Chambre A Louer

Je m'appelle Jennifer et j’ai la quarantaine. Récemment veuve des suites d’une maladie redoutable, j’ai conservé ma maison, que j'aimais beaucoup, mais elle est un peu trop grande pour moi. 
Financièrement, je pouvais me permettre de la garder, mais je ne pouvais pas m’écarter au niveau des dépenses.
Je travaille à domicile, j'ai un salon de soins esthétiques au sous-sol, que j’ai aménagé. 
Je n’aimais pas l’idée d’avoir des employées pour augmenter mon chiffre d’affaire, j’avais peur que ça augmente surtout mes soucis. Je n'aimais pas l'idée d'avoir un locataire, je n’avais pas d’entrée séparée, et j’avais peur de la promiscuité.

Mais plus j'y réfléchissais, plus ça semblait être la solution la moins contraignante pour avoir un peu plus d’argent.
Je ne savais pas quel genre de locataire j’aimerais, je redoutais la présence d’une femme, fouineuse, mesquine, et je craignais la présence d’un homme auprès d’une femme seule et sans défense. 

Je n’avais pas la possibilité de le garder dans une zone séparée, et je ne voulais pas être confrontée aux assauts d’un mâle en rut. Il y avait une université à quelques kilomètres de chez moi et j'ai pensé que je pourrais placarder une affichette sur le panneau d’information à l'intérieur de l'école. 

J'avais pris quelques cours du soir il y a quelques années, des cours de peinture et de photographie, donc je connaissais la disposition des lieux. Le lendemain, j'ai écrit une petite annonce, que j'ai punaisé sur le panneau d’affichage. Je n'avais aucune idée du type de locataire que j’hébergerais, mais le cas échéant, je pourrais proposer le choix, soit juste la chambre, soit la demie-pension. 

Je suis bonne cuisinière et je pourrais gagner plus d'argent s'ils choisissaient cette option. J'avais mis mon numéro et mon mail sur le petit carton, je suis rentrée chez moi en me demandant si j'aurais un postulant.

Quelques heures plus tard, j'ai reçu un appel d'un jeune homme prénommé Kevin, qui m'a demandé s'il pouvait passer voir la chambre que j'avais à louer.

 J'ai répondu affirmativement, je ne sortais pas de la journée. Il m’a précisé qu'il passerait en début de soirée. 

Quand j’ai ouvert ma porte à ce mignon jeune blondinet, j’étais un peu étonnée qu’il paraisse si jeune pour un étudiant. Je lui ai demandé des preuves, s’il était majeur. En riant, il m’a montré son permis de conduire.

Il logeait encore chez ses parents, presque 1 heure de trajet dans un sens, autant dans l’autre, les grèves, les retards, il cherchait depuis la rentrée une meilleure organisation pour ne plus perdre son temps. 

Je lui ai fait visiter l'endroit, la chambre avec sa salle de bain attenante, il a dit que c'était vraiment charmant.
J'ai mentionné que je pouvais fournir les repas s'il préférait cette option plutôt qu'une simple chambre. 
Il a accepté, et nous avons discuté du prix. Une fois d’accord, il m’a demandé s'il pouvait emménager ce week-end. 

Le week-end, il est a apporté ses affaires avec ses parents. En s’installant, il m’a payé le premier mois d’avance, plus un mois de caution. Il m’a expliqué qu’il donnait des cours particuliers pour arrondir ses fins de mois, et m’a demandé si, exceptionnellement, il pouvait accueillir ses élèves ici. J’ai accepté.

C’était un jeune homme calme et discret, très soigné, ne faisant pas de dégâts, et semblant apprécier ma cuisine. 
Je lui ai demandé au début ses préférences et s’il avait des intolérances afin qu'il se sente comme chez lui. Il m'a indiqué ce qu’il aimait et ce qu’il n’aimait pas manger, mais il n’était pas difficile. Parfois, il s'asseyait avec moi dans le salon, pour discuter ou regarder la télévision. C'était sympa d'avoir quelqu'un à la maison, surtout si respectueux et si calme.

