La Chambre Noire

Justine 28 ans, 160 cm, 53 kg très jolie silhouette de jeune femme sportive et seine. Un visage aux yeux en amande, un petit nez coquin, une bouche aux lèvres bien dessinées, avec des cheveux très noirs coupés au carré. Sa poitrine 90 B et bien haute sur le torse, les jambes fines et musclées, surmontées d’une paire de fesses rebondies et bien rondes, qui attire le regard des hommes.
Arnaud 38 ans, 175 cm, 68 kg, lui aussi très sportif, musclé, un visage avenant et souriant, pas trop mal monté 15 cm par 4.
Ils sont toujours amoureux. Elle aime toujours, ses mains explorer son corps, son sexe la pénétrer, sentir son pubis frotter son pubis, sa langue la sonder, et ses baisers. Lui aime et ne se lasse pas de caresser ce corps à la peau douce et soyeuse.
Elle n’a jamais connu d’autres hommes que le sien, jamais embrassé, touché caressé un autre corps, et elle n’a pas envie d’aller voir ailleurs.
Ils ont 10 ans d’écart. Elle 28 lui 38, ils se sont connus il y a 10 ans, a une soirée, ou elle ne voulait pas aller mais sa meilleure amie, et ses parents l’avaient incité, prétextant qu’elle était trop sérieuse.
C’était au mois de juin il faisait beau, elle portait une petite robe sans manche, à plis, relativement courtes. Dessous elle avait juste un string. Elle aimait laisser sa poitrine nue, la sentir libre. Elle avait 18 ans et avait toujours refusé les avances des garçons, qui elle le, savait n’avaient qu’une envie c’était la sauter.
Lui ce soir-là il était venu avec ses 2 amis d’enfances, comme d’habitude. Ils sont inséparables depuis le cours préparatoire.
Tous les trois, brillants et sportifs. Ils ont fait comme on dit les 400 coups, tout en faisant des études, ils sont tous les 3 ingénieurs.
En arrivant ils ont flashé ensembles sur Justine, ils ont rivalisé gentiment, pour la conquérir.
Elle sait qu’ils avaient parié à celui qui réussirait à coucher le premier avec elle, chacun espérant pouvoir la sauter (être le premier ou le dernier ne les dérangeait pas, c’était la compétition qui les intéressait)
C’est Arnaud qui remporta la compétition, c’est à lui qu’elle donna son 06….

., dès le premier soir. Ce n’est qu’après 4 semaines, et une discussion avec sa meilleure amie, qu’elle accepta de se laisser séduire.
Elle savait qu’il avait vécu, mais elle se doutait que c’était le bon.
Avant de se donner complétement à lui, elle lui dit qu’elle était vierge, et complétement novice, que c’était son choix, mais qu’elle était prête à apprendre pour lui et par lui.
Il lui réplica qu’il n’y avait pas de problème, qu’il était là pour l’instruire, lui donner du plaisir et lui monter comment en donner à son partenaire.
Pour la première fois elle alla chez lui, ils se mirent nus, face à face assit sur le lit. Elle avait peur, elle était mal à l’aise nue devant un homme. Elle n’osait pas le regarder. Il commença par la caresser, le visage, le cou, les seins, le ventre. Il lui demanda de faire la même chose. Puis ils s’allongèrent, et il lui demanda de se caresser, pendant que lui se caressait. Il lui parlait doucement, lui disait qu’elle était belle. Ils se mirent sur le côté et tout en se masturbant, se firent des baisers. Il avait arrêté de se branler pour se serrer contre elle. Elle sentait son sexe bien raide contre son ventre. Son plaisir montait, elle avait rentré 2 doigts dans son vagin humide. Elle sentait la pression des mains de son amant sur ses fesses. Tout à coup elle se mis sur le dos, écarta les cuisses, et en le tirant sur elle
Justine : vas-y prends moi
Elle passa la main entre leurs corps, pris sa verge et la guida en elle. Il la laissait faire, à l’entrée, elle se frotta quelques instants le clitoris avec le gland accentuant son désir. Elle avança le bassin à sa rencontre, Arnaud fit de même. Elle le sentit glisser en elle, lentement, les yeux fermés. Elle ouvrit les yeux, il la regardait, le serra dans ses bras, ils s’embrassèrent, un long baiser langoureux, et il lui fit l’amour longtemps. Elle jouit doucement plusieurs fois. Quand il jouit elle senti sa semence gicler en elle, elle adora cette sensation Comme elle adorera un peu plus tard sentir son sperme dans sa bouche.

