Une Jeunesse 2.0

C’est avec entrain que les deux amies arrivent au Pyramide. Comme à son habitude, elle frappe à la porte arrière et c’est Paul en personne qui les accueillent.
- installez-vous dans la pièce du fond, je vais m’occuper de vous, dit-il en souriant
Manon guide Camille jusqu’à la pièce, inoccupée et plongée dans la pénombre. Elles s’installent sur le canapé quand Paul revient vers elles :
- Tu as changé mon programme, sourit-il à Manon, je me suis adapté ! Je vais vous présenter un couple d’amis, bonne soirée les filles !
Paul sort de la pièce et entre un couple d’une trentaine d’année, bien habillés, plutôt beaux qui s’approchent d’elles. Après un échange de banalités rapide, la femme entre dans le vif du sujet :
- Alors quels sont vos fantasmes ? Manon, nous savons, nous t’avons vu le weekend dernier
- Vous étiez là ? demande Manon un peu penaude
- Oui. Tu étais belle tu sais. Nous avons passé un bon moment à te regarder…
Manon se sent flatté et en confiance par cette femme, qui continue :
- Et toi Camille, de quoi as-tu envie ?
- Euh, je ne sais pas… bredouille la jeune fille, visiblement peu à l’aise
La femme, Aline, remonte sa jupe et laisse apparaitre son sexe intégralement épilé :
- Et ça ? ça te fait envie ?
Elle prend la main de Camille, et lui fait caresser son entrejambe.
- Alors tu aimes ?
- Je ne sais pas, c’est la première fois que je touche une autre femme, répond Camille
- Dans ce cas laisses moi faire, lèves toi et déshabilles toi, lui intime Aline
Camille n’avait pas fait d’effort particulier dans sa tenue, et retire ses baskets, son jeans et son débardeur. Elle se retrouve en lingerie quand l’homme, Guillaume, lui retire son soutien-gorge et sa culotte.
Camille à un joli corps. Au contraire de Manon, très fin, très élancé. Son visage est poupin et sa chevelure brune lui arrive à mis-dos. Des petits seins bien formés ainsi qu’un piercing au nombril nous emmènent jusqu’à son pubis de jeune fille.

Elle a de belles lèvres bien sculptées et bien épilées surmontées d’un petit ticket de métro du plus bel effet. Manon regarde son amie nue et là trouve particulièrement belle. Ce n’est pas la seule et Aline allonge Camille sur le canapé et commence un cunnilingus particulièrement délicat. Camille sent cette langue, féminine de surcroit, se promener sur son clitoris et des frissons la parcourent. Guillaume qui observe la scène s’approche de Manon :
- Tu aimes ce que tu vois ? Tu vas nous regarder, petite chienne…
Cette voix directive surprend Manon qui ne s’y attendait pas, mais la charme aussi, elle qui aime être dirigée.
Guillaume approche une chaise, fait assoir Manon et sort des cordelettes avec lesquelles il interdit tout mouvement à Manon. Enfin, il bâillonne la jeune femme et lui susurre à l’oreille :
- Je veux que tu mouilles la chaise comme une petite garce, après on verra…
Puis, il retire ses vêtements et s’approche de Camille et sa compagne.

Manon observe ce bel homme. Guillaume n’est pas très musclé, au contraire, mais il dégage une certaine puissance. Il est coiffé et rasé de près, assez grand et très érotique. Sa verge est très épaisse à défaut d’être longue, elle aussi légèrement épilé, et une profonde érection en fait un membre imposant.
Camille est toujours soumise aux coups de langues d’Aline quand Guillaume approche son sexe de sa bouche. C’est très sensuellement que Camille entame une fellation, multipliant les va et vient sur la verge, pendant de longs instants. Elle a l’air de prendre plaisir avec ces inconnus, de plus devant son amie, pour qui la situation devenait de plus en plus torride.
