Initiation Et Transformation

18 ans, mon bac en poche me voici inscrit à l’université. En attendant, puisque les vacances sont longues j’ai cherché du boulot pour l’été. Comme je m’y suis pris au dernier moment les places sont rare. Je fini par atterrir, sur les conseil d’un ami au Mc Donald de la rue de Rennes. L’entretien d’embauche se passe assez rapidement. Je découvrirai par la suite que le turn over est tel qu’ils ne font guère la fine bouche. Le surlendemain je me présente au restaurant pour recevoir ma tenue d’équipier. C’est la manager en charge de la gestion du personnel qui me reçoit. Elle est jeune, environ 25 ans les cheveux chatain, plutôt petite. Pourtant il se dégage d’elle un magnétisme, une aura particulière. Je bafouille et baisse les yeux lorsqu’elle me parle. Elle me jauge puis me tend mon pantalon, mon polo et ma casquette. « Tu dois les tenir propre sinon… tu seras puni » dit-elle dans un soupir. Cette phrase m’interroge. Est-ce naturel ou bien a-t-elle sentie en moi ce besoin de me faire punir justement. Je répond d’un faible oui et je les prends. Elle me tend alors mon planning de ma semaine. « Tâche d’être là un quart d’heure avant le début de ta journée pour savoir à quel poste tu es affecté ». J’acquiesce et je sors du bureau, puis du « restaurant ».
Le lendemain je me présente au restaurant. Je vais voir le manager qui s’occupe de gérer les équipiers à ce moment. Il me désigne mon poste et demande à l’équipier présent de me former. Il n’y a pas tant que ça de monde et il a temps de m’apprendre à garnir les différents hamburgers. Puis il me laisse officier. La semaine se passe ainsi, je passe de poste en poste apprenant le métier d’équipier de Mc Donald. Le vendredi soir en partant le manager me donne mon planning pour la semaine dernière. Je m’aperçois qu’il n’a rien à voir avec celui de la semaine précédente. Le plus souvent je suis affecté le matin et je travaille le dimanche mais pas le samedi. Sans me poser plus de question je rentre chez moi et met mon uniforme au lavage.


Le lundi matin je me rend au restaurant. A mon arrivé je pointe et je me présente à la manager présente qui m’affecte au nettoyage de la salle : vider les poubelles, balayer, tenir les toilettes propres et veiller à ce qu’il ne manque de rien (pailles, serviettes, papier toilette, etc…). C’est pour aller chercher des pailles que je dois demander la clef des stocks à ma manager. Elle m’envoie au bureau la demander à sa collègue. Je la revoie ainsi pour la première fois. Je frappe elle me dit d’entrer. Elle est assise à son bureau et son pied joue avec sa chaussure. Je reste interdit je n’arrive pas à lever les yeux de ce pied. Un moment se passe « eh bien ». Je lève les yeux elle me sourit. Je crois qu’elle a senti mon trouble. Je lui explique que je viens chercher la clef des stocks. Elle me désigne le placard où sont rangés les clefs et se remet au travail. Je prend la clef me rend aux stocks récupère le papier toilette et retourne au bureau, les mains chargés de papier toilette. Je frappe avec un coude. Rien. Je frappe à nouveau. Elle vient ouvrir me regarde.
« mais quel empoté tu ne pouvais pas rentrer ».
« ben avec le papier je… »
Elle s’efface pour me laisser entrer et m’ordonne de ranger la clef à sa place. Je lui lance un regard suppliant ne voulant pas laisser tomber tout mes rouleaux. Elle s’approche, me prend la clef qui pend à mon doigt et me déclare « tu pues la sueur. Tu ne peux pas rester en salle ». Je baisse les yeux. Bien sur j’aurais pu protester. Je me suis douché et certes être en sa présence me fait transpirer mais pas au point de sentir mauvais. Au lieu de ça je baisse les yeux et bredouille un pardon. « va ranger tout ça et met toi aux poubelles ». Je me retourne « n’oublie pas de prévenir ta manager ». J’obéis et me retrouve aux poubelles. C’est sur que là je risque de puer avant la fin de la journée. Je découvre qu’aucune poubelle n’a té compactée. J’en ai pour des heures à compacter et à évacuer tout ça. Plusieurs se passent puis elle s’approche du local à poubelle.
Elle jette un coup d’œil souris et me déclare je crois que tu as fini ta journée. Je lève les yeux vers elle et la remercie d’être venue me prévenir. Elle s’approche et me déclare : « là tu pu vraiment ». Rien d’étonnant à cela me dis je et je ne réponds rien baissant à nouveau les yeux. Je ne comprends pas qu’avec elle je sois incapable de dire un mot. « Si tu veux tu peux venir prendre une douche chez moi j’habite pas loin ». Je la remercie et acquiesce. Nous sortons ensemble mais elle me déclare « ne marche pas à côté de moi. Ton odeur est trop désagréable. Suis moi plutôt ». Bon c’est vrai je viens de passer 5 heures à charier des poubelles je ne sens surement pas la rose mais quand même me dis-je et au lieu de cela je bredouille « oui bien sur » et je la suis quelque pas en arrière. Arrivé chez elle. Elle m’indique la salle d’eau. Je m’y rend me déshabille et m’installe dans la baignoire en ouvrant la douche. Elle entre à ce moment. Me découvrant nu. « tient je t’ai apporté des serviettes ». Elle me détaille de la tête au pieds en disant cela. « tu devrais raser tes poils là au milieu, c’est très laid comme ça » et elle sort ; Je ne comprends rien à cette jeune femme ni à ce qui m’arrive. Une fois douché je me rhabille et je sors. Je la remercie. Elle me suggère alors de venir travailler avec une tenue de rechange, comme ça si besoin je peux venir me doucher et me changer ici après. Parce que là ta douche n’a servi à rien.
