Culbutée

Comment ai-je pu être aussi naïve et bafouée, surtout par un jeune homme à peine adulte ? 
Ce que je suis sur le point de vous révéler n'est connu que de nous deux, mais je crains maintenant que cela puisse se propager à nombre de jeunes oreilles mâles du quartier. Je n'arrive pas à croire à ce scénario rocambolesque.
Je dois avertir toutes les femmes. Ne sous-estimez jamais la duplicité du sexe opposé.

Ma journée avait débutée normalement. Les garçons partis à l'école, j'avais toute la journée pour faire quelques courses et ranger la maison. Les grandes vacances approchaient, je savourais la liberté tranquille qui précède la tempête.
Ne vous méprenez pas, j’adore mes garçons. C’est le plus beau cadeau de ma vie, avec mon mari Robert. 
Et c'est aussi pourquoi je me sens si stupide. Stupide parce que j'ai risqué tout ce qui compte pour moi. 

Je n'ai jamais voulu, désiré ou prévu qu’une telle frivolité se produise. Et ce n’est pas une excuse, mais un avertissement à toutes les femmes. C'était comme poser le pied sur une pente verglacée, en estimant possible de se reprendre. 
J'ai perdu le contrôle de la situation, et je n'ai rien pu arrêter.

J'ai débuté ma journée par un coup de fil rapide à Robert. Je l'appelle toujours pour lui dire que je l'aime.
"Hello, chéri, tout va bien ?"
"Ça va, mais je n'ai pas beaucoup de temps pour discuter."
"Tu vas devoir travailler tard ?"
"Ouais, la date limite pour le bilan approche vite, et il me reste des tonnes de travail."
"Je suis désolée pour toi, essaie de ne pas te stresser."
"Ce n’est pas facile, bébé !"
"Ce soir, quand tu rentreras à la maison, je trouverai le moyen de te soulager d'une manière ou d'une autre ..."
"Hum, j’espère bien. Je me sens déjà moins stressé."
"Si tu as besoin de décompresser, regarde ces photos de moi que tu avais prises l'été dernier. C'est ce qui t'attend ce soir à la maison !"
"OK ! Mais je dois m’y remettre, le travail ne se fera pas tout seul.

Souviens-toi que j’ai chargé Brandon de travailler sur l'extérieur de la maison aujourd'hui, et tu devras le payer quand il aura terminé."
"Je ne vais pas rester toute la journée à la maison, je dois faire des courses !"
"Avec tout ce qu’on a prévu, il sera encore là quand tu rentreras."
"D'accord, ne te fais pas de soucis, je vais m'occuper de tout."
"Merci, bébé, je te laisse, je t'aime."
"Je t'aime aussi, mon chéri."

J'ai raccroché le téléphone avec mon esprit accaparé par la chaude soirée promise à mon mari. Ce ne sera sûrement pas une nuit romantique, mais plutôt une passion animale brutale. Je sais de quoi il a besoin pour évacuer son stress. 
Il a juste besoin de me baiser comme une fille de mauvaise vie.

Certaines femmes se sentiraient insultées par de tels comportements. Moi pas, j’aime être dominée.
J'adore l’enfiévrer, sa baise féroce me fait chavirer. Après tout, je suis une femme avec des besoins et des désirs.

Je sursautais en émergeant de mes fantasmes sur la soirée promise. J’aurais le temps, plus tard, mais maintenant j'avais mille choses à faire. Une douche rapide, un maquillage léger, et en route.

L'eau chaude me relaxait, mais ne pouvait empêcher mon esprit de vagabonder. L’image de Robert me chevauchant sur le lit. J'aime être dominée et jouer la femme soumise embrochée par son mari.

Oui, je suis une femme qui aime le sexe, mais uniquement avec mon homme, le père de mes s. Quand Robert rentre à la maison, fatigué par son travail, je suis toute disposée à lui servir de repos du guerrier. J'en tire beaucoup de satisfaction, et je ne peux pas comprendre ces pimbêches qui font languir leur homme pour obtenir un câlin.

