La Nouvelle Star

J'aimerais pouvoir vous dire que je suis un cadre dirigeant dans une grande entreprise, mais je ne sais pas mentir. 
Ma maman m’a appris à toujours dire la vérité. Je ne suis qu'un modeste jardinier, cela ne demande pas beaucoup d’études, et c'est un travail honnête. Ce travail me plaît bien, mais ça ne paye pas beaucoup. 

J'ai un entretien d'embauche aujourd'hui qui, je l'espère, améliorera mes finances.
Je n'ai pas besoin de beaucoup, mais j'aimerais pouvoir manger dans un bon restaurant de temps en temps.

"Alors, tu dis que tu veux être une star du porno, hein ?" 
C’était la question que me posait le petit bonhomme chauve et gras, assis de l'autre côté du bureau où je me tenais. 
Il avait une tête en forme de bite pour dire la vérité, mais je n'étais certainement pas sur le point de lui dire ça. 
Il attendait une réponse en examinant ma demande d'emploi de star du porno. 
J'étais chez le géant de l'industrie pornographique, Monsieur H-B., et c'était ce petit bonhomme adipeux qui tenait ma carrière cinématographique dans sa sale petite pogne.

"Eh bien, j'attends ta réponse, gamin ?" dit-il d'une voix désagréable.

Baissant ma voix aux basses les plus basses que je pouvais : "Euh ... Oui, Monsieur H-B., C’est mon but. Je suis venu ici pour être votre prochaine grande star" lui dis-je avec le plus de confiance possible.

"Ha, c'est assez drôle, venant d'un binoclard boutonneux. En plus, t’es fringué comme une pauvre cloche. On dirait que t’as acheté tes guenilles chez Emmaüs, gamin."

"Et bien, j'ai eu un peu de malchance ces derniers temps, d'ailleurs, qui porte des vêtements dans un film porno ?" 
J'ai répondu, essayant de paraître cool.

"Bonne réponse, bon point, gamin, quel est ton accroche ?" demanda-t-il plus sérieusement.

Ne comprenant pas sa question, j'ai demandé intelligemment: "Hein ?"

"Ton accroche, tu sais, qu'est-ce que tu sais faire de spécial? Qu'est-ce que tu as, que les autres n’ont pas, et qui me fera investir des centaines de milliers d’euros, pour faire un film avec toi en vedette ? Est-ce que tu fais du gay? De l'anal, tu prends dans le cul ?"

"Ah ! Putain, non ! En fait, je n'ai jamais eu de relations sexuelles, et je ne pense pas que j'ai une "accroche", comme vous dites.

" J’ai repris ma voix normale.

"Ben merde alors, comment tu veux travailler pour moi ? Tu dois me donner quelque chose avec quoi travailler, peux-tu jongler pendant que tu prends ton pied ? Donne-moi un indice, et les sports nautiques, t’as déjà eu une douche dorée ?"
demanda-t-il en se penchant par-dessus son bureau avec un air impatient.

"J'ai pris une douche avant de venir pour mon entretien, Monsieur H-B." lui dis-je plein d’espoir.

Il se rassit sur sa chaise, l'air désespéré : "NON, crétin ... une douche dorée ! Quelqu'un t’as déjà pissé dessus ?"

"Pas exprès" répondis-je honnêtement.

"Oh, merde !"

"Eh bien, Monsieur H-B., j'ai été malade il y a quelques semaines. L'homme pour qui je travaille m'a envoyé voir ce médecin, chez qui sa femme va, j'étais plutôt gêné au début …"

Monsieur H-B. m’interrompit : "Malade ? Pourquoi étais-tu malade, gamin ? Vas-tu souvent consulter un médecin ?"

"Oh ouais, plusieurs fois, mais il n'y avait pas d'hommes dans cet endroit où il m'a envoyé. C'était que des femmes, des patientes, des infirmières, et même le médecin était une femme. Je n'avais jamais été consulter une femme médecin. Ça me mettait un peu mal à l'aise, si vous voyez ce que je veux dire. Donc, de toute façon, j’y étais, et je n’avais pas le choix. Cette jolie infirmière m'a emmené dans une pièce, et elle m'a pesé, pris ma tension, tout ça, quoi. Elle écrivait tout sur son calepin, normal, quoi ..."

