La Femme De Mon Collègue

LA FEMME DE MON COLLEGUE
Il vous arrive parfois de vous retrouver dans une situation totalement inattendue, l’expérience que j’ai vécu s’est déroulée il y a pas mal d’année, j’avais la 40aine, disons qu’a cette époque j’étais beaucoup plus séduisant que maintenant (sourire). Le témoignage que je vais vous raconter n’est pas spécialement une aventure torride mais elle a le mérite d’être authentique.

Mon collègue Jean vient me voir dans mon bureau, en m’expliquant qu’il est très ennuyé, sa voiture est tombée en panne, il a dû la faire remorquer, le garage avait pas de véhicule de courtoisie disponible à lui prêter, mais surtout qu’il avait dans son coffre des courses qu’il fallait récupérer, comme jean est un homme très sympathique que j’apprécie particulièrement, très professionnel aussi, voilà plus de 10 ans que nous travaillons ensemble, je lui propose d’emblée de le raccompagner chez lui, il me remercie chaleureusement, confus de me déranger, je lui rétorque que cela me dérange pas du tout, bien au contraire, ravi de lui rendre service.
Nous voilà devant chez lui, Jean tient absolument à ce que je vienne boire un pot, devant son insistance j’accepte l’invitation, on décharge les courses que nous avions récupéré au garage , nous rentrons , il appelle son épouse, il me présente Louise, c’est une petite femme un peu rondelette, une brune aux yeux vert, cheveux mi- long, ce qui m’interpelle de suite c’est son regard, elle a une façon de me regarder qui est plutôt troublant, elle est vêtue d’un teeshirt blanc qui fait bien ressortir sa poitrine avantageuse, elle porte une jupe en jeans très évasée, en exagérant un peu je pourrais la décrire comme la forme d’une ombrelle ouverte, ça lui arrive à mi cuisses, on peut pas dire que c’est une très belle femme, mais elle a ce petit quelque chose qu’on appelle le charme.
Nous nous installons dans leur salon, moi dans un fauteuil voltaire, eux en face dans le vieux canapé en cuir, les coussins doivent être bien usés car ils sont bien enfoncés dedans et tout de suite j’observe que j’ai une vue plongeante sur l’entre cuisse de louise, pour l’instant elle a les jambes serrées, la conversation est très joviale, mais son regard est de plus en plus troublant, je m’aperçois quelle a légèrement écarté les cuisses, je peux pas dire si cela est voulu, elle fait ça discrètement, j’avoue que je suis pas à l’aise, Jean a côté se rend compte de rien, il continue a parler, louise de façon naturelle a ouvert un peu plus les cuisses, elle me scrute, mon trouble l’excite, elle accentue l’ouverture de ses jambes, je commence à voir sa petite culotte blanche maintenant, j’ai chaud, situation très embarrassante mais excitante à la fois, je me pose des questions, 20 minutes en arrière je connaissais pas cette femme, là elle me drague d’une façon incroyable, je me demande même si Jean n’est pas complice de cette mise en scène, si c’est le cas, il joue bien la comédie mais franchement je crois pas, il continue à discuter comme si de rien n’était, de mon côté j’ose plus baisser les yeux.


Elle se lève, quitte la pièce, j’imagine qu’elle est parti aux toilettes, Jean me parle boulot, j’ai du mal à suivre ses paroles, j’ai la tête ailleurs, son épouse est de retour quelque minutes après, elle se rassoit, même manège, sauf que là, de façon très naturel, elle écarte un peu plus les cuisses, je suis stupéfaits, grosse surprise, elle a retiré sa petite culotte, je vois sa toison, très fournie d’ailleurs, pour être honnête je suis pas à l’aise ? mais pas a l’aise du tout, j’ai un début d’ érection, comme j’ai un pantalon d’été très léger, j’ai une peur bleu que jean s’en aperçoive, par contre louise a tout compris, avec son petit sourire sur les lèvres et son regard coquin vers mon entrejambe, si c’était le but de me faire bander, elle a réussi, je suis carrément a l’étroit dans mon slip, j’ai tellement le trac que mon collègue s’en aperçoive que je croise mes jambes, je me sens ridicule, elle m’a piégé, c’est une situation plus qu’embarrassante, d’ailleurs je regarde ma montre en disant à mes hôtes qu’il se fait tard, qu’il est grand temps que je me sauve, je sais l’excuse est banale, mais là je ne gère plus trop la situation, faut que je fuis c’est vraiment le mot qui convient . Mais je me dis que si je me lève du fauteuil tout de suite Jean va s’apercevoir dans quel état je me trouve, je poursuis donc un peu la conversation avec mon collègue en évitant de la regarder, je la sens contrarié d’ailleurs, pas grave, tout est rentré dans l’ordre, j’en profite pour prendre congé de mes hôtes.
Je n’ai pas donné suite à cette aventure, je me voyais mal tromper mon collègue avec qui je bossais tous les jours, il devait être suffisamment cocufié comme ça à mon avis.


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