La Collegue De Ma Femme

Sylvie travaillait dans un hôpital. Elle avait pour collègue une femme, Patricia, qui me faisait fantasmer. Plus jeune, une belle silhouette. Je ne cessais de penser à ses seins, ses cuisses charnues et ses hanches larges faites pour l’amour. Sylvie, mon épouse, me vantait ses qualités à tout bout de champ. Elle me parlait de ses amants. Je discernais une certaine envie dans ses propos.
- Elle est belle et tous les hommes lui courent après.
J’étais un peu dégoûté. Si vraiment cette belle femme couchait, pourquoi pas avec moi ? Il fallait que je tente ma chance. Enfin, comment réagirait Sylvie si elle s’apercevait que je faisais la cour à sa collègue ? Un après-midi, je me suis invité à prendre un café sur le lieu de travail de mon épouse. La belle Patricia était venue se joindre à nous. J’ai tout de suite cherché à lui plaire, j’essayais de briller, je faisais tout pour la faire rire. En connaisseur, je pouvais lire dans ses yeux que je ne lui étais pas indifférent et Sylvie se rendait bien compte de quelque chose.
- Arrête de la draguer, sinon je vais finir par être jalouse.
L’instinct féminin ? C’est pourtant ma femme qui a proposé d’inviter le couple un soir à dîner à la maison. C’était le moment ou jamais de me montrer audacieux. J’ai tout préparé avec soin. J’ai acheté le champagne, les vins, et j’ai moi-même cuisiné. J’ai dressé la table avec ce que nous avions de plus beau. Un vrai repas de fête.
J’ai tout de suite remarqué que le mari de Patricia, grand, bien physiquement, jetait des regards vicieux sur ma moitié et que ma femme de son côté ne paraissait pas insensible à son élégance décontractée et à son aisance. Trop préoccupé par Patricia, je ne m’étais pas aperçu que Bruno draguait ma femme. Ça m’a tout de même fait un choc ! Mais il me fallait faire la conquête de sa collègue qui répondait à mes attentions appuyées. Le repas s’est déroulé dans la bonne humeur. Les plaisanteries fusaient. Nous éclations de rire pour des bêtises.

Le vin nous aidait à ne pas penser à ce qu’il pouvait y avoir d’ambigu et de non-dit dans les intentions de chacun. Sous la table, mon pied, sans que je l’aie fait exprès, s’est retrouvé contre celui de Patricia qui n’a pas retiré le sien. Il me semblait que parfois Bruno posait sa main sur la cuisse de Sylvie. J’ai fini par comprendre que nos nouveaux amis avaient manigancé cette rencontre à quatre.
Après le repas, j’ai éteint la lumière. Il ne restait plus que la lueur des bougies. J’ai mis de la musique d’ambiance pour combler le silence pesant. En fait, je ne savais plus trop ce que je désirais. J’ai été pris d’un sentiment de panique lorsque j’ai vu que Sylvie allait s’allonger sur le canapé et que Bruno la rejoignait. Elle a posé sa tête sur ses genoux et fermé les yeux.
Patricia se trouvait dans un fauteuil à l’autre bout de la pièce. Elle me souriait. Partagé entre mon désir pour elle et ma rancœur de voir Sylvie s’abandonner si facilement aux caresses d’un autre, je me suis assis à ses pieds. J’avais bu. La tête me tournait. Patricia a passé ses doigts dans mes cheveux. La main de Bruno s’est glissée sous le léger corsage de Sylvie qui se laissait peloter les seins. J’ai enlacé les genoux de Patricia. Elle s’est penchée vers moi et m’a donné sa bouche. Nos lèvres se sont frôlées. Sa langue s’est promenée sur ma peau. Ses regards tendres me troublaient. Nous nous sommes mangés de baisers. Elle s’est laissée glisser sur le tapis à côté de moi.
- Tu me plais beaucoup, Alain.
Elle m’a murmuré ces mots à l’oreille d’une voix chaude et j’ai basculé sur elle. Mon genou a séparé ses cuisses. Nos ventres se sont collés l’un contre l’autre. Je sentais son pubis contre ma verge qui enflait. Ma main a froissé son chemisier pour atteindre ses seins. J’ai retroussé sa jupe pour ôter son string.
