Délicieuse Libertine - 1

Je suis une fille très active sexuellement depuis l’adolescence. J'ai compris très tôt que certaines parties de mon corps pouvaient me procurer des sensations très agréables. Ma mère m’avait prévenue, de ne jamais fricoter avec les garçons, de ne jamais permettre à un voyou de toucher ces parties de mon corps qui étaient "sacrées".

Au début, ce sont d’autres filles, plus âgées, qui m’ont provoqué mes premiers émois. Des caresses indiscrètes, de la bouche ou des mains, m’ont provoqué de curieux frissons dans le ventre. J’ai réalisé que leurs actions sur certaines parties sensibles de mon corps me procuraient beaucoup de plaisir.

L'humidité de ma chatte m'inquiétait un peu, mais la fille qui léchait ma chatte m’a dit que j’étais délicieuse. Plus tard, lorsque je lui ai rendu la politesse, je me suis aperçue que son goût était mielleux, et je n’ai pas compris pourquoi ma mère avait prétendu que c’était "mal".

Heureusement, j'ai pu parler de ma révélation avec ma sœur aînée. Elle avait déjà eu plusieurs "petits copains", et elle n’était plus vierge depuis longtemps. Elle m’a appris à mes préserver des "accidents" qui empoisonnent la vie de certaines jeunes filles imprudentes. Elle m’a confirmé que le sexe c’était quelque chose d’amusant, à condition de bien choisir son partenaire.

C’est elle qui m’a conseillée pour mon "premier". Elle m’a dit qu’il ne fallait pas offrir mon pucelage à une "brute sauvage", mais à un type "sérieux" qui saurait faire "ça" avec douceur. Elle m’a recommandé un ami de papa, un gars bien plus âgé que moi, et qui avait paraît-il une excellente réputation. Je suis allée chez lui, toute intimidée, mais il a été très gentil, très doux, et j’ai passé un merveilleux moment.

Ensuite, les caresses des filles me paraissaient bien mièvres. La pénétration me procuraient des sensations inégalables, même si certaines utilisaient des jouets en plastique, vibrants ou non, cela n’avait pas la même saveur.

Les années de lycée ont passées très vite, j’avais peu de prétendants, quand je sortais un préservatif de mon sac, cela les effrayait.

C’est à l'université que je me suis révélée. J'avais une solide réputation, j’insistais pour que les gars utilisent des caoutchoucs, mais je n’avais pas peur d’en satisfaire plusieurs. Le bouche à oreille a fait son effet, et j’avais beaucoup d’amoureux. Je discutais aussi avec d’autres filles, plus prudes que moi.

L’idée de n’avoir qu’un seul copain, de me préserver pour mon mari, la fidélité, l’abstinence, me filait la gerbe. Elles me traitaient de débauchée, de frivole, de vicieuse, mais la découverte permanente de nouveautés m’excitait tant que je ne pouvais me résoudre à une vie de rosière mal arrosée.

Certaines périodes du mois, lorsque j’étais "indisposée", quelques garçons ne voulaient pas aller dans ma chatte. J’ai découvert, à cette occasion, la "voie de secours". Le plaisir était différent, mais j’ai beaucoup aimé. Depuis, j’ai accepté plusieurs garçons en même temps.

J'ai eu la chance de ne pas tomber enceinte, ni d’attr une maladie vénérienne. Plusieurs filles se sont fait renvoyer de l’université lorsqu’elles se sont retrouvées enceintes. Cela aurait été vraiment fâcheux pour moi si cela s'était produit, parce que je n'aurais pas su qui était le père.

L'idée du mariage ne m'attirait pas du tout. J'avais cette idée que je ne pourrais pas me contenter d’un seul homme. Je voyais les femmes mariées comme des malheureuses, vivant les yeux baissés, enfermées dans leur carcan de pudibonderie. Je ne savais pas, à l'époque, qu'il y avait des hommes qui acceptaient l'idée que leurs femmes pouvaient être partagées entre gens de bonne compagnie

Comme cela arrive parfois, j'ai rencontré un garçon qui m'a enflammée et m’a fait tourner la tête. Pendant trois mois, j’ai été captivée, séduite, amoureuse à en perdre l’appétit. Je ne voyais plus que lui, aucun autre garçon ne pouvait me plaire, je ne pensais qu’à lui.
Je l’ai épousé et c’était le plus beau jour de ma vie.

