La Sexualité Compulsive De Florence : La Découverte De La Jouissance (Partie 1/ 15)

J’aime le sexe, pour moi c’est une source d'épanouissement et de joie de vivre. Je suis
une femme qui profite bien des plaisirs charnels, qu'offre la vie. Je ne suis pas une
collectionneuse d'hommes, mais parfois si l'occasion se présente, je n'hésite pas, car je
suis bien dans ma tête et bien dans mon corps. Cela fait-il de moi une salope ?

À l’époque, j’avais encore un corps d'ado, certes bien formé, mais au comportement
adolescent, tant physiquement que cérébralement. Une longue chevelure presque brune
descendant jusqu'au creux des reins, un joli fessier pas encore totalement rebondi et la
poitrine qui n'avait pas encore pris tout son volume, un petit 85B. J'ai perdu mon
pucelage en dernière année au collège, avec un redoublant qui en avait un an de plus que
moi. Jusqu’en classe de 3ème, je n'avais eu que des flirts d'ado.

Je sortais avec Olivier depuis le retour des vacances de Pâques. Au départ, nous
étions encore vierges, c'était un flirt avec quelques caresses intimes, nous avons
découvert ensemble nos corps si différents. Après trois mois, nous nous apprécions et
tout naturellement, nous avons voulu aller plus loin. La semaine précédant le brevet,
prétextant une révision, ses parents étant absents, il m'a amenée chez lui et dans son
lit de 90 cm, nous avons connu notre première fois. Après nous être embrasser de longues
minutes, tout en nous caressant mutuellement, nous nous sommes retrouvés entièrement nus,
c’était nouveau pour moi. Nos attouchements et nos caresses nous ont beaucoup excité
malgré notre innocence sur les rapports sexuels et notre timidité à l'acte, je me suis
allongée et j’ai écarté les cuisses afin qu’il vienne me posséder.

Olivier m’a pénétrée sans difficulté, j’étais trempé de désir, je n’ai pas
vraiment souffert, néanmoins, je n’ai pas eu le plaisir escompté.

Par contre lorsqu’il a
fini par éjaculer en moi, c'était vraiment génial de sentir ses giclées de sperme envahir
mon ventre. Je prenais un contraceptif depuis peu et lui aussi était puceau, nous
n’avions pas jugé utile, d’utiliser un préservatif. Le feu du désir l’avait emporté sur
la raison. Depuis, j'ai été bien plus rigoureuse sur le port du préservatif avec presque
tous mes autres partenaires. Pourtant, je vous avoue préférer, sans me voiler la face,
sentir un homme éjaculer puissamment au fond de mon vagin, cela me procure un plaisir que
supprime la capote. Cependant, il faut toujours préserver sa santé et celle des autres.

Les grandes vacances nous ayant séparés, à la rentrée en seconde, Olivier était
dans un lycée différent, notre histoire c'était éteinte. J'ai renouvelé l'expérience en
cours d'année scolaire, ça ne restera pas un souvenir impérissable, mais pendant les
vacances d’été, j'ai eu de bien meilleures sensations, très plaisantes avec un jeune qui
m’avait draguée sur la plage. À partir de cet été, j'ai eu plusieurs petits copains qui
se sont succédés au lycée.

Doucement je m'enhardissais, je prenais confiance en moi, j'adorais le plaisir que
procuraient les caresses sur moi. Durant les deux années suivantes, j'avais connu cinq
garçons à qui j'avais offert ma féminité. Le premier fut Clément, le midi au self,
j’étais à table avec lui et je sentais qu’il me désirait mais sa timidité le bloquait
quelque peu, j’avais moi aussi envie de lui, il me plaisait bien, j'ai un peu bousculé
les choses. Je lui ai caressé la main puis j’ai pris son pouce à l'intérieur de mon poing
en simulant la pénétration en me penchant à son oreille :
— Viens allons aux toilettes. Lui dis-je directement.

Il n’en revenait pas, il me regardait me lever, laissant nos amis sur place et
partir vers les sanitaires.
J’ai cru un moment qu’il n’oserait pas me suivre mais je fus
vite rassurée lorsqu’il arrivait en même temps que moi dans cette petite cabine étroite.
Toute la matinée, j’avais pensé à ce moment, j’étais dans un état d’excitation sans
pareil. Une fois la porte fermée, nous nous sommes embrassés pendant que je lui baissais
son pantalon, il me pelotait les seins, j’étais très excitée, je mouillais fortement, je
venais d’enlever mon string sans délicatesse et je dis à Clément :
— Mets-toi assis sur le chiotte et étends tes jambes.

Je le dominais, sa bite était bien droite et tendue, il ne disait rien. Je me
plaçai face à lui, les cuisses écartées, enserrant les siennes. Je pris sa verge dans ma
main et la guida entre mes grandes lèvres et dès que son gland était en place sur ma
vulve, je m’étais assise en l’enfournant entièrement d’un seul coup. Je montais et
descendais lentement au début puis en accélérant le mouvement, nos respirations
s’accéléraient, nous gémissions fort, tous les deux, sans rien se dire, au risque de nous
faire entendre mais cela n’avait pas d’importance. Je sentais sa bite raide en pleine
érection dans ma petite chatte pendant qu’il me malaxait les seins et me suçait les
tétons érigés par l’excitation :
— Hum ! Ta bite est bonne ! C’est bon ! Oui ! Encore !