En sortant de la douche, je m’admirais dans le miroir en me frictionnant de crème. À bientôt 40 ans, je suis pas mal. 
Je n’ai jamais été un mannequin ultra mince, mes courbes pulpeuses rendent ma féminité plus sexy, c’est ce que les hommes apprécient.
 Je les vois me dévisager, me héler quand je marche dans la rue. Je suis heureuse de mes formes.

Je ne suis pas inhibée, et je peux faire des choses coquettes et audacieuses comme laisser Robert me photographier avec son smartphone. Je n'oublierai jamais l'excitation que j'ai ressentie quand il a pris ces photos de moi sur notre lieu de vacances. J’avais pris la pause sans aucune pudeur, trop heureuse de faire plaisir à mon homme.

Parfois, cela m'inquiète, ces photos pourraient tomber entre des mains malveillantes, mais même cette éventualité m’excite. Je crois que c’est de me sentir désirée qui me fait chavirer.

Je me suis dirigée vers ma chambre pour m'habiller. Ce n’est qu’arrivée au milieu de ma chambre que je me suis aperçue d’un détail gênant. Brandon, perché sur une échelle, travaillait sur la fenêtre de la chambre. J’étais entièrement nue, et j’ai bien vu ses yeux écarquillés qui m’examinaient en détail.

Je ne sais pas qui était le plus surpris des deux. Je cherchais quelque chose pour me couvrir. J'ai attrapé l'objet le plus proche, un petit oreiller décoratif sur le lit. Je ne pouvais pas trouver quelque chose de plus inadéquat pour me couvrir.
J'aurais donné ma vie pour une robe. Avec un bras couvrant ma poitrine et l'autre main pressant le petit oreiller sur mon pubis, j’ai regardé l’échelle basculer lentement sur le côté, et Brandon se raccrocher comme il le pouvait à l’appui de la fenêtre.

Effrayé, surpris autant que moi par cet évènement inattendu, ce jeune homme d’à peine 19 ans était en train de risquer sa vie par ma faute. Je mets beaucoup plus de temps à vous raconter cette succession de péripéties, qu’il ne s’est déroulé de temps en réalité. Que pouvais-je faire ? Le laisser se rompre le cou sur le sol dallé de la cour ? Ou voler à son secours ? Je m’imaginais mal racontant nos mésaventures, à ses parents !

J’ai tout laissé tomber et je me suis précipitée, ouvert la fenêtre, et agrippé son bras.
Mais il était plus lourd que prévu.
J’ai dû poser mes deux pieds contre le mur pour l’aider à se hisser dans la pièce et tirer de toutes mes forces pour l’aider. Lorsque l’opération a réussi, je suis tombée sur le dos, sur le sol, et Brandon m’est tombé dessus, épuisé.

Quel spectacle cela aurait été si l'un de mes voisins s'était tenu à sa fenêtre. J'étais maintenant allongée sur le sol, avec ce garçon emmêlé dans mes jambes. Il scrutait de nouveau mon corps, et je n’avais rien à proximité pour me couvrir.
Bien qu'il ait été secoué par toute cette épreuve, ses pulsions sexuelles de jeune homme reprenaient le dessus. 

Je me suis dégagée en toute hâte pour m’enfuir vers la salle de bain. Mais, en sortant, j’ai marqué un temps d’arrêt sur le pas de la porte. Pourquoi ? Je ne sais pas. C’est un mystère pour moi, même maintenant, mais je pense que c'était dû à mes pensées coquines de ma soirée promise à Robert.

J’ai croisé son regard. Je ne suis ni belle ni laide, comme je vous l’ai dit, mais ce regard… Un regard émerveillé, plein de convoitise, de désir et d’admiration. Je me suis sentie belle dans ses yeux. Je n’étais pas mortifiée par ce regard qui me scrutait, j’étais émoustillée, séduite, conquise.

Il avait eu tout le temps de me scruter de près en me tombant dessus, mais il ne s’en lassait pas. Pourquoi ne pas lui donner un aperçu de l’ensemble et m’amuser en le chauffant un peu. Je suis à l’aise avec mon corps et cela ne me dérangeait pas que ce garçon m’admire un peu. J'ai mis mes mains sur mes hanches, adoptant une attitude délibérément provocante, pour lui permettre une vue dégagée.

