
sa verge est sortie, je me suis penchée pour la sucer j'ai commencé par enfoncer sa tige
en entier au fond de ma bouche puis à la faire ressortir en pinçant mes lèvres, ensuite
je me suis attardée à titiller le gland du bout de ma langue puis ma bouche est descendue
le long du phallus le parcourant de petits baisers pour enfin l'occuper des testicules
rasées de frais. Michel se dégagea un court instant pour se débarrasser de ses vêtements
baissés sur ses cuisses. Il se remis face à moi nos baisers devinrent profonds et très
sensuels, j'avais les jambes largement ouvertes et un peu pliées, un doigts reparti à la
découverte de mon minou, j'aurais pu l'accueillir facilement tant je mouillais.
Je lui ai dit que j'avais envie de lui immédiatement, il s’est placé sur moi, son sexe
est venu entres mes petites lèvres pour se positionner face à mon trou, on s'est
regardé, on s'est souri, j'ai mis mes mains sur ses fesses et tout en l’embrassant, j'ai
appuyé dessus et il est rentré. Toujours cette sensation inouïe de la première
pénétration d'une verge inconnue, il est resté un moment nos deux sexes intimement
emboîtés avant de commencer par de lents mouvements de va-et- vient, sa cadence a
progressivement augmenté, lorsque je lui ai demandé de venir, il a encore accéléré et on
a joui en même temps.
Ses premiers mots ont été « merci, j'avais tellement envie de toi
». Après avoir été me rincer, je suis revenue me serrer dans ses bras, j
avais le sensation de le connaître depuis longtemps, on a parlé de nos vies, nos
passions, il m'a avoué qu'avec sa femme ils étaient un couple de façade, qu'ils menaient
leur vie en parallèle et restaient ensemble pour des commodités matérielles, je lui ai
dit que j'aimais mon mari et que nous étions libres sexuellement tout en respectant
l'autre, il m'a répondu « donc, on pourra se revoir régulièrement » ,je l'ai embrassé,
les caresses ont repris ‘ j'ai senti sa verge se redresser le long de ma jambe, lorsque
je l’ai saisie, elle a fini de retrouver sa forme olympique. Mon amant n'était pas en
reste, sa main a retrouvé le chemin de mon minou déjà humide, lorsqu'il s'est penché
dessus, j'ai ouvert mes cuisses et il a posé ses lèvres sur ma vulve. Le monsieur savait
se servir de sa langue, lorsqu'il a aspiré mon clito, j'ai eu un violent orgasme. Il est
revenu sur moi, mon sexe a absorbé le sien, son assaut à repris, lorsqu'il a joui, mes
jambes enroulées autour des siennes l'on retenu en moi.
Étendu à mes côtés, il m'a demandé si je pensais que nos conjoints allaient faire comme
nous, vu la dernière soirée, j'ai repo6qu'il y avait de grandes chances. « j'ai aimé
faire l'amour avec toi, on le refera régulièrement mais j'aime mon mari et inverser les
couples par moments, oui, le reste non, si nos conjoints deviennent amants, ça sera
plus facile pour passer des nuits ensemble »
On s'est rhabillé, on est parti bras dessus bras dessous, au moment de se quitter il
m'a prise dans ses bras pour me dire des mots tendres. Le soir, Jean-François m'a avoué
avoir couché avec la femme de mon amant, je lui ai raconté mon après-midi. Daniel est
venu régulièrement chez nous en début d'après-midi, on passait directement au lit, notre
entente sexuelle était excellente, je savais d'instinct ce qu'il aimait, il savait ce qui
me faisait jouir et je jouissais.
Au bout d'un mois après avoir fait l'amour, il m'a
dit être amoureux se moi, je lui avouais que j'étais bien avec lui, que j'avais envie
d’être avec lui mais que j'avais aussi envie d'être avec mon mari, « j'aime mon mari et
je deviens amoureuse de mon amant » il m'a embrassée et refait l'amour, au moment de sa
jouissance, il m'a dit « je t'aime ».
Jean-François et Caroline continuaient leur liaison mais à un rythme inférieur au nôtre.