Elle pensait que faire l’amour c’était salle et dégradant pour la femme (films pornos) ou qu’après des années de vie commune le train de la vie quotidienne et la routine annihilait l’envie de sexe. Mais pour eux tout se passait toujours bien, il trouvait régulièrement de nouvelles idées pour pimenter leur vie amoureuse.
Au début de leur relation, les 2 amis, cherchèrent par tous les moyens à la mettre dans leur lit. Mais elle n’avait pas envie. Comme elle refusa les avances et propositions d’hommes qu’elle rencontrait pour son travail ou en sortie.
Or depuis quelques temps, la nouvelle envie d’Arnaud était de la voir faire l’amour avec un autre homme.
Arnaud : tu sais mon amour ce qui me ferait vraiment plaisir
Justine : oui mais non, je te l’ai déjà dit, je ne veux pas coucher avec un autre que toi et je ne comprends pas ton insistance. Tu ne serais pas jaloux de me voir les cuisses écartées entrain de gémir sous les assauts d’un autre homme
Arnaud : non si tu y prends du plaisir
Justine : non laisse tomber je ne veux pas
Arnaud : ok n’en parlons plus. Bisous ?
Et elle se jette dans ses bras
Depuis quelques temps il ne lui parle plus de son envie de la voir faire l’amour avec un autre homme. Elle en est soulagée, car elle ne veut vraiment pas le tromper, et en même temps elle ne veut pas lui faire de la peine et ne réalisant pas ses envies.
Ce soir il fait beau et chaud, ils se sont habillés en conséquence. Elle, une petite robe en jean, sans manche, courte un peu évaser, qui se ferme avec des pressions, par devant. Dessous juste une petite culotte blanche en coton, elle a laissé ses seins libres. En s’habillant comme ça elle se dit : comme il va vouloir me sauter, autant ne pas mettre trop d’obstacles, si ma robe n’était pas si courte je ne mettrais rien dessous. Lui, une chemise en lin et un bermuda, rien de plus. Et il a pensé, ce sera beaucoup plus simple pour qu’elle me suce, ou si je la saute.

Comme elle sait se faire attendre, elle sait que quand il va la voir, il ne va pas pouvoir s’empêcher de la toucher partout. Et c’est exactement ce qui se passe. Il est devant la résidence, Ils se rapprochent l’un de l’autre, en souriant, il l’a prend dans ses bras, passe ses mains partout, constate qu’elle est presque nue, tire sur le tissus, les pressions ne résistent pas la robe s’ouvre, il passe les mains à l’intérieur, et se colle contre elle
Justine (essayant de se rhabiller) : mais tu es fou tout le monde peut nous voir
Arnaud : oui je suis fou de toi, tu sens mon sexe, tu ne peux pas le laisser comme ça
Justine (se reculant tenant sa robe fermée) : ne soit pas si pressé tu sais que tu vas me baiser ce soir, alors soit patient, ça ne te fait pas de mal de ne pas avoir ton jouet trop rapidement, tu es un gâté.
Et elle monte précipitamment dans la voiture, le laissant sur place, faussement boudeur.
Pour l’exciter un peu plus, elle laisse sa robe remonter haut sur ces cuisses, elle sait qu’il la mate en coin. Les amis chez qui ils vont habitent à une trentaine de kilomètres. Ils ont rénové une vielle ferme, avec un grand jardin, super pour des soirées d’été entre amis. Une fois sur l’autoroute, Justine recule son siège au maximum, appuie ses pieds sur le tableau de bord, dégrafe le bas de sa robe, écarte les cuisses, et commence à se caresser doucement.
Arnaud : (un œil sur la route l’autre sur sa passagère) : qu’est-ce que tu fais ?
Justine : (avec un large sourire) tu ne veux pas me donner du plaisir alors je me le donne toute seule
Arnaud : faussement en colère) si tu fais ça, il va t’arriver des bricoles ce soir.
Justine (en enfonçant deux doigts dans sa chatte) si ça ne t’embête pas je me donne un acompte
Elle jouit juste avant d’arriver à la ferme.
Il lui laissa quelques secondes pour qu’elle se réajuste, puis main dans la main ils firent leur entrée.
Il y a déjà une vingtaine de personnes, il y a des jeunes et des moins jeunes, femmes et hommes.