Ses yeux étaient fixés sur ma chatte. Assis sur le sol à 2 mètres de moi, il avait une vue dégagée sur mon entrecuisse. 
Je n'avais jamais été aussi vulnérable et exposée devant un autre homme et cette idée était très sensuelle.
C'était monstrueux et intimidant, mais en même temps, une énorme jouissance, une volupté lascive.


Je me retournais lentement, lui donnant un aperçu de mon cul rond, avant de me diriger vers la salle de bain.
Je l'ai entendu dire, lorsque j'étais sur le point de disparaître : "Je suis vraiment désolé, Mme Millet."
Pensant que c'était gentil de sa part de s'excuser pour quelque chose qui n'était pas vraiment de sa faute, je me suis retournée pour lui dire que c'était juste un simple malentendu.

La surprise m’a cloué le bec. Il ne s'excusait pas pour son intrusion passée, mais plutôt pour ce qu'il entreprenait. 
Il était en train de baisser son jeans, exposant une érection agressive à travers son boxer.

"Oh mais … Mais, qu'est-ce que tu fous, Brandon ?"
"Je suis désolé, mais ça ne m'arrive pas tous les jours. Tu es si belle. Tu voulais me taquiner ? Reste là, laisse-moi te regarder. Fais ta coquine et laisse-moi me branler en te regardant !"
J'étais pétrifiée. Il avait décelé mon plaisir de me montrer. J’étais déjà stimulée par l'érotisme de la situation. 

Je me suis mordue la lèvre en voulant lui crier de cesser immédiatement cette comédie. Je connais Brandon et sa famille depuis des années, qu'est-ce que je suis ? Je ne suis pas la salope du quartier qui allume tous les gamins.

Mais mes yeux étaient intrigués par le gros renflement qu'il arborait. Je suppose qu'il a pris mon regard sur son membre pour un consentement. Parce qu'avant que je puisse l’en dissuader, il avait ôté son boxer. 

Je ne pouvais plus détourner mon regard lorsqu'il commença à manipuler un membre étonnamment volumineux. J’avais mon refus sur le bout de ma langue, mais j’ai été captivée par ce qu’il me montrait. Brandon à 19 ans était extrêmement bien formé. Il était mince et musclé, et je n'avais jamais deviné, sous ses vêtements amples, quel "homme" il était. 

Je n'avais jamais vu une telle lubricité animale se manifester auparavant, et j'étais à l'origine de tout cela.
Le fait de mélanger les pratiques normales de la vie et l'érotisme, qui ne mélangent généralement jamais, était pour moi un puissant aphrodisiaque. J'ai senti mon corps frémir d’envie en le regardant se masturber. 

Ses yeux étaient partout sur moi et je regardais sa poigne serrée autour de son membre. Je savais à quoi il pensait, sur quoi il fantasmait. Je me suis demandée s'il s'était déjà branlé en pensant à moi auparavant. M’imaginant nue, offerte ... Plus de questions pour lui. Il avait maintenant une image claire. Pour toujours. La même image claire que Robert avait dans son smartphone.

Pendant une fraction de seconde, je suis revenue à la réalité. Dans quoi m’étais-je embarquée ? Il se masturbe devant moi. Comment pourrais-je lui faire face ensuite ? Le croiser dans le quartier ? Son petit sourire ironique pour me rappeler notre secret. Allait-il revenir ici tout le temps pour se branler devant moi ?
Discutant avec Robert, mon mari, en pensant : "Hé, mon pote, j'ai vu ta femme à poil !"

On pourrait croire que ces pensées m'auraient réveillée, me faire crier stop, et le renvoyer chez lui en me réfugiant dans la protection de ma salle de bain. Même si cette idée me terrifiait, cela a eut l'effet inverse, et ingénument, je me suis rapprochée pour qu'il me voit mieux. Peut-être mon ego, ou ma volonté de ne pas tricher, de l’aider à se branler en étant son fantasme momentané. C'était vrai, mais je voulais surtout le regarder œuvrer de près.