Pendant encore un semestre, j’ai gardé cet état d’esprit de femme passionnée, consumée d’amour pour son "homme". L’envie est revenue, brutale, possessive, lorsque qu’un réparateur est venu à la maison en l’absence de mon mari. Un très bel homme, une gourmandise, je l’ai sucé et il m’a baisée. Ce fut bref, brutal, et délicieux.

Mais l'ancienne soif de conquêtes était revenue, et elle était là, bien présente, à me tordre les ovaires lorsque je croisais le regard avide d’un mâle bien monté. J’ai recommencé à baiser, à droite, à gauche, prudente au début, jusqu’à ce que je me fasse gauler. Mon mari est rentré à la maison alors que je ne l’attendais pas.

L’explication a été orageuse. Il était vraiment fâché contre moi, mais j’ai réussi à le calmer en me faisant chatte, nous avons en quelque sorte réglé les choses, et j'ai de nouveau essayé d'être une "bonne épouse". J’ai été sage quelques temps, puis discrète, mais il m'a de nouveau attrapée en galante compagnie.

Cette fois avec un copain à lui, ce qui ne lui a vraiment pas plu. Il a immédiatement quitté l'appartement, et a entamé une procédure de divorce. Curieusement, alors que nous étions séparés, en pleine procédure de divorce, et même après, il est revenu me voir avec régularité pour "tirer son coup".

Même remarié, il continue de faire partie de mes "habitués", ceux qui viennent s’encanailler en toute discrétion. À plusieurs reprises, il a même amené des copains à lui, pour faire un "gang-bang". Il m’a présenté des hommes généreux, qui n’hésitent pas à mettre la main au portefeuille. Je ne suis pas vénale, mais je n’ai jamais refusé un petit cadeau, un bijou me fait toujours plaisir.

Il aime bien l'idée de ce que je suis. C'était quand j’étais sa femme, qu’il n’aimait pas ce que je faisais. Il trompe sa femme aussi souvent qu’il le peut, mais la réciproque ne lui convient pas. "Ce n’est pas pareil !" Il a admis que c’est plutôt étrange, mais je ne vais pas en informer sa femme.


Il m’a fait rencontrer Daniel, qui m'a parrainé dans un club privé dont il était membre. J’ai rencontré des gens intéressants, haut placés, avec des situations enviables. Des patrons, des politiques, accompagnés parfois de leurs épouses, plus souvent de leur petite amie, régulière ou pour un soir.

Bien sûr, j'ai passé un merveilleux moment à cette soirée de débauche, mais quand vous baisez avec tout ces mecs plein aux as, cela donne des idées. Des idées pour s’élever socialement. Devenir la "poule" plus ou moins attitrée d’un magnat de la finance ne me déplairait pas, du moment qu’il ne soit pas trop regardant sur mes fréquentations.

Je n’ai pas fait ma mijaurée, j’ai baisé tous ceux qui m’ont demandée, hommes ou femmes. Je me suis démultipliée pour satisfaire tous mes partenaires. J’ai eu mal partout pendant plusieurs jours. J'ai apprécié d’être intégrée dans ce nouveau cercle d’amis. Cette nouvelle expérience a été très enrichissante pour moi.

C’est lors de cette nuit de débauche que j’ai fait la connaissance de "Doc". Il pourrait être mon père. Il était accompagné par une bombasse rousse qui exsudait le sexe. Elle a été la première à se déshabiller et à faire le tour de toutes les bites et de toutes les chattes présentes ce soir-là. Si on avait fait un challenge, elle l’aurait gagné haut la main.

Elle était si belle, si sexy, que j'ai été très surprise quand Doc m'a entraînée dans un coin discret pour me faire part de son désir de m’avoir comme "régulière". Il avait discuté avec Daniel, il me savait sans attaches, il n’exigeait pas la fidélité, l’exclusivité, ou toutes ces fadaises, mais il voulait être mon "protecteur", une sorte de "papa gâteau".

J’étais scotchée : "Et Laura?" ai-je demandé, étonnée. "Tu l'as elle, que veux-tu faire de moi ?"

"Laura ne m’appartient pas, elle est mariée". Je n'en croyais pas mes oreilles mais Daniel m'a confirmé que Laura était mariée à un type qui n’aimait pas ces soirées, et qui la laissait libre de sortir quand elle voulait, et avec qui elle voulait.
Elle sortait beaucoup, s’amusait, mais elle aimait son mari et ne voulait pas le quitter. Elle assouvissait ses fantasmes en soirée, avec la bénédiction de son mari.

