Renifleur De Culottes Partie 1

Les petites culottes par des soirées d’été :

J’ai toujours été fasciné par la lingerie féminine... et ce, depuis mon adolescence. L’imaginaire qui se développait en moi à ce propos, a toujours nourrit de très longs fantasmes. Nombreuses étaient les questions qui fusaient dans mon esprit, lorsque je voyais des femmes, connues, inconnues : quel type de sous vêtements portés? Quelle odeur s’en dégageaient ?

Et je l’avoue, les quelques fois où j’ai pu m’introduire dans le domicile d’une femme (amie, connaissance plus ou moins vague...), mon fantasme était de tomber nez à nez avec une culotte portée en m’introduisant dans la salle de bain de leurs maisons.

Relatons donc à ce stade les meilleurs moments où j’ai pu réaliser ce fantasme.


Été 2018 : Paris
Je suis alors occupé comme stagiaire dans le domaine bancaire. N’ayant pas les ressources suffisantes pour me loger à la capitale, mon maître de stage, avec lequel j’avais sympathisé depuis longue date me propose de séjourner chez lui durant 1 mois. C’est comme cela que tout commence. Évidement dès mon arrivée, j’avais déjà des vues sur sa femme. Celle-ci était plutôt jolie, bien en chaire, et tout simplement attirante. Le vrai genre de femme qui puisse me procurer 1001 fantasmes.
Une fois mon installation terminée, les sympathies d’usage faites, le couple m’avait totalement accepté bien que j’empiétais dans une moindre mesure sur leur vie privée. Me voilà donc logé chez ce maître de stage. Sa femme est cadre, et très accueillante.

Le soir, la température était caniculaire, si bien que je demandais si je pouvais prendre une douche. Chose qu’ils acceptaient évidemment! Alors seul dans la salle de bain, je ne pouvais longtemps faire abstraction du panier à linge sale qui débordait. Rapidement j’ai pu remarqué au fil des matins et des soirs les culottes de la dame qui étaient mises pêle-mêle dans cette corbeille. Quelle envie de les saisir .

.. de les renifler... de se masturber avec ... l’envie était insoutenable. Mais le sang aux tempes, c’est ainsi qu’à plusieurs occasions je me défilai...

Un soir alors que le couple semblait dormir, je me rendais aux toilettes, puis à la salle de bain. Muni de mon téléphone portable, je trouvais rapidement l’objet de mes désirs. Je décidai alors de repartir avec cette culotte que j’avais remarqué le soir même. Enfouie dans mon caleçon, je ne réalisais pas encore ce que je venais de réaliser. J’avais la culotte de la femme de mon maître de stage au fond de mon propre caleçon ! Alors arrivé au salon, près du canapé lit sur lequel je couchais, mon cœur s’emballait à un point que je semblais l’entendre... ma bouche était simplement desséchée.

M’assurant que personne ne m’avait remarqué, je décidais enfin de sortir cette culotte en coton grise, et de la déplier pour mieux me la représenter dans l’obscurité. Quel effet dans mon caleçon, en quelques secondes, je tenais une érection que je vous garantie féroce. Je commençais à peine à me masturber, que je ressentais déjà l’envie d’éjaculer. Je décidai de me calmer, de ne plus toucher mon sexe qui allait exploser d’une seconde à l’autre. Puis ce fut ensuite le plaisir de sentir. Et quel plaisir ..! L’odeur du vagin était discrète quoique par moment forte après une journée de canicule. Je percevais aussi l’odeur de son anus ce qui ne manquait pas de me faire bander comme un âne... je reniflais cette odeur à plein poumon tout en me branlant doucement, c’était une extase honteuse... Le fait de se dire que cette femme sentait si bon et si fort du cul ne faisait qu’attiser mon plaisir. Je décidais alors d’enrouler mon sexe dans cette culotte, et d’utiliser l’élastique comme un instrument de plaisir. Je serrai mon sexe avec brutalité en enroulant cette culotte odorante. Mon sexe était au comble... et quelques va et vient suffirent pour provoquer une énorme éjaculation. J’eu à peine le temps de retirer cette culotte de mon gland pour ne pas la tacher.
Mais que ce fût bon... après quoi, honteusement je replaçais la culotte au même endroit où je l’avais trouvé et l’endormi ensuite un peu honteux mais avec le sentiment d’avoir envie de renouveler de pareilles séances chaque soir.

Ce fut chose faite. Chaque soir je répétais le même manège, dès le moment de prendre la douche pour repérer où étaient cachées les victuailles... La lingerie de cette femme était d’ailleurs assez peu varié. Des culottes en majorité.

Un jour, ce fut le paradis :
Un matin mon maître de stage me confiant les clés de son bureau, car celui-ci devait partir plus tôt que prévu. Sa femme était également partie travailler, et je devais le rejoindre seulement en fin de matinée. Il m’avait donc permis de rester à son domicile pendant toute la matinée.

Dès que je me trouvais seul dans l’appartement, je courais aussitôt vers le panier à linge sale. C’était comme un rêve... quel plaisir de pouvoir saisir plusieurs culottes, les renifler toutes ensemble à plein poumons. Aussitôt je me branlais dans une culotte tout en reniflant une autre. Tel fut ma matinée, et je renouvelais l’opération plusieurs fois jusqu’à l’heure où je devais partir. Je pouvais ainsi apprécier de voir les culottes à la lumière du jour, voir les traces laissées, les sentir, les lécher...
Le soir je revoyais la femme de mon maître de stage, avec un sentiment de culpabilité, mais le fait de réaliser mon fantasme chaque soir m’excitait au plus haut point. Voir sa femme arriver en fin de journée, et imaginer sa culotte odorante et souillée sous sa robe, alors même que j’allais la renfiler quelques heures après, me provoquait des érections grandioses.

Passons maintenant à une histoire similaire : les culottes de la locataire : suite dans la partie 2...

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