- Attends.
Elle a retiré ses vêtements un à un, libérant ses seins lourds et dénudant son ventre, ses cuisses. Puis elle a tenu à me déshabiller.
La pâle lumière des bougies soulignait ses courbes. Je bandais. Nous nous sommes retrouvés nus l’un contre l’autre.
Je n’ai pas pu me retenir de jeter un coup d’œil sur le canapé où Sylvie, les jambes relevées, avait un homme couché sur elle. Bruno baisait ma femme. Cette image, ce jour-là, au lieu d’aiguillonner mon désir, m’a effrayé. Je l’ai entendue gémir et j’ai débandé aussitôt. J’ai contemplé un instant Patricia nue couchée sous moi. Elle était belle et chaude. Elle m’a attirée vers elle et a saisi ma verge pour lui redonner vigueur.
- Viens, Alain, j’ai envie de toi.
Alors, je n’ai plus pensé qu’à elle et je l’ai pénétrée. C’était doux et fort à la fois. Nous sommes restés longtemps ainsi, soudés l’un à l’autre. Elle me laissait faire, accompagnant mon rythme d’un mouvement lent et lascif de tout son corps. Elle me regardait de ses yeux chavirés et me souriait. Je pouvais lire sur son visage le plaisir qu’elle éprouvait. Je me sentais fort et sûr de moi. Je l’ai limée sans ressentir un début de jouissance monter de mes reins. J’ai accéléré l’allure sans plus de réussite.
Bruno, assis sur le bord du canapé, fumait, tout en me regardant enconner sa femme. Sylvie allongée, les cuisses ouvertes, dormait. Je ne sais pas quelle heure il pouvait être. Patricia s’était mise à crier son orgasme, sans déclencher le mien. Manquant de souffle, je me suis permis une mi-temps. Elle s’est levée et rhabillée le plus naturellement du monde.
- On pourrait se voir samedi, Alain, si tu veux et si Sylvie veut. Je vous appelle. Si vous êtes d’accord, nous passerons le week-end ensemble.
- Tu as envie de me revoir ?
- Bien sûr, idiot !
Sur le seuil, avant de partir, Patricia s’est serrée contre moi et m’a accordé un dernier baiser devant son mari, tout cela me perturbait.
Quand elle s’est réveillée, Sylvie, dégrisée, surprise de se trouver en face de moi alors qu’elle espérait peut-être voir Bruno, a fondu en larmes.
Je l’ai envoyée prendre une douche et je nous ai fait du café.
Après une heure de discussion, elle a fini par avouer qu’elle avait éprouvé du plaisir avec Bruno, à défaut de moi avec Patricia, et que c’était elle qui avait manigancé ce dîner avec Sylvie et Bruno pour se retrouver avec lui et me jeter dans les bras de sa collègue. Cela faisait des semaines qu’il lui faisait du rentre-dedans, et il avait fini par l’entraîner dans sa voiture pour faire l’amour. Cela ne m’avait fait ni chaud ni froid.
J’ai tout naturellement alors pensé au corps de Patricia, j’avais envie de la revoir. Je me suis mis en devoir de déculpabiliser Sylvie en lui expliquant que puisque nous ne parvenions pas à bien faire l’amour ensemble, il ne fallait pas refuser le plaisir que l’on pouvait prendre autrement. Que cela n’avait rien à voir avec l’amour, mais seulement le plaisir des sens, que cela ne troublerait en rien notre mariage, à condition que nous ne nous cachions rien. C’est ce qu’elle voulait entendre, j’avais bien compris qu’avec ou sans moi, elle ferait n’importe quoi pour revoir son amant.
Vis-à-vis d’elle, mes sentiments étaient très partagés. Je ressentais une sourde colère, presque ine, de voir la femme que j’aimais et que j’avais épousée tripotée par un autre. C’était comme si on me volait mon jouet. Ça me faisait littéralement mal au ventre de savoir qu’elle prenait son pied dans les bras d’un autre, alors que je ne savais pas la faire jouir. En même temps, je venais de découvrir autre chose. Voir ma femme les seins nus, les cuisses ouvertes prête à accueillir un homme, m’avait empêché de jouir. Je l’avais observée, tout en caressant Patricia, serrant entre ses cuisses relevées Bruno qui allait et venait dans son con, qui m’appartenait tout de même. C’était sur cette dernière image que j’avais éteint ma lampe.
