Collection Cocu. Le Poulain. Fin De La Saison Vi (24/24)

Je viens de comprendre pourquoi Aisy mon amie m’a dit qu’Élisabeth était une petite peste.
Croyant que j’étais devenu complice avec elle, c’est dans une cave d’un autre temps que je me suis trouvée enfermée quand elle m’a apporté la clef que son père cachait dans sa table de nuit.
Un moment, j’ai eu peur de rester jusqu’à la fin de mes jours parmi les objets de s qui tapissaient cette cave voutée qui devait couvrir la plus grande partie du château de Lord Cromwell mon amant.
J’ai passé le temps en me donnant du plaisir sur un banc ayant cinq godes de plus en plus gros.

- Ce banc est un banc de fidélité.
- De fidélité ?
- Oui, un mari qui avait un doute d’être cocufié par sa femme, venait demander au Lord de lui faire subir l’épreuve des godes en bois.
Ça se passait devant tout le clan à l’extérieur du château.
Le banc était amené et la femme aussi.
Comme tu la fais, il lui fallait s’empaler sur les bites de la plus petite à la plus grande.
Suivant la grosseur qu’elle s’enfilait, le lord pouvait savoir si cette femme était une femme enfilant la petite bite de son mari ou les plus grosses verges des hommes du clan.
- Heureusement, je me suis arrêté au troisième, après je me serais fait éclater la chatte.
- Détrompe-toi, c’est seulement à la deuxième verge que la femme était reconnue femme fidèle.
À la troisième, il y avait doute et la femme, avait le droit à vingt coups des ceintures qui tiennent nos kilts après avoir été placés sur ce pilori.
- Ça s’appelle un pilori !
J’en ai vu dans des films du Moyen Âge, mais j’ignorais comment ça s’appelait.
Vingt coups de ceinturon, ouahou !
Mais, dis-moi, ton épouse était adepte de ces jeux de domination.
- Pourquoi cette question ?
- Tu as dit que tu avais fermé cette salle depuis la mort de ta femme !
- Très pertinent !
Oui, nous venions presque tous les jours nous amuser sur ces croix où elle aimait être attachée.


Elle avait eu une existence très rigoriste, élevée dans des collèges où les sévices corporels existaient.
Quand je lui ai montré cette salle, elle a voulu en essayer une partie.
- Même les godes en bois ?
- Oui, mais elle s’enfilait le cinquième avec, je dois le reconnaître un peu de difficulté.
- Du temps où ça se passait à l’extérieur devant tout le clan, que lui faisait-on subir.
Au quatrième, la femme recevait quarante coups de ceinturon.
- Et au cinquième, le gode suprême ?
- Ce sont tous les hommes du clan qui la fouettait avant qu’elle en devienne leur pute, elle était placée dans une maison hors du village et chacun pouvait venir la sauter.
La seule chose qui l’obligeait, c’est le mari qui devait continuer à la nourrir.
- Il devait la nourrir malgré qu’il soit cocu !
- Le clan considérait qu’il était le responsable, car il l’avait laissé trop libre.
De plus, ça évitait qu’un homme voulant se séparer de sa femme en trouve une autre en ce servant de ce motif.
- C’était des mœurs barbares, mais, dis-moi, tu as donc livré ta Lady à toute la population !
- Non, entre-temps, nous avons évolué sur la physiologie des femmes, certaines sont serrées, d’autres très larges, c’était le cas de Lady Ashley mon épouse.
Aller vient, il est temps que nous allions nous coucher, demain, je choisis ma future épouse, tous les clans sont réunis.
- Avant, tu dois me punir en me plaçant dans le pilori.

Je me lève, j’ôte ma robe et je viens me présenter devant le pilori, plaçant mon cou et mes mains dans les parties prévues à cet effet.

- Attends Marie, faisons les choses bien, mettons-nous dans l’ambiance de l’époque.

Il va à un mur et allume une torche.
Il fait le tour de la pièce et en fait de même avec une vingtaine de torches avant d’éteindre la lumière.
L’atmosphère est tout autre, m^me un peu anxiogène.
J’entendrais un fantôme faisant des wous, wous, je trouverais ça normal.

Je me place, il ferme le pilori, me rendant dépendante de son bon vouloir.

- Si j’avais mon kilt, tu aurais goûté de mon ceinturon, mais j’ai largement de quoi le remplacé.

Sur le mur, il y a tout ce qu’il faut pour une flagellation en règle.
Il prend une badine.
Chaque fois qu’il bouge, les ombres produites rendent l’atmosphère pesante.
Je serais seul, je me ferais peur, mais John est là même si je sens que je vais ramasser.

- Tu veux vraiment !
- Je le veux.