J’aurais aimé que ce moment se poursuive bien plus longtemps, mais après quelques
minutes à ce rythme soutenu que j’imposais, et en entendant mes mots, il donna un grand
coup de reins, malgré sa position délicate et éjacula bien trop vite, à mon gout, dans
son préservatif.

Dans ces toilettes du lycée mal odorante, pendant les l'intercours et à midi, avec
Clément puis Romain, David et Florian, j’avais connu des parties de sexe brèves mais
intenses. J’avais trouvé le moyen et l’endroit idéal pour satisfaire mes besoins de me
faire baiser sans jouir vraiment mais en prenant du plaisir.
Nous avions trouvé plusieurs
positions malgré l’étroitesse des lieux, les possibilités étaient grandes. Penchée en
avant, le visage contre le carrelage mural, les fesses tendues en arrière. Romain placé
derrière moi me pénétrait en me tenant fermement par les hanches. Ou debout devant le
lavabo et toujours par derrière, m’écartant le string, David me pénétrait. Ou encore à
genoux sur la cuvette rabaissée, les coudes reposant sur la chasse en faïence la tête sur
mes avant-bras, Florian me prenait en levrette. Malheureusement, ces quatre garçons étant
encore des novices, éjaculaient bien trop rapidement dans leur capote, je ne pouvais donc
pas profiter plus longtemps de leur bite que je sentais ramollir trop vite dans mon
vagin.

Après deux mois de relation, je venais de quitter Florian comme je l’avais déjà
fait avec Clément, Romain et David, je me trouvais sans petit ami, en attendant celui que
j’aimerais vraiment. Au lycée, la discrétion n'était pas la qualité première de mes
petits copains, une bonne partie du lycée sut que je me faisais baiser dans les chiottes
et j'eus de nombreuses sollicitations que j'ai refusé, néanmoins j'étais très fière de
savoir que de nombreux lycéens avaient envie de mon corps.

Kevin était un garçon que je voyais une fois par semaine au gymnase, il était grand
fort mais ne me plaisait pas spécialement, cependant avec lui, ce fut totalement
différent. Nous rangions tous les deux, les tapis de sol lorsqu’il se plaça derrière moi
:
— Il parait que tu es une belle salope, enfin c'est ce qui se dit dans le bahut. J’ai
envie de te baiser là sur les tapis. Me dit-il en me plaquant fortement contre lui.

Impossible pour moi de décrocher un mot, je sentais sa virilité contre mes fesses.
Lorsqu’il me dit :
— Mets-toi à quatre pattes. Poursuivit-il, tout en descendant mon short.

J’obéis à ses désirs, j’étais pris dans un tourbillon de désir, je mouillais, ses
ordres me fragilisaient mais en même temps m’excitaient fortement. Je m’étais laissée
emporter dans ce local du gymnase. Kévin était bien plus résistant que mes autres
partenaires, car après m’avoir baisé, il me dit :
— Je vais t’enculer maintenant.

Ce n’était pas une question, la salope qu'il pensait que j'étais ne pouvait que se
faire enculer ! Je n’avais pu refuser, depuis longtemps déjà, je voulais tester. Ce mâle
dominant m’avait sodomisé pour la première fois, je n’en avais pas gardé un souvenir
impérissable. Néanmoins, j’avais adoré lorsque j’avais ressenti, après qu’il ait retiré
sa capote, son éjaculation chaude qui coula dans la raie de mes fesses. Je venais de
baiser avec un type avec lequel je n’avais jamais flirté, je n’ai pas le souvenir de
l’avoir même embrassé.

Ce ne fut que durant l'été suivant, qu’enfin je connus vraiment ce que signifiait
jouir. C’était lors d'un concert, je retrouvais un copain, j’avais prévu de sortir avec
lui mais les choses furent différentes. Ce soir-là il était accompagné de plusieurs
autres amis et Julien, son frère, était beau gosse, le look, un brin Bad boy et était
bien plus âgé que moi. Comme je n’arrêtais pas de le regarder avec envie, il m’avait
draguée et j’étais folle de joie lorsque à la fin du concert, après avoir pris un
rafraîchissement, il me proposa de me raccompagner chez moi, je m’étais empressée
d’accepter.

Sur la route, je fondais sous ses paroles, j’étais subjuguée par ce garçon. En
chemin il fit une halte dans un chemin désert de campagne à la lisière d’un sous-bois où
nous étions à l’abri des regards, je savais que nous allions faire l’amour et j’en étais
ravie. Sous ses baisers tendres et délicats, ses mains parcourraient tout mon corps, ses
doigts étaient magiques, j'étais en effervescence, bouillonnante sous ses caresses,
j’étais trempée d’excitation. Je n'avais pas fait le moindre geste pour l'empêcher de
retirer mon tee-shirt puis mon short. Mon soutif et mon string avaient rapidement suivi,
je me retrouvais nue dans cette voiture.