Ma chambre était au bout du couloir. Depuis que j’étais seule, j'avais l'habitude de me promener nue la plupart du temps. Maintenant que Kevin habitait chez moi, je gardais un peignoir près de la porte, au cas où …
Ma chambre avait aussi sa salle de bain attenante, donc je n'avais pas besoin de m'inquiéter outre mesure.


Une nuit, je me suis réveillée avec la bouche sèche, et j'ai eu envie de boire le thé glacé que j'avais préparé.
En retournant dans ma chambre, j'ai pu entendre un bruissement venant de la chambre de Kevin. 
La curiosité m’a poussée à m'approcher de sa porte. Elle était juste entrebâillée, alors j’ai jeté un coup d’œil à l'intérieur.

Seule la lueur de l'écran de l'ordinateur éclairait chichement la chambre. Kevin était assis, nu, la bite à la main.
Il se caressait en regardant un porno. J'étais surprise, un jeune homme si comme-il-faut. 
Je ne m'attendais pas à ça de lui. Moi qui commençait à avoir un petit béguin pour lui.

Il avait mis son casque sur les oreilles, par discrétion, mais, absorbé par sa vidéo, il gémissait doucement.
Le bruit que j’avais entendu c’était ses gémissements. Son sexe était de bonne taille, je suis restée pour le spectacle.
Pour un jeune homme aussi maigrichon, c’était plutôt étonnant de le voir si bien équipé.

Je l'ai regardé manipuler son sexe, en augmentant la cadence et en serrant les dents. Je ne voulais pas l’espionner, mais je ne pouvais partir, hypnotisée par le spectacle de ce jeune branlant sa grosse bite.
Il a gémit un peu plus fort, puis son sperme a jaillit du bout de son sexe et a coulé sur ses doigts. 

Il s’est essuyé avec des mouchoirs en papier et je me suis esquivée. Je suis retournée dans ma chambre toute excitée par ce que je venais de voir. Je n'avais pas pensé à moi ces derniers temps, trop occupée par des évènements plus ou moins agréables.
Mais là, tout ce que j'avais à faire était de fermer les yeux, et revivre la scène en imaginant une fin heureuse.

J'ai refermé ma porte silencieusement et j'ai enlevé ma robe. Je me suis allongée nue sur le lit dans l'obscurité.
Je savais trouver, à tâtons, mon vibrateur dans le tiroir de ma table de nuit. J'avais les pieds sur le lit, les genoux pliés, les cuisses écartées et j'ai commencé à masser lentement ma fente, laissant l'humidité qui suintait de ma chatte ardente lubrifier l’appareil.


Les lèvres de ma chatte s'ouvrirent de leur propre volonté et je pouvais sentir le petit bourgeon s’ériger sous mes doigts, tandis que je le caressais et le taquinais avec la vibration. 
J'ai commencé à soulever mes hanches pour faciliter la pénétration de l’appareil magique.

Je respirais lourdement en imaginant cette jeune bite glisser en moi, me remplir et s'épancher à l'intérieur de moi. 
À cet âge, les hommes sont excités tout le temps, et il pourrait me baiser souvent et longtemps. J'ai dû me mordre les lèvres pour ne pas crier en exultant. C’était très fort, parce que j’avais vu Kevin se masturber juste avant.

Je me suis endormie rapidement. Quand je me suis réveillée, j’étais toujours poisseuse.
J'ai pris une douche, et je suis descendue pour préparer un délicieux petit déjeuner pour Kevin. 
Même s’il n'avait aucune idée de la façon dont il avait agrémenté ma nuit, je tenais à le remercier.

Il est parti à l’université et je suis allée dans sa chambre pour récupérer son linge sale.
J'ai vu son ordinateur en veille, j'ai donc décidé de faire ma fouineuse en jetant un coup d’œil à son historique.
Je savais que c’était mal, mais cela rendait mon comportement de chipie d’autant plus agréable.