La soirée est douce, tout le monde s’amuse, des hauts parleurs diffusent de la musique douce. Certains sont debout, d’autres sont assis près de la piscine. L’alcool, commence à faire ses effets, les voix s’élèvent, les gens rient plus fort. Une jeune femme se jette à l’eau en criant : qui m’aime me suive
Aussitôt suivie par un monsieur, qui la coince contre les marches, et l’embrasse à pleine bouche, avec les mains se baladant, sur tout le corps.
Les gens autours rigolent. Arnaud qui sort de la maison, s’approche de Justine, la prend par la taille et lui glisse à l’oreille.
Arnaud : tu es trop belle, j’ai envie de toi
Justine (avec un sourire coquin) : eh bien pas moi
Il la serre plus fort, une main sur les seins, et l’autre sous la jupe un doigt dans la raie.
Justine : tu ne vas pas me sauter ici devant tout le monde
Arnaud : j’en vois plus d’uns que ça ne dérangerait pas
Puis il la prend par la main, et l’emmène dans la maison. Ils montent à au 2eme étage, ou les combles ont été aménagées en salon, salle de jeu, sous les poutres de la charpente. Ils arrivent essoufflés, il la prend dans ses bras, l’embrasse, la bascule sur le billard.
Justine (se redressant d’un coup) : arrête on nous regarde
Arnaud (se tournant dans la direction indiquée) ou ?
Justine (montrant une ombre au-dessus d’une poutre) là regarde
Arnaud (s’approchant de l’endroit et éclatant de rire) : c’est un masque africain, qu’ils ont rapporté d’un de leur nombreux voyage, tu as peur d’masque ?
Justine (boudeuse) ne te moque pas, il est moche et quand je le vois il me fait peur, viens partons, allons faire l’amour dehors
Arnaud (sortant quelque chose de sa poche) non j’ai envie de toi ici, sur le billard, alors tu vas mettre ça, sur tes yeux et tu ne le verras plus.
Justine : mais c’est un masque de nuit
Arnaud (en attachant la masque) oui, laisses toi faire maintenant
Justine s’allonge sur le billard. Elle sent, sa robe s’ouvrir, des mains, la caresser, agripper l’élastique de sa culotte, et la tirer vers le bas. Les mains remontent sur ses jambes, évitent son sexe, effleurent son ventre, ses seins. Elle entend Arnaud bouger, il est passé de l’autre côté du billard, il lui tient les bras tendus.
Elle sent tout à coup une pression sur ses poignets
Justine : mais que fais-tu ? tu m’attaches ?
Arnaud : chut, ne parles pas, je veux juste entendre ton souffle et ton plaisir
Il est de nouveau, à la hauteur de son visage, il l’embrasse, la caresse, la regarde ce corps si beau, les jambes pendantes le bassin offert.
Elle ne dit plus rien, un peu inquiète, elle savoure le contact de ses doigts, et bientôt de sa langue sur son sexe. Une langue chaude, qui lui lèche le minou de haut en bas en appuyant. Une langue qui la pénètre, qui descend le long de sa raie jusqu’à son petit trou. Elle gémit, frissonne de plaisir. Puis deux doigts, la pénètre, et la lime fortement. Très vite elle jouit fort
Justine (reprenant son souffle) : merci vient que je te suce
La seule réponse qu’elle reçoit c’est : CHUT
Elle sent une main lui caresser le visage, deux doigts forcent sa bouche. Elle les lèche elle reconnait les doigts qui l’ont fait jouir.
La main se retire. Elle n’entend rien, puis Arnaud lui prend les chevilles, lui soulève les jambes brusquement, les pose sur ses épaules. Leurs sexes sont au même niveau. Elle devine le gland gonfler de plaisir à l’entrée de sa grotte humide. Et d’un coup sec sans ménagement le sexe rentre en elle jusqu’à la garde. Surprise,
Justine : eh !! fais doucement,
Mais Arnaud ne l’écoute pas, à grands coups de reins, il la pilonne, avec force et régularité
Justine après la surprise et l’étonnement commence par retrouver l’envie du plaisir, elle respire plus vite plus fort. Elle aimerait pouvoir changer de position.
Justine : détaches moi s’il te plait
Arnaud ne répond pas, il continue de la baiser, on entend le bruit de ses couilles qui tapent sur les fesse de sa maitresse.
Justine : (presque suppliante), allé enlève moi les menottes j’ai envie de changer de position, j’ai mal au bras.
Son plaisir monte, elle sent la jouissance qui arrive, dans le même temps, ses bars sont libérés. D’abord soulagée, elle s’étonne ? Arnaud qui est entrain de la baiser, ne peut pas l’avoir libéré de ses chaines
Justine (cherchant à descendre du billard) Arnaud il y a quelqu’un d’autre avec nous.
Silence, plus un bruit, Arnaud s’est arrêté , est retiré brusquement.