Quoi qu'il en soit, j'ai accepté l'invitation de Doc et nous avons commencé à nous fréquenter. C'est rapidement devenu mon amant régulier, et j’ai dû écarter certains de mes prétendants. Par contre, j’en ai gardé d’autres pour des raisons sentimentales (la taille de leur bite, ou celle de leur portefeuille).

Un soir, j’ai dû refuser une invitation de Doc parce que j’attendais la visite d’un autre mec auquel je tenais beaucoup. Doc m’a dit qu’il voulait me voir "juste pour parler". Je lui ai dit de passer chez moi le lendemain soir. J'appréhendais un peu. De quoi voulait-il parler ? 

J'aimais vraiment Doc, j'appréciais beaucoup sa compagnie, mais je ne voulais pas changer mon mode de vie. J'aimais trop la variété, découvrir de nouvelles bites et de nouvelles chattes. La nuit suivante, Doc a ouvert la conversation en me disant qu'il m'aimait de plus en plus, et qu’il espérait que notre relation pourrait s’orienter vers quelque chose de permanent. 

Je l'ai remercié de penser à moi ainsi, j’ai dit que je l'aimais aussi, mais que je ne pensais pas qu'une relation stable me convenait. J'ai admis que je ne pouvais pas être fidèle à un seul homme. Doc m'a surpris en disant qu'il me comprenait. Puis il a largué sa bombe.

"Je sais que tu vois d'autres hommes. Hier soir, tu n’étais pas seule ici. J’étais en planque près de chez toi, j’ai vu le gars entrer, je t’ai vu l’accueillir chaleureusement, et j’ai attendu longtemps jusqu’à ce qu’il reparte."

Je l'ai interrompu, un peu agacée : "Doc, ce ne sont pas tes affaires. Je ne t'ai pas promis l'exclusivité. Si tu veux savoir si j'ai couché avec lui, la réponse est oui. En fait, tous les hommes que j’ai rencontré ces dix dernières années me sont passés dessus. Tu n’as pas besoin de m’espionner, suffit de me demander."

"Je sais, mais j'aimerais te poser une question, et tu n'as aucune obligation d'y répondre. Ce que j'aimerais savoir, c'est si tu es intéressée uniquement par le sexe, ou si tu en retires quelque chose de plus ?"

"Pour le sexe ! D’abord, j'adore baiser. Je pense qu'il n’y a pas assez de bites sur cette terre pour me satisfaire. Mais sans être vénale, j’aime joindre l’utile à l’agréable, et les petits cadeaux me font toujours plaisir."

L'air réjoui de Doc m’a rassurée. J’avais répondu juste. Mais quelle était sa pensée ?

"J'espérais que tu répondes cela ! Ça ne me dérange pas que tu aies des relations sexuelles avec d'autres hommes. J'aimerais juste pouvoir être là parfois pour regarder. Quand je t'ai vue avec d'autres hommes, au club, et même avec des femmes, ça m’a vraiment excité. Même hier soir, en attendant, devant chez toi, je me suis branlé en pensant à toi dans les bras d’un autre."

J’étais sceptique. Est-ce qu’il me faisait marcher ?

"Je suis ce que l’on appelle un voyeur. J'aime regarder les ébats sexuels des gens. Et j'aime particulièrement regarder quelqu'un qui m’est cher. Mon premier mariage s'est soldé par un échec à cause de cela. J’avais demandé à ma femme de faire l’amour avec un autre homme, devant moi. Elle a refusé longtemps, en croyant que je ne l’aimais pas."

"Elle a finalement cédé après que je l'aie harcelée longuement. Je lui ai laissé choisir le gars, un mec qui lui plaisait. C’était une erreur. Elle a choisi un gars avec qui elle travaillait. C'était une grosse erreur. Elle s'est fait harceler par tous les autres mecs au travail, parce que le gars n’a pas su fermer sa gueule. Elle a quitté son travail, et elle m’a quitté parce qu’elle était bouleversée par tout ça."

"Tu ne t'en es pas rendue compte, tu étais trop occupée, mais au club, la plupart des couples agissaient ainsi !"

"Que veux-tu dire par là ?" J'ai demandé.

"La plupart des gens en couple baisaient à tour de rôle. Les maris regardaient leurs femmes avec d'autres hommes, et les femmes regardaient leurs maris avec d'autres femmes. C'est la raison essentielle pour laquelle les gens apprécient ce genre de soirée."

"Je n'avais pas remarqué ça" avouais-je. "Il m'a semblé que tout le monde était occupé en même temps."

