La Sexualité Compulsive De Florence : Trois Mecs Pour Une Soirée Champagne. (Partie 8/ 15)

Pendant mon incartade à la station-service qui avait trainé en longueur, mon mari devait être inquiet. En effet, une petite demi-heure après nous avoir quitté devant la discothèque, Alex était à notre domicile, mit une bouteille de champagne au frais et prépara cinq flutes, ainsi que quelques biscuits et boudoirs, sans oublier la boite de préservatifs sur la table basse du salon. Cela faisait plus de trois quart d'heures qu’il était arrivé, il commençait à s'inquiéter et se posait des questions. Un accident ? Non, Flo aurait téléphoné. Il m'imaginait avec les trois mecs sans sa présence ou livrée sur le parking à une horde de mecs. Il avait honte de constater que cela le faisait bander. Par la fenêtre ouverte du salon, il scrutait la rue silencieuse. Il consulta son portable, aucun appel, aucun SMS.

Impatient et toujours aussi inquiet, il regagna une énième fois la fenêtre et entendit le moteur d'une voiture. Enfin ! il était rassuré, lorsqu’il reconnut le 4x4 de Luca qui se garait à une trentaine de mètres de notre immeuble. Les portières s'ouvrirent sur les occupants qui en sortaient. Quelle surprise, lorsqu’il me vit sur le trottoir d'en face, torse nu, les seins à l’air, tenant à la main mon sac et mon débardeur. Tous les quatre nous traversions la rue en riant, des sons de voix lui parvenaient aux oreilles, sans en comprendre la teneur.

Ne voulant pas réveiller le voisinage, nous étions montés au deuxième étage silencieusement. Arrivée dans l'appartement, je me jetai au cou de mon mari pour l’embrasser amoureusement, le remerciant de me permettre de vivre ces instants magiques, puis à haute voix, j’ajoutai :
— Oh mon chéri tu es exceptionnel, non seulement tu leur offres ta femme et en plus le champagne.
— Vous en avez mis du temps, je commençais à me faire un sang d’encre. Qu’avez-vous foutu ?

Luca répondit à ma place en tendant une bouteille de fines bulles qu’il tenait dans sa main également :
— Je ne voulais pas arriver les mains vides.

Nous avons fait un détour par l'aire de service sur l'autoroute.
Une fois installés tous les cinq dans notre salon, les coupes de champagne à la main, Luca prit la parole :
— Alexandre, il faut que je te dise, ta Florence… en fait c’est une vraie salope, laisse-moi te raconter.
— Non ! Dis-je. C’est à moi de le faire.

Je pris mon temps, je lui expliquai toute l’histoire dans les moindres détails afin qu’il comprenne pourquoi nous avions mis si longtemps et que j’étais arrivée seins nus. Alex était soufflé de mon audace et en même temps fier de mon petit exploit. Ma voix le fit revenir au parking où il m'imaginait encore accroupie en train de sucer les deux polonais et recevoir sur mon corps, le sperme de plusieurs inconnus en même temps. La conversation reprenait de plus belle entre les trois amis et mon homme, j’étais impatiente, j’étais très excitée et pas encore satisfaite :
— Bon les mecs, vous n'êtes pas venus pour discuter, faudrait que vous occupiez un peu de moi, j'espère que vous allez me combler. Dis-je d’un ton assez directif.

J’enlevai rapidement ma jupette et la jetai à l'autre bout de la pièce, puis, je vins m'asseoir sur les genoux de Julien, je ne l’avais pas encore embrassé, je lui roulai une pelle majestueuse, ensuite je passai sur les genoux des deux autres qui comme Julien ne se privèrent pas de me caresser la poitrine et les fesses. Luca, attrapa énergiquement mon sein et le colla sur sa flute de champagne au niveau de l'aréole, façon ventouse. Le pétillant noyant le téton tendu, il retourna la flute et aussitôt posa sa bouche et suça son mamelon érigé recouvert de champagne.

Imité par ses deux copains, julien noya mon clitoris de fines bulles avant de le sucer et Hugo sur mon autre sein. Je gloussais de plaisir sous ces caresses buccales. Les seuls bruits dans la pièce étaient mes soupirs et les bruits de sucions des trois hommes. Je n'avais eu aucun regard pour Alex jusqu'à présent, assis dans un fauteuil, appréciant la scène.
Il était tout heureux de contempler le quatuor en action, tout en dégustant sa coupe de champagne. Son sexe tendu était à l'étroit dans sa cache, la douleur était à la limite du supportable, néanmoins excité de voir mon plaisir. J’étais pressée d’être baisée, je voulais une queue, plutôt des queues et j’en avais trois à ma disposition, sans compter celle de mon mari. Je rompis le silence :
— Aller, donnez-moi vos bites à sucer, puis vous me prendrez.