Un peu plus tard dans la nuit, je ne parvenais toujours pas au sommeil. Surexcité au fur et à mesure que les minutes et les quarts d’heure se succédaient.
À un moment, je rallumai ma lampe de chevet.
- Tu es malade ou quoi ? jeta Sylvie, dressée sur ses coudes. Tu as vu l’heure ?
Elle se bloqua, ahurie. Mon sexe sortit de mon caleçon. Un sexe énorme. Comme je ne l’avais jamais vu.
- Alain, fit-elle d’une voix changée, qu’est-ce… qu’il t’arrive… y a des semaines…
Je soufflais comme un phoque.
- Tourne-toi. À quatre pattes. Fesses en l’air. Et ouvre tes fesses à deux mains.
Effarée, elle obéit. Elle se mit dans la position exacte que je lui avais demandée, celle que j’exigeais d’elle, plutôt. Je la pénétrai avec une violence qui la fit hurler.
- Doucement ! geignait-elle de temps en temps. On va réveiller les voisins.
Je la défonçais comme un Turc.
- Rien à f… des voisins ! Qu’ils viennent. Qu’ils voient comment on baise une salope…
Une heure et demie plus tard, je m’allongeai.
- Excuse-moi, fis-je, je suis un peu fatigué. Je ne t’ai jamais avoué ça, mais si je pouvais te prendre là où…
Sylvie se tortilla.
- Ça va, j’ai pigé. Bon Dieu, pourquoi faut-il qu’on ait attendu douze ans ?
En une heure et demie de temps, nous avions rattrapé treize ans de coinçage. Je me penchai vers elle et lui attrapai le bout du sein gauche avec les dents. En même temps, j’étudiai le visage de ma femme. Mon ex-prude de femme, mon ex-adepte de la position de missionnaire systématique.
Je l’attrapai par les épaules et la collai contre moi, seins battant contre mon torse.
- Sylvie, balbutiai-je, laisse tomber tout ça. Je n’y comprends rien. Tout ce que je vois de clair, c’est qu’après tant d’années, on se retrouve.
Sylvie éclata de rire, seins secoués.
- Je n’ai jamais osé te le demander, murmura-t-elle d’une voix de gorge. Mais il y a des siècles que j’en ai envie. Ça t’ennuierait de me lécher la chatte… ?
- OK, fis-je, mais avant, tu me lèches moi. Tu vois ce que je veux dire ?
Tandis que Sylvie commençait à s’exécuter, je me mis à songer à ce qui allait se produire le samedi prochain…
Le samedi suivant, Bruno et Patricia sont venus nous prendre en voiture. Sylvie s’est installée à côté de Bruno qui conduisait. Je me suis, quant à moi, assis à l’arrière à côté de Patricia qui a tout de suite posé sa main sur ma cuisse et s’est blottie contre moi.
- Je suis heureuse. Nous allons avoir deux journées ensemble, m’a murmuré Patricia.
- Et deux nuits ?
- Si Sylvie consent à te donner à moi…
Nos nouveaux amis avaient le don de rendre tout facile. Personne ne semblait se poser de questions. Je n’éprouvais plus le moindre sentiment de jalousie ou de culpabilité. Ils possédaient un pavillon avec un grand jardin très fleuri. L’après-midi s’est passée au soleil sur la terrasse au bord de la piscine en pin. Je tenais compagnie à Patricia qui bronzait en exposant ses seins lourds. À ma grande surprise, Sylvie pourtant très pudique avait ôté, elle aussi, son soutien-gorge. Parfois elle se jetait à l’eau et Bruno la rejoignait, se frottait contre elle en la bécotant et ça ne me faisait à présent plus rien.
- Ce n’est pas le tout, mais si nous voulons dîner ce soir, il faudrait aller faire les courses, a déclaré Patricia.
