Collection Escorte Girl. Une Charmante Petite Voisine (2/2)

C’est une étrange histoire qui se dessine devant moi.
Avec délice j’ai changé de voisin, surtout de voisine ma vieille acariâtre, remplacée par
Kelly 22 ans, mariée à Karl franco-allemand légèrement plus âgé.
Ils ont des jumeaux de quatre ans.Lui part chaque semaine du lundi au vendredi.
Le peu que j’en sais, c’est qu’il travaille sur un gros chantier.
Respectant leur intimité même si un soir où j’arrosais mes poireaux, je les ai vus sur un
transat, baiser près de leur piscine.
Une chose m’a intrigué avant que je les laisse à leurs ébats et surtout pour aller me
branler.
Or la sucette qui m’a fait envie, quand il a passé son bras sous sa femme, certainement
pour lui caresser le clito, elle a semblé partir au quart de tour exprimant sa jouissance
sans aucune retenue.
Pour sa part, elle travaille les après-midi du lundi au vendredi hormis le mercredi où
elle garde ses s.
Un jour où je constate une fuite d’eau, je vais au magasin de bricolage dans la ville
voisine pour en racheter un.
Au retour, suite à un accident, je suis détourné dans une petite route tout juste
carrossable.
C’est tout au bout près de la forêt que je vois Kelly sortir de sa voiture et entrer dans
cette propriété entourée d’un mur d’enceinte et protégée par un Interphone.
Intrigué je me gare dans un chemin creux voulant en savoir plus.
Quelle surprise de voir une voiture s’arrêter, un homme en sortir et ressortir avant de
retourner vers la ville au bout de presque une heure.
J’allais partir sans savoir ce qu’il avait fait quand une grosse moto est arrivée avec à
son guidon une magnifique rousse qui elle aussi a passé un petit moment.
Quand elle est repartie, j’ai vu quelques minutes après un jeune gars arrivé en
Mobylette.
C’est sûr, Kelly se prostitue et profite de ce que ses s sont à l’école et son mari
bien, loin pour se donner à des clients.


Je fais des photos de la jeune rousse et du jeune garçon sans penser à quoi ça pourrait
me servir.

Quelques jours plus tard, j’avais oublié tout ça quand Kelly m’appelle sur son fixe pour
me demander d’aller chercher ses jumeaux.
Elle rentre tard, bien plus que de raison.
J’ai commencé à apprendre à ses fils à nager pour éviter ce qui m’est arrivé dans ma
jeunesse où j’ai failli me noyer.
Le mercredi, je suis de retour dans mon maillot de bain pour donner une demi-heure de
nage aux deux garçons.
Je viens sur le transat voisin de la petite, pensant au portable où elle aurait à
m’appeler.
Je lui demande de mettre son numéro si elle a besoin de mes services.

- Tu m’as suivi !
- Non, c’est un concours de circonstances où je suis passé devant la propriété où
tu entrais.
Intrigué, ignorant le travail que tu fais, j’ai planqué près de la forêt.
J’ai vu un homme bien mis sonner et entré, repartir et être suivi par une jolie rousse en
moto.
Enfin avant que je prenne la route pour réparer mon flexible, un jeune homme est arrivé
en bécane et tu l’as fait entrer.
J’avais compris que tu te prostitues.
- Vas-tu le dire à Karl ?
- C’est de sa faute si j’ai commencé et si maintenant je continue !
- C’est lui qui te prostitue, c’est un maquereau ?
- Non, il travaille comme ingénieur chez Framatome sur le site de Flamanville.
- Ils ont énormément de retard et de problème aussi il doit rester là-bas dans un
hôtel.
C’est quand je me suis retrouvée enceinte que je me suis retrouvée en situation.
- En situation ?
- Il refusait de me baiser ayant peur de faire mal aux bébés quand il a su qu’ils
étaient deux.
Pour moi, si je pouvais te faire voir, mon clitoris déjà assez développé a été ultra
sensible.
Je me masturbais jusqu’à ce qu’il m’ait fallu des mâles pour l’assouvir.

