Une Bite Délicieuse

J'ai 36 ans, et pour mon travail, je suis parfois obligé de passer une nuit ou deux à l'hôtel loin du domicile conjugal.

C'est comme ça qu'un soir je me suis retrouvé dans un hôtel à peu près désert d'une petite ville de Normandie. Il n'y avait rien à faire dans ce bled, et je dînai seul au restaurant de l'hôtel à peu près vide.

J'étais en train de finir mes paupiettes aux petits légumes quand un type seul, la cinquantaine, entra dans le restau et s'installa à une table assez proche de la mienne. Je ne sais pas pourquoi, mais bien qu'il n'eût rien d'extraordinaire, son allure, ses gestes et son regard me firent un certain effet. Je lui jetais des coups d'œil en attendant mon fromage puis mon dessert.

Bien sûr, il le remarqua. À un moment, nos regards se sont croisés, et on s'est regardés assez longuement dans les yeux. La serveuse a apporté mon dessert et son entrée, on a mangé, puis on s'est regardés de nouveau. Il a alors pris dans la poche de son veston la clé de sa chambre. Elle était attachée à un très gros porte-clé en métal qui avait un peu une forme de poire. Il posa ce porte clé sur la table devant lui, bien dressé, le numéro de chambre face à moi de telle sorte que je pus le lire aisément. Comme j'avais fini de dîner, je me levai en lui jetant un regard lourd et parfaitement entendu.

En attendant qu'il finît de manger, je montai dans ma chambre très excité. Il avait bien 20 ans de plus que moi : je m'attendais donc à ce qu'il me sodomisât. Aussi, je décidai de prendre une bonne douche en attendant, et me lavai longuement le cul. Je pris un grand plaisir à faire pénétrer dans mon cul un puis deux doigts. Mon anus, d'abord serré, s'ouvrit au contact du jet d'eau chaude. Ça faisait bien longtemps que je ne m'étais pas doigté comme ça, et j'aurais presque pu passer la soirée ainsi !

Après un temps raisonnable, je me séchai, puis m'habillai seulement d'un jean et d'un tee-shirt serré qui mettait en évidence mes abdos plats et mes pectoraux ronds.

Je montai ainsi pieds nus sur la moquette de l'escalier vers le 3e étage où se trouvait sa chambre. Sans sous-vêtement, mon érection dans mon jean me gênait un peu : je dus mettre ma main dans la poche pour la replacer de façon plus commode.

Je frappe à sa porte : il m'ouvre, me fait entrer, et me demande aussitôt :

– Déshabille-toi.

J'enlève mes deux habits, et je reste debout, nu et en érection. Il me caresse lentement, sans un mot. Ses mains parcourent mon torse, mes cuisses, mes épaules et bien sûr, mon cul, ma bite. Il me demande de lever les bras et enfouit son visage dans mes petites touffes aux aisselles. Il se place derrière moi et continue de me caresser tout en se déshabillant.

Il s'est assis sur une espèce de fauteuil en tube d'inox derrière moi. Il me caresse le cul avec un pied, glissant parfois son orteil dans la raie. J'ai toujours les mains sur la tête : les yeux fermés, je profite de ce geste très excitant.

D'une pression de son pied sur ma hanche, il m'indique de me mettre à genoux. Puis, avec son pied sur mon épaule, il me commande de me retourner et m'attire vers lui. Il écarte les jambes : à genoux, je viens me mettre entre ses cuisses, le visage dans son entrejambe.

Sa bite n'est pas très grande, mais elle est fortement bandée. Contrairement à la mienne qui est légèrement courbée vers le haut quand elle est en érection, la sienne est droite comme un I, et surmontée d'un très joli gland circoncis et bien rond, que je commence à suçoter amoureusement du bout des lèvres.

Rapidement, je prends toute sa bite dans la bouche. Comme elle est de taille raisonnable, je n'ai pas de difficulté à faire cela. Au contraire : sa bite a l'air parfaitement adaptée à ma bouche, et son gland vient tout naturellement se placer au fond, sans que cela ne provoque chez moi le moindre réflexe de rejet. Il me dit :

– Allez ! Branle-moi avec ta gorge.

C'est ce que je fais.
Je respire par le nez : je suis surpris d'être aussi à l'aise. Son gland est très doux : il vient se coller au fond de mon palais. J'adore sentir son frein me caresser la base de la langue ! Je suis si excité par cette situation que ma gorge ne rejette pas du tout ce corps étranger : au contraire, j'ai envie de l'avaler toujours plus loin.

Ainsi à genoux entre ses cuisses, le nez dans sa fourrure pubienne qui sent le mouton, j'éprouve de nouveau le besoin de faire pénétrer mes doigts dans mon cul. Je les y glisse aussi profond que je le peux.

Son gland nu au fond de ma gorge, quelle barrière reste-t-il à mon intimité ? Dans cette position, vraiment plus aucune ! Aussi, je ne vois pas ce qui pourrait encore le retenir de me sodomiser. Il doit penser la même chose, car il prend un préservatif sur la table à côté du fauteuil…

Il m'a enculé une première fois assez vite. Nous sommes restés couchés sur le lit l'un contre l'autre un bon moment, puis nous avons pris une douche. Il m'a rebaisé une seconde fois sur le lit, beaucoup plus longuement. J'ai rejoint ma chambre vers 11 heures. Je me suis couché sans que mon excitation fût éteinte. Et le matin au réveil, je suis remonté dans sa chambre pour cueillir son érection matinale, la meilleure, celle qui est gorgée de toute la testostérone accumulée dans le sommeil.

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