On je m’embarque, une fête où il choisira sa femme et une flagellation clouée sur un pilori.
Au risque de me répéter ou est la petite fille qui découvrait son mari entrain de se faire enculer dans sa maison, découvrant le côté rude de la vie.

- Aie !
Pardon John, j’ai été surprise.

Cinq coups me faisant mal, à hurler, mais je veux être forte même si je sais qu’il va épouser une jeune femme de son clan ou d’un clan ami.

- Ça suffit pour une première fois, mais ta position me donne des idées avant d’aller nous coucher.

Il passe derrière moi, j’ai le temps de le voir ouvrir son pantalon.
Flageller une femme doit le stimuler, car il cherche son chemin en moi qui suis dégoulinante d’envie après toutes ces histoires de sadisme.
Sadisme quand il s’agissait des godes en bois sur le banc, mais plaisir d’être pénétré par cette verge qui depuis que je l’ai rencontré sait m’apporter un maximum de plaisir.
J’ai joui quand il m’a pénétré par-derrière en regardant Xavier baiser ma belle-mère.
Je jouis rapidement de nouveau John finissant lui aussi par me remplir la chatte m’apportant un dernier orgasme.

C’est avec délice que je retrouve mes draps après un bain refroidissant mes parties intimes qui ont été très sollicitées.
Surtout mes fesses, j’ai vu dans la glace que mon amant pour une première m’a gatté, car cinq traces sombres barres mon postérieur.

En y regardant bien, je comprends que Lady Ashley aimait se retrouver dans ce lieu maléfique des années antérieures.

- Votre petit déjeuner madame !
- Merci Alisson, qu’est-ce que nous entendons ?
- Ce sont les cornemuseux qui gonflent leurs instruments.
- Et Lord John, ou est-il ?
- Il vous a laissé dormir, mais m’a bien recommandé de venir vous apporter votre petit déjeuner à 9 heures.
Il m’a recommandé de vous montrer la tenue aux couleurs de son clan bleu et vert.
Habillez-vous rapidement pour le rejoindre, il a une surprise pour vous !

Une surprise, j’en ai eu une la nuit dernière lorsqu'Élisabeth m’a enfermé dans la chambre des supplices.
Je remercie Alisson de son aide, car la tenue que je dois porter est typique de l’Écosse.
Chemisier blanc, gilet et robe de même tissu et de couleur que celui que John doit porter.
Une écharpe jetée sur mon épaule complète le costume que je suis fière de portée.
Un chapeau sorte de bêret avec un pompon blanc.
J’espère que toutes les dames sont dans la même tenue, car je me sentirais ridicule devant tous les gens qui vont participer à la fête.
Ouf, c’est le cas, tenue traditionnelle pour tous.
Je sors du château, une surprise est devant moi.

- Mère, que tu es belle.

C’est Jules qui se tient devant moi.
Lui aussi est en kilt aux couleurs du clan Cromwell.
Quand arrêtera-t-il de grandir, il me dépasse de presque une tête.

- Tu es satisfaite que je sois allée chercher ton fils, Sonia ta belle-sœur et son amie Poupette.
- Dis-moi que dans le jet, tu as mis le pilote automatique ?
- Je vais vous quitter, John pour rejoindre la France, Sonia et Poupette, vous m’avez fait passer une nuit inoubliable bien que nous ayons décollé de bonne heure !
- Change de sujet, oui j’ai mis le pilote automatique, mais c’est quand ton fils a pris les commandes.

Les deux jeunes femmes sont, elles aussi aux couleurs du clan Cromwell.

Sont-elles comme moi la chatte à l’air, j’évite de penser à mon fils sur ce sujet depuis que je suis allée au pub avec Aisy.
Je me sens moins seule.
Je m’approche de John discutant avec quatre autres écossais dans des couleurs différentes.

- John, ou est Élisabeth !
- Puni de fête, car elle t’a mise dans une situation embarrassante pendant mon absence.
- Grâce à elle, j’ai découvert ta salle des s et je crois que tu peux t’en réjouir.
Chaque fois que tu m’inviteras, j’aimerais y retourner.
- Ce que femme désire !

Il donne des ordres et une demi-heure après, l’incident est clos du moins, je le crois.

- Marie permet moi de te présenter mes excuses, j’étais jalouse que tu risques de m’enlever mon père.

Le tout dit avec une gracieuse révérence comme si j’étais la reine de ce pays écossais.
Lord John me présente les quatre chefs des autres clans présents ce jour.

Le clan Macdonald, Fraser, Grant, les Mackenzie et bien sûr le nôtre, les Cromwell.

- Que la fête commence !

Voilà, la saison six, touche à sa fin, dans quelques jours que va-t-il se passer dans cette fête, Chris71 vous invitera à y participer le temps de l’écrire.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!