Ce n'était pas quelque chose que je voyais fréquemment, et je voulais profiter de l'expérience. Je voulais voir le jeune Brandon, qui tond sa pelouse torse nu, éjaculer sur le sol de ma chambre. Je voulais entendre ses halètements et ses grognements lorsqu'il jaillira, sachant que c'était moi la cause de ce déferlement de semence. Je voulais le regarder autant qu'il voulait me regarder.

Je me suis rapprochée lentement pour lui offrir une meilleure vue de mon corps. Je distinguais de mieux en mieux les détails de ce membre fantastique, je voyais les veines de sa bite gonfler sous l’effort. Le gland violacé semblait souffrir sous la prise serrée qu'il utilisait. Je n'avais jamais imaginé la masturbation masculine comme un acte sexuel aussi brutal que celui-ci. Il pompait furieusement en me regardant. Déplaçant son regard de ma chatte à mes mamelons. 

À chaque pulsion, j’étais totalement captivée par ce geste mécanique. J'étais sûre que ce n'était pas la première fois qu'il se masturbait, mais j'étais tout aussi convaincue qu'il n'avait jamais fait ça en présence d'une femme nue.

J’ai perdu toute retenue et j’ai crié : "STOP" Il a eu un regard déçu vers mon visage.

"Avant d’aller plus loin, nous devons régler deux choses. Premièrement, je suis mariée et ça doit rester secret. Tu ne pourras jamais en parler, à personne, pas même à tes potes. C'est quelque chose que je n'ai jamais fait et que je ne referai jamais. Suis-je assez claire ?"

Il hocha vigoureusement la tête, ravi et excité que l’entrevue ne soit pas terminée.

"Deuxièmement, c'est la seule et unique fois que cela se produira. Après cela, nous redeviendrons des voisins. Pas de seconde rencontre et jamais un mot, à personne, tu jures ?"

Un hochement de tête fut tout ce que j'ai obtenu. Il passa son t-shirt trempé de sueur par-dessus sa tête.
"Comment veux-tu me voir ?" J'ai demandé, anxieuse, en réalisant ce à quoi je venais de m'engager.

Il n’était pas sûr de savoir comment répondre, mais ses yeux se dirigèrent vers le lit. Le lit conjugal, celui dans lequel Robert, mon mari, m’avait prise tant de fois. D'une manière incompréhensible, cet avilissement m’excitait encore plus.
Je tremblais maintenant en m'installant nue sur le lit devant lui. Ma nervosité était palpable.

Oui, Robert et moi avions déjà fait des choses assez délicates, mais c'était un tout nouveau domaine que je n'avais jamais exploré. Ce n'était pas seulement passionnant, mais terrifiant. Je me suis allongée nerveusement en écartant mes cuisses pour lui. Exposer davantage ma chatte pour lui plaire, en me soumettant à son désir.

J'étais moite, la chatte douloureuse de désir, et je craignais qu'il se rende compte de mon émoi et de mon trouble.
C'était bien plus qu'une simple faveur pour lui. Réalisant que cacher mon exaltation était futile, j’ai décidé de l'intensifier en me donnant en spectacle. J'ai attrapé mon sein et j'ai commencé à tirer sur mon mamelon. J'ai tortillé mes hanches en le regardant dans les yeux avec mon regard de salope le plus provocateur que je pouvais lui donner. 

Son approbation se révéla au travers de ses gémissements, et je commençais à panteler. J'ai fermé les yeux en réalisant soudainement la force érotique de tout cela. J'ai pensé à Robert, au travail, pendant que sa femme servait de motivation masturbatoire au gamin qu’il avait embauché pour faire l’entretien des volets roulants.

J'ai rouvert les yeux et j'ai vu que Brandon s'était rapproché. Il était maintenant tout près du lit. Cela me rendait nerveuse de l'avoir si près de moi. J’avais peur qu’il balance sa sauce sur moi. Je lui lançais un regard noir, un regard qui lui disait clairement qu’il était assez proche. Je voulais être celle qui contrôlait la situation. Ses yeux m'ont dit qu'il acceptait et je me suis détendue.

Peu de temps après, son regard a changé. Il avait ce regard qu’ont les hommes quand ils sont sur le point de jouir.
Il était évident qu'il était assez proche pour m’arroser avec son sperme. Il savait que j'étais consciente de ce fait car il m’a demandé : "Je veux jouir sur toi. S'il te plaît, je veux jouir pour toi."