"Pas vraiment" continua Doc. "Il y avait rarement plus d'un des deux partenaires à être occupé en même temps. L’autre regarde, ce sera un motif d’excitation pour plus tard. Et moi, je te regardais. J’avais remarqué ton endurance. Tu étais la seule à ne pas prendre de pause. Tous les autres s’arrêtaient pour souffler, pas toi."

"Oh mon dieu, je me suis donnée en spectacle ?" demandais-je, faussement embarrassée.

"Effectivement" rigola Doc. "Tu étais le clou du spectacle. Tout le monde a aimé te regarder. Nous encourageons les membres actifs à amener de nouvelles femmes, des jeunes, car elles sont plus dynamiques. Tu étais juste plus dévergondée, plus vicieuse, plus perverse que les autres, la meilleure, et j’ai adoré !"

Les commentaires de Doc me rassuraient. En fait, il ne voyait que le positif. C'est ce que j'aime chez lui. Il sait flatter mon ego pour obtenir le meilleur de moi-même.

"Mais Laura a contenté plus de partenaires que moi, cette nuit-là. Sexuellement, elle est hyper-active. Cette femme est une vraie poupée sexuelle."

"Oui, c'est vrai. Quand elle vient, c’est la reine de la soirée. Pour beaucoup d’entre nous, c’est la femme idéale. J’aurais aimé qu’elle soit mienne, mais elle est mariée et fidèle … à sa façon !"

"Doc, c’est impossible. Aucun époux ne supporterait de voir sa femme se donner à d’autres hommes avec cette ferveur ! Tu ne serais pas le moins du monde jaloux de voir ta femme se pâmer sous d’autres hommes ? Ce serait bizarre !"

"Je ne le supporterais pas, j'adorerais cela. Je l'aiderais même à trouver des gars intéressants. Bizarre, c'est possible, mais aucun des hommes présents à la soirée du club n’a émis le moindre commentaire en voyant un ou plusieurs gars baiser sa femme ! Tous étaient ravis de voir que leurs femmes avaient du succès, et qu’elles l’appréciaient."

Je n'étais toujours pas convaincue par son projet, mais Doc a coupé court à la conversation en disant : "Tout ce discours sur le sexe m'a excité." Puis il commença à dégrafer mon chemisier en m'embrassant. Je me suis rapidement retrouvée nue, à quatre pattes, pendant que Doc me pénétrait par derrière. Il m’a fait jouir plusieurs fois avant de répandre son foutre sur mes reins. Nous nous sommes effondrés en tas sur le tapis, devant le canapé du salon.

La proposition de Doc a mis un certain temps pour pénétrer mon cerveau récalcitrant. Il voulait m’avoir toute à lui, tout en me laissant libre de faire des rencontres, mais il voulait regarder … C’était loufoque ! Quand il m’a invité à sortir, j’avais déjà un rencard. J’hésitais, parce que Vincent fait partie de mes "habitués". Doc a compris immédiatement mon embarras.

"Ah, tu avais d'autres plans. Super. J'aimerais juste être une petite souris pour te regarder avec ce gars ... sinon tu pourrais juste me raconter après. Demain soir ?"

"Bien sûr, ce sera génial de se voir demain soir. En revanche, pour te raconter ma soirée, je ne suis pas sûre … Je ne sais pas si j’en serai capable, je n’ai jamais fait ça"

Ma soirée avec Vincent s'est bien passée. On se connaît suffisamment pour ne pas perdre de temps en civilités inutiles. Direction la chambre, il m’a baisée toute la soirée en utilisant tous mes orifices. Une véritable bête de sexe !

Vincent venait de partir quand mon téléphone a sonné. Cela m'a fait sursauter parce que c’était plutôt tard.

"Salut, chérie !" La voix de Doc. "J'espère que je ne t'ai pas interrompue ?"

"Non, Vincent vient de partir."

"C’était bien ? Tu t’es amusée ? Satisfaite ? Est-ce que tu es repue, trop crevée pour continuer ?" 

"Bien sûr, je m'amuse toujours !" Je savais ce qu’il voulait, et ses masturbations cérébrales m’agaçaient. Pourquoi fallait-il que je lui raconte les exploits de Vincent pour que Doc me baise ? Je n’étais pas assez désirable ?

"Mais je suis assez vaillante et toujours partante pour m’envoyer en l’air. Tu proposes quoi ?" répondis-je sans ambages.

