Collection Escorte. Ça Booste Mon Commerce (1/1)

- Pour une fellation !
Qui vous a donné mon numéro.
Christian du 2A.
C’est bon, c’est un gars sûr.
Je regarde mon planning.
Je peux vous proposer jeudi 16 heures.
Je comprends, il serait difficile de faire gober à votre femme que vous descendez la poubelle à cette heure là.
À quelle heure pensez-vous la descendre.
21 heures après le dîner ok, Alain du 3C c’est noté.
Christian vous a donné mes tarifs.
C’est exact, 50 € la sucette.
Et il vous a mis au courant pour le parcours et les couleurs.
C’est ça, pour les fellations c’est le parcours la plus courte flèche bleue.
Alors à jeudi.

Voilà, encore un nouveau client de plus.
Je m’appelle Loubna, j’étais venue en France pour étudier afin de pouvoir racheter une ferme et élever des moutons dans mes montagnes marocaines.
J’avais 20 ans lorsque je suis arrivée.
Rapidement j’ai eu des problèmes financiers la vie à Paris étant loin d’être facile.
J’étais ce que l’on appelle une indépendante allant d’hôtel en hôtel courir le client et me faire de jolis billets.
J’ai toujours su différencier mon corps où se trouve mon cerveau et mon sexe que j’offre aux hommes contre monnaies trébuchantes.
Mon commerce allait bien quand le confinement m’est tombé dessus.
Du jour au lendemain, plus de client dans les hôtels et plus de passes à y faire.
Confinée dans ma résidence ou je venais d’emménager.
Tout un quartier avec ses dix petits immeubles de six étages avec parking souterrain.
Ce nouveau quartier édifié après la fermeture d’une usine ayant décentralisé.
Le loyer est conséquent pour ces quatre pièces, mais facilement payables avec mon chiffre d’affaires d’avant crise de la corona
Avant la crise mondiale due à la pandémie, j’ai cru être obligée de puiser dans mon bas de laine.
La chance a tourné quand me promenant entre les immeubles comme la loi nous l’autorise pendant une heure, je tombe sur un garçon qui m’est connu.



- Loubna, que fais-tu là, si on m’avait dit que je tomberais sur ma petite pute favorite devant mon immeuble.
- Je te remets, tu es le réceptionniste à qui j’ai remis mes cartes que tu distribues aux clients voulant éviter de finir la nuit seule.
Merci d’avoir fait de moi ta petite pute favorite, mais reconnais que je sais te récompenser quand je redescends, avec un beau billet.
- Avec tes tarifs, tu en gardais assez mais c’est normal c’est avec ton cul que tu les gagnais.
- Tu connaissais mes tarifs, hélas tout ça s’est arrêté jusqu’à quand je l’ignore.
- Et si je t’aidais à ce que tout cela redémarre de façon un peu différemment.
- Tu m’intéresses, mais le confinement.
Je me vois mal dire aux policiers que je suis escorte et que je vais chez des clients faire une passe.
- Et si les clients venaient à toi !
- Chez moi, tu es fou Christian me prosti ici, je vais me faire massacrer et le virus, je vois mal baiser avec les risques que cela comporte.
- Réfléchi, dix immeubles de six étages et quatre appartements par étages.
240 hommes tous confinés.
Tu ajoutes les fils de 18 ans faisant leurs études même si tous hésiteront à tromper leurs femmes ça fait une possibilité de clientèle importante.
- Oui c’est envisageable, mais je devrais baisser mes tarifs !
- Sur, mais comme les clients viendront à toi, plus de fringues ultra chères dans ton budget sans conter le maquillage et les déplacements en taxi.
Un simple peignoir suffira.
Si tu es d’accord laisse-moi faire.
Je vais chercher du matériel, j’ai mes entré dans un magasin de bricolage, j’irais récupérer tout ce qu’il nous faudra pour te sécuriser par rapport à tes clients.
Quant à moi, aucun risque que je te refile cette saloperie, je sors de 21 jours de confinement.
Fièvre, très grosses fièvres avec toue, que mon corps a su combattre m’immunisant de cette saloperie.
- Et les clients, ils sortiront de 3A pour aller au 5C, ces allées retours seront vite suspectes.

- Surement s’ils passent par l’extérieur, mais l’architecte a prévu des couloirs entre les différents garages ce qui va leur permettre de passer d’un immeuble à l’autre sans se faire voir.