Elle a exigé que je l’accompagne dans sa salle de bains et nous avons pris une douche commune. Après l’avoir enduit de savon, je caressais son corps. Elle se colla contre moi, soulevant une cuisse pour que je puisse la pénétrer facilement. Nous avons fait l’amour debout sous le jet de l’eau tiède. Puis nous sommes partis tous les deux à la supérette. Elle conduisait et riait lorsque ma main touchait son sexe sous sa jupe. Elle n’avait pas mis de culotte.
- Arrête, tu vas nous faire avoir un accident !
Quand nous sommes rentrés, j’ai tout de suite compris que Sylvie et Bruno avaient profité de notre absence pour s’envoyer en l’air. Je m’en fichais ! J’aimais Patricia.
Après dîner, nous sommes encore restés à savourer un digestif. Sylvie était allongée sur le canapé et Bruno lui tenait l’épaule. C’est Patricia qui s’est levée la première. Elle m’a tendu la main.
- Viens.
J’ai posé un chaste baiser sur le front de Sylvie et je suivis ma maîtresse. Elle posa un foulard rouge sur l’abat-jour de la lampe de chevet et s’est déshabillée devant moi, splendide et indécente. Elle s’approcha et commença par délacer mes chaussures. Elle se tenait accroupie. Je pouvais voir ses longs cheveux clairs flotter sur ses épaules. Elle a ouvert mon pantalon, sorti ma verge et la lécha avec beaucoup de tendresse.
Nous avons fait l’amour. Ensuite, une grande partie de la nuit, nous avons parlé de nous, de nos goûts respectifs, et nous avons baisé à nouveau. Nous étions insatiables. Au petit jour, tout engourdi de sommeil, je m’approchai d’elle qui me tournait le dos. Je bandais à nouveau. Elle souleva sa cuisse et je l’ai pénétrée tout doucement. Nous nous sommes endormis ainsi, soudés l’un à l’autre.
Le lendemain matin, je retrouvai un peu gêné Sylvie qui avait les yeux cernés. Je l’avais oubliée pendant toute la nuit. Après une grande promenade dans les bois, nous avons déjeuné dehors avant de nous retrouver pour une longue sieste.
Le soir, après dîner, nous nous retrouvions chacun avec le conjoint de l’autre. Sylvie était encore troublée au moment de nous séparer mais je la quittai sans remords pour rejoindre Patricia.
Nous étions à présent complices. En plus du plaisir, nous avions bien des points communs, Patricia et moi. Mais au-delà de tout, je ressentais une excitation perverse et vive à voir ma femme dans les bras de Bruno.
C’était le même sentiment qui me poussait, lors de nos séances de masturbation, à questionner sans relâche Sylvie pour qu’elle me raconte dans le détail chacun des gestes de son amant, qu’elle me répétait combien elle jouissait lorsqu’elle avait sa queue en elle. Elle aussi, ça l’excitait de parler de lui en termes crus. Et nous finissions toujours par baiser dans une étreinte violente qui ressemblait plus à une lutte acharnée qu’à de l’amour. Nous en sortions épuisés et déchirés. Mais grâce à eux, nous avions trouvé un moyen de jouir ensemble.
Bien sûr, je n’en avais jamais rien dit à Patricia. La lassitude a fini par me gagner. Patricia, de plus en plus amoureuse de moi, me le faisait comprendre par ces attentions délicieuses qu’ont les femmes qui aiment, un geste tendre, un regard ému, un cadeau. Mais il y avait trop de sentiment dans cette relation. Je pensais trop à elle, toujours inquiet, attentif à ses réactions, impatient de la retrouver, d’où des occasions manquées et des rendez-vous annulés. Je supportais mal d’être dépendant d’elle, d’eux. Bruno était en effet un homme très occupé.
Patricia, par souci d’équité envers Sylvie, refusait de me voir seul, même pour déjeuner. Si j’insistais, elle prévenait mon épouse et nous nous retrouvions à trois.