Mon entrejambe était trempé, du champagne, de la salive et de la cyprine, ruisselaient à l’intérieur de mes cuisses, jusque dans ma raie. Je n’avais pas attendu plus longtemps, je me mis à genoux sur le tapis, les trois hommes autour de moi. J’en suçais un, tout en branlant les deux autres. J’y mettais tout son cœur, enfin ma bouche, mes mains et mon savoir-faire, alternant léchages, aspirations et gorges profondes. Les mains de mes « patients » guidaient ma tête pour rythmer la cadence entre leurs exclamations de satisfactions :
— Ho putain ! Qu'elle suce bien la petite salope. Elle me prend en entier ... Putain que c'est bon !

Dans ma position, je vis enfin mon mari, me regardant ainsi alternant trois queues dans ma bouche, Alexandre, n’avait pu résister. Il sortit sa bite et se caressait doucement, ne voulant pas provoquer son éjaculation prématurément. Luca fut le premier à revêtir le latex, il s'assit dans le canapé en m’invitant à le chevaucher. Impatiente d’être prise, je vins directement m'empaler lentement sur sa verge dressée, jusqu’à la garde.

Sa longue queue avait disparu, aspiré dans mon vagin, mon mari n'avait rien manqué de la pénétration, une bouffée de chaleur montait en lui, dans le creux de l'estomac, son cœur tambourinait dans sa poitrine. Julien et Hugo étaient passés derrière le dossier du canapé, offrant leur sexe à ma bouche gourmande, je jouis sous les coups de boutoirs et les allées et venues de Luca me soutenant sous les fesses en imprimant la cadence.


Je gémissais de bonheur, la bouche pleine du sexe de Julien, Luca se retira, je me mis à genoux sur le divan. Après avoir enfilé à son tour une capote, Hugo me prenait déjà en levrette façon hussard, à grands coups de reins puissants, me tenant par les hanches, il me labourait, tout en gardant le contrôle de son plaisir. Ce qui m’arracha de petits cris, j’accusais le coup, mais j’en voulais encore :
— Tu la sens bien ma bite te défoncer la chatte. Hein salope ?
— Oh que oui, prends-moi comme une chienne.

Tout en essayant de sucer les deux autres partenaires, tant bien que mal, mon corps se dandinait au rythme des poussée d’Hugo, j’étais son objet, sa poupée, je jouis une nouvelle fois en piaillant bruyamment. Avant le point de non-retour, il laissa sa place à Julien qui à son tour, glissa sa verge moins volumineuse que celles de ses copains, dans ma chatte inondée. Il alternait entre séries de pénétrations amples, lentes et profondes et plus rapides et plus violentes. Je mouillais abondamment, je prenais mon plaisir dans des petits clapotis. Julien cracha sur le petit anneau qui s'offrait à sa vue, introduit son pouce sans forcer, en le crochetant dans mon fondement. Il guidait la cadence de son bassin. Il recracha sur l'œillet, faisant tourner son pouce à l’intérieur, il saliva une dernière fois sur l'anneau ouvert, retira sa bite dégoulinante et perfora d'une traite mon anus dilaté. J’appréciai énormément ce moment que j’attendais :
— Oh oui ! Dans le cul, j’adore ça.

Me voyant me faire enculer, une nouvelle bouffée de chaleur traversa tout le corps d’Alex, il avait l’impression que son sexe durcissait encore, comme si cela était possible. Un autre que lui, sodomisait sa chérie. Il arrêta à temps de se masturber, il était au bord de l'éjaculation et ce n'était pas les propos crus tenus par le trio d’hommes et d’'entendre son amour leur dire : « Je suis votre pute faites-moi ce que vous voulez.
», qui allaient le faire débander et calmer son excitation.

À cet instant, Luca encore lui, s'allongea sur le tapis, m’invitant à venir sur lui. Il m’empala de sa verge dressée à la verticale pendant qu’Hugo se plaça au-dessus de nos deux corps et posa son gland sur la rosette béante et introduisit sa queue dans l'étroit fourreau avec un plaisir non feint. Je ne pus retenir un râle de plaisir, tout en regardant dans les yeux mon mari qui lit dans les miens et sur mon visage tout ma joie et ma satisfaction de me faire prendre en double pénétrations en lui murmurant du bout des lèvres :
— Merci mon amour !

Je n’en avais pas fini, Julien me tendait son chibre à sucer pendant Luca et Hugo arrivaient à coordonner leurs mouvements, l’un dans mon vagin et l’autre dans mon rectum. Je les sentais en moi, j’étais en extase, cependant je voulais qu’ils me prennent comme une chienne, je sortis la bite de Julien de ma bouche et je les encourageai :
— Encore ! Prenez-moi plus fort ! Leur dis-je avant d’avaler la bite de Julien qui tenait sa queue dans la main et ma tête dans l’autre.
Hugo et Luca venaient d’échanger leur place, je suçais et aspirais la verge de Julien qui exprima son plaisir :
— Oui ! Vas-y, suce-moi salope ! c’est bon !