Je quitte son petit studio, prend mon bus et je rentre à la maison. Là je me déshabille et lance une machine avec mon linge de travail et vais prendre une douche. Je ne peux m’empêcher de me raser le pubis comme elle l’a demandé.
Les jours suivant je me retrouve systématiquement affecté au grill. Poste pas très agréable. Bien sur je crois la croise et chaque fois je baisse les yeux. J’ose une fois lever les yeux jusqu’à son badge où je peux lire son prénom : « isabelle ». La semaine suivant je change encore d’emploi du temps et je ne peux la revoir.
Au bout de trois semaine ls poils de mon pubis commencent à repousser.je les rases à nouveau. Certes j’apprécie de me sentir lisse là mais Elle me l’a demandé. Je me retrouve à nouveau du matin et je la revoie à nouveau. Toujours au grill, la graisse des steaks a tendance à gicler et à tacher mon uniforme. Alors que je quitte le restaurant. Elle m’ordonne de l’attendre. « Ton uniforme est sale ». Je baisse les yeux et bafouille un oui à peine audible. « Et alors qu’est ce qui se passe dans ce cas ? ». La conversation que nous avons eu le premier jour quand elle m’a remit mon uniforme me revient.
« je dois être puni »
« pardon je n’ai pas entendu »
« je dois être puni » dis je un peu plus fort.
«très bien. Nous sommes d’accord. Eh bien suis moi ».
Je me retrouve au milieu de son studio, debout. Elle assise. Elle se déchausse et ne manque pas de voir mon regard sur ses pieds. Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire. Mais je sais, je sens que je vais peut-être voir mon rêve se réaliser : celui d’être fessé, de devenir un jouet dans mains d’une femme.
« eh bien deshabille toi ».
j’enlève gauchement mes chaussures, mon pantalon et mon polo taché de gras.
« le caleçon aussi. D’ailleurs c’est très laid les calçon n’est ce pas ? »
j’acquiesce en enlevant gauchement mon caleçon qui tombe à mes pieds.
« Je vois que tu as rasé ton pubis. C’est pour moi ? »
je répond oui. Elle sourit, m’ordonne de me mettre à genoux, les mains sur la tête et d’approcher d’elle. Je me met à bander. La peur m’a quitté. Elle me demande ce que je veux. Je lève les yeux vers elle. Je plonge mes yeux dans les siens pour la première fois. Et je lui déclare d’une voix ferme et claire
« je voudrais que vous me punissiez ».
Je vois à son sourire qu’elle est satisfaite. Eh bien vient t’installer là me dit-elle en désignant ses genoux. Je m’allonge mes fesses sur ses genoux et elle commence à me fesser. Cela n’a rien à voir avec les fessées que je recevais étant jeune.
Là Elle fait attention à alterner les coups fort et les caresses. Je sens mes fesses rougir et devenir brulante. Je ne peux m’empêcher de bander. Puis cela s’arrête. Elle m’ordonne de me lever, mais je me met à genoux devant elle et lui embrasse les mains. Elle me sourit passe sa main dans mes cheveux et de son pieds s’amuse avec mon sexe tendu. Elle me demande si je veux jouir maintenant. J’acquiesce de la tête sans dire un mot. J’aime cette magie moi à genoux, nu devant elle.
« si tu veux tu peux te masturber là devant moi et partir après… ou bien tu peux choisir de revenir. » je me mord la lèvre. Les deux désirs, contradictoire sont en moi. Je lève enfin les yeux vers elle. « je voudrais revenir ».
« Très bien. Rhabille toi et attend moi devant la porte de mon studio demain après ton travail ». Je vais pour me rhabiller lorsqu’elle me dit d’aller jeter mon caleçon. Je la regarde interloqué puis me dirige vers la poubelle et le jette.
Je rentre chez moi. Les fesses me chauffent et mon sexe tendu f-gonfle mon pantalon. J’ai l’impression de vivre un rêve. En rentrant je mets tous mes caleçons à la poubelle. La journée et la nuit se passe avec mon esprit qui se transporte dans tous mes fantasmes. S’y mêlent des hommes et des femmes et bien sur elle au milieu. Le lendemain dès mon service terminé au mc do je fonce chez elle, je sonne mais personne ne répond. J’attend donc un moment. Puis l’envie me prend de me mettre à genoux devant sa porte. J’hésite, en même temps elle habite au fond du couloir et en plein été les studios d’étudiants comme ceux qui sont aménagés dans les derniers étages des immeubles sont plutôt vide. J’attend donc à genoux sur son paillasson. Je ne sais combien de temps lorsqu’enfin j’entend ses pas. Elle ne dis pas un mot. Ouvre la porte entre et me fait signe de la suivre. Je m’exécute à 4 pattes. Comme un chien. Elle s’assoie sur son canapé lit et me tend ses pieds à masser.