"Donc, après avoir fini avec toute cette routine, elle m'a conduit dans une petite pièce où l'on lisait "salle d’examen" sur la porte. Quand nous sommes arrivés là-dedans, elle m'a dit d'ôter tous mes vêtements, et elle a dit que le médecin allait venir m’examiner. Après m’être mis tout nu, je suis resté un moment à attendre. Je me sentais toujours assez mal à l'aise, alors je me suis assis sur ce drôle de lit. C'était un truc tout recouvert de papier, il était trop court, et quand je me suis allongé dessus, mes jambes pendaient dans le vide.
Ce truc n'était vraiment pas confortable, mais il y avait ces étriers au bout pour mettre ses pieds. Une fois confortablement installé, j'ai dû somnoler un moment."

"Je ne sais pas exactement combien de temps j'ai dormi, mais quand je me suis réveillé, il y avait beaucoup de femmes en blouse blanche tout autour de moi dans la pièce. Elles éclairaient avec cette grosse lampe mes parties intimes, il faisait un peu froid, allongé nu, mais cette lumière faisait beaucoup de chaleur. C'était plutôt bon, un peu comme si le soleil brillait sur moi. Quand l'une d'elles a réalisé que j'étais réveillé, elles ont toutes réagi d’une drôle de façon, comme si elles faisaient quelque chose de mal, vous savez ?"

"Celle qui s'est avérée être le médecin, elle tenait mon stylo ... euh, mon zizi ... La chaleur de la lampe et la façon dont elle s'accrochait à moi me faisait vraiment du bien, alors j’ai fermé les yeux et je l’ai laissée m’examiner et frotter mon … enfin, vous me comprenez. Bon, je n’en savais pas plus, j'ai pensé que c'était peut-être ainsi que les femmes médecins traitaient les maladies. Je sais que je n'étais pas trop inquiet pour mon ... à ce moment-là !"

"Alors j'étais là, nu comme un bébé qui vient de naître, toutes ces femmes en blouse blanche avait la main sur mon bâton. Ouais, j'étais assez dur à ce moment-là…"

Monsieur H-B. m'interrompit là : "T’avais cinq femmes qui tenaient ta bite ? En même temps ? A la fois? Cinq mains à la fois ? C'est difficile à croire !"

"Eh bien, Monsieur H-B., je ne les ai pas vraiment comptées, mais je dirais huit ou neuf en tout. Plus celles qui s’accrochaient à mes sacoches. C'est là que c'est arrivé." Dis-je en croisant les bras sur ma poitrine.

Monsieur H-B. était si attentif qu'il n'avait pas cligné des yeux depuis cinq minutes :
"Qu'est-il arrivé, gamin ? Qu'ont-elles fait ensuite ?"

"L'une des femmes a dit que je devrais être une star du porno !" Dis-je avec un sourire.


"Et qu'ont-elles fait? Est-ce qu'elles se sont mises nues aussi ? Est-ce que tu les as baisées, gamin ? Les as-tu toutes baisées, ces salopes ?" Monsieur H-B. parlait si vite que j’avais beaucoup de mal à le suivre.

"Non, je vous ai dit que je n'avais jamais eu de relations sexuelles auparavant. Mais la femme médecin a finalement réussi à me donner des pilules, et elle m'a dit qu'elle voulait me revoir dans trois jours. Mais je devais venir chez elle, pas au cabinet. D’autres infirmières m'ont invité à leur appartement pour une fête, une sorte de bang ou de gang. Je n’ai pas pu comprendre ce qu'elles avaient dit avec certitude, elles parlaient toutes en même temps, vous savez. La plus jeune avait un air vraiment effrayé, un peu comme si elle avait vu un monstre, ou quelque chose comme ça."

Monsieur H-B. se pencha à nouveau en avant : "Gamin, tu dois me montrer ton truc !"

" ? "

"Ta bite, gamin, tu sais, ta bite. Montre-moi ta bite, putain !"

Je me suis levé, j'ai dégrafé mon jeans en coton-polyester, et je l’ai laissé glisser presque à mes genoux. 
Monsieur H-B. a plissé les yeux, ses lèvres ont dessiné un O, sa dent en or brillait au soleil de l'après-midi.
Le doigt de Monsieur H-B. essayait de trouver quelque chose sur son bureau, ses yeux ne quittant mon entrejambe. 
Il trouva finalement le bouton de l'interphone avec son index et pressa le buzzer de la secrétaire.

"Gloria ! Gloria ! Ramène ton cul en vitesse !" Monsieur H-B. a hurlé dans la boîte.