Presque tous les liens sur les sites pornographiques de son historique étaient axés mature, couguar, vieille avec jeune.
J’étais sidérée qu’il s’intéresse aux femmes mûres, il en avait une à portée de main, et il ne tentait rien.
De toute évidence, il avait pris ce logement dans l’espoir de vivre une aventure, mais il n’osait pas faire le premier pas, dans la crainte de se faire jeter dehors.

J'ai quitté sa chambre, songeuse. J’allais devoir orienter nos conversations, et je cogitais déjà à la meilleure stratégie.

Lorsque Kevin est rentré dans l’après-midi, je lui ai servi une collation, car l’heure du dîner était encore loin. 
Il s’est assis à la table de la cuisine, il avait l'air stressé, pensif, et parlait de vagues problèmes à l'université.

Je ne comprenais pas vraiment de quoi il me parlait, alors je lui ai demandé s'il aimerait un massage pour se détendre.

Il avait l'air surpris, je lui ai expliqué que j'étais kinésithéute, et que j'avais mon institut de soins au sous-sol.
Il le savait, je le lui avais montré quand il avait emménagé, mais il ne s’en rappelait plus.

Je n'avais pas de rendez-vous à cette heure-ci. 
Il a terminé son sandwich et je lui ai redemandé s'il voulait un massage, et il m'a suivie en bas.

Je lui ai demandé d'aller derrière le paravent, de retirer tous ses vêtements, de revenir avec une serviette enroulée autour de lui, puis de s’allonger sur la table. J'ai diminué les lumières et j’ai mis une musique relaxante.

Il avait l'air un peu gauche, je lui ai demandé si c’était sa première fois. Il a acquiescé, il était attendrissant, tout timide et inquiet de ce que j’allais lui faire, comme s'il se demandait dans quoi il s'embarquait, j'avais envie de rire.

Il était mince, mais pas maigre, musclé, avec des abdominaux et des biceps, il me plaisait beaucoup.

Il s'est allongé sur le ventre et j'ai réchauffé entre mes paumes des huiles de massage, que j'ai frotté sur son dos et ses épaules. Puis je l'ai massé fermement, répandant les huiles parfumées sur sa peau lisse et claire. 

J’avais envie de l'embrasser entre les omoplates, dans le cou, partout, mais je me suis retenue. 

Il se détendait progressivement et se laissait aller à mon contact, se relaxant en évacuant ses soucis.
Je travaillais sur ses jambes, pétrissant ses mollets et ses cuisses, et je me demandais si j'oserais retirer la serviette et lui masser les fesses. Je ne voulais pas l’effrayer en étant trop osée. Je devais rester très professionnelle.

Il s'est retourné et j'ai ensuite travaillé sur ses bras, ses pectoraux. Poser mes mains sur ses abdominaux était un régal. J'avais peu de client aussi jeune, et masser ce jeune garçon a été un moment fort agréable ! 
J'ai fini par les tempes, et en lui massant le cuir chevelu, je savais qu'il était parfaitement détendu. 
Quand j'en ai fini avec lui, je lui ai dit d’aller prendre une bonne douche chaude pendant que j’allais préparer le dîner.

Je suis retourné dans la cuisine préparer un bon dîner et j'entendais l'eau couler pendant qu'il se douchait. 
Je souriais en me demandant s'il se branlait sous la douche pendant que j'épluchais les patates. 

Il est redescendu un peu plus tard, beaucoup plus détendu que lorsqu'il était rentré à la maison.
Après dîner, il est allé étudier et j'ai regardé un film à la télévision. Kevin n'est pas redescendu ce soir-là, il est resté dans sa chambre. Je me demandais ce qu'il pensait de mes mains sur son jeune corps. 

Le lendemain matin, quand il est descendu pour le petit déjeuner, il m’a dit avoir passé une excellente nuit. Il m'a demandé si j'avais déjà massé beaucoup de gars de son âge.

J'ai dit non, que j'avais surtout des femmes de mon âge, rêveusement il a dit que ça devait être drôlement sympa.
En riant, je lui ai demandé pourquoi, et il m’a dit parce qu’il préférait les femmes plus âgées que lui.
J'ai souri et je lui ai demandé s'il avait déjà flirté avec une couguar. Il a rougi et n’a pas répondu à ma question.