Je n'avais jamais connu un garçon aussi habile de ses doigts, un virtuose qui
jouait avec mes seins, mon clito et ma chatte la symphonie du plaisir ! Et ses mots qu'il
me murmurait à l'oreille me remplissaient de joie :
— Tu es la plus belle, tu es faite pour l'amour. Tout en appuyant sa main sur ma nuque.
Suce-moi ! Me dit-il.

Je n’avais rien répondu et je m’étais penchée sur son sexe en érection, je n'avais
pas hésité une seconde, je m’étais empressée de lui montrer mon savoir-faire, même si mon
expérience était infime. Tout en le léchant le long de sa hampe, je le branlais
délicatement en passant mon doigt sur son gland, il gémissait, haletait, je comprenais ce
qu’aimait les garçons. Puis ma langue avait remplacé mes doigts, je plaçai son gland
entre mes lèvres et en serrant celles-ci, je l’avais avalé en faisant des va et vient sur
la longueur de sa verge et puis la sortant entièrement, j’embrassais de mes lèvres et ma
langue léchait la terminaison de son gland rosé.

A entendre ses commentaires, j’avais compris que je faisais bien mieux que de me
débrouiller. Je faisais le maximum pour le satisfaire, j’avais vu sur des vidéos où
certaines femmes introduisaient entièrement le sexe mâle dans leur bouche. Sans qu’il me
le demande, Je m’étais même étouffée en le prenant en gorge profonde, mais j'avais tenu
bon, je n'avais jamais eu entre mes lèvres une bite de 19 cm ! J'étais la plus heureuse
des filles et très excitée de l'entendre me dire :
— Toi t’es bonne, une vraie bouffeuse de bite, bien salope.
J’étais fière de moi, j’avais réussi mon examen de passage avec un garçon plus âgé,
cet homme me faisais craquer et lorsqu’il m'a dit :
— Je vais te baiser de partout.
— Oui Julien ! Vas-y ! Baise-moi la chatte, prends-moi le cul, je suis toute à toi.

Ce jour-là, Julien m'avait démontée sur la banquette arrière. En missionnaire,
jambes pendantes à l’extérieur, en le chevauchant lorsqu’il s’était allongé à ma place ou
en levrette, le torse sur le tissu des sièges, et hors de la voiture à genoux la tête
posée sur sol, les fesses tendues vers le ciel. Lorsqu’il finit par me sodomiser, la
douleur fut forte et poignante malgré la préparation, sa verge était bien plus grosse
qu’un pouce ou deux de ses doigts.

Cependant le plaisir avait très vite remplacé la douleur, je ressentais beaucoup de
plaisir à chaque fois qu’il entrait entièrement sa longue bite, au plus profond de mon
fondement. En une heure, dans cette voiture, j’avais joui quatre fois et même du cul !
J’étais même quasiment tombée dans les pommes lors de mon orgasme final, après être
longuement resté tout entier dans mes entrailles.

La source de mon orgasme était autant physique que cérébral. Mon excitation était-
elle que je perdais pieds et lâchais prise. Ma jouissance me procurait comme une décharge
électrique qui se traduisit par divers phénomènes physiques visuels, mes seins
gonflèrent, les tétons s'érigèrent un peu plus, le clito subit les mêmes effets et mon
vagin s’inondait, j'avais également la chair de poule. J’avais aussi pour la première
fois, apprécié le gout du sperme quand Julien après avoir retiré sa capote était venu
introduire sa bite entre mes lèvres pour éjaculer puissamment son jus dans ma bouche, le
trop plein débordant sur mon visage !

Bien sûr nous avons remis ça par deux fois, toujours dans sa voiture en campagne,
j'avais encore à chaque fois pris beaucoup de plaisir. Ces multiples orgasmes de suite me
firent prendre conscience que je ne pourrais plus me passer de ces instants magiques.
Avec Julien, je compris plusieurs choses : les mots utilisés par mes partenaires me
faisaient chavirer, j’étais dans un tel état lorsqu’il m’avait dit "je vais t'enculer"
que ces mots me firent l’effet d’une décharge de 220 volts. Mais également j’avais besoin
de recevoir la semence des mâles avec qui je baisais, que ce soit sur les fesses, sur le
ventre, sur mes seins, entre mes cuisses et dans ma bouche, je m’en délectais. Je savais
dorénavant que j’avais un réel besoin de baiser pour renouveler ces plaisirs intenses et
revivre ces jouissances que je ne parvenais pas toujours à avoir lors de mes
masturbations.

Ce fut comme cela que j’étais définitivement devenue accro au beau sexe viril.
J’allais pouvoir en profiter pendant mes années de fac que je vous raconterai dans un
prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser
vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.

Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi
par Email. J’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été
volontairement modifiés.

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