Voilà comment tout a recommencé pour moi.
Christian avec sa profession savait comment aborder les gens et rapidement mes premiers clients sont venus me voir.
L’appartement a été délimité suivant les envies des clients.
Fellation flèches bleues jusqu’à une paroi de plexis où le client me voit avec un trou assez grand pour que je passe ma main pour que je puisse masturber avant de pomper jusqu’à éjaculation.
Baisse par ma chatte, parcours rouge, jusqu’à la chambre ou le client voit mon corps dépasser du lit mes jambes aux sols avec là encore une paroi de plexi empêchant toute possibilité à mon client de me postillonner dessus.
Quand l’homme le désire comme il me paye 150 € il a le droit de me sucer la chatte avant de me pénétrer.
Le parcours jaune suit le parcours rouge, mais c’est un plexi me permettant d’être en levrette pour que le client puisse me faire la totale jusqu’à la sodomie.
Pour le paiement le client paye en liquide et place le ou les billets dans une fente ou je les récupère avec des gants aux mains avant de les mettre dans une boîte que l’on passe dans une étuve dans ma cuisine faisant cramer ces saloperies s’ils sont contaminés.
Bref, Christian a tout prévu même que les hommes seraient les rois de la descente de poubelle alors qu’avant c’était tout un poème pour qu’ils se dévouent.
Ça fait deux semaines que j’ai repris mon turbin, j’ignore combien de temps tout cela va tenir mais en attendant je vais souvent à ma banque où je dépose dans leurs boîtes des enveloppes pleines de cash.

- Loubna ?
- Oui.
- Vous faite les femmes.
- Active ou passive.
- Passive, c’est toi qui me lécheras.
- Alors d’accord, quand voulez-vous ?
- Tout de suite, le temps de faire les couloirs il faut que j’aille au croisement central avant de récupérer le réseau des bâtiments C.


Je comprends mieux pourquoi au lieu d’être numéroté de 1 à 10 les bâtiments ont des lettres elle donne le parcours souterrain.
Avant que la jeune femme arrive, je nettoie le plexi qui va nous servir de protection entre cette fille et moi.
Pour les filles, je prends le tarif péné homme, 150.
Ça sonne, chez moi, je vis nue, j’enfile mon peignoir.

- Suivez les flèches rouges jusqu’au plexi, je travaille en sécurité, Christian a dû vous le dire.
- Bonjour.
- Jennifer, que fais-tu là !

J’avais été étonné du tutoiement lors de la prise de rendez-vous à un certain moment.

- Je suis lesbienne et avec ce confinement, impossible de trouver des amies.
- Qui t’a dit qu'une pute travaillait dans nos immeubles.
- Francesca, son mari est l’un de tes clients, tu sais le grand blond beau gosse.
- C’est sa femme qui t’a dit que je tapinais ici.
- Oui, ils sont échangistes et même s’il aime sauter sa femme, d’autres chattes que la sienne lui manquait, il a payé pour passer un moment avec toi.

J’ignore si cette Francesca lui a tout dit, surtout que Valborg quand il m’a enculé m’a dit que sa femme lui refusait ce plaisir.
Mais c’est leur affaire, moi ce qui m’intéresse c’est de remplir mes enveloppes et de tout déclarer à l’administration comme travailleuse du sexe payant ses impôts.

- Jennifer, tu as deux s c’est quand tu les faisais jouer dans le bac à sable, tu les as eus naturellement.
- Oui, j’étais mariée quand j’ai découvert ma bi-sexualité avec Alice ma copine.
Sacha mon mari nous a surprises un après-midi et en a profité pour faire sa valise.
Avec Alice, ça a été une passade et elle est partie butiner ailleurs.
La douceur d’une femme me manque.

Je m’attache à la satisfaire, à un détail près, je refuse ses billets quand elle me les sort de sa poche.

- Mets-les dans la tirelire de tes s, la vie va être dure pour eux.


Voilà, mon bisness roule.
Le soir vers 21 heures, par le réseau souterrain je vais rejoindre Christian.
Nous roulons sur son lit et c’est à ce moment que mon corps s’embrase.
Il sait très bien y faire avec les femmes ou au moins avec moi.
Là ou mon corps était passif ou est passif avec mes clients est très actif et nous sommes un couple fusionnel.

Le confinement est levé et nous quittons Paris.
Nous sommes dans mes montagnes marocaines ou grâce à mes économies et celles de Christian nous élevons 5 000 moutons.
Wafia mon amie de jeunesse ignorant comment j’ai gagné notre fermage, m’aide car elle possède des milliers de ces petites bêtes qu’elle vend pour les fêtes de l’Aïd.
Objectif pour nous cette fête ou les moutons sont abattus par milliers.
J’ai été pute qui ici le sait ou le saura nous permettant de vivre heureux.

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