Camille Et Marion Font Leur Shopping 04.

Notre prochaine étape, c’est un magasin situé dans une galerie marchande, cette fois c’est moi qui sera la vedette mais cela n’empêche pas Camille de participer. Là aussi nous avons repéré un vendeur d’environ 30, 35 ans, mais d’un chic et d’une élégance qui nous donnent envie.......

Je prends un maillot de bain au hasard et me dirige vers la cabine d’essayage, et là, devant Camille, j’enlève tout et me retrouve a poil sauf que j’en ai plus.

- Va vite le cherche, dis-je à Camille.

Elle part aussitôt, et met un bon moment avant de revenir. Je trouve le temps long, mais bon il doit être occupé avec une autre cliente et elle attend qu’il soit libre. Soudain j’entends des pas et une conversation.

Camille entrouvre le rideau et dit:

- Allez-y passez.

Et là surprise, je vous entrer un petit gros avec une bedaine à la sergent Garcia, suivi immédiatement par son alter ego, je crois avoir la berlue et voir double, aucune différence, en plus ils sont habillés pareils avec tee-shirt et short. Sur un des maillot, il y a la mention » Je suis né le premier » et sur l’autre «  je suis né le second ». Qu’est ce que c’est que ce bins comme dirait Jacquouille.

- J’allais chercher qui tu sais, lorsque je suis tombée sur ces 2 jumeaux, me fait Camille, et j’ai soudain eu envie de voir si tout est identique chez eux

- Ne faites pas une tête pareille, leur dit-elle, vous n’avez jamais vue une fille toute nue?

Finalement ce n’est pas une mauvaise idée, je la trouve assez rigolote de comparer leur carotte à nos deux Ménechme.
Mais peuvent-ils la voir sans se pencher dangereusement en avant quitte à perdre l’équilibre, leur abdomen me fait penser à des pâtissons.

Premier et second sont toujours muets de surprise, ils n’ont pour l’instant pas piper mot depuis leur entrée, et moi les piper j’ai une envie irrésistible de le leur prodiguer.



- Voyons voir l’effet que tu leur fais, propose Camille en tripotant l’endroit adéquate de second.

- Oh, fait-elle, je sens une brindille!

A mon tour, je vérifie si premier possédé un Popol . Oui j’en caresse la partie terminale sur le fin tissu qui le dissimule. Le pelotage produit un tout petit effet: un bout de tuyau durcit mais sans vraiment augmenter de volume.

J’entends un ZIP et je vois la main de Camille disparaître dans la braguette de second et bientôt en ressortir, tenant quelque chose qui ressemble à une bite qu’elle a du mal à extirper et qui ne dépasse pas de plus de 6 ou 7cm. Elle s’agenouille, l’embouche et initie un va et vient qui le déride enfin ( le garçon, pas le chibre ).

- Oh oui allez-y mademoiselle, c’est bon.

- Un jumeau doit faire tout pareil que son frère, dis-je, en baissant la braguette de premier.

Me positionnant parallèlement à Camille, je l’imite en tous points, et nous les suçons, l’introduction de l’engin est courte, car d’une part la bite n’est pas énorme mais en plus nos têtes buttent sur le ventre de nos Bibendum Michelin. J’ai l’impression de faire du trampoline avec mon front.

- Comment est la tienne? Me fait Camille, en s’arrêtant et me présentant le résultat de son labeur.

- Pas mieux, réponds-je, en stoppant pour l’exhiber à Camille.

Et ce sont bien de vrais jumeaux, car aucune différence, ils possèdent tous les 2 une même jolie petite queue, mais elle n’est pas grosse, ba comme disait mon grand-père «  ce qui est petit est mignon »

Pourtant, j’en ai jamais observé des si minuscules, quelle guigne, avoir de si gros ventre et une si modeste bite, des demi-portions dirait ma grand-mère.

- Voulez-vous faire visiter nos terriers à vos gentils souriceaux? Demande Camille.

- Oh oui, répondent-ils en chœur.

- Vous avez des capotes? Dis-je.


Ni l’un ni l’autre n’est équipé de ce produit indispensable, signe qu’ils ne doivent pas mettre la quenelle dans le shaker tous les jours, la probabilité pour que 2 superbes filles leur proposent le grand jeu cet après-midi doit être égale à celle de toucher le gros lot a l’euro million.