On s'était aperçu que nos deux s étaient dans la même tranche d'âge de leurs trois
s, Daniel à commencé dire que ça serait sympa de partir en vacances ensemble en
louant deux appartements voisins, dans l'un les cinq s y dormiraient, dans l’autre
les adultes, on pourrait changer de chambre à notre guise. Il en a parlé à sa femme et
moi à mon chéri. On a décidé de se rencontrer les deux couples pour faire connaissance
sans les s, c'était un peu étrange mais le courant est bien passé entre les hommes
et les femmes. Avant de faire un repas en y mêlant les cinq s, ON a mis les choses
au point, avec Jean-François, on voulait continuer à être ensemble et changer de temps
en temps, le problème pour nos amants venait qu'eux n’avaient plus de rapport sexuel
depuis deux ans et que pendant ces vacances ils feraient chambre commune lorsque je
dormirais avdc Jean-François. La rencontre avec nos s s'est bien passée, il y
avait trois garçons et deux filles. Il était convenu de se retrouver
sur place devant l'agence de location sur la Costa Del Sol, les s seraient presque
autonomes, ils viendraient aux moments des repas, pour les baignades, aucun problème,
nous étions face la mer le long d'une plage et devront respecter des horaires, surtout
le soir. Les garçons s'installèrent dans une chambre, les filles dans l'autre. Pour les
adultes, on s'est installé Daniel et Caroline dans une chambre et nous dans l'autre, il
était convenu que les dames garderaient leur chambre et que ça serait aux hommes
d’inverser.
Les deux premières journées servirent à prendre nos marques, il fallait s'habi à
cette nouvelle intimité, les deux premières nuits, les couples légitimes sont restés
ensemble, avec Jean-François, on a fait l'amour très intensément comme à chacune de nos
vacances, le troisième soir, Caroline s'este approchée de Jean-François et moi de Daniel
et après avoir fait la bise à nos maris, nous sommes parti nous couché avec celui de
l'autre. En premier, Daniel m'a avoué que ces deux soirs, avec Caroline ils avaient fait
l'amour après deux ans de chambres séparées, j'ai été contente pour eux puis je lui ai
sauté dessus. Cette première nuit avec mon amant, sachant Jean-François et Caroline en
train de baiser dans la chambre voisine a été très hot, je pense qu'on a passé plus de
temps à baiser qu'à dormir. Ensuite, c'était selon notre humeur, il nous arrivait
d'inverser tous les soirs, d'autres de rester plusieurs nuits avec nos maris ou avec nos
amants. Lorsque les s étaient dans leur appartement, on se baladait librement à
poil sans aucune gêne, tous les tabous étaient supprimés, le soir, qu'on dorme avec notre
mari ou avec notre amant, on laissait les portes des chambres ouvertes. Il
nous ait arrivé de faire l'amour côte à côte avec notre mari ou notre amant, avec
Caroline, le matin on se faisait un bisou sur la bouche mais on n'a jamais été plus
loin. Pendant l'amour avec Jean-François, je lui disais des « je t'aime », pendant
l'amour avec Daniel, je lui disais des « je t'aime », j'étais amoureuse et j'aimais deux
hommes.
Après nos vacances communes, nos s étaient devenus inséparables, on pouvait
difficilement croiser les couples comme on avait pris l'habitude, Jean-François allait
de temps en temps passer l’après-midi chez Caroline, Daniel venait passer l'après-midi
chez nous, avec sa femme, il avait repris une vie de couple ce qui était une bonne chose
pour l'équilibre du nôtre. L'année s'est terminée, bien sûr on a passé les réveillons
ensemble, le 31 , nous avons fini la nuit tous les quatre dans un grand lit pour ne pas
avoir à choisir.
Vers les vacances de printemps, on a commencé à parler de refaire le même vacances que
l'été précédent lorsque le W.E. de Pâques en allant voir la mère de Daniel souffrante ils
ont eu un accident de voiture, Caroline est décédée sur le coup et Daniel deux jours plus
tard. On était effondré, leurs s sont venus chez nous le temps que leurs frères et
sœurs décident de leur avenir.
Pour de nombreux mois, je suis revenue une épouse exemplaire.

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