Guillaume s’assoit à son tour sur le canapé et invita Camille à le chevaucher. La jeune fille s’exécute et guide le chibre vers sa vulve toute mouillée. C’est elle qui mène le rythme, elle en veut plus, plus vite, plus fort.
Manon regarde cela avec envie. Elle est ligotée, bâillonnée, mais elle aussi toute mouillée. Elle veut profiter, elle aussi mais est pour l’instant frustrée.
Aline s’approche à son tour d’elle :
- Ta copine à l’air heureuse… On va continuer avec ce qui était prévu dans ce cas, qu’en penses-tu ?
A défaut de pouvoir lui répondre, Manon opina de la tête et vit Aline disparaitre de la pièce.
A la place entre un groupe d’hommes, suivi par plusieurs couples voyeurs. Il y a une douzaine d’hommes, tous nus, dont 5 blacks gâtés par la nature.
Ce groupe entoure Camille en contournant délibérément Manon, toujours impuissante sur sa chaise.
Camille est surprise, mais se laisse approcher par ce groupe. Pour l’instant, elle continue de chevaucher Guillaume, seules quelques mains touchent son corps pendant que les hommes se masturbent autour d’elle. Elle s’arrête, se lève du canapé, s’approche de Manon et toise le groupe :
- Putain, mais baisez-nous comme des putes !
Et là, d’abord surpris, les hommes sont lâchés comme des fauves. Pendant que Manon est détachée et déshabillée, un homme saisi Camille par les cheveux, l’agenouille et lui insère vigoureusement son sexe en bouche. Puis en lui relevant le visage, crache sur son visage, la gifle et lui dit :
- Comme ça petite trainée ? Tu vas voir !
Camille n’entend plus, elle submergée de plusieurs sexes à la fois. Elle ne maitrise plus rien.
Manon est dans le même cas, saisie par le cou, puis retournée à quatre pattes, le fessier relevé. Les fessées pleuvent sur ses fesses rebondies, jusqu’à rougir la peau. Manon meurt d’envie :
- Allez putain enculez moi !
De suite un long chibre s’insère doucement dans son anus et commencent une longue sodomie délicate pour commencer, avant que le rythme s’accélère. S’en suit une procession de sexes dans ses fesses, certain plus gros que d’autre qui font crier la jeune femme. Ce qu’elle ressent est encore plus puissant, plus intense. Il y a plus de sexes, ils sont plus gros, plus brutaux… Manon les ressens tous au plus profond d’elle-même. Elle est tellement étouffée par la douleur et le plaisir qu’elle ne prête plus attention à son amie, qui enchaine les gorges profondes jusqu’à la limite. Camille saisit les sexes chacun leur tour, puis après un coup de langue rapide, les engloutis jusqu’à leur base. Elle est maintenant guidée sur un homme allongé, qu’elle va chevaucher vigoureusement. Elle sent le sexe au fond de son vagin, un plaisir immense la parcoure. Elle sent les hommes la caresser, la peloter, se masturber en la regardant. Mais de voir son fessier bouger de la sorte aiguise les appétits, et bientôt la vue de ce petit anus vierge attire les membres les plus virils.
Camille sent bien ce qui se trame dans son dos, elle entend Manon crier à côté d’elle, et ne sais que penser de ce projet. Mais sans lui laisser le choix, sa première double pénétration commence par l’introduction délicate d’un premier sexe dans ses délicates fesses. Les mouvements s’intensifient et après une période douloureuse, elle sent son corps se détendre et les sensations reprendre le dessus. Ces assauts à deux sexes vont durer de longues minutes avant que Camille ne demande une pause.
Le temps pour elle de se désaltérer, de reprendre ses esprits et de visualiser les participants.