Justine (se mettant debout et voulant enlever son bandeau) Arnaud répond moi, nous sommes combien dans cette pièce. ?
Toujours dans le silence, elle se sent décoller, et recouchée sur le billard
Justine : (criant presque, au bord des larmes) Arnaud tu es ou ? qui sont ces autres personnes
Arnaud (a la hauteur de son visage) : n’ai pas peur, je suis là, tu vas adorer la suite laisses toi aller.
Justine (voulant se relever) non je ne suis pas d’accord, je ne veux pas baiser avec des inconnus, je veux partir.
Arnaud (la repoussant fermement) non tu ne peux pas, j’ai une dette de jeux que je ne peux pas honorer. Alors ils ont décidé de se payer sur toi
Justine : et si je refuse
Un homme : on vous fera du mal à tous les 2. Aller on a assez discuté. Et puis tu n’es plus vierge, et il y a 2 minutes, tu couinais sous mes coups de boutoir.
Elle se retrouve sur le billard entre deux hommes. Elle sent leurs sexes gonflés. Celui de derrière lui malaxe les seins. Celui de devant, cherche à l’embrasser.
Puis tout va très vite. Celui de derrière glisse sous elle, elle est sur le dos sur son ventre. Elle sent qu’il cherche la bite à la main, à la pénétrer. Il tâtonne, elle veut le guider vers son sexe, mais il refuse. Quand elle comprend, il est trop tard, il vient de glisser son gland entre ses fesses. Elle crie de douleur, veut se relever, mais par ce mouvement, elle s’empale un peu plus sur le pieu de chaire. Elle pleure, elle n’ose pas bouger, l’homme lui caresse les seins et l’embrasse dans le coup.
L’homme : ne pleure pas tu vas t’habi ma jolie, maintenant que le passage est fait.
Elle entend le second monter sur le billard, et directement, vient se positionner à l’entrée de sa vulve. Lentement elle sent un sexe énorme, qui la pénètre. Son intimité s’ouvre sous la pression. Elle a l’impression d’être écartelée. Elle attend le troisième qui se manifeste rapidement, ne présentant son sexe à sa bouche, qu’elle garde fermée. Un petite gifle la rappelle à l’ordre. Alors elle s’exécute. Une tige bien raide se faufile jusqu’à la gorge, sa bouche serre de vide couille.
Les trois hommes, bougent en même temps. Très vite celui qui la sodomise jouit, elle sent les jets de sperme sur la paroi de ses intestins. Il se retire laissant le champ libre, au gars très bien membré qui la lime. Elle a honte, mais se sexe énorme dans son ventre commence à faire effet. Elle sent son plaisir monter. Elle se mord les lèvres, pour ne pas gémir, mais très vite, son amant s’aperçoit qu’elle mouille.
L’homme : eh les gars elle mouille la salope
Et il y va encore plus fort. Elle ne se cache plus, elle gémit et crie plus son plaisir. Elle suce avec avidité la queue qui est dans sa bouche, qui bientôt éjacule un sperme chaud et épais. De plus en plus excitée, elle la nettoie entièrement. A la dernière goute, elle a un orgasme fulgurant, qui la laisse à moitié évanouie, dans un râle de plaisir, étendue sur le dos les bras en croix.
Il se retire précipitamment, et vient se poser sur ses lèvres, qu’elle ouvre machinalement. Il y glisse son gland et sans retenu, jouit à grands jets. Il y en a tellement, qu’elle est obligée d’en avaler une grade partie, le reste coulant de ses lèvres sur son menton.
Ils se servir de son corps une partie de la nuit. Elle ne croyait pas pouvoir jouir autant de fois en si peu de temps.
Ils l’a laissèrent, couverte de sperme, somnolente sur le billard.
Mais ce qu’elle vit, quand ils partaient, c’est Arnaud avec un large sourire, entrain de leurs errer les mains et recevoir, en échange de billets de banque.
Elle comprit à ce moment-là, qu’il ne leur devait rien. Mais que lui l’avait donnée.

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