Auto-Stop

Cette histoire est vraie et m’est arrivée, il y a déjà pas mal de temps, environ une bonne quarantaine d’années.
A l’époque, j’étais étudiant et quand les cours finissaient un peu tôt, nous descendions jusqu’à notre bar habituel passer le temps, et, évidemment, il nous arrivait de rater le bus pour rentrer.
Dans ces cas-là, nous n’avions plus qu’à faire du stop, et, à cette époque-là, ça fonctionnait plutôt bien.
Une fois, après quelques minutes d’attente, un véhicule utilitaire s’arrête.
Le conducteur descend et m’invite à monter par la portière conducteur car, sur la droite, tout du long, il y avait un support métallique qui servait à transporter de grands objets, et condamnait l’accès côté passager.
Nous avons repris la route en discutant de choses et d’autres et j’avais remarqué que le conducteur me regardait autant que la route mais ça ne m’avait pas plus intrigué que çà.
Après une dizaine de minutes, il change brutalement de conversation et me demande si j’avais déjà vu des revues érotiques.
Je lui réponds que j’en avais déjà regardé quelques-unes mais assez sages.
Tu veux en voir, me dit-il ?
Pourquoi pas, lui ai-je répondu, assez naïvement, sans imaginer où il voulait en venir.
Il ouvre alors la boîte à gants et me propose de regarder ce qu’il y avait dedans.
C’était un roman-photo, comme ça se faisait à cette époque, où rien n’était caché contrairement à ceux que je connaissais. Je l’ai donc pris et ai commencé à le feuilleter.
Après quelques minutes de silence, le chauffeur me dit : ça te plait ? Ça te fait quoi ?
Evidemment, je lui ai répondu que je bandais, et il m’a demandé si je voulais lui montrer.
Un peu pétrifié, machinalement, j’ai ouvert mon pantalon et ai sorti ma bite.
Il l’a regardée, touchée un peu, m'a dit que j’étais bien monté et m’a demandé si je voulais voir la sienne.
Au point où j’en étais, j’ai accepté et il s’est déboutonné.


Je n’en avais jamais vu chez des hommes beaucoup plus âgés que moi.
Voyant que je regardais assez fixement, il a ralenti, s’est engagé dans un petit chemin et s’est arrêté.
Il a alors commencé à me caresser, ce qui m’a fait bander encore un peu plus, puis a commencé à me masturber.
Je ne trouvais pas çà désagréable et me laissais donc faire.
Tout en continuant, il m’a pris ma main et me l’a mise dans son slip.
Je me suis mis aussi à le branler, mais très maladroitement; je ne l’avais jamais fait à quelqu’un d’autre.
A cet âge, j’étais beaucoup plus vigoureux qu’aujourd’hui et je n’ai pas mis longtemps à jouir et à me vider dans sa main.
Il a attrapé un mouchoir en papier, s’est essuyé la main et m’en a donné un autre pour que je me nettoie.
Il a alors repris sa queue en main, s’est branlé jusqu’à éjaculation et s’est aussi nettoyé.
C’était la première fois qu’un homme se masturbait devant moi et c’est une image que je n’ai jamais oubliée.
Après cet intermède, il a redémarré, m’a déposé où je lui avais dit et, en descendant, m’a glissé un billet de 10 F dans la poche.
Je n’ai jamais eu l’occasion de revivre ce genre d’expérience, et je le regrette un peu.

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