Je sortais dans les bars et je draguais tout ce qui se présentait.
C’est la plupart du temps dans leur voiture que je me donnais à eux.
Je dois te choquer !
- Nullement, il arrive souvent qu’une femme lors de sa grossesse ait un regain
d’appétits sexuels et si ton mari refusait de les assouvir, il est presque normal que tu
l’aies fait cocu.
De mon côté, aucun problème, Mathilde était stérile et froide au pieu, j’ai eu une
sexualité manquant de piment.
Alors comment en es-tu venue à te prosti ?
- J’ai rencontré un garçon Black, il était réunionnais.
- Il était agent immobilier et avait cette propriété dans son portefeuille de bien
à louer.
Nous y allions régulièrement et c’est là que je me suis fait mes premiers clients.
J’ai pu l’acheter et j’en suis propriétaire, car le fils à la mort de celle qui la
possédait voulait s’en séparer très rapidement.
50 000 € avec les frais pour 4 000 m2 et cette vieille maison, c’était tentant.
J’ai tout mis au nom de mes fils, ce sera une partie de leur héritage sans que mon mari
le sache, je fais tous envoyer les documents à cette adresse.
- J’ai vu entrer une femme rousse venue en moto, tu te prostitues avec des femmes.
- Je t’ai dit que tout est parti de mon clitoris, alors quand une femme me suce,
elles sont bien meilleures qu’un homme et je jouis trois fois plus.
Gladys me paye pour ça, pourquoi refuser.
J’ai de nombreux clients plus que de temps pour les satisfaire.
Je suis sollicitée, car je jouis avec eux.
Regarde la photo de ce jeune homme que tu as prise, c’était un puceau quand tu l’as
photographié, maintenant il doit se glorifier d’être un homme.
Je dois te dire aussi que si je continue c’est encore à cause de Karl.
Un jour l’un de ses copains lui a dit que tes voisins vendaient cette maison avec
piscine.
Sans savoir la réalité de nos finances, il est venu visiter et a signé un compromis de
vente.

Je lui avais fait croire que les après-midi, j’aidais une mémé et qu’elle me payait sans
que je sois déclarée.
Cet argent allait nous manquer, je lui ai caché et j’ai dû continuer à recevoir mes
clients.
Je vois que je te fais bander, c’est dur d’être seule.
Dommage qu’il y ait les s, j’aurais aimé te donner du plaisir pour compenser le
temps que tu as perdu.
Quels sont tes fantasmes, depuis que je reçois mes clients, je sais que chacun de vous en
a un.
- Je peux être franc !
- Surtout, j’aime les situations claires.
- Depuis que je suis marié, ma femme, la seule que j’ai eue, a toujours refusé de
me faire des fellations, j’en rêve.
- Ça, je pense que ce sera facile à réaliser.
- Changeons de sujet, tu m’as dit manqué de temps pour satisfaire tous tes clients
potentiels.
De ce côté-là, je peux peut-être t’aider.
- Comment ?
- Je peux les garder les mercredis après-midi et si tu veux comme hier, tu pourrais
recevoir plus longtemps, j’irais les chercher, je les ferais goûter et manger et en cas
de besoin je les coucherais.
- Ça m’intéresse, c’est de 5 à 7 que les hommes mariés trompent leur femme et comme
hier, les soirées partouzes très rémunératrices, je pourrais en faire.

Incroyable, je suis en train de proposer à cette jeune femme de se prosti un plus
grand nombre de fois.

- Les s, venez prendre votre bain, vous allez puer le chlore.

Les deux garçons bien élevés sortent de l’eau et leur maman s’étant levée les entraîne
vers la salle de bain.
Il y a cinq minutes qu’ils sont partis quand elle revient.

- Il trempe en jouant avec leur canard dans l’eau, ils adorent ça.
À nous !