Sa question était audacieuse, mais pas plus audacieuse que de demander s'il pouvait se masturber devant moi. Prise au dépourvu, mais tellement excitée par cette façon de poser sa question. Il était si proche, j’avais un tel désir de le voir projeter son sperme. La pensée qu'il le fasse sur moi m'a donné une telle impulsion entre les jambes. 

Je le voulais partout sur moi alors j'ai relevé mes genoux en m’écartant au maximum, pour le faire venir :
"Très bien, Brandon, tu peux me tirer dessus. Allez, viens sur moi, jouis sur moi, tire-moi dessus !"
Je l'ai incité à me traiter comme une pétasse en fixant l’extrémité de sa bite, espérant la douche crémeuse sur moi.

Ses yeux m’ont tout dit. Il était sur le point d’éjaculer et il a pointé sa bite vers moi pour me souiller. Ses mâchoires se crispèrent et il se balançait d'avant en arrière. J’ai fermé les yeux en craignant que le premier jet m’aveugle.
Quand il m’a vue avec les pattes écartées et les yeux fermés, il a immédiatement saisi l’opportunité.

Au lieu d'un jet chaud de sperme sur moi, j'ai ressenti une profonde poussée en moi. J'ai hurlé. Je ne sais pas si c'était la douleur de la pénétration sauvage, ou la surprise, ou l’extase d’être clouée par sa grosse bite. J'ai rouvert les yeux, Brandon me baisait à couilles rabattues. J'étais suffoquée par la hardiesse et la rouerie de ce gamin.

Il me regardait avec un sourire de triomphe et a commencé à me baiser aussi fort qu’il le pouvait. Oh merde, que s’est-il passé, comment ai-je pu me laisser berner ? Dans mon lit conjugal, un gars était en train de me baiser, et ce n'était pas mon mari. Jamais je n’aurais pu imaginer qu’un jeune homme inexpérimenté arriverait à se jouer de moi aisément.

Le résultat, me voici avec la bite d'un homme en moi, et ma chatte trouve cette assaut très agréable.
Mon corps se balançait sous l’effet des poussées rageuses de Brandon. Il a lu sur mon visage le choc, la surprise, et maintenant le plaisir. Mon regard qui lui disait vas-y, mec, baise-moi, baise-moi fort, j’aime ça !

Il était en moi et il me baisait. Je n'avais aucune excuse, ni pour Robert, ni pour quiconque. Il me baisait comme j'aimais être baisée, en femelle soumise. Inutile d’essayer de l'arrêter, d'ailleurs je n'ai rien tenté. Au contraire, je l’ai encouragé à être plus énergique par mes cris, mes gémissements, mes plaintes.

Plus aucune crainte en moi, juste le plaisir d’être clouée par cette énorme bite qui a pris possession de moi. Je sais ce qu’il ressent en moi. Je le lis dans ses yeux, ce regard sauvage du gars qui sait qu’il a gagné la partie, que la femme sous lui apprécie sa bite. Mon mari Robert a le même regard quand il me baise, et j’adore ça.

Il n'y a aucun retour en arrière, aucun arrêt, nous sommes complices. À chaque poussée, je m’approche de plus en plus d’un orgasme monstrueux. Il est plus fort que Robert, la différence est évidente. Il bouge bien et me baise bien à fond.

Mes remords envers Robert se sont effacés. À ce moment-là, je ne me serais même pas arrêtée s'il apparaissait sur le pas de la porte. J'adorais tout ce qu’il me faisait, ses coups puissants et profonds, même si je me sentais exploitée. Je l'aurais ramené en moi, et je l'aurais supplier de continuer, s'il essayait de s’échapper.

Je me suis cramponnée à ses épaules musclées et je l'ai encouragé: "Allez, vas-y, baise-moi, baise-moi plus fort !"
J'ai synchronisé mes poussées avec les siennes, et j'ai soulevé mes genoux un peu plus haut, lui permettant d’enterrer sa grosse bite entièrement en moi.