Même si je n'avais jamais vu une vraie salope en vrai, Gloria me donnait une idée assez proche de ce que j'imaginais, à quoi ça pouvait ressembler. Les cheveux blonds platines, maquillée comme une voiture volée. Ses seins énormes et ses fesses beaucoup trop volumineuses ne semblaient pas appartenir à cette femme. Et ses vêtements trop petits auraient convenus pour une de 10 ans.

Gloria entra dans la pièce en se limant les ongles et en mastiquant la gomme dans sa bouche.
 
Elle s'est approchée de l'endroit où je me tenais, sans arrêter sa manucure, et elle a dit: "Ouais ?"
Monsieur H-B. était toujours penché en avant sur son bureau, fasciné par mes parties intimes exposées. 
Gloria continuait de polir ses ongles. Elle jeta un coup d'œil à Monsieur H-B., puis son regard suivit le chemin du regard de son patron.

"Oh ... Putain ... C’est un vrai ?" demanda-t-elle. "Jamais vu un alésoir à chagatte de cette taille !"

"Ouais, Gloria, ouais, je sais, maintenant rends-toi utile !" dit Monsieur H-B. avec un mouvement d’humeur.

"Hé gamin, quel est ton nom ?"

Fatigué d'être appelé gamin, je lui ai dit mon nom : "Jean, Bonnot Jean."

Le visage de Monsieur H-B. se tordit en une grimace de désappointement :
"Oh, nous devons changer, cela ne fonctionnera pas du tout. Il nous faut un pseudo qui claque. Attends une minute! J’ai l'habitude d'utiliser des anagrammes, assieds-toi gamin, laisse-moi réfléchir à ça une minute."
J’ai posé mes fesses sur la chaise en face de son bureau.

Gloria n'arrivait pas à détacher ses yeux de mon engin encore exposé, et il me semblait qu'elle se rapprochait de moi furtivement. Monsieur H-B. était occupé à noter des combinaisons de lettres, il levait son crayon, fixait le mot pendant quelques secondes, fronçait les sourcils et rayait le mot avant d'essayer un nouvel arrangement. Gloria s'était déplacée jusqu’à quelques centimètres de moi maintenant, mon machin l'avait remarqué et levait la tête pour la regarder.

Mon cyclope se balançait comme un cobra, Gloria était hypnotisée, elle ne pouvait plus partir, même si elle le voulait. 
Ma biroute lui parlait, je ne pouvais pas l'entendre, mais ne vous y trompez pas, Gloria était sous son charme. 
Je ne contrôlais plus rien du tout de l'action, ma bite ensorcelait Gloria.

Ma bite a dû dire à Gloria de se rapprocher, car c'est ce qu'elle a fait. Elle a craché sa gomme sous le bureau du boss.
Elle a d'abord essayé d'enrouler ses deux mains autour de mon copain. Elle se pencha très près en essayant de le fixer, mais cela ne fonctionnait pas, alors elle ouvrit ses lèvres en formant un grand cercle et essaya d'avaler le gland.
Monsieur H-B. griffonnait toujours, ignorant que Gloria dégustait mon saucisson.

Gloria n'a pas réussi à gober plus d’un tiers de mon gland dans son trou de garde-manger. Elle a essayé et essayé, mais elle a finalement abandonné, et elle a commencé un travail manuel. C'était un travail bâclé au début, car elle essayait de synchroniser ses deux mains. Moi qui ai l’habitude, je fais beaucoup mieux.

Après quelques minutes, elle a finalement trouvé le bon rythme et je me sentais vraiment bien.

Gloria n'arrêtait pas de cracher sur ma bite pour une lubrification supplémentaire, tandis qu'elle faisait monter et descendre ses poings sur mon manche rigide. Je pouvais dire que le moment de vérité approchait rapidement, lorsque Gloria accéléra le rythme. La sueur coulait de son front alors qu'elle s’écartait de ma tige palpitante. 
J'étais à peu près à bout d’effervescence, encore quelques coups, et j'allais jouir !

Juste au moment où la première giclée sortait de mon canon, la tête de Monsieur H-B. a surgi et il a crié : "J'ai !"
Le jaillissement de sperme vola vers Monsieur H-B., frôlant son oreille gauche. Il écrabouilla une araignée sans méfiance contre le mur derrière lui. Monsieur H-B se retourna pour regarder l’impact blanc gluant, lorsque ma deuxième giclée frappa sa dernière mèche de cheveux. Quand Monsieur H-B. se retourna pour voir ce qui l’agressait, le troisième coup frappa Monsieur H-B juste entre les yeux, le renvoyant en arrière, cul par-dessus tête, jusqu’au sol. 