Elle s’agenouille près de moi, tire sur mon caleçon de bain dégageant ma verge avant que
je puisse réagir.
Quelle bouche, elle commence par me lécher du haut de mon sexe qui bande instantanément.

Elle descend jusqu’à mes couilles avant de recommencer.
Je suis un peu gêné à cause de notre différence d’âge, mais rapidement j’oublie pour bien
regarder ce qu’elle me fait.
Sa main me masturbe et sa bouche fait entrer mon gland.
Millimètre par millimètre en me regardant dans les yeux, elle me fait entrer en elle.
C’est la première fois que je sens du liquide humidifier les parois de ma verge.
Mathilde quand je la baisais était sèche de la chatte seule endroit où j’avais le droit
d’entrer.

- Caresse-moi !
- Hors de question, si j’ai bien compris ton histoire ton clitoris, est la cause de
tout ce qu’il est arrivé.
Si nous baisions, j’aurais l’impression de tromper Karl, mon voisin et je tiens à avoir
de bonnes relations.
Je te rends service, tu me rends service seulement en me faisant des fellations.

Le soir dans mon lit, je repense à ce qui m’arrive.
Je suis satisfait de mon comportement.
Si j’avais baisé Kelly, j’aurais eu l’impression de profiter de la situation.
Le lendemain on sonne.
Je vais ouvrir.
C’est elle dans ses tenues sexy me faisant bander.

- Papy, je viens te demander un service si c’est possible.
J’ai beaucoup réfléchi après ce que tu m’as proposé.
Excuse pour papy, c’est Jules et Paul qui t’appellent comme cela.
- Quand mon Réunionnais m’a loué la maison que j’ai achetée, il a fait des travaux
dans la chambre où je reçois.
Il y a d’autres travaux dont le toit.
Je t’ai vu avant-hier nettoyer le tien et changer deux tuiles.
Sais-tu faire du gros bricolage ?
- Oui, quand j’étais jeune, les étés je travaillais chez un artisan maçon, il m’a
appris le métier.
- Si avec le surplus que je vais gagner, je te demandais de rénover ma maison
serais-tu partant.
- Oui, je dors peu, les matins, je fais mon jardin de 5 heures à 7 heures.
Je pourrais aller faire ton chantier après jusqu’à midi.
On a le temps.

Elle me caresse de sa main, fait descendre mon short et en quelques secondes ma queue se
retrouve une nouvelle fois dans sa bouche.
Son double de clefs en mains, je vais commencer ce matin.
Hier, je suis allé voir le travail qui est à ma portée.
Nous sommes passés à Casto faire un contrat pour le matériel que je récupérerais avec ma
remorque.
Ce qu’il y a de bien, c’est que je peux travailler les samedis et les dimanches sauf les
mercredis où je fais baby-sitter.
À part la chambre où elle tapine, elle vient rencontrer ses clients quand je suis
absent, ce qui évite de me mettre mal à l’aise.
Tout va bien jusqu’au dimanche suivant.
L’après-midi, je me repose sur la terrasse, quand j’entends un des s parler à son
père.

- Papa, c’est le papy d’à côté qui vient nous chercher à l’école et nous garde
jusqu’à ce que maman revienne de son travail.

Je suis figé, Karl va tout découvrir.

- Karl, mon chéri, j’allais t’en parler.
La mémé dont je m’occupe a de plus en plus de soucis surtout pour se déplacer et ce
coucher.
Elle m’a demandé de rester plus longtemps et même de venir les mercredis.
Ça va nous aider à payer notre pavillon.
J’ai rencontré papy, c’est comme ça que les garçons, l’appel.
Il m’a proposé ses services gratuitement, tu penses bien que j’ai accepté.
- Il faudra que je le remercie, tu en fais de trop pour notre famille, c’est pour
ça que je t’aime.

Perfide la gamine, elle sait avoir de la repartie, qu’il fait bon d’avoir changé de
voisine.

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