"Je peux être chez toi dans cinq minutes, si tu es partante. Je bande déjà en pensant à toi !"

"Laisse-moi le temps d’une douche rapide et rapplique"

"Non, s’il te plaît, chérie, ne te lave pas. Je veux sucer le sperme qui coule de ta chatte meurtrie, avant de te baiser."

J'étais estomaquée. Je n’ai pas eu le temps de protester, Doc avait déjà raccroché. Je ne savais pas quoi faire, assise sur mon lit en désordre. J’essayais de comprendre ce qui pouvait le motiver. Sucer ma chatte dégoulinante du sperme d’un autre ? Quel intérêt ? Ce type était un malade !

La sonnette a carillonné avant que je puisse faire quoi que ce soit. J'ai enfilé mon peignoir pour ouvrir à Doc. Il m’a enlacé tendrement, sa bouche s’est emparée de la mienne, sa main a filé droit entre mes cuisses, vérifier l’état des lieux.

"Tu as l'air d'avoir été bien baisée, ta chatte est baveuse, viens, ne perdons pas de temps"

Doc m’a soulevée de terre comme une plume, du talon il a claqué la porte d’entrée, et il m’a portée dans ses bras puissants jusqu’à ma chambre. Il m'a allongée sur mon lit, et il a ouvert mes cuisses pour regarder ma chatte suppliciée. C'était pour le moins gênant. Je fermais les yeux pour ne plus voir son regard absorbé et gourmand.

"Oui, il t’a bien baisée" appréciait Doc en scrutant ma chatte. "Ta chatte est mousseuse." Puis j’ai senti son souffle, sa bouche s’est posée sur ma chatte, sa langue s’est insinuée entre mes lèvres. Oh, il me léchait, et c’était horriblement gênant et délicieux en même temps.

Mon appréhension a disparu devant la douceur de sa caresse. Après la rude séance de l’autre brute, le contact bienfaisant de sa langue charitable me remplissait d’aise. Au lieu de résister, je me suis cambrée en écartant mes cuisses au maximum pour offrir ma chatte à sa manœuvre qui m’émoustillait.

Brièvement, il s’est arrêté de me lécher pour grignoter mon clitoris, et j'ai senti la première vague de mon orgasme déferler. Il a continué tandis que je me tordais de plaisir. Il alternait entre sa langue qui me fouillait, et ses lèvres qui suçaient mon clitoris. Une deuxième vague de plaisir m’a submergée, puis une autre, et encore une autre. Je tremblais de tous mes membres, tout mon corps vibrait, je perdais le souffle, j’allais mourir de plaisir, je l’ai supplié d’arrêter, de me laisser un moment pour me récupérer un peu.

Il m’a accorder un répit, juste le temps de se déshabiller, et s’est couché sur moi, entre mes cuisses ouvertes. Il était très excité et il m’a martelée sans ménagement, me faisant gémir et panteler. Il est venu très vite.

Doc s’est allongé sur le dos, et je me suis installée sur lui, tête-bêche, jambes repliées, ma chatte sur son visage. C’était sa position préférée pour me manger la chatte dégoulinante de sperme. Bien sûr, je ne suis pas restée inactive, et je lui ai administré une profonde fellation. Au bout d’un moment, Doc a soulevé mes fesses et m'a guidée vers le bas pour me faire asseoir sur sa bite.

Immédiatement, j’ai commencé à m’agiter de haut en bas sur son poteau vertical. Dans cette position, sa bite frottait énergiquement sur point G, et j’ai été prise dans une transe folle, qui me faisait claquer mes fesses sur son ventre. Je n’ai pas pu résister longtemps au spasme qui se propageait dans tout mon corps. Mon orgasme a déclenché celui de Doc. Je n’ai eu la force me soulever, et j’ai pris toute sa charge au fond de mon vagin sans protection.

Je me suis allongée tout contre lui. Il a été très tendre, me câlinant, il m’a dit des bêtises, qu’il m’aimait, et je me suis endormie dans ses bras, crevée. Je me suis réveillée au matin, seule, nue, poisseuse de sperme. Doc était parti pendant mon sommeil.

Doc m'a appelé dans la matinée pour savoir comment j'allais. Il s'est excusé d'être parti en douce. Je l’ai rassuré en lui disant qu’il avait été vraiment formidable la veille et que je n’avais jamais autant joui. Mais le but de son appel s’est éclairci rapidement. Il voulait savoir combien de fois Vincent avait joui en moi, parce que j’étais "vraiment pleine de sperme".