Il m’a baisée si fort et si longtemps, qu'il est devenu clair pour moi, même dans mon délire d’orgasmes multiples, que son attitude précédente, l’impression d’être au bord de la jouissance, était une ruse. Une tromperie pour m'amener ici. 
Une astuce pour que j’écarte mes cuisses. Je me suis demandée si la chute de l'échelle était vraiment un accident, et qu’est-ce qu’il foutait à cette fenêtre quand je sortais de la salle de bain.

Mes mouvements et mes soupirs n’ont pas ralenti, même lorsque tout devenait clair pour moi. Il voulait m’amener ici, sur le dos, et me baiser comme une pétasse. Il m'avait totalement flouée et séduite. Je l'avais sous-estimé, il avait gagné. 
Il n'était pas près d'en finir avec moi. Même si cela m'a vexée, cela n'a diminué mon envie.

Je ne souhaitais qu’une chose, qu'il continue de me baiser. C'était si bon, même si c'était si mal. 

Oui, j'étais une femme mariée infidèle. Une salope, une traînée. Même après tout cela, si je ne me faisais pas choper, je redeviendrai l’épouse modèle que j'ai toujours été. 
Mais pour l'instant, je savourais la grosse bite que cet arnaqueur percutait en moi.
Bien qu'il ait eu le meilleur de moi, je n’étais pas perdante. Je prenais un pied d’enfer.

J'ai crié encore une fois d'extase, puis de nouveau mon esprit est revenu vers sa préoccupation du moment :

"Baise-moi, Brandon, puisque c'était ce que tu avais programmé depuis le début. Tu m'as trompée, tu t’es joué de moi, tu voulais me baiser, alors baise-moi, fais en sorte que ça compte pour toi, parce que tu n'auras plus jamais ça."

Il me fit un sourire hautain, confirmant que tout ce dont je l'accusais était vrai. Il baisait LA femme qu’il n'aurait jamais imaginé possible de baiser. Il en rêvait depuis longtemps, en se branlant le soir, en pensant à elle. Il lui avait tendu un piège, elle était tombé dedans, et il baisait sa conquête comme un fou.

Il a attrapé mon mamelon et l’a pincé cruellement. Ma grimace l’a fait sourire, surtout quand la douleur m’a provoqué un spasme de plaisir. Souriant, sûr de lui, il m’a dit:

"Mme Millet croit qu’elle va se débarrasser de moi comme ça. Qu’après ce merveilleux moment qu’elle a passé, ce sera fini pour toujours, et que nous redeviendrons de simples voisins. Mais ta chatte, Mme Millet, se souviendra de ma bite, qui t’a fait crier de joie. La façon dont tu vibres quand je te baise, tes gémissements, Mme Millet, ne trompe pas. Bientôt, ta chatte réclamera ma bite, et tu viendras me supplier, Mme Millet, tu viendras quémander pour que je te baise à nouveau, parce que t’aime te faire baiser sauvagement, Mme Millet !"

Sur ce, il augmenta la cadence de ces coups et me fit crier encore une fois. J'ai enroulé mes bras et mes jambes autour de lui, incapable de penser, de lutter, de raisonner, et j’ai crié de bonheur en le sentant s’épancher en moi.

J'ai hurlé mon plaisir de toutes mes forces, ignorant totalement que la fenêtre était restée grande ouverte.

Il s’est relevé, son forfait accompli, me laissant épuisée, étendue les bras en croix sur le lit dévasté et taché de nos jus.
Épuisée mais heureuse, comblée, la chatte bavant le trop-plein de semence.

Lorsque mon mari est rentré à la maison, les s étaient couchés et, comme promis, je l'ai soulagé de son stress. 
Il m'a baisée sur le même lit que Brandon. J’avais juste changé les draps. Je ne vous dirai pas à quoi je pensais pendant qu’il l'était me baisait. Ni quelle baise j'avais préférée. Celle de mon mari ou celle de Brandon.
Certaines pensées des femmes ne devraient jamais être partagées. 
Ce qui m'a surprise, c’est sa dernière question avant de s'endormir.

"As-tu récompensé Brandon ?"

Ce à quoi j'ai répondu par : "Ne te fais pas de soucis, je t’ai dit que je m'occupais de tout !"

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