Auto Stop

Au début des années 80, en fin d’après midi d’un été, rentrant de mon travail en voiture et circulant sur la route reliant la ville de mon lieu d’emploi à mon domicile, je remarquai la présence d’une personne marchant en bordure de la voie.
Cette personne, visiblement une femme, car habillé d’une robe, tenait une valise et un sac à main. Arrivant à sa hauteur, elle tendit le bras et le pouce pour le signe de l’auto stop.
Je m’arrêtai, baissai la vitre et lui demandai si elle faisait réellement du stop. Elle me dit que oui et qu’elle allait vers la ville de LYON. Cette ville étant loin et n’y allant pas, je lui indiquais que je pouvais la prendre pour l’avancer un peu dans son trajet. Un sourire apparu sur son visage. Je lui dis de mettre sa valise à l’arrière.
Ce qu’elle fit puis monta à la place avant droite.
C’était une belle femme, la cinquantaine environ, cheveux châtains courts, assez grande (peut être 1m70) et mince à la fois.
Après avoir repris la route, je lui expliquai qu’il était de plus en plus rare de voir des auto-stoppeurs, auto stoppeuses et de surcroît avec une valise.
La femme me répondit qu’en fait, elle était venue en Savoie pour son travail et qu’elle rentrait à son domicile à Lyon, lorsque sa voiture est tombée en panne. Le dépanneur venu sur place, lui a dit que les réparations étaient importantes et ne pouvaient être faites immédiatement. N’ayant pas de gare à proximité, elle n’avait alors pas d’autre choix que faire du stop, ce qui lui rappelait son jeune temps.
Nous fîmes les présentations et dit se prénommer Catherine. Puis, contente d’être prise en voiture, elle me précisa qu’elle allait me payer et me demandait ce qu’elle devait me donner. Je refusais cela. Je rendais service tout simplement.
Dans un premier temps, elle tenait son sac sur ses genoux, puis, elle le déposa à ses pieds. Je découvris alors ses genoux et le début de ses cuisses que la robe ne cachait pas.