« dès que je t’ai vu j’ai su que tu étais un soumis. Je ne pensais pas que cela irait si vite pourtant. »Je la regarde je l’admire en fait je bois ses paroles et pourtant elles n’ont pas fini de me surprendre. « vois-tu j’ai un amant, un homme plus agé. Il a très envie d’essayer un plan à trois avec un jeune homme féminisé. Je t’avoue je ne sais pas où cela va mener. Je suis moi aussi très excitée à l’idée de disposer d’un homme jouet que je pourrais façonner comme j’ai envie. » J’écoute en silence je me concentre sur ses orteils je veux les lécher je veux lui crier que oui j’ai envie d’être son jouet d’être façonné. Comme elle sens mon excitation elle me fait me relever. Me mettre à genoux face à elle.
« tu vas te faire jouir puis tu vas partir. Je veux que tu réfléchisse bien. Ta vie, nos vie seront bouleversé par ton choix. Tu dois le peser. Pas simplement dans un état second avant la jouissance mais sereinement. ». je m’exécute. Mon sperme jailli par terre. C’est comme une douche froide mon esprit retombe sur terre. Je redeviens ce lycéen un peu coincé bon élève, timide. Elle se lève me end un rouleau de sopalin et me dit en souriant « essuies tes saleté car tu ne voudras pas les lécher n’est-ce pas ? » Je me saisis du sopalin et je commence à essuyer. « si tu acceptes tu lécheras ton sperme ». Je me rhabille et je sors dégrisé. Comme elle me l’a dit je dois réflchir tout peser, même si c’est impossible. Vivre mes rêvs érotiques ou les abandonner pour une vie « normale »….

J’ai laissé passé une bonne semaine, hésitant. Je jouais avec le fantasme d’être féminisé et offert à un homme. Puis je me vidais de mon sperme et la tension disparaissait et avec elle toute ces envies. Finalement au bout d’une semaine je me décidais. Au sortir de mon travail j’allais attendre sur le paillasson d’Isabelle. Comme j’entendais du bruit derrière sa porte je sonnais et attendais à genoux qu’elle ouvre. Elle m’a sourit comme jamais. Elle semblait très contente de me revoir et de mon choix. Elle exigea de moi que je le lui dise à haute voix :
« Je voudrais que tu me féminise puis que tu m’offres à ton amant. » Bien sur Elle accepta. Elle m’ordonna de me mettre nu. En découvrant mon caleçon elle s’est faché un peu. « je croyais t’avoir dit que je ne voulais plus voir ce genre de sous vêtement ». Bien sur j’allais immédiatement le mettre à la poubelle. Elle m’a ensuite fait mettre debout jambes écartées les mains sur la tête pour m’inspecter. J’ai compris à ce moment que mon intimité était désormais derrière moi. Ses doigt se sont inséré partout. Même dans mon raie et mon anus. Elle m’a ensuite donner ses doigt à lécher et j’y ai trouvé le gout de mon intérieur.
« la première chose à faire sera de t'épiler tout le corps. Mais avant il nous faut vérifier ta garde robe. » Je suis rentré chez moi où je devais l’attendre nu à genoux devant la porte. Dès qu’elle a sonné à l’interphone je lui ai donné l’étage et j’ai entrouvert la porte puis j’ai repris ma position. En arrivant elle ‘ma caressé les cheveux. « tu apprends vite ». Je l’ai précédé dans ma chambre. Là elle a fait le tri dans mes vêtements un tas de vêtement acceptable pour l’instant et l’autre bien plus important de vêtement à jeter. J’ai du moi-même aller les jeter en signe d’acceptation de ma nouvelle vie. Il ne restait plus que deux jean très moulant. Quelques t-shirt et des socquettes blanches. Totu le reste était parti à la poubelle. Je m’habillais. Sans me sentir féminine il est sur que je sentais que ces vêtement me rendait plus « désirable » raison pour la quelle je ne les mettait que rarement. Nous partîmes diner au restaurant et là elle m’interrogea sur ma vie mes envies, mes futurs études. Elle sut bientôt tout de moi. Après elle m’invita à dormir chez elle. Elle commença à m’apprendre à lui donner du plaisir. Sans mon sexe bien sur « tu comprend je ne m’intéresse qu’à celui de mon amant ». Elle en profita aussi pour me doigter plus profondément et constater que je n’étais pas très large. Il faudrait m’ouvrir pour qu’il puisse profiter de moi.
C’est ainsi que peu à peu Isabelle fit de moi un travesti très présentable. L’épilation, devrais-je dire les séance d’épilation furent longues et douloureuse. Avec mon salaire nous avions acheté un chauffe cire pour que cela soit plus facile. En même temps Isabelle renouvelait ma garde robe choisissant des vêtements plus féminin que je pouvais quand même porter dans ma vie de jeune homme… Des chemises en cotons ou en lin très fines, claires. Des pantalons mettant en valeur mes fesses… Puis un matin elle me dit de l’attendre au sortir du boulot car nous allions faire quelques courses. Elle m’emmena dans une boutique de lingerie. Une vendeuse, très belle s’approcha de nous et demanda à Isabelle si elle pouvait nous aider.
