Camille Et Marion Font Leur Shopping 03.

Après cette 1ère tentative infructueuse, frustrées toutes les 2, nous sommes prêtes à tout pour que notre 2ème essai soit plus payant. Camille est très motivée, c’est elle qui va être en première ligne. Nous attendons un peu avant d’aborder le plus beau des vendeurs qui est occupé avec une cliente. Nous sommes dans le rayon des petites robes légères. C’est un jeune garçon d’1m85 minimum, en costume noir, cravate uni bleu marine, cheveux courts, le sourire commercial avec de jolies dents qui illuminent son visage, un petit nez retroussé, un visage rond avec de mignonnes fossettes sur ses joues roses qui donnent envie d’y déposer des baisers brûlants. Sa taille parfaite et ses gestes délicats nous hypnotisent, sa voix douce et chantante nous ensorcelle. Et dès qu’il se libère nous sautons sur lui.

- Monsieur, dit Camille, je voudrais une petite robe de sortie.

- La vôtre est très belle, la complimente-t-il, elle est magnifiquement portée par une charmante demoiselle.

- Merci, répond-elle

- Je vous trouve toute aussi mignonne et gracieuse, me fait-t-il avec un large sourire, venez avec moi, j’ai des modèles qui vont certainement vous plaire.

Quel charmeur, il sait prendre les filles par les sentiments et les flatter poliment. Il nous entraine vers le fond du magasin et nous présente en exposition de superbes robes.

- Pourrais-je essayer celle là? interroge Camille.

- Bien sûr, fait-il, quelle est votre taille?

- 36 ce matin, replique-t-elle.

- Et le soir? demande-t-il.

- Je ne sais pas, venez la mesurer dans ma chambre au crépuscule quand je serais toute dévêtue, dit-elle en riant.

- À votre disposition mademoiselle.

Le courant passe admirablement entre nous, il trouve la robe de Camille dans la taille voulue, et nous conduit vers une petite pièce servant de cabine d’essayage.



- Allez-y, nous dit-il en nous tendant le cintre qui soutient la superbe robe qu’elle a choisie.

Et par bienséance, il s’éloigne quelques peu en restant à portée de voix dès que Camille a saisi la robe.

Je rentre avec Camille et nous échangeons gestuellement nos impressions. Le pouce relevé pour elle et moi un geste affirmatif de la tête. Tout bas elle me murmure:

- Je vais me mettre toute nue et tu va me lacer mon masque sur les fesses pour en faire un cache sexe.

Aussitôt dit, aussitôt fait, elle se débarrasse de sa robe et ses chaussures et dénoue son masque pour le placer à l’endroit idéal et me donne les liens pour faire un beau noeud sur ses fesses dodues.

- Comment me trouves-tu? Me dit-elle en se redressant, poitrine bombée.

- Mets toi devant le rideau, et vois-tu bien le devant et le derrière? Me demande-t-elle.

Elle est en effet légèrement de côté, ce qui me permet d’admirer la partie face et son cul qui se reflète parfaitement dans la grande glace et ainsi, sans bouger, j’ai aussi la vision de sa partie pile. Notre conversation peut parfaitement être interprétée comme parlant de la robe qu’elle était sensée essayer de la part de notre vendeur à l’écoute.

- Va vite le chercher, Marion.

- J’y cours.

Arrivée devant lui, je l’interpelle, il fait semblant de ranger quelques vêtements, mais je suis sûr qu’il est à l’affût de nos moindres paroles.

- Monsieur, ma copine voudrais vous montrer quelque chose.

- Oui tout de suite, il y a un problème avec la robe?

- Non, c’est pas ça, fais-je mystérieuse en me pinçant les lèvres pour ne pas éclater de rire.

Arrivé devant la cabine, il entre et s’arrête brusquement tellement surpris, je le pousse légèrement pour refermer le rideau derrière nous. Mais moins nigaud que le précédent, il reprend vite ses esprits.

- Vous avez raison, vous êtes encore plus magnifique comme ça qu’avec toutes les robes du monde.


- Avez-vous un plus joli noeud que le mien? Lui demande -t-elle en se retournant pour lui faire admirer l’attache mais surtout ses magnifiques fesses.

L’attaque est directe, comme le geste de la main de Camille qui sonde déjà l’endroit où il cache le sien. Lui se laisse faire, mais ne reste pas inactif et dénoue la cordelette de ce masque qui tombe à terre. Elle défie ( de défier pas de défaire) les boutons de sa braguette, mais au lieu de les détacher, elle tire dessus de toutes ses forces un par un pour qu’ils sautent dans tous les coins de la pièce et passe la main dans l’ouverture aussi faite et ressort avec la trique et les 2 boules de monsieur. Car il est déjà à ce stade d’évolution, la situation doit être agréable pour lui en regard de la taille de l’objet maintenant bien visible. Bande-t-il depuis un moment ou réagit-elle au quart de tour, nous ne le saurons jamais.