Toute la journée, j’ai pensé à Kevin, si mignon, fin et délicat. Mais aussi à ses abdominaux en béton et à son gros sexe.
Je ne voulais pas être trop agressive, pour ne pas le mettre mal à l’aise, mais je voulais provoquer ses confidences.

Pendant plusieurs semaines, la situation n’a pas évolué, chacun attendant que l’autre fasse le premier pas. 
Puis un soir, il a frappé timidement à la porte de ma chambre. J'ai enfilé ma robe de chambre avant d’ouvrir ma porte.

Il se tenait là, juste avec son bas de pyjama, la tête penchée, et il se frottait le cou. 
Je lui ai demandé ce qui n'allait pas, et il m’a parlé d’un torticolis ou je ne sais quoi. 
"Pourrais-je regarder si je pouvais peut-être l'aider? Bien sûr, j'ai répondu, viens t'asseoir sur le bord de mon lit."

Je me suis agenouillée derrière lui et j'ai passé mes mains dans son cou.
J'ai pu réchauffé le muscle en le pétrissant et il m’a dit que cela lui faisait du bien. 
J'ai ri en pensant que je pouvais lui masser autre chose pour qu’il se sente beaucoup mieux. 

Il était si jeune, si beau, si délicat, j'ai commencé à masser ses épaules, son dos, son corps, sans aucun bénéfice pour son cou douloureux. Mon toucher est devenu plus sensuel, car je pensais qu'il ne serait pas venu à ma porte en pleine nuit s'il n’avait pas une arrière-pensée.

La respiration de Kevin s'alourdissait tandis que mes mains parcouraient son corps. 
Je me suis penchée sur lui pour l’embrasser dans le cou et j’ai pu voir l’érection qui tendait son pyjama. 
Je m’allongeais en arrière sur le lit, ma robe nouée lâchement exposant une partie de mes seins et mes tétons dressés. 

Il s’est retourné et m’a regardé, perplexe. J’ai tendu la main pour caresser sa poitrine.
Il s’est allongé contre moi et m'a embrassé ardemment, passionnément, éperdument langoureux.

Mes lèvres se sont ouvertes et j'ai senti sa langue prendre possession de ma bouche. Il était si fou, si sexy, je le désirais tellement. Je voulais ses mains sur moi, sa bite en moi. J'ai passé mes doigts dans ses cheveux fins pendant que nous nous embrassions. Je pouvais sentir sa bite pulser contre moi.

Comme s'il lisait dans mes pensées, il jeta son pyjama sur le sol, m’ôta ma robe et la laissa tomber sur le sol. 
Il se pencha sur moi pour jouer avec mes mamelons, les suçant, les mordillant, les palpant frénétiquement. 
Qu’il était beau, je regardais son doux visage tandis qu'il m'embrassait partout sur les seins et sur le ventre. 

J’ai replié mes jambes en écartant les cuisses, il a compris l’invitation, et sa bouche s’est emparée de ma chatte.
Ses pouces ont écartés mes lèvres et sa langue a parcouru ma fente avant que sa bouche accapare mon clitoris dressé. Il suçait et taquinait mon petit bouton d’amour d’une manière très douce et très agréable.

Je pouvais sentir que j'étais déjà prête grâce à l’humidité qui s’emparait de mon puits d’amour. Il est venu sur moi et il a glissé cette belle bite douce dans ma chatte. C'était si bon, j'attendais cet instant depuis trop longtemps et je savourais ce moment. Il s'est glissé jusqu'au fond de ma vulve, et j'ai eu mes bras et mes jambes enroulés autour de lui.

J’essayais désespérément de l’entraîner plus profondément en moi. À chaque poussée, il me rapprochait de plus en plus de l'orgasme. Je soulevais mes hanches en cadence pour répondre à ses poussées et je pour sentir son sexe heurter mon col. Pendant que Kevin me baisait, je pouvais sentir sa vitalité, son souffle et ses baisers dans mon cou.