« oui bien sur je cherche quelque chose de très sexy. Il me faudrait plusieurs parure ».
« Bien sur. Puis je savoir quelle est votre taille de bonnet ? ou préférez-vous que nous la mesurions ».
« Ce n’est pas pour moi. C’est pour » elle marqua un temps me regarda, me désigna « ..lui ».
« ah je vois » dit la vendeuse, très commerçante, « dans ce cas il faut en effet que je prenne les mesures. »
Je les suivis jusqu’à la cabine d’essayage. Isabelle m’ordonna de me dévêtir. Ce qui fut rapide. Je ne portais aucun sous vêtement. Isabelle demanda aussi à la vendeuse de me trouver des sous vêtements pour tout les jours. J’étais rouge de honte. Tandis qu’elle prenait toute les mesures nécessaire elle ne pu s’empêcher de caresser ma peau lisse.
« C’est vraiment très agréable au toucher. Mais il faudrait peut être aussi que vous pensiez à ses sourcils ». Je n’existait plus Elles parlaient de moi comme si j’étais un objet, un jouet. Et sous leur yeux amusés je me mis à bander. Elles rirent puis me laissèrent seul, nu pendant qu’elles allaient choisir mes sous vêtement. Elles revinrent avec deux porte jarretelles et des strings assortis ainsi que des sou-tiens gorges, même s’ils n’étaient pas nécessaire. Et des culottes, en dentelles la plupart, pour tout les jours. Isabelle valida les essayages. Je me rhabillais. La vendeuse proposa que ej garde une des culottes puisque je n’avais rien à me mettre. Je payais, et à la caisse je du expliquer que je portais une des culottes que je payais. J’étais rouge de honte. Isabelle au contraire était très amusée. En sortant elle passa une main sur ma braguette pour constater que je bandais. Ma transformation continua ainsi. J’appris à marcher avec des talons à porter une robe. A parler doucement. A me comporter comme une jeune femme. En même temps Isabelle continuait mon éducation sexuelle. Elle ouvrit mon cul pour que je sois prête pour son amant. M’appris à sucer avec un god puis un god ceinture. Entre temps je m’étais installé chez elle pour qu’elle puisse mieux contrôler chaque instant de ma vie.
Et enfin le grand jour arriva. C’était en septembre, un mois avant la rentré universitaire. Nous rendîmes au restaurant où son amant l’attendait pour fêter avec elle son anniversaire. Elle avait réservé une table pour trois. Nous y sommes allés comme deux copines. Isabelle m’avait fait mettre sous ma jupe une culotte presque transparente qui laissait voir mon sexe. Il fut très surpris de me voir. Alors qu’il se levait pour accueillir Isabelle elle lui dit « bon anniversaire mon amour. Je te présente chris. C’est ton cadeau. »
Il me regarda de haut en bas, de bas en haut. Nous fit asseoir toute les deux. Le garçon arriva et nous tendit les cartes. L’amant, Pierre, fit tomber sa serviette. Sur un geste d’Isabelle j’écartais grand les cuisses pour qu’il puisse voir ma culotte et ma queue. Il se releva enchanté. Il embrassa la main d’isabelle en la remerciant. Le diner fini il nous emmena chez lui. Il avait trop hâte d’essayer son cadeau. Ce fut une nuit sublime, très forte. Il utilisa chacun de mes orifices, jouissant en moi sans retenu. Isabelle nous regardait. Le caressait me caressait. Puis nous nous sommes gouiné devant lui. Sauf qu’elle a fait attention à ce que je ne jouisse pas. Ils ont fait l’amour ensemble moi les regardant puis léchant les fesses et l’anus de Pierre. Enfin il me prit à nouveau longuement et sans même me toucher j’éjaculais comme jamais. Isabelle, étala mon sperme sur mon ventre avec ses doigts qu’elle me donna à lécher ensuite. Pour la première fois je me sentais heureuse. Je n’avais aucune envie que cela cesse au contraire je voulais aller plus loin être à eux. Qu’ils me modèlent à leur plaisir et qu’ils m’emmènent au delà de mes propres envies. Je m’endormi dans leur bras. A mon réveil ils dormaient encore. Pierre sur le ventre les cuisses un peu écarté laissant voir ses couilles magnifiques. Isabelle, sur le dos, nue son sexe offert. Je choisis la facilité et la réveillait la première en la léchant. J’insinuais ma tête entre ses cuisses, dardait ma langue et commençait à l’introduire entre les lèvres de son sexe comme elle me l’avait appris. Puis ma bouche se mit à suçoter très doucement son clitoris pendant que ma langue faisait des tour autoue. Je savais que je ne devais pas directement la poser dessus au risque d’occasionner une douleur qu’elle corrigeait à chaque fois par des gifles. Je l’entendis gémir dans son sommeil puis ses doigts se crispèrent sur ma tête. Elle s’éveillait doucement. Son corps se contracta et son plaisir monta. Je gardais la bouche plaquée sur son sexe. De tout façon pa pression de ses main ne me permettait pas de faire autrement. Tout coup un jet de liquide chaud envahi ma bouche. J’avalais rapidement sans me poser de question. Je réalisais après qu’Isabelle avait uriné. Son plaisir avait relâché sa vessie remplie par la nuit. Je relevais la tête vers elle. Elle me sourit un peu gêné semble-t-il. Je lui murmurais un merci qui la rassura. Pierre bougea dans sommeil et se retourna. Isabelle guida ma bouche sur son sexe à demi en érection. Je le pris en bouche et le suçait doucement, le léchant, léchant ses couilles que je pris en bouche. Isabelle nous regardait. Je sentais leur souffle monter. Ils étaient excités tout les deux. Le corps de Pierre se contracta et je senti la main d’Isabelle appuyer sur ma tête doucement. Elle voulait que je reçoive son foutre dans ma bouche. Je resserrais mes lèvres et senti son foutre envahir ma bouche. J’avalais goulument. Isabelle m’embrassa plongeant sa langue dans ma bouche partageant avec moi le gout de son amant. C’était la première fois qu’elle m’embrassait ainsi. Nous nous levâmes. Isabelle s’habilla rapidement pour aller chercher des croissants chez le boulanger en bas de l’immeuble. Pierre passa une robe de chambre. Comme je cherchais de quoi me vêtir il m’arrêta. « Reste nu. Quand tu es ici tu dois toujours être nu ou bien juste avec tes bas et un porte jarretelle. Du moins tant que ton corps n’aura pas évolué ». Je compris sans comprendre. Je crois que je ne voulais pas chercher à comprendre juste à me laisser aller.