"Juste deux fois" répondis-je naturellement, avant de réaliser ce que je disais. Je trouvais toujours bizarre de parler à un homme de ce que je faisais avec un autre. Jamais jusqu’à ce jour, je n’avais été confrontée à ce type de comportement.

"Au fait, Doc, la nuit dernière, comment es-tu arrivé ici aussi rapidement. Et tu m’as appelée juste après le départ de Vincent ? Tu ne m'espionnes plus, n'est-ce pas ?" J'ai essayé d'avoir l'air détachée, mais je voulais savoir. La réponse de Doc a confirmé mes soupçons.

"J'étais là, planqué près de chez toi" a-t-il avoué d'un air penaud. "Quand j'ai vu le gars partir, je t'ai appelée. J'étais vraiment excité de savoir que tu te faisais baiser pendant que j'attendais pour te bouffer la chatte. J'espère que tu n'es pas trop en colère contre moi"

"Non Doc, je ne suis pas en colère. En fait, je pense que je suis de plus en plus amoureuse de toi." 

"Je t'aime aussi, ma chérie, je pense que nous sommes faits l'un pour l'autre."

Nous nous sommes vus, pour discuter de la situation, de notre penchant l’un pour l’autre, du plaisir que Doc ressentirait à me voir dans les bras d’un autre, à me lécher la chatte souillée par un autre. Nous avons également parlé de nos sentiments l'un pour l'autre, qu’ils étaient suffisamment forts pour que nous puissions vivre ensemble. 

Doc m'a assuré qu'il voulait que je continue à voir d'autres hommes, et même à les ramener à la maison dans "notre" lit pour les baiser. Je m'inquiétais un peu de la logistique, surtout de la réaction des mecs en apprenant qu'ils étaient dans le lit de mon compagnon, mais Doc était si persuasif, avec ses doigts caressants dans ma chatte, que j'ai accepté.

J'ai emménagé chez Doc dès que possible. L’aspect plaisant, c’est que j’emménageais dans une maison beaucoup plus luxueuse et spacieuse que mon modeste logement. Ce qui était moins plaisant, c’est que je n’étais plus chez moi, dans mon espace privé, avec mon indépendance. Je me sentais comme une invitée. Cela m'a pris du temps pour m'habi.

Pendant les premières semaines, je n’envisageais pas d’autres hommes. J'appréciais de passer du temps avec mon partenaire. Nous faisions l'amour souvent, n’importe quand, n’importe où. Cela m’a rappelé le début de mon premier mariage. C'est Doc qui a ressenti le premier le besoin de faire évoluer les choses.

"Ma chérie, tu sais que tu es libre de rencontrer et d’inviter des hommes, ou des femmes, selon ton bon plaisir ? J’espère que tu ne penses pas de ne pas pouvoir le faire maintenant que vous sommes ensemble ?"

"Je ne pensais à rien, je suis parfaitement bien avec toi, et je n’en éprouve pas le besoin. Mais c’est drôle que tu me parles de ça maintenant, parce qu’aujourd’hui, j’ai croisé un type qui m’a envoyé des signaux pour que je comprenne bien qu’il était intéressé, et ça m’a démangé. Je vais le revoir lundi, peut-être je me laisserai tenter ?"

"Génial !" s’est extasié Doc. "Essaye de le ramener lundi soir, si tu peux !"

"Chéri, je ne suis pas sûre de pouvoir ramener un homme ici. Surtout si tu es dans le coin. Je n'ai jamais fait ça auparavant, et je ne sais pas si lui ou moi nous pourrons le gérer."

"Je vais te dire une chose. Pour te faciliter la tâche, au début, je sortirai en ville. Il suffira que tu me préviennes que tu ramènes un homme à la maison, et je serai absent. Tu me donneras le signal de son départ pour que je vienne m’occuper de ta chatte. J’attendrai planqué à proximité, il ne me verra pas."

"Ensuite, quand tu seras plus à l’aise, je pourrais me cacher dans l’appartement, de façon à tout entendre. Je ne sortirai de ma cachette que si tu le souhaites. Petit à petit, tu verras, tu t’habias à ma présence et, si le gars l’accepte, je pourrais peut-être participer à vos ébats."

"Oh Doc, tu es tellement bizarre, mais je t’aime tant ! Dit comme ça, cela a l'air assez amusant ! La dernière fois, quand tu as mangé ma chatte pleine de sperme, c’était tellement érotique, tellement pervers, j’ai joui si fort !"

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