Gloria recevait les plus petites décharges restantes au fond de sa gorge maintenant, en profitant de la faveur.
J'étais assez satisfait d’elle, son travail de première main était merveilleux. Gloria léchait le résidu de son travail acharné sur mon membre en détumescence, et ses attentions semblaient lui redonner vie. 

Monsieur H-B. se relevait péniblement en essayant de se débarrasser du sperme entre ses yeux :
"Putain de gamin ... c'est une arme lourde que tu as là. Tu dois regarder où tu pointes ton machin, tu pourrais crever les yeux de quelqu'un !" dit-il avec les restes de mon pudding accroché à son visage.

Gloria a commencé à rire si fort que j'ai pensé qu'elle allait faire pipi : "Ha, ha, ha, c'est drôle comme nom, Jean Bonnot, je viens de comprendre, Monsieur H-B.? Jean Bonnot … Jambonneau !"

"Ouais tu es maladroit, je comprend. Hé gamin !" dit Monsieur H-B. en tournant son attention vers moi, "ton nouveau nom est Jeton Banon, qu'en penses-tu? Assez marrant, hein? Avec toutes les lettres de ton nom."

"Ça a l'air bien," dis-je, ne me souciant ni d'un truc ni de l'autre.

"Hé Gloria, le gamin semble bien t'aimer. Tu veux être la vedette de son premier film ?" Demanda Monsieur H-B..

"OH ! NON ! Tu ne colleras pas ce poteau télégraphique dans ma petite chatte, je veux pouvoir remarcher un jour !"

"OK, j'ai pensé demander ... Hé ... je sais, Gloria, appelle ma femme Lola au téléphone. On va la sortir de sa retraite, elle a la plus grosse chatte de la ville. Je pourrais garer ma limousine dans sa chapelle !"

L'appel téléphonique ne s'est pas très bien passé pour Monsieur H-B.. 
Je ne pense pas que sa femme voulait rejoindre le marché du travail :
"Ne t'inquiète pas gamin, une fois qu'elle verra ce diapason entre tes jambes, elle trouvera la bonne fréquence." 
Alors on s'est tous entassés dans sa voiture, et ouais, Gloria est venue avec. Elle m'a dit qu'elle ne manquerait pas ce spectacle pour un sac de boules, je n'avais aucune idée de ce qu'elle voulait dire.

Le trajet en voiture jusqu'à la maison de Monsieur H-B. étant assez exigu, sa voiture était tellement pleine de cartons que Gloria a dû s'asseoir sur mes genoux. Cela ne me laissait pas trop de place pour m'étirer, donc au moment où nous sommes finalement arrivés dans l'allée de Monsieur H-B., je commençais à m'attacher à Gloria. 
Elle commençait à bouger sur moi au rythme des cahots, et je me sentais grandir sous elle.

Mme H-B., ce n'était pas ce à quoi je m'attendais. À côté de Monsieur H-B., elle ressemblait à un colosse, une bimbo gigantesque en fait. Lola était probablement une belle femme avant que le chirurgien plasticien n'ait étiré sa peau plus fort qu'un tambourin. Elle ressemblait à Fiona, la femme de Shrek. En moins vert.

Lola n'était pas contente, et elle nous a tous laissés entrer pour crier sur son mari : "Monsieur H-B., espèce de gros porc, il n'y a pas moyen que tu me fasses baiser ce type. Il ressemble à une guenille de l'Armée du Salut !"

Gloria est passée derrière moi pour dégrafer mon pantalon et le laisser tomber au sol. 

Lola continuait sa diatribe : "Je ne baiserais pas ce pouilleux même s'il était ... Gloria, ma chérie, pourrais-tu m'apporter un pot de vaseline ... oh, et si tu peux, trouve-moi un tube de lubrifiant … un gel .. ." et elle s'est interrompue,

Mme H-B. a semblé changer d'avis sur le fait de faire un film avec moi dès qu'elle a vu mon équipement :
"Bien, Monsieur H-B., commençons les répétitions," roucoula-t-elle.

Gloria a apporté un énorme pot de margarine : "C'est tout ce que j'ai pu trouver," dit-elle, en reprenant son souffle.

Tout le monde était occupé. Gloria était en train de graisser mon mât, elle me regardait avec un grand sourire. 
Lola était nue maintenant, et elle était agenouillée sur une chaise en cuir avec son gros cul en l'air.
Monsieur H-B. avait une spatule et étalait la graisse partout sur la tirelire de sa femme.