Isabelle revint. Nous primes le petit déjeuner tout les trois. Ma nudité, eux étant habillés me mettait un peu mal à l’aise et en même temps cela m’excitait je me sentais leur objet, leur jouet. Pierre m’interrogea sur moi, mes envies, ma vie mes études. Il me proposa de rester avec lui quelques jours. Isabelle s’occupant de mon emploi du temps chez Mc Do. Emploi qu’il souhaitait me voir quitter. Isabelle nous quitta peu après le petit déjeuner pour rejoindre son travail. Je restais avec Pierre. Il m’ordonna de le laver sous la douche. Je m’exécutais, faisant passer mes mains sur ses cuisses musclées. Je bandais en le lavant. Lui aussi. Alors que je lavais son torse il me fit me tourner il lubrifia mon anus avec du savon et me pris. Je le sentais en moi il me possédait fortement et je m’offrais à lui. Je me sentais sa femelle, pas sa femme ni son amie, sa femelle. Il jouit encore en moi se retira et m’ordonna de nettoyer son sexe. Je pris du savon dans la main. Il appuya sur mes épaules jusqu’à ce que je m’agenouille, posa ses mains sur ma tête et approcha ma bouche de son sexe. « chaque fois que je te prends tu me nettoie comme ça après ». J’acquiesçais en hochant la tête. Nous nous séchâmes et Pierre s’habilla. Il m’ordonna de ranger l’appartement pendant qu’il rejoignait son cabinet pour travailler. Je découvris ainsi qu’il était médecin. Nu je rangeais la cuisine et la chambre. Pliant mes vêtements et les siens. Comme je n’avais plus rien à faire. Je me mis à lire des revues assises sur le canapé en grignotant un croissant qui restait. Isabelle arriva en fin de journée. Pierre était toujours à recevoir ses patients. Isabelle et moi discutèrent un peu. J’appris que bien qu’amants depuis plusieurs années elle souhaitait pour l’instant rester indépendante pour finir ses études. Puis nous dérivâmes sur les souhaits de Pierre : interdiction des sous-vêtements pour elle, comme pour moi. Bien sûr elle pouvait en porter lors de ses règles. Elle m’expliqua qu’ils me cherchaient tout les deux depuis plusieurs années. Je fut touchée qu’elle ne me dise pas un garçon comme toi. Mais moi, comme si j’étais pour elle quelqu’un d’unique qu’ils cherchaient tout les deux. Pas un garçon prêt à se soumettre et à renoncer à son identité sexuelle (mais en avais-je une) pour son plaisir et le leur.
Je restais ainsi une semaine chez Pierre. Je passait les nuit avec lui ou avec lui et Isabelle lorsqu’elle était là. Chacun à sa manière m’initiait dans les plaisirs sexuels. Je découvrit que bien qu’indépendant isabelle obéissait à certaines règles que Pierre lui imposait : absence de sous-vêtements, port de bijoux intimes mais aussi l’absence totale de pilosité. Certaines après-midi nous partions toute les deux faire les boutiques. Il s’agissait de me trouver des tenues qui plaisaient à Pierre et que nous lui montrions chaque soir. Isabelle ne manquait jamais une occasion de révéler aux vendeuse mon état véritable. De même, elle m’obligeait à m’asseoir les fesses directement en contact avec mon siege. J’appris à relever ma jupe discrètement et nous dûmes choisir des jupes ou des robes adaptées à cette obligation. Lorsque je restais seule chez Pierre, il venait de temps à autres pour une fellation ou pour me posséder. Lorsqu’il sortait de son cabinet il me souhaitait à genoux prête à lui offrir mes orifices pour son plaisir. J’appris à aimer le gout de son sperme que je devais avaler à chaque fois.