Catherine m’expliquait un peu son travail de VRP et revenait à la charge pour me payer. On discutait un peu de tout. Lui paraissant sympathique, elle me demanda si je pouvais l’approcher de plus possible de Lyon et rajouta qu’elle augmentera la somme d’argent. Je redis que je ne voulais pas d’argent. Mais que si elle insistait, on pourrait s’arranger autrement. Elle me regarda, me sourit et me dit qu’elle ne pratiquait pas le sexe avec un inconnu. Elle était mariée et cela lui suffisait.
Je lui demandai, alors, ce qu’elle entendait par « pratiquer le sexe ». La pénétration, me dit elle, avant ou arrière. Pour moi, il y avait d’autre forme de sexe, la fellation, les caresses, l exhibition. Catherine dit avoir une sainte horreur des pipes, selon ses termes employés. Pour elle, le sexe n’était pas important, pas nécessaire, comme son mari le pensait aussi. Je lui demandais alors « vous ne pratiquez jamais ». On fait rarement, me dit-elle.
Elle voulait me payer en argent simplement. Au bout de quelques minutes, je lui demandais si elle tenait vraiment à me donner quelque chose. « Bien sûr, je le veux . » dit Catherine.
Alors, je pris une bonne respiration et lui dit « donnez moi votre culotte et je vous emmène vers Lyon ».
Catherine me lança un air interrogateur, surprise de cette demande.
« Ma culotte, celle que je porte là ? » « Oui, celle que vous portez » .
« Je vous donne ma culotte et vous m’emmenez à Lyon ? » ma demanda-t-elle ? « Rien que ça »
Un silence vint alors se mettre en place dans la voiture. Catherine, regardait la route, puis moi, puis la route, un peu déstabilisée par cette demande.
Bien entendu, je continuais à rouler.
Puis Catherine rompit le silence et dit «Qui me dit, une fois que je n’aurai plus de culotte, que vous n’allez pas me sauter dessus ». Je lui répondis alors que si j’avais voulu lui sauter dessus, ce n’est pas sa culotte qui pouvait la protéger, qu’elle n‘avait rien à craindre et que c’était juste une demande.
Le silence vint de nouveau dans la voiture. La demande restait en suspend.
« Où pouvez-vous m’emmener exactement », demanda Catherine. « Encore une dizaine de kilomètres «  dis-je.
« Je préférais vous payer » insista-t-elle. « L’argent ne vous intéresse pas ».
Répondant au tac au tac, « Si, dis-je, mais je préfère les petites culottes que je collectionne » (En fait, je n’avais aucune collection).
Catherine fut étonnée de ma réponse « vous collectionnez les petites culottes ? ».
« Voilà, donc, si vous voulez effec un paiement, donnez moi votre sous vêtement».
« J’en ai dans ma valise, je peux en prendre une »
Je lui dit que je préférais celle qu’elle portait.
De nouveau, un silence s’installa.
Puis Catherine dit que c’était gênant d’enlever sa culotte devant quelqu’un. Visiblement, elle n’était pas totalement contre l’idée du recueil de la culotte.
Je lui indiquais que je conduisais et que je ne regardais que la route, rien d’autre.
Je lui proposais alors de m‘arrêter, de sortir de la voiture, de m’appuyer contre la portière en lui tournant
le dos et qu’elle me ferait signe dès qu’elle l’avait enlevée.
Catherine fit un signe de la main indiquant qu’il fallait continuer à rouler. Puis, dit « D’accord, je vous la donne. Mais vous ne faites rien devant moi, c’est à dire la sentir, ou vous masturber et ne me dites ce que vous ferez avec, d’accord ? »
Pas de problème, j’exécuterai ses volontés, heureux de récupérer une petite culotte toute fraîche.
Catherine enleva sa culotte comme elle put, en se tortillant, se cabrant, remontant sa robe, mais trop, tirant sur sa culotte coincée quelque part. Du coin de l’œil, je pus voir quelque peu ses cuisses blanches. « Regardez la route, me dit-elle, j’ai pas envie de finir dans le fossé ».
La culotte finit par descendre le long des jambes pour s’arrêter aux chevilles. Catherine se pencha, enleva, une à une ses chaussures, puis pris la culotte dans ses mains.
J’avais pu voir cela le plus discrètement possible.
Je lui dis que j’allais la poser dans un cinq kilomètres dans une agglomération. Arrivée à destination, elle me tendit sa culotte en disant « voila, je vous paie ». Je pris la culotte en la remerciant et la posa sur mes cuisses.
Elle prit ses affaires en ouvrant la portière arrière droite. Puis, dit que cela n’était pas très agréable d’être nue sous la robe. Elle ouvrit sa valise, chercha une culotte. Se cachant comme elle pouvait derrière la portière, elle la mit en place, sans faire attention à moi. Cette fois, de mon siège, en me tournant, je vis la robe remonter, la culotte glisser vers le haut, ses cuisses et une petite partie de sa toison noire. Catherine se sentant mieux, s’éloigna en me remerciant à son tour.
Arrêtée quelques mètres, elle se mit en place pour de nouveau faire du stop. Moi, sur ma place de parking, je pris la culotte et la senti. Les effluves étaient encore présentes. J’ouvris mon pantalon, le baissai avec mon slip. J’empoignai mon pénis et me mis à me masturber en sentant la culotte et en regardant Catherine, toujours là quelques mètres plus loin. Bien sur, elle ne pouvait pas voir ce que je faisais, mais cela m’excitais de la savoir là. Je mis la culotte sur mon gland et activais la main de haut en bas. J’étais bien, une chaleur envahissait mon corps. Je repris la culotte pour la sentir, la remis autour de mon sexe. Le tissu était doux, agréable. Je me branlais bien dans la culotte. Je fis toucher la culotte sur mes boules, pour encore mieux sentir. Je sentais, alors, la jouissance arriver. Je me mettais bien les doigts le long de la verge, pour sentir les montées de sperm dans le pénis. J’ouvris la bouche et laissant échapper « SALOPE, PETITE PUTE ». La semence jaillit par saccades. La culotte était trempée, mon pantalon aussi.
Après un nettoyage sommaire, je repris la route pour mon domicile. En route, je déposais le culotte souillée dans une poubelle.
C’était trop bon.
Je n’oublierai jamais.

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