- Vous en avez une bien belle, lui dit-elle, allongez-vous sur cette banquette, une petite turlute lui ferait peut-être du bien à la condition que vous contiez minette à ma copine Marion, d’accord?

Je reconnais la gentillesse de ma Camille qui veux me faire participer d’ une façon très agréable au divertissement qui va suivre, lui, approuve rapidement, enchanté de l’aubaine.

Elle le fait coucher sur le dos, les fesses au bord du banc, elle s’agenouille entre ses cuisses, et commence des léchouilles sur ses couilles bien rasées comme l’ensemble de son service-trois-pièces.

J’ai tout de suite saisi ce qui a traversé l’esprit de Camille, la longueur du banc est calculée au millimètre près, la tête de notre coalisé est juste au bord, je retrousse ma robe et j’ai juste à m’assoir sur sa poitrine pour que ma tirelire soit à portée de sa langue. Je lui décerne le titre d’employé modèle du mois, car il fait face courageusement à toutes les fantaisies de ses clientes.

J’approche doucement ma minette, qui commence à s’humidifier, de cette bouche souriante et gourmande qui me dépose un baiser qui me fait frissonner.


- Votre fente est à croquer dans cet état de dénuement.

- Et bien ne vous privez pas de la grignoter, votre bite aussi est ravissante, fais-je en jetant un œil derrière et contemplant Camille qui la lèche de tout son long en la branlant.

Ma craquette s’épanouit sous les coups de langue de notre hussard, sabre brandit fièrement que bichonne Camille.
Il fait monter en moi une émotion que j’adore partager avec ma camarade et pour cela je me retourne. Une jambe sur la banquette et l’autre arrimée au sol je présente mon postérieur au nez de mon bienfaiteur, il peux à loisir savourer mes deux soupiraux qui soupirent de désir.

Maintenant que je suis face à Camille, par des regards taquins, nous nous excitons mutuellement encore plus en observant les marques du plaisir qui envahit le visage de l’autre.

Ma rivière souterraine est en crue, le traitement parfait que je subis ne me laisse pas d’autres possibilités, mais je crois que notre esclave adore cela car sa langue ne me quitte pas ( comme dirait Jacques Brel) et fouille délicieusement tour-à-tour mes deux grottes, Camille maintenant est agrippée à sa belle queue qu’elle engage et fait coulisser entre ses lèvres voraces, une bite d’environ 16 à 18cm, je suis devenue experte et je ne me trompe pas souvent quand je calibre cet appendice. Elle me fait un clin d’œil, je crois qu’elle sent que notre poteau est cuit à point, cela m’ensorcelle de plus belle et mon cerveau me prédit que je me rapproche dangereusement du plaisir ultime et je suis sûr que dès que je verrai Camille, au bout de sa peine, recevoir le fruit de son labeur, je jouirai intensément.

Elle s’active de plus en plus, ses lèvres frottant son gland avec acharnement et sa main s’affairant sur la hampe qu’elle agite avec une extrême vigueur, ne laisse aucun doute sur l’issue fatale et imminente.

Soudain c’est l’exaltation finale, sans même la prévenir oralement, ce qu’elle n’a que faire car elle veux tout recevoir et déguster, je vois son bassin se contracter plusieurs fois signe qu’il décharge dans sa bouche, de mon côté, je ne peux pas arrêter la vague qui submerge la digue et inonde la bouche de notre chevalier servant.


Camille a bien du mal à garder la sauce qui s’écoule le long de sa queue, malgré ses lèvres qu’elle essaye de maintenir serrées et ses doigts qu’elle agite pour bien évacuer les dernières gouttes, et après avoir continuer à sucer 2 à 3 minutes le sexe toujours bandé de notre éjaculateur, elle aspire la totalité du foutre qui s’est évadé sur son pubis, sa main et le pantalon du pyromane, puis elle ouvre sa bouche pour me montrer la quantité de crème dont l’a gratifié notre éphébe, et je peux vous certifier que c’est une belle giclée, elle la savoure quelques instants avant d l’avaler avec délice.

Pendant ce temps, il continue de vivement me lécher l’abricot. Je redescend lentement de l’extase ou je suis montée, lui aussi a dû boire une belle ration de mouille.

Exténues tous les 3, nous nous réajustons, pour nous les filles c’est facile, mais je vous rappelle que lui n’a plus de boutons à sa braguette, mais cela ne le préoccupe pas et n’en a que faire.

- C’est la première fois mes amours que je le fais avec 2 filles et c’est absolument merveilleux, vous m’avez donné le plus grand bonheur de ma vie.

Pour le remercier, nous lui donnons un petit bisou sur la bouche et nous poursuivons notre chemin.

A suivre.

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