A la fin de cette semaine qui m’avait permis de me sentir choyée, unique et pour la première fois de ma vie complète, Pierre souhaita nous emmener au restaurant. Il avait choisi un lieu discret, avec une table éloignée du reste de la salle. En allant au restaurant je vis qu’Isabelle marchait bizarrement, comme si quelque chose la gênait en elle (je découvris plus tard que Pierre lui avait fait mettre un petit plug en métal). Pierre commanda pour moi, sans me demander mon avis. Le serveur parti il prit la parole. Il m’expliqua ce qu’isabelle et moi souhaitaient pour moi et de moi. Je devrais vivre chez lui, définitivement, avec les règles de vies que je connaissais déjà et qui seraient amenée à être enrichie. Je devrais continuer mes études et m’y investir fortement. Il n’était pas question pour eux que je ne réussisse pas. Ils souhaitaient aussi entamer des modifications corporelles plus « radicales ». Pierre avait mis au point un traitement hormonal visant à accen ma féminité. Grâce à lui les trait les plus masculin de mon corps allaient peu à peu disparaître : diminution de ma pilosité, en particulier de ma barbe qui les gênait chaque matin quand je les réveillais en les suçant. Il était aussi possible que j’ai une légère poussée de seins. Mais très limitée. Il n’était, pour l’instant, pas question d’opération. Outre cela Pierre et Isabelle souhaitent pouvoir me partager avec des « amis » mais aussi avec des inconnus. Après mes études ma seconde priorité devait être la satisfaction de leurs envies, de nos envies et l’exploration de celles-ci. Le diner se termina. Pierre me donna un boitier. Dedans un bijou original : un collier de cuir. « Nous voulons que tu rentres chez tes parents pour réfléchir loin de nous. Dans une semaine, si tu es d’accord avec ce que nous te proposons tu seras à genoux, portant ce collier sur mon paillasson. Si tu ne veux pas ne viens pas. ». Nous allâmes à la voiture de Pierre. Dedans m’attendais des vêtements d’hommes, choisis par Isabelle. Je me changeais à l’arrière et ils me déposèrent devant chez moi. Ma décision était prise dès que Pierre avait ouvert la bouche. Je passais la semaine à rassembler mes modestes affaires. Surtout mes affaires de cours car la rentrée universitaire approchait. La semaine écoulée je choisis parmi les vêtements masculins que nous avions acheté avec Isabelle ceux qu’ils aimeraient le plus me voir porter : une chemise en lin très légère, blanche et un pantalon de coton, blanc aussi, translucide. Dessous je mis un string en dentelle claire que m’avait offert Isabelle. Je laissais la chemise ouverte au col pour que mon collier soit visible. Et me voilà parti en métro jusqu’au domicile de Pierre. Ma tenue attirait l’attention. Les regards sur moi, insistants, réprobateurs pour certains, lubriques pour d’autre me firent sentir la gêne que j’aurais désormais à dépasser. Je voulais être fière de ce que j’étais et de ce que j’allais devenir. Mais pour l’instant j’aurai plutôt voulu me cacher dans un trou de souris. J’arrivais devant chez Pierre. Je posais mon sac à dos, sonnais et me mettait à genoux les cuisses écartées et les main posée sur mes cuisses. Isabelle ouvrit. Elle s’agenouilla prit ma tête entre ses mains, approcha son visage et murmura « merci » puis nos lèvres s’ouvrirent et nos langues ne firent plus qu’une. Ce fut un long baiser plein de sensualité. Elle passa ensuite une laisse à l’anneau de mon collier et me fit entrer à 4 pattes. Je la suivi jusqu’au séjour où Pierre attendait.
« regarde ce que j’ai trouvé devant la porte. Une chienne magnifique tu ne trouve pas ».
Pierre me regarda en souriant. Isabelle m’approcha de lui. Il s’avança vers le bord de son fauteuil et me jeta un regard. Je compris dans l’instant. J’ouvris sa braguette sorti son membre et le pris en bouche. Oui je voulais être à eux. Oui je voulais être la chienne qu’ils feraient de moi. Mon traitement hormonal commença le lendemain. Je fus vite pris par la routine des cours à la fac. Isabelle aussi, je découvris ainsi qu’elle était encore étudiante, en droit, et que son travail chez Mc Do visait à lui permettre de subvenir à ses besoins. Même si Pierre souhaitait qu’elle arrête pour se consacrer plus pleinement à lui et à ses études. Il espérait, secrètement, que ma présence chez lui amènerait Isabelle à le, nous, rejoindre. Bref ma vie s’organisa autour de ces trois pôles : La fac, Pierre, ma « chosification » terme que Pierre et moi avions trouvé pour parler de ma transformation.
A la fac je portais des vêtements masculin, choisi avec soin par Isabelle. Tout sous-vêtement m’était interdit. Mes vêtements masculins ne laissaient aucune équivoque, d’autant que mon apparence physique se féminisait de jour en jour. Je portais soit des vêtements très moulant, soit au contraire très fluides mais dans ce cas plus ou moins translucides laissant imaginer mes formes. Je maquillais mes tétons chaque matin pour qu’ils soient visible. Pierre aurait voulu qu’ils pointent tout le temps mais il laissait cela pour plus tard.