Ses gémissements et les bruits de son plaisir étaient si agréables à mes oreilles. 
J'ai adoré sa façon de grogner et de gémir pendant qu'il me baisait.

Il ne m'a pas fallu longtemps pour être ravagée par un orgasme fulgurant. Ma chatte s’est contractée autour de sa bite, et cette contrainte l'a bientôt fait vider sa semence en moi. En sentant son sperme gicler, j’étais au paradis, j’aurais aimé que cela ne cesse jamais. Il a roulé à côté de moi et nous avons repris notre souffle en nous caressant tendrement. 

Nous avons échangé des mots d’amour pendant quelques instants, puis il m’a dit en riant qu'il était déjà prêt à recommencer. J'ai baissé les yeux et j’ai vu qu’il était déjà bien dressé.

Je me suis penchée sur lui et j'ai posé ma bouche sur sa bite frémissante, goûtant nos jus mélangés.
Il appuya sa main sur ma nuque pendant que je le suçais, m’aidant à le prendre profondément dans ma bouche. 
Sa respiration lourde et profonde, ses soupirs, m'excitaient tellement tandis que je le suçais, que j’ai commencé à me doigter la chatte.

J'ai gardé le contact visuel avec lui pendant que je le suçais, et c'était tellement intense et passionnant. J'avais le sentiment que le gentil jeune homme s’était transformé en vilain garçon, avec beaucoup d'endurance, et que j'allais passer une longue nuit de baise. Nous avons baisés comme des animaux en rut jusqu'à tard dans la nuit,

J’ai dormi une grande partie de la journée. J'étais très contente de ma nuit et je voulais beaucoup de plaisir sexuel.
J'ai pris ma douche et je suis descendue. Kevin était dans la cuisine en train de me préparer une collation.
Je suis allée vers lui et je l'ai embrassé amoureusement. Il a rougi et m’a demandé comment allait sa petite femme. 

Il voulait me demander quelque chose. Soudain, j’ai eu peur de son ton sérieux. J'avais peur qu'il me demande si nous pouvions simplement faire comme si la nuit dernière ne s'était jamais produite. Je lui ai demandé de me parler sans crainte. Il m’a demandé si nous pouvions partager la même chambre. Il voulait dormir avec moi tous les soirs après m’avoir baisée. Oh, j'étais tellement contente, j’ai dit : "Oui chéri, tu peux emménager dans ma chambre !"

Les changements furent merveilleux pour nous deux, je n'avais jamais été aussi satisfaite sexuellement, il me baisait plusieurs fois par jour. Non seulement, je n'avais jamais eu autant de relations sexuelles, mais j'étais heureuse avec lui, c'était un garçon doux et attentif, désireux de plaire et de faire plaisir. Nous baisions tout le temps, n’importe où, sous la douche, dans la cuisine, au sous-sol dans le salon des soins. Il était dressé tout le temps, et j'étais plus qu'heureuse de servir cette jeune bite aussi souvent qu'elle avait besoin de mes attentions. 

Je ne savais pas si Kevin pouvait envisager une relation à long terme avec une femme mûre, du double de son âge.
La fin de l’année universitaire approchant, j’hésitais à lui demander s’il souhaitait s’engager sur l’année suivante.
C’était un déchirement pour moi de savoir qu’il allait partir pour les vacances, et qu’il ne reviendrait peut-être plus.

Un jour, il m’a parlé de la fin de l'année universitaire, et il m’a dit qu'il avait postulé pour un emploi. Il voulait gagner de l'argent pour ses frais de scolarité, ici en ville, et me demandait s’il pouvait continuer de loger ici ? Dire que j'étais ravie est un euphémisme. Je sautais et je trépignais de joie. Je lui ai dit bien sûr qu'il le pouvait, qu'il pouvait rester aussi longtemps qu'il le voulait.

Je ne sais pas combien de temps les choses dureront entre nous, mais je veux en profiter le plus possible en espérant que cela durera longtemps. Il ne m'a pas encore dit que je t'aime, et je ne sais pas s'il le fera un jour, mais je vais essayer de ne pas le dire avant lui ...

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