À ce moment, comme j’étais désœuvré, je commençais à m'interroger sur mon désir de devenir une star du porno.
Non pas que je ne voulais plus le faire, je le voulais vraiment. Simplement, dans mon travail de jardinier, j'étais capable d’organiser les choses comme je le voulais. Monsieur H-B. avait été gentil avec moi, mais il dirigeait clairement la manœuvre. Je ne voulais pas être conduit par ma bite. Avais-je soudainement reçu un cerveau ? 
J'en doute, je ne m'en étais jamais aperçu auparavant.

Monsieur H-B. avait abandonné la spatule à présent, il essayait de fourrer l’intérieur avec sa main. 
Lola criait à Monsieur H-B. de recouvrir l'intérieur bien profond, donc il avait son bras en elle jusqu'à son coude. 
Gloria s’assurait de faire un travail minutieux sur mon salami gonflé :
"Fais crier cette salope, bébé, fais-la pleurer, je ne peux pas supporter cette pute !" murmura-t-elle.

Gloria m’emmena vers la chaise ou se tortillait Lola. Elle aligna mon poteau avec la caverne de Lola. 
Lola avait la tête en l'air, et elle respirait fort en gémissant, comme elle l’avait vu faire aux stars du porno.
Gloria a reculé de plusieurs mètres pour prendre son élan, a positionné son épaule et m’a chargé. 
Gloria m'a frappé dans le dos de tout son poids, comme un rugbyman qui cherche à percer la défense adverse.
Sous l’impact, j’ai fait un bond en avant, et j’ai empalé Lola d’un quart de ma longueur. 
J'étais coincé dedans, je ne pouvais pas aller plus loin, et je ne pouvais pas me retirer. 
J'étais coincé dans la plus grosse chatte de la vallée, et Lola gueulait comme un cochon qu’on égorge.

Monsieur H-B. et Gloria ont travaillé pendant une heure pour essayer de nous séparer. Ils ont essayé tout ce à quoi ils pouvaient penser. Monsieur H-B. était sur le point d'appeler les pompiers pour sauver Lola, lorsque Gloria a eu une idée.

Gloria a retroussé ses manches et a commencé à me branler. Au bout de quelques minutes, elle n'avait réussi qu'à me rendre plus dur. Lola criait, à l'agonie, insultant Monsieur H-B.. Gloria avait déjà enlevé son chemisier et son soutien-gorge pour pouvoir travailler sans transpirer.

Mes yeux étaient rivés sur les seins bringuebalants de Gloria, lorsqu'elle secouait mon bâton. 
J'ai pris la liberté de frictionner ses tétons, elle m’a souri. J'étais sur le point de faire jaillir ma charge, Gloria a maintenu le rythme. J'ai pressé un peu plus sur ses seins, elle s'est redressée et m'a embrassé sur la bouche.

Il n’en fallait pas plus, BOUM, mon canon a tiré sa charge. Lola a fait un saut périlleux avant sur la chaise, pour atterrir sur Monsieur H-B.. Gloria et moi sommes tombés en arrière sur le sol. J'étais à nouveau un homme libre. Gloria était épuisée. Lola donnait de grands coups de pied à Monsieur H-B. en hurlant : "Si ça c’est du porno, J’ARRÊTE !"

J'ai aidé Gloria à se relever, elle était en plein désordre. Ses cheveux étaient trempés de sueur et son maquillage avait coulé tout le long de son visage. Je l'ai prise dans mes bras et je l'ai emmenée dans la salle de bain pour la nettoyer. Nous sommes tous les deux entrés dans la douche, il m'a fallu près d'une heure pour la décrasser.

En la séchant avec une serviette, j'ai vu à quel point elle était belle. Sans toute cette peinture, elle était magnifique. 
Elle m'a embrassé et je l'ai embrassée en retour. Cela a pris beaucoup de temps, mais Gloria a pu accueillir ce que Lola ne pouvait pas. Quinze minutes de va-et-vient, et Gloria chantait un air d’opéra pour la première fois de sa vie.

Je me demande si Gloria aimera la campagne ? Je me demande ce qu'ils pensent de l'opéra dans mon patelin? 
Nous allions découvrir tout cela, juste après le mariage. Monsieur H-B. était très triste de nous voir partir, mais Gloria et moi, nous avions tournés assez de films pour qu'il puisse se retirer des affaires. 
Nous avions tous gagné assez d'argent pour nous retirer des affaires.

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