Dès que j’étais chez Pierre je devais me mettre nu et enfiler des bas et un porte-jarretelle. Outre la préparation de mes cours et les travaux de TD et de TP ma principale occupation était le plaisir de Pierre, et d’Isabelle dès qu’elle était là. Ainsi, dès que j’étais prête en rentrant de la fac je frappais à la porte du cabinet de Pierre. S’il était disponible il me faisait entrer et je venais à genoux le saluer. Le plus souvent en suçant son sexe. S’il ne l’était pas je devais attendre à genoux qu’il vienne me faire entrer. Isabelle venait régulièrement, de plus en plus souvent. Pierre avait aménagé pour nous deux un bureau pour que nous puissions travailler et réviser nos cours. Elle avait pris en charge un part de mon éducation. Pour son plaisir d’abord, le miens peu à peu. Elle développa des jeux que je n’imaginais pas. Ainsi, elle m’apprit à aimer boire son urine. Lorsque cet objectif fut atteint elle décida qu’il ne lui était plus nécessaire d’utiliser les toilettes en sa présence et je fut désormais son urinoir. Elle ne manquait pas de m’utiliser ainsi en présence d’autres personnes. Elle entreprit aussi de me faire aimer la fessée et d’explorer avec moi l’art de fesser, avec différents instruments, cravache, martinet, … Elle le faisait avec art et chaque fois je finissais en pleur, les fesses rouges et brulante mais excité comme un fou (une folle).
Isabelle participait aussi activement à ma chosification. Elle m’apprenait à prendre soin de mon corps, à le préparer pour ceux qui seraient amener à m’utiliser. J’appris à me maquiller à marcher avec des talons de plus en plus haut, à m’épiler. Elle m’apprit aussi comment marcher derrière elle, tenue en laisse. Comment présenter mon corps pour qu’il soit visible et utilisable. J’appris à offrir mon cul pour qu’il soit inspecté et fouillé. Les moments fort de cette routine de vie avaient lieu principalement le week-end. La première fois ce fut quelques mois après mon installation chez Pierre. Je brulais que cela arrive mais Ils ne me trouvaient pas prêt. Puis le grand jour arriva. Pierre avait invité deux couples d’amis à venir diner un samedi. Pour la circonstance Isabelle m’avait offert un corset. Je ne portais ainsi que des bas auto fixant et le corset et des chaussures à talons très haut et bien sur mon collier de cuir qui ne me quittait pas. Le premier couple arriva et j’allais ouvrir. La femme entra en premier me détaillant « enfin voici la surprise que Pierre nous cache ». Elle ne cessa de me peloter les fesses pendant que je les précédais au séjour. Le second couple arriva à ce moment. Comme pour le premier j’allais ouvrir et me retrouvait devant un homme d’une cinquantaine d’année accompagné d’une jeune femme magnifique. Elle ne dit rien. Quant à l’homme il me toisa sans dire un mot avec un sourire enchanté. Je m’effaçais pour les laisser entrer. La porte fermée je les débarrassait de leur manteau. Elle était nue. Ils me suivirent dans le séjour. Isabelle fit le service pendant que Pierre me présentait. Je dus aller devant chacun des invités. A genoux je leur présentait ma bouche pour qu’ils puissent juger de son aptitude à servir. L’un des hommes y insérera un doigt presqu’à me faire vomir. Puis je me levais me retournait et présentais mes fesses en me cambrant. Mon cul reçu ainsi plusieurs inspections. La jeune femme nue le força de trois doigts qu’elle me donna ensuite à lécher. Je lisais dans ses eux des envies perverses qui me faisaient frissonner. L’autre femme me posa des pinces à seins reliées par une chaine qu’elle s’amusa à tirer jusqu’à ce que je grimace de douleur. Le repas fut servi. Je le passais à 4 pattes sous la table. Je devais sucer ou lécher chaque convive lorsqu’il me le ferait sentir par un coup de pieds. La première à m’utiliser fut la jeune femme nue. Elle me donna un coup de pieds dans les couilles et je m’avançais vers elle. Je me mit à la lécher et son corps réagit instantanément. Elle se mit à gémir. J’entendis une gifle et la main de son compagnon (son maitre en fait) me repoussa violemment. J’entendis sa voix dire durement « Tu n’as pas le droit de jouir maintenant ». Puis il attira ma tête vers lui et je me mis à le sucer. Il jouit rapidement et j’avalais son foutre. Pierre m’avait bien ordonné de le faire. J’entendais Isabelle leur expliquer mes progrès, comme désormais je buvais son urine, le plaisir qu’elle avait à me faire pleurer sous ses coups. Après le repas je fus attaché sur la table basse. Isabelle allât chercher sa cravache. Elle l’offrit à la jeune femme nue qui se mit à me fouetter. Elle le faisait sans retenue. Mes cris commencèrent à monter et mes larmes à jaillir. Je me rodais de douleur. Je voyais à travers les larmes que l’excitation des convives était très fortes. Ils prenaient plaisir à me voir souffrir. Isabelle se mit à chevaucher Pierre. L’autre femme et son mari se mirent à s’exciter. Le maitre de la femme nue lui dit d’arrêter de me cravacher. Elle fit le tour de la table et se présenta devant moi. Je levais la tête et la remerciait en lui baisant les mains. Elle s’assit sur un fauteuil que son maitre avait approché. Son sxe était juste à ma hauteur elle me le donna à lécher avec la permission de son maitre. Quant à lui il me prit sans préparation. C’était la première fois que mon cul n’était pas du tout lubrifié. J’eu mal au début alors qu’il forçait son passage en moi. Puis je m’habituais. Je n’y prenais pas vraiment de plaisir mais je savais que je n’étais pas là à ce moment pour en prendre mais pour en donner. Pierre et Isabelle voulait que je comprenne et que j’accepte qu’être objet de plaisir pour les autres n’induisait pas ment un plaisir physique. Que l’excitation était ailleurs, psychologique mais forte et intense. Je réussis à le comprendre peu à peu et ce fut un réel bonheur.