Je fis un signe à Alex qui bandait comme un cerf, afin qu’il s’approche, il se mit à genoux à côté de moi, de ma main je pris son sexe et je le caressais amoureusement sans le masturber vraiment, comprenant qu’il était au bord de l’explosion.

Luca à lui seul, donnait la cadence, comme je leur avais imploré, ils me prenaient sauvagement. Tenant toujours la bite de mon homme juste dans ma main, mon pouce glissait sur son gland, deux de mes partenaires me pénétraient sans ménagement pendant que je suçais toujours Julien à fond, l'avalant en entier en recrachant un filet de bave puis je repris sa verge en gorge profonde plusieurs fois de suite, pendant qu’il me baisait la bouche, il malaxait mes seins, triturait et vrillait mes tétons. Mon bonheur était à son comble, trois queues dans mes trois trous, j’étais aux anges.

Mon orgasme fut démentiel aussi bien physique que cérébral, je jouis encore plus fort que les fois précédentes. Le trio me laissa quelques secondes de répit avant de reprendre leur chevauchée. Julien fut le premier à se vider de tout son sperme, je sentis ce liquide chaud se déverser en plusieurs jets dans ma bouche accompagné d'un :
— Tiens prends ça salope ! T’es super.

Je me remettais lentement de mon orgasme en buvant le jus de Julien, puis quelques va et viens dans mon ventre, suffirent à mes deux cavaliers, à rendre leurs armes simultanément. Ils se retirèrent lentement de mon anus et de ma vulve avant que je m'affale à plat dos sur le tapis. Agenouillés à côté de moi, Luca et Hugo enlevèrent leur capote et se finirent en se masturbant. Je reçus de nombreuses salves de semence sur ma poitrine et sur mon ventre, tout en s’exclamant :
— T’es qu’une pute Flo ! Tu aimes te faire tringler comme une sale chienne. T’es trop bonne…
— Ouais ! Une vraie salope comme on les aime.

Avec les propos tenus par mes amants, je compris que plus j’étais humiliée, plus mon orgasme était puissant. Je vins me blottir contre Alex dans le fauteuil, je passai mes bras autour de son cou et déposa de petits baisers sur tout son visage. Pendant ce temps, les trois copains, les couilles vides se rhabillaient. Nous nous retrouvions comme au départ sur le canapé, en prenant une nouvelle coupe de champagne et en discutant de choses et d’autres comme si rien ne s’était passé. Puis les trois amis prirent congés, en nous remerciant de les avoir reçus de si belle manière.

Toujours nue, je les embrassai en soudant mes lèvres aux leurs, sachant que nous nous reverrions sans doute pour une autre partie intense. Nous retrouvant seuls, j’enlaçai et embrassai amoureusement Alex, le remerciant de m’avoir permis de vivre de tels moments et en lui demandant de lui faire l'amour à son tour. En fait ce fut moi qui, tout en douceur, de mes mains, de ma bouche, donnais le tempo de notre union. Après un formidable 69, il prit possession de ma chatte, s'activant en de longs allers retours, je l'inondai de ma mouille et seulement au bout de quelques minutes, il éclaboussa l’intérieur de mon intimité, de ses puissants jets chauds et visqueux.

Nous reprenions nos esprits lentement, allongés sur le canapé, je lui demandai :
— Tu n'as pas trop souffert de me voir me donner à ces trois hommes, je ne veux pas que tu sois malheureux.
— Rassure-toi, ma chérie, c'est vrai, j'ai eu des sentiments contradictoires, de la jalousie c'est sûr, de te voir jouir dans les bras de ces hommes, mais bien plus de plaisir et une très grande excitation, je ne sais pas décrire cet état de bien-être.
— J'ai peur que tu me prennes pour une salope, d'avoir voulu me faire baiser par ces trois mecs et surtout d'en jouir.
— N'aies aucune craintes, ma chérie, je suis le plus heureux des hommes quand je te vois prendre du plaisir. Tu es si belle dans ces moments d'extases jouissif. Pour moi tu ne seras jamais assez salope.
— Alors tu aimes quand je me transforme en chienne en chaleur, jamais repue de sexe ?
— Tu n'imagines pas à quel point j'adore te voir ainsi. Comme je bande quand je te sais dans une tenue qui te dévoile, quand je vois des hommes envieux en te croisant, oui mon amour je te veux bien plus salope, encore plus chienne.
— Oh ! Mon chéri mais tu rebandes à nouveaux, viens que je te soulage.
— Flo non, tu as vu l'heure ? Il est, presque 6 heures, allons dormir, je te promets un réveil diaboliquement chaud, je te ferai rendre grâce.
En effet, le réveil vers 11 heure du matin le fut, durant presque une heure, nous nous sommes aimés sans modération, jusqu’à la prochaine expérience que je vous dévoilerai prochainement.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

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