Plusieurs couples sont en retrait, certains purement voyeur, d’autres en train de faire l’amour. Certains hommes seuls sont aussi en retrait, se masturbant vigoureusement, tandis qu’autour d’elle une quinzaine d’hommes tournent tel un essaim d’abeilles autour des deux pauvres femmes. Elle voit Manon se faire sodomiser en chevauchant un homme, quand un second s’approche et après plusieurs essais la pénètre simultanément. Manon fait une double anal ! Cela s’entend aux gémissements qu’elle fait. C’est douloureux et bientôt l’homme retire son sexe au grand soulagement de Manon. Manon se lève à son tour et vient embrasser Camille, les deux amies sont en pleine orgie et les émotions sont démultipliés. Camille sent toute la chaleur du corps de Manon contre elle, elle sent ses seins contre les siens, mais l’étreinte est interrompue par deux hommes qui les installent côte à côte, fessier relevé, en levrette. Et c’est reparti pour une longue série de sodomies rugueuses, les jeunes filles sont enculées au maximum, même les grosses queues black rentrent maintenant sans opposition dans l’anus, pourtant vierge il y a une heure, de Camille.
Les sensations ne sont plus les mêmes, cela est plus mécanique. Le plaisir de n’être qu’un vulgaire jouet sexuel est toujours présent, mais le plaisir physique est différent. Elle sente les chibres profonds en elle, leurs petits et délicats trous sont devenus volcans, et bientôt elles sentent le foutre chaud de leurs amants leur recouvrir les fesses. Ils sont beaucoup à venir recouvrir leurs fessiers avant de quitter la pièce et de laisser, comme d’habitude, les filles à même le sol.

En peu de temps la pièce s’est complètement vidée, et Camille et Manon voient Paul ouvrir la porte dérobée. Dans un geste amical, Paul leur tend deux bouteilles d’eau et des peignoirs et les laissent à leur douche. Déjà nue, les deux amies se jettent sous cette douche salvatrice, encore dans leurs pensées et à peine de l’effort sexuel qu’elles viennent d’accomplir, quand deux hommes entrent à leur tour dans ce vestiaire. Manon reconnait tout de suite l’homme qui l’avait accueillie le weekend dernier. Il utilise le même ton directif :
- Alors, ma petite coquine, tu es revenue faire la chienne ?
L’homme lui pelote les seins virilement et Manon, bien que fatiguée, se sent totalement sous l’emprise de sa voix :
- Allez accroupis toi, on va te montrer quelque chose
Pendant que Camille restait en retrait, Manon s’accroupi devant les deux mâles qui sortent chacun leur sexes.
- Allez, avales nos queues, je vais te faire goûter un truc !
Manon saisit leurs deux gros sexes et commence sa fellation. Elle n’a jamais goûté au nectar suprême, mais ces deux mandrins lui donnent envie. Elle branle énergiquement les deux hommes, les suce du mieux qu’elle peut pendant de longues minutes. Elle sent les deux hommes se raidir, leurs sexes sont gonflés sous l’effet des efforts de la jeune fille, leurs veines sont prêtes à exploser sous sa langue.
Manon se recule, et le premier homme se décharge face à elle. Manon est surprise par de longs jets épais sur son front, ses cheveux, son nez et bientôt sa bouche. Elle ne soupçonnait pas une telle fougue. Puis bientôt le second arrive et lui intime l’ordre d’ouvrir sa bouche. Manon s’exécute, l’homme pose son gland sur ses lèvres et éjacule sur la langue de la jeune femme. Une chaleur envahie sa bouche, le sperme stagne sur sa langue et, en regardant l’homme dans les yeux, Manon avale le nectar d’un coup sec. Le sperme est très chaud, très salé, mais sans aucun dégout comme elle le redoutait. Les deux hommes quittent la pièce sous le regard satisfait de Manon.
C’était cela l’ironie de la situation : Manon qui souhaitait être soumise était en fait le centre de gravité de tout le monde.
Dans cette course au plaisir, elle l’avait cherché, chevauché, partagé et se sentait désormais comblée. Elle se sentait prête et armée d’une expérience à même de l’aider à trouver, enfin, l’amour…