- Eh bien un gage pour vous, dis-je, vous allez chacun votre tour en chercher une boîte à la pharmacie en face sans remballer zézette, et Camille ira avec vous pour vérifier que personne ne triche.

Ils n’osent pas partir dans l’état d’excitation qui est le leur en ce moment, car leur affûtiau , tête en l’air, transperce leur braguette et fier comme Artaban il montre son petit nez rouge.

Ils tentent de faire baisser pavillon à leur clarinette, mais m’en apercevant, je les taquine malicieusement en me dandinant devant eux et présentant mes attraits coté face et côté pile.

- Vous aimez ma mounette bien rasée? Et mon petit cul? Il est pas mignon!

- Allez dépêchez-vous dit Camille nous n’avons pas que ça à faire.

Et elle prend premier par la main, bite au vent et l’entraîne hors de la cabine sa queue, n’ayant pas à vu d’œil subit de modification, dépasse toujours légèrement, mais au regard de sa taille personne ne va même la remarquer, dommage!

Pendant ce temps je continu d’entretenir celle de son jumeau pour qu’elle reste au sommet de sa forme, elle est minuscule mais d’une consistance bien ferme. Aucune différence de goût ou de forme avec la précédente. Elle possède une bonne saveur de bite, un fouet intense qui, envahissant mon nez, le transfert directement à mon cerveau qui ordonne à ma grotte d’exploser son record d’hygrométrie, moi j’adore cette odeur enivrante de queue et pour le sperme c’est pareil, je préfère un bouquet puissant qui stimule mes neurones sexuels, j’ai horreur d’une crème insipide, il me faut une exhalaison de fleurs des champs et de poisson abandonnés pour bien réveiller la coquine qui somnole légèrement en moi.


Je n’y vais pas trop fort car je voudrais bien savoir comment il va mettre son petit jésus dans ma crèche.

Enfin Camille revient avec premier.

- C’est un pharmacien? Demandé-je.

- Non, dit Camille, c’est une gentille pharmacienne, elle lui a refiler du XS en fonction de la description que je lui ai faite de l’engin. Elle aurait pu la reluquer de visu mais avec le comptoir qui la cachait, elle n’a pas pu l’apercevoir ou a fait semblant de ne pas l’avoir remarquée.

Mauvaise langue, je penche pour la 2ème solution et j’imagine sa confusion quand elle va revoir la même scène 3mm plus tard, elle va croire devenir folle. Je conseille à second de se tenir à bonne distance du comptoir pour lui faire un petit plaisir.

Camille repart avec lui et moi je propose de les attendre agréablement.

- Monsieur premier, aimeriez-vous goûter à ma fleur?

Il n’est pas contre et même franchement pour, je pense que cela revigorera sa mèche qui a plutôt tendance à s’éteindre sans toutefois risquer de lui faire faire des étincelles.

Je m’allonge sur une petite banquette et il a ma craquette à disposition et il ne s’en prive pas, sa langue s’insinue entre mes lèvres et elle s’active sur mon clito, du bout de celle-ci il l’oblige à se montrer hors de sa cachette, sa langue continue directement sur mon bouton de rose, tout rouge, il gonfle comme un micro pénis et ma grotte s’inonde prête à recevoir une petite visite.

Mais ce petit plaisir est interrompu par le retour de Camille et second.

- Alors? fais-je à Camille.

- Quand elle nous a revu, dit-elle, elle m’a demandé si la taille ne convenait pas?

- Oh la pauvre! fais-je.

- Je lui ai dit que tout allait bien et qu’elle pouvait vérifier le calibre elle-même en lui désignant de la main la bite de second qui se tenait à bonne distance comme tu le lui avais demandé.
Après un moment de stupeur quand elle a aperçu son zobi, Elle s’est penchée en avant, s’est mise à rire et elle a confirmé que c’était bien du XS qu’il nous fallait et que de toute façon elle n’avait pas plus petit, me raconte Camille par saccade tellement elle se marre.

En même temps, comme dirait Macron, elle se désape et les garçons s’équipent, nous sommes tous prêts pour grimper aux rideaux, mais vu le poids de nos partenaires, ceux-ci pourraient bien se décrocher.

A suivre.

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