Il me fallait donc trépigner en attendant le samedi, son coup de téléphone nous prévenant qu’ils passeraient nous chercher. Bruno, pour cause de travaux, me semblait-il, était de plus en plus occupé. Il avait décommandé plusieurs week-ends de suite. Peut-être se lassait-il de Sylvie qui, elle aussi, même si elle ne me le disait pas, souffrait de cette situation. Peut-être, malgré ses airs sûrs de lui, s’inquiétait-il de voir sa femme trop attachée à mon charme ?
Nos ébats étaient cependant toujours ardents. Patricia aimait que je lui attache les poignets aux barreaux du lit avec ses bas. Je lui liais également les chevilles en lui maintenant les jambes écartées. Elle se trouvait ainsi entièrement livrée à mes désirs. Son corps entravé ondulait, tentait de se soulever tandis qu’elle secouait sa tête et qu’elle gémissait.
Un jour, il y avait sur la table la cravache qu’elle utilisait lorsqu’elle montait son cheval. Je l’ai prise. Je pouvais lire dans son regard de l’angoisse. Avais-je le droit d’aller si loin ? J’ai simplement effleuré ses seins et fouillé sa fente du bout de la tige en cuir, jusqu’à jouissance de sa part.
L’intensité de nos jeux et cette dépendance commençaient à l’alarmer. Elle m’en a fait part. Un soir pourtant, elle a voulu improviser, exigeant même de garder sa culotte. Une lueur sale brillait dans ses yeux. Si j’étais excité, elle ne l’était pas moins que moi. Du bout des doigts, elle enfonçait le fond de son slip entre les lèvres de son sexe. Le geste devait déclencher une onde de plaisir en elle parce qu’elle se cambra et laissa échapper un gémissement, avant de dire:
- Ma culotte est assez mouillée pour toi, ou il t’en faut encore ?
Je répliquai que dans l’état où il était, le tissu n’absorberait rien de plus. Ce n’était pas une serviette-éponge. Elle glissa ses pouces sous l’élastique du slip et, lentement, le tira vers le bas. Je pensais qu’elle prenait son temps pour faire durer le spectacle mais je me demandais si ce n’était pas aussi par précaution, pour ne pas jouir trop vite. En effet, la dentelle était collée à sa vulve. Une fois le slip arrivé au niveau des cuisses, les choses étaient plus simples. Patricia se baissa pour le faire passer sous ses pieds, toujours chaussés de ses escarpins. Ensuite, elle se redressa, et me le lança. Je l’attrapai au vol et enfouis ma figure dedans, déjà enivré par la forte odeur de mouille fraîche qui en émanait.
Tout à mon fantasme, j’oubliai Patricia mais elle s’agrippa à moi pour m’attirer sur la moquette. Je me retrouvai allongé sur le dos. Elle défit mon jeans avec des gestes bien appris avant de s’accroupir sur mon ventre. Le temps de bien viser, et elle s’assit sans ménagement sur ma verge qui s’enfonça dans son vagin comme un couteau dans du beurre tiède. Elle entama un va-et-vient vertical à un rythme effréné. Cette position avait au moins le mérite de laisser tout le travail à ma partenaire. Je saisis l’occasion pour remettre la culotte sur ma figure. La jouissance de Patricia arriva très vite. Je l’accompagnai en reniflant son slip de plus belle. Après, elle m’entraîna sous la douche.
Puis peu à peu nos relations se sont de plus en plus espacées, se faisant même rares. Ma jalousie était réapparue. J’ai pensé que Patricia avait trouvé un nouvel amant. Sylvie également souffrait de ne plus voir Bruno autant qu’elle aurait voulu. Nous vivions toujours avec l’incertitude du week-end. Allaient-ils nous appeler pour confirmer ou annuler ?
Sylvie, ne voyant plus Patricia sur son lieu de travail, reportait sa rage contre moi, m’appelait sans cesse au bureau pour me demander si j’avais des nouvelles. Elle me rendait la vie difficile. Je me suis dit que mon épouse était trop attachée à Bruno. J’ai alors décidé de passer à autre chose. Comme ça, la rupture serait réelle. Je me disais que plus elle aurait d’amants, plus elle me resterait fidèle. Il y avait en moi une sorte de démon qui me poussait en faire le jouet de mes désirs érotiques.
Mes vieux fantasmes reprenaient le dessus…

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