Je vécu ainsi cinq années de pur plaisir. Mon corps fut modifié, Pierre me fit tatouer trois lettres entremêlées, vdc, juste au-dessus de la raie des fesses « Pour que chacun et tous sache que tu aimes vider les couilles. Car tu aimes ça n’est-ce pas ? » Oh oui j’aimais cela j’adorai même. Je reçu un piercing sur la verge. Enfin au mois de juillet de mes 23 ans je reçu mon diplôme de DEA de finance. Cela m’ouvrait les portes des chambres de marchés. Mais surtout cela m’ouvrait la porte vers la dernière étape de ma transformation. Pierre m’avait promis de m’emmener au maroc chez un ami à lui. Un chirurgien esthétique qui s’occuperait de me poser les seins que j’espérais, que nous espérions. Je n’eu pas le choix de la taille ni de la forme. Isabelle choisit pour moi, comme chaque fois qu’il s’agit de mon apparence. Quelques jours après je put me regarder dans la glace. J’étais nue ma poitrine ronde au tétons pointant était superbe. Au milieu de mon corps dardait mon sexe d’homme. Ce contraste entre mes seins et mon apparence famine et se sexe était plus qu’excitant. Je m’excitais moi même. Je me caressais le corps entier. J’aimais sa douceur. Je caressais mes seins titillait mes tétons, descendait sur mon entre jambe. Je caressais mes couilles passais un doigt entre mes fesses, me pénétrait. Puis j’attrapais mon sexe et je commençais à me masturber. Le plaisir montait. Pierre et isabelle entrèrent. Ils me regardèrent. « ne t’arrête pas. Montre nous comme tu es chienne chris ». Ces mots décuplèrent mes envies je me trouvait à 4 pattes me doigtant puis sur le ventre me masturbant d’une main et malaxant mes seins de l’autre. Je joui de façon très intense tout mon corps était tendu vers ce plaisir. Puis je recueillais mon sperme avec les doigt et le portait à la bouche. Isabelle s’approcha, se déchaussa et me donna son pied à lécher. « Comme tu es bien dressée. Tu es devenue une vrai salope ». Ils m’emmenèrent à l’hôtel. Dans leur chambre Isabelle s’approcha de moi tandis que Pierre s’asseyait dans un fauteuil. Elle me déshabilla. Enlevant ma robe. Elle défit mon soutien gorge. J’étais nue devant elle. Elle se mit à me caresser le corps. Ses mains couraient sur mes épaules, mon dos. Elle s’attardèrent longuement sur mes seins. Elle les embrassa, les titilla. Une main descendit vers mes cuisses, mes couilles. Elle effleura a peine mon sexe. J’ouvrais les yeux. Je me mis à la déshabiller à son tour. Je lui ôtais son chemisier et découvrais ses seins nus. Plus petit que les miens. Ce contraste m’amusa, j’étais plus femme qu’elle que je considérais comme la femme parfaite. Je défis sa jupe qui tomba au sol. Comme il se doit elle était nue dessous. Mes mains coururent sur son corps, ses seins, ma bouche s’attardait dessus. Nous roulâmes sur le lit tout proche. Nos corps se mélangèrent nous échangeâmes des baiser passionnés tandis que nos mains couraient sur nos corps. Je mis au dessus d’elle et lui caressait le corps avec mes seins. Je descendit ainsi jusqu’à ses pieds. Ma bouche remonta embrassa son sexe humide. Ma langue plongea dedans. Je titillais son bouton j’avalais sa mouille au gout si unique, si délicieux. Elle joui une première fois, me saisis par le menton et fit remonter ma bouche vers elle. Nous embrassèrent encore partageant le gout de sa mouille. Nos seins se frôlaient délicieusement. les sensations que je ressentais étaient électriques. Elle me murmura « prends moi ». Elle m’avait toujours refusé ce plaisir. Non seulement je ne l’avais jamais prise mais depuis que j’étais avec eux je n’vais jamais été autorisé à pénétrer une femme. Et là Elle, la femme idéale me le demandait. Je cru qu’elle se trompait. Mais elle insista. Mon sexe la prit doucement je devais me retenir. Je la chevauchait d’abord, puis nous changeâmes de position, en levrette, l’une en face de l’autre sur le côté. Assise. Pierre nous regardait. Il se masturbait en regardant ses deux femelles faire l’amour. Nous jouîmes tout les trois en même temps c’était si fort. Isabelle se leva s’approcha de Pierre le fit mettre à genoux devant elle. « goute » Il avança sa bouche sorti sa langue et la plongea dans le sexe d’Isabelle goutant le mélange d sa mouille et de mon sperme mélangés. Ce fut un moment si intense entre eux, entre nous. Un